C'est avec surprise et tristesse que je venais
d'apprendre la disparition brutale de mon ami Frank, emporté
en quelques jours par une maladie aussi soudaine que foudroyante.
Il travaillait alors à l'étranger
et son hospitalisation d'urgence en France n'avait pu contenir
le mal.
Ses obsèques étaient fixées
dès le lendemain et je pris mes dispositions pour accompagner
mon ami sur son dernier chemin. Je résolus de partir en
voiture pour parcourir les 400 kilomètres de la distance
en cette fin d'après midi, afin d'être sur place le matin
dès 10 heures.
Frank était comme moi sans
famille et à l'exception de quelques relations et peut-être
quelques collègues de la société qui l'avait récemment embauché
et envoyé sur des chantiers à l'étranger, je pensai qu'il
n'y aurait que peu de monde à suivre son cercueil.
J'y trouvai une raison supplémentaire
pour me rendre à l'enterrement de Frank, célébré dans une
ville de la banlieue parisienne.
Je passai la nuit dans un
petit hôtel proche du cimetière et de l'église, trouvant
avec peine le sommeil, mes souvenirs des bons moments passés
avec Frank me revenant en mémoire.
Il est vrai que nous étions
amis, complices, copains, et que nous avions partagé beaucoup
de choses, y compris certaines de nos respectives conquêtes.
Comme moi, il aimait le sexe et malgré moi, je me remémorai
certaines soirées chaudes dont nous avions été acteurs.
Je m'endormis à l'aube quasiment
et la sonnerie stridente du téléphone de l'hôtel me réveilla
vers 8.30 heures.
Je me préparai et me rendis
à l'église où effectivement il n'y avait encore personne.
Battant la semelle sur le parvis, je vis arriver quelques
collègues de Frank auxquels je me présentai.
Mon pronostic se confirmait
sur le faible nombre de ceux qui allaient accompagner mon
ami en sa dernière demeure.
J'appris toutefois au fil
de ma conversation une nouvelle qui me parut stupéfiante
à savoir que Frank était marié !
- Marié ?!
- Oui, récemment, me confirma-t-on..
Vous ne le saviez pas ?
- Non...
- Pas de chance pour elle,
çà fait pas même un mois je crois...ajouta quelqu'un
- En effet...
Je réclamai quelques informations
complémentaires et l'on me dit que Frank, profitant d'un
séjour en Ukraine pour son entreprise, avait trouvé sur
place une femme, prénommée Irina et l'avait épousée à Odessa.
C'est alors que le fourgon
mortuaire fit son apparition, suivie d'une voiture de l'organisateur
des obsèques, où j'aperçus, assise près d'un chauffeur,
une femme tout de noir vêtue.
Elle ouvrit la porte et sortit
de la voiture non sans dévoiler, alors que j'étais idéalement
placé, par pur hasard, des jambes magnifiques gainées de
bas noirs, car j'eus le temps d'entrevoir fugacement la
peau nue d'une cuisse, barrée d'une jarretelle.
Troublé par une telle apparition,
je ne pus détacher mon regard de cette jeune femme, blonde
aux cheveux attachés, qui portait un élégant tailleur noir
de bonne maison, des escarpins noirs, un chemisier de soie
grise et un petit chapeau duquel tombait une voilette parsemée
de points noirs.
- Quelle fille magnifique
pensais-je... honteux d'évoquer dans mon esprit les bas
noirs qu'elle portait sous sa jupe.
Elle vint vers moi, intriguée
de ma présence. Je lui tendis la main et me présentai.
- Ohh oui Chris, bien sûr,
répondit-elle avec un délicieux accent slave, d'un français
un peu hésitant... je vous connais, Frank m'a beaucoup parlé
de vous...Vous étiez son ami le meilleur...
- Oui.. euh...
- Je m'appelle Irina...
- Oui eh bien Irina je vous
adresse mes condoléances. Vraiment, je suis très triste
pour vous... je..
Elle me sourit et nous entrâmes
dans l'église où l'office commençait. La cérémonie ne dura
pas très longtemps, le prêtre voyant que peu de monde avait
accompagné le défunt, un autre enterrement suivant immédiatement.
En définitive, après l'office,
je me retrouvai seul avec Irina pour suivre le cercueil
jusqu'à la tombe. Nous assistâmes ensemble à cette pénible
inhumation. Elle me prit la main, qu'elle serrait entre
ses doigts, tout en se tamponnant les joues, avec son autre
main, d'un fin mouchoir, essuyant les larmes qui parfois
perlaient de ses magnifiques yeux gris.
Je ne pouvais m'empêcher
de penser à cette femme près de moi, au mystère de sa rencontre
avec Frank, si indépendant, macho même parfois, qui avait
bien voulu se lier avec cette russe ou ukrainienne, je ne
savais pas encore. Tel que je connaissais Frank, l'aspect
physique, sexuel avait sûrement beaucoup compté.
Je me rendais compte d'ailleurs
des formes de cette jeune veuve dont je tenais la main.
Ce tailleur qui galbait sa silhouette mettait en valeur
ses formes, sa poitrine plutôt avantageuse, sa croupe arrondie.
Je m'en voulais de penser
à ce corps, à ces formes, à ces jambes entraperçues au matin,
aux bas de luxe qu'elle portait. Où a-t-il trouvé cette
fille superbe ?
Après que nous eûmes jeté
chacun une fleur et un peu de terre sur la bière, j'entraînai
Irina hors de ce cimetière.
- Venez Irina, c'est fini...
Elle se laissa mener, je gardai sa main dans la mienne.
Sans lui demander son avis,
mais elle ne fit aucune objection, nous entrâmes dans le
restaurant situé sur la place centrale et prîmes place à
la table que nous indiqua la patronne. Il était à peine
midi.
- Voulez-vous boire quelque
chose ? Irina ?
- ... Da.. spassiba...oui...Ohh
Chris soupira-t-elle...
La patronne revint, interrogative.
"Vous déjeunerez ?"
- Oui, nous allons prendre
quelque chose et euh apportez-nous deux... vodkas lui commandai-je
bêtement. Mais une nouvelle fois, Irina ne dit rien.
Je regardai son visage, d'une
beauté belle et sauvage, son regard gris et d'une sensualité
extrême. Bon Dieu, qu'elle est bandante cette fille.
Je ne pouvais résister à
ses yeux et cette voilette qui lui donnait un air énigmatique,
qui mettait de la distance mais qui attirait à la fois.
Je posai de nouveau ma main
sur la sienne.
- Qu'allez-vous faire maintenant
Irina ?
- Je ne sais pas...
- Vous habitez quelque part
?
- Non, juste un hôtel à Paris,
J'ai accompagné Frank dans l'avion sanitaire. Et puis, il
est mort à l'Hôpital...
Je pensai à diverses choses
(une aide de sa société, une assurance vie etc..)...
- Je vais m'occuper de vous
Irina, lui dis-je serrant sa main.
- Oui merci, Chris. Frank
disait que je devais vous voir. Et que je...pouvais vous
faire confiance
- Oui, je vais prendre soin
de vous...
Elle me raconta sa rencontre
avec Frank, le coup de foudre, les promenade sur les plages
de Crimée, près d'Odessa, son souhait de partir d'Ukraine.
En quelques jours, le mariage put être célébré et quelques
semaines plus tard, le malaise de Franck, puis l'hôpital
local, puis sa société qui s'inquiète et le fait rapatrier
etc...
Nous déjeunâmes. Elle me
raconta ensuite que Frank lui avait parlé de moi, de notre
amitié, de nos aventures diverses. J'espérais qu'il n'était
pas allé trop loin dans les détails croustillants et scabreux.
Mais le regard d'Irina ne me sembla pas trahir les secrets
qu'elle aurait pu entendre sur nos frasques amoureuses,
nos partouzes, de la part d'un Frank indiscret.
- Vous savez Irina c'était
mon meilleur ami... Nous avons partagé plein de choses et...
- Des femmes aussi ?
- ...
- Vous savez, je ne suis pas
naïve, je me doute bien que.. Frank et vous.. euh..
Je pris un air énigmatique,
lui souriant.
- Oui, nous partagions au
moins une chose, lui dis-je, une passion pour l'amour et
les jolies femmes...et vous ? Irina ?
- Moi ?
- Oui, si je ne doute pas
que vous ayez plu à Frank, Pourquoi vous l'avez épousé ?
Dites-moi la vérité ? pour quitter la Russie ou l'Ukraine
? par amour ?
A ma grande surprise, je
la vis rosir.
- Bien sûr, c'était l'amour
et puis il était Français et euh... j'aimais être avec lui..
je veux dire...je ne sais pas...
- Je comprends Irina... La
coquine, pensais-je, mon copain lui a fait découvrir les
vertiges du plaisir, l'a fait jouir comme une folle... Et
si Frank a bien voulu se marier avec elle, c'est que de
ce côté là elle doit avoir du répondant...
Ma main caressait doucement
la sienne posée sur la table.
- Vous êtes moins triste
Irina ?
- Oui..
Je me penchai vers elle et
vint poser mes lèvres sur sa joue puis un autre baiser aux
coins de ses lèvres.
Je pris alors une décision
irréfléchie.
- Venez, je vous emmène chez
moi. J'habite à la campagne. Je vous offre une chambre en
attendant que vous décidiez de ce que vous allez faire.
Elle me sourit pour marquer son accord.
Elle prit place dans ma voiture.
Elle me narra encore quelques souvenirs avec Frank. Nous
arrivâmes à son hôtel. Elle pris ses bagages. Je payai sa
note et nous quittâmes Paris.
Elle regardait défiler la
route et moi je lorgnai de son côté, ses jambes, ses seins.
Elle avait remis son petit chapeau et sa voilette. Je ne
pouvais m'empêcher de penser à elle, de l'imaginer en jeune
veuve lubrique, de fantasmer sur ce corps superbe. Elle
sommeillait.
A un moment, je n'y tins
plus et je posai ma main doucement sur sa cuisse, à la limite
de la jupe légèrement relevée sur son bas.
Elle ouvrit les yeux, tourna
la tête et déplaça un peu son corps pour venir s'appuyer
contre moi, sa tête blonde sur mon épaule. Je pilotai d'une
main, sur cette autoroute tandis que l'autre caressait doucement
sa cuisse. Très lentement, très progressivement, ma main
parcourait un ou deux centimètres de plus. Mes doigts se
glissaient sous sa jupe, très lentement, millimètre par
millimètre
Elle était détendue son épaule
contre la mienne. Je sentais son parfum. Ma main sur sa
cuisse bougeait toujours. Vint le moment où mon doigt atteint
la lisière du bas, rencontrèrent l'attache d'une jarretelle,
et touchèrent la peau nue, chaude, de sa cuisse.
Loin de se retirer, elle
accentua sa pression contre mon épaule. Encouragé, je continuai
cette caresse, apaisante, lente, douce, voluptueuse. Maintenant,
mes doigts caressaient sa chair, jouaient avec la jarretelle,
montaient toujours un peu plus. Comme par hasard, je sentais
au bout de mon ongle le tissu de sa culotte.
Puis soudain, je sentis qu'elle
ouvrait ses jambes, et s'offrait à ma main. Elle avança
la tête pour poser ses lèvres pleines sur ma joue. L'effet
était magique que ce bisou derrière sa voilette.
Ma main caressait maintenant
le haut de ses cuisses, frôlant sa culotte de dentelle noire
que j'apercevais. Sans que je m'en rendre tout à fait compte,
sa jupe était relevée bien haut.
Je l'entendais respirer,
se tendre. Sa poitrine se soulevait. Sa respiration s'accélérait.
Bon sang, me dis-je, la coquine, elle en a envie.
Sans autre formalité, la
sachant vaincue, ma main pris possession de sa fourche et
je lui caressai le sexe à travers sa culotte.
Elle se laissa ainsi masturber.
Je pouvais me rendre compte de son excitation, sentant sous
la fine dentelle, sa chatte humide, moite d'excitation.
Elle-même écarta sa culotte
pour me permettre de toucher directement sa jolie toison
blonde et ses lèvres intimes. Je sentais rouler sous mes
doigts la boule de son clitoris. Excitée, elle écartait
maintenant les cuisses et se laissait masturber.
Avec deux doigts à plat,
des mouvements circulaires et réguliers, je survolai son
clitoris, le caressant, l'excitant, Elle fermait les yeux,
goûtant la montée de son désir.
Puis, je lui enfonçai un
doigt entre ses lèvres, débusquant d'autres sensations,
rencontrant son humidité croissante. Bref, je mettais dans
cette branlette toute ma science.
Je vis sa main droite qui
s'engageait sous sa veste et dégrafant deux boutons de son
chemisier, glisser dans son soutien gorge noir à balconnet.
Ses deux seins apparurent
à mon regard, fermes, excités. Elle se touchait délicatement
les mamelons durs, bien formés.
Après quelques minutes de
ce traitement, je la sentis se tendre totalement et étouffant
ses cris, exprimer un orgasme fulgurant, serrant ma main
entre ses cuisses, feulant son plaisir explosif.
J'eus bientôt la confirmation
que cet aspect de la personnalité d'Irina avait certainement
beaucoup compté pour Frank, car, passé le moment tendu de
sa jouissance, sa main se posa sur la bosse de ma braguette,
qu'elle dégrafa rapidement pour extirper ma queue tendue
depuis un certain temps.
Elle me la caressa un peu
et se penchant vers cette belle bite, la mit dans sa bouche.
- Ohh, elle est encore plus
grosse que celle de Frank, prit-elle la peine d'observer
avant de la gober goulûment.
Je conduisais toujours et
un dernier réflexe salvateur m'empêcha de poursuivre cette
expérience au péril de nos vies, car la bouche et la langue
d'Irina n'étaient pas restées inactives. Les quelques semaines
passées auprès de Frank avaient sûrement conforté l'expérience
amoureuse d'Irina.
- Attends, Irina, on arrive
dans quelques minutes, réussis-je à lui dire, soulevant
sa tête. Je quittai d'ailleurs l'autoroute, donnant ma carte
à une employée de péage suffoquée de voir où se trouvait
la tête de ma compagne.
Irina se releva sans toutefois
lâcher ma queue, qu'elle caressait doucement, entretenant
une agréable bandaison, jouant avec le gland et le prépuce
de ses ongles longs.
Après quelques minutes, j'empruntai
le chemin vicinal menant à ma propriété, un joli moulin
niché dans la verdure.
Malgré le crépuscule qui
tombait et qui ne donnait pas la meilleure lumière, Irina
fut enchantée de ce décor campagnard et nous descendîmes
de la voiture, après qu'elle ait consenti, à regret, à ranger
mon bel oiseau dans sa cage.
Mais à peine les bagages
déposés dans le hall, et le feu allumé dans la cheminée
préparée qu'Irina m'entreprenait de nouveau, à ma grande
satisfaction. Elle était particulièrement sexy avec sa jupe
qu'elle avait relevé sur ses cuisses gainées de noir, portant
son chapeau et sa voilette, sa main farfouillant dans ma
braguette à la recherche de ma queue qui reprenait de la
vigueur.
Elle s'agenouilla devant
moi et entreprit une fellation savante et motivée, suçant
et aspirant ma queue, ses yeux rencontrant les miens, tout
emprunts d'une lueur perverse. Elle sortit mes testicules
du slip et les palpa, les soupesa, y passa sa langue.
Elle baissa mon pantalon
et me caressa les fesses tout en poursuivant sa succion.
Je ne pus résister davantage et ne tardai pas à exploser
dans sa bouche. La coquine ne se retira pas et avala sans
broncher et avec délectation les jets de sperme que je lui
adressai.
Devant le feu maintenant
crépitant, sur l'épaisse moquette du salon, je la déshabillai,
conservant ses bas et son porte-jarretelles et lui rendis
sa politesse. Elle appréciait d'être ainsi léchée, à la
lueur des flammes, exhalant son désir par force cyprine.
Son excitation coulait sur
ses cuisses, jusqu'à ses bas. Je la léchai, la lapai, la
dévorai, la doigtai, et bientôt de nouveau elle jouit sous
ma bouche experte et gourmande.
Elle se mit à quatre pattes
m'invitant à la prendre en levrette. Son cul splendide devant
les yeux, j'enfilai sa jolie chatte blonde jusqu'à la garde.
Elle ondulait de la croupe,
goûtant pleinement le pieu qui la fourrait, recherchant
des sensations, gémissant de plaisir, en français et en
russe...
En même temps, je caressai
ses fesses et sa raie, la lubrifiant de salive et de mouille.
Elle appréciait cette caresse et je voyais sa rosette palpiter,
de telle sorte que je me retirai de son con pour tenter
ma chance par derrière.
Son anus ne se refusa pas
et je m'enfonçai facilement entre ses fesses, pilonnant
son joli cul. Elle criait maintenant son plaisir alors que
j'alternai les réjouissances : quelques coups de bite par
derrière et quelques autres dans la chatte, et ainsi de
suite, de telle sorte qu'elle jouissait quasiment en continu
et du cul et du con, se titillant le bouton.
L'excitation pour moi était
immense surtout lorsque je sortis de ses fesses. Elle se
retourna pour prendre ma bite entre ses mains et me masturba
jusqu'à ce que j'éclate de nouveau. Elle prit mon foutre
sur sa voilette, serrant bien ma queue pour faire sortir
la dernière goutte.
Après ces premières réjouissances,
nous prîmes une collation suivie de quelques verres de cognac
puis renouvelâmes nos approches. Je m'endormis en pensant
à Frank, le priant de me pardonner d'avoir le jour même
de son enterrement perverti sa femme. Je me consolai avant
de tomber dans mes rêves qu'Irina n'avait guère fait de
difficulté...
C'est endormi dans les bras
l'un de l'autre qu'une amie, à qui j'avais donné rendez-vous
le lendemain, ce que j'avais totalement oublié, ébloui par
les charmes slaves d'Irina, nous découvrit, nus et repus
de plaisir.
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