Je m’appelle Laura
Lynn. Je suis une jolie jeune travesti de 35 ans. J’adore
sortir de nuit comme de jour en femme.
Que ce soit pour faire mes courses ou pour aller au cinéma.
Ce dimanche après-midi ce fut le cas. Je me préparais donc
et me fis belle et sexy. Je portais un imper court et dessous
un tailleur beige avec une jupe très mini, un tee shirt
moulant et de bottes avec des talons de 13 cm. Cela faisait
de moi une « bombe » de 1m90 et bustée. Mon Soutien gorge
90D avait du mal à camoufler mon 100cm de tour de poitrine.
J’arrivais donc
au cinéma. Il y avait du monde mais qu’importe. Je me sentais
femme. Je sentais des regards sur moi, assez flatteurs du
reste. Comme j’avais du temps avant la séance je pris un
café au bar. Cela doit être là que mes deux futurs amants
me repérèrent. Une fois dans la salle je m’installais telle
une chatte, je jambes croisées ma jupe remontant jusqu’au
haute de mes cuisses et mes seins pointant tels deux pics.
A ce moment les deux jeunes vinrent s’asseoir près de moi,
à deux sièges de distances l’un à ma gauche et l’autre à
ma droite. Je pensais qu’il voulait me mater et sûrement
se moquer de moi.
Puis la séance commençât
et je les oubliais. Une demi-heure plus tard ils se mirent
à coté de moi. Un mélange de peur et d’excitation se répandait
en moi. Inconsciemment j’avais envie d’être draguée, voir
plus, cet Après midi. Je sentit une main glisser sur ma
cuisse gauche puis une autre sur ma cuisse droite. L’un
des deux me dit de me taire sinon ils me brutaliseraient
après la séance. J’étais à leur merci complètement soumise.
Ils me caressèrent les cuisses tout en les écartant.
« Tu es très belle et très douce » me dit l’un d’eux. Mon
clito était déjà dur. « Regarde cette salope comme elle
bande. On dirait bien qu’elle aime ca ». Il écartèrent la
dentelle de ma culotte et libérèrent mon sexe. J’entendis
alors le zip caractéristique d’une braguette. Le plus costaud
sortie alors sa bite. C’était un bel engin. Sur un ton sec
il m’ordonnât de le sucer. Je me pencha vers lui et m’exécuta.
Pendant ce temps son comparse commença à me doigter le cul.
Le costaud avait l’air d’aimer çà vu ses gémissements. J’avais
peur que quelqu’un s’aperçoive de notre manège.
Je le laissais pour m’occuper de son copain. Bien que moins
membré que l’autre sa queue soit pas mal. Et me voilà donc
repartis pour une sucette. Je dois vous dire que je vis
très peu le film. Celui ci se résumais à « bouffe ma queue,
salope ! ».
Après le générique
de fin ils partirent. J’allais aux toilettes dames pour
me remaquiller et réarranger mes bas et ma culotte. En ressortant,
je les vis de nouveau. « Viens avec nous. Tu vas ne vas
pas nous quitter comme ca sans en avoir pris plein le cul
». Nous descendîmes dans le parking souterrain. Dans un
coin sombre et discret ils me plaquèrent contre le mur.
Ils me déshabillèrent, me laissant seulement vêtue de mes
seuls sous-vêtements. « Pas mal foutue cette salope ! Mets-toi
à quatre pattes.
On va te prendre
comme tu le mérite.» Je me sentais honteuse ainsi réduite
à l’état de pûtes. Mais curieusement j’aimais çà. Le costaud
commença à me travailler avec son doigt puis deux. L’autre
se mi-face à mon visage et me tendis son dard. J’eus à peine
le temps d’ouvrir la bouche que sa queue enfourna ma bouche.
A ce moment le premier me pénétra avec vigueur. Je ne pus
retenir un gémissement, tout juste étouffé par le sexe que
j’avais en bouche. Ses coups de boutoirs produisirent un
état étrange aux fond de mes entrailles. J’étais en train
de jouir. Je jouissais comme une vraie femme soumise et
violée par deux mâles en rut. Ils jouirent en moi peu de
temps après.
Mon cul et mon visage
étaient couvert de foutre. Ils me laissèrent là sur le sol
à moitié nue. « Tu as été une bonne petite pûtes ». J’eus
du mal à marcher tellement mon cul avait été défoncé . Une
fois à la maison après avoir pris une douche. J’enfilais
ma nuisette et alla au lit. Mais je repensait à ce formidable
après midi et me caressa une bonne partie de la nuit.
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