TITRE : Du monde au balcon
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur

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J'ouvre les yeux. Il fait encore nuit. Je parcoure des yeux ma chambre éclairée par les réverbères.
     "Ce n'était qu'un rêve!" Et comme tous mes rêves, je ne m'en souviens plus du tout.

     Je transpire abondamment, j'ai très chaud et puis au beau milieu du lit une belle montée de ma couverture. Une belle et grosse érection que je n'avais plus eu depuis ma dernière liaison avec ma meuf.
     "Dommage que ce n'était qu'un rêve et que je ne m'en souviens plus" me dis-je en souriant de ce beau spectacle. J'avoue que j'étais très tendu ce matin-là. Je soulève la couverture pour observer ma proéminence : j'étais ravi. Une grosse et belle colonne bien portante et toute rose, pourvue de veines épaisses est retenue par la couverture au niveau de mon gland rouge vif. Je tire sur la couverture pour la libérer et mon outil sexuel vient se plaquer avec violence sur le bas du ventre. Qu'il est lourd, cet engin ! Je vois une petite goutte de sperme qui naît dans la fente de mon bout. Wouah! J'imagine toutes les saloperies que je pourrais faire avec aujourd'hui. Ca me fait encore plus bander rien que d'y penser et voilà que mon gourdin enfle, enfle, enfle jusqu'au nombril. Mmmh! Que c'est bon de sentir cette chaleur au contact de mon corps !

     7:15 au réveil. Je me lève de mon pieu avec mon pieu bien levé. Je regarde fièrement mon outil sexuel devant un miroir. C'est énorme d'avoir une trique comme ça. Je tends ma main vers mon pénis hyper tendu. Je la pose. Ma bite me chauffe la main, que c'est doux ! Je peux à peine faire le tour avec mes doigts, tellement elle est grosse. Et je commence un petit va et vient, doucement au début, puis de plus en plus vigoureux. J'astique dur et je sens toute cette chair épaisse qui glisse sous mes doigts crispés. Je sens que la sauce monte mais je décide d'arrêter au risque de tout en foutre partout.

     Je me dirige vers la cuisine. Je prends une tasse de café afin de me réveiller.
     "Pas la peine que je dorme, je reprends le boulot dans une..." Je n'avais pas fini ma pensée que je vis sur la table la lettre de licenciement reçut la veille.

     Un message au répondeur me rappelle que ma petite amie est devenue mon ex petite amie, et qu'elle viendra dans la journée prendre ses affaires. La belle affaire !

     Sur l'étagère du salon, un amas de factures impayées... Bref, une belle journée en perspective !

     L'idée m'a déjà traversé l'esprit : il fallait en finir avec ça ! Chômage, célibataire, factures, voisinage emmerdant... J'ouvre la fenêtre et je regarde la rue déserte de cette pauvre ville. Je m'apprête à enjamber le balcon du 4e étage pour me jeter sur le bitume, avec une érection belle et bien disparue, quand soudain un événement hallucinant se produit en face de ma fenêtre.

     Une femme ouvre les volets de sa chambre pour aérer, sûrement après une folle et longue nuit d'extase qui l'incita à se refroidir l'esprit. Une blonde flamboyante ouvre largement sa fenêtre et je découvre son anatomie complète. Elle découvre aussi la mienne dans une autre position. Je ne pouvais pas contenir mon admiration face à cette sirène, car fou de grosses poitrines, tout ceci dépassait mon entendement.

     Elle possédait les plus gros nibards que je n'avais vu et je ne voyais que ça!!! Je m'en souviens comme si c'était hier ! Deux beaux gros obus qui tenaient sans soutien-gorge pointant fièrement ses gros tétons dans ma direction. Je me demandais, tellement ils étaient gigantesques, si cette femme pouvait joindre ses mains au bout de ses mamelles ou si elle avait déjà vu son nombril récemment, car sa poitrine occupait vraiment de la place. C'était tellement énorme, que je m'imaginais tripotant longuement ces mamelles bien fermes (rien qu'un sein en ferait triquer bien des hommes) où je pourrais fourrer entièrement ma tête et les lécher comme un fou. J'y plongerai bien volontiers dedans, puis nager. Je ne peux imaginer tout ce que je pourrais faire avec ces coussins bien en chair. C'est là que je redescends sur terre...

     Elle me regarde, longuement, avec des yeux et un sourire malicieux qui en dit long sur ses pensées. Elle inspire profondément, faisant augmenter le volume de ses énormes engins, je sens ma bite enfler à mort. Puis elle se met à regarder ma queue et est stupéfaite par sa taille. Je n'y crois pas non plus, mais le spectacle grandiose de ce début de journée, me fait bander comme un cheval, jusqu'à une taille à peine croyable. Ma queue est aussi surdimensionnée que les seins de ma voisine. Je voyais aussi que je ne la laissais pas indifférente. Elle se met à serrer fortement la grosse rambarde de son balcon comme si elle voulait jouer avec. Elle écarte un peu plus les jambes et je vois un beau minou qui ne demandait qu'à être caressé, et ce minou laisse ruisseler un courant de désir sur ses jambes. La voisine d'en face ondule son corps en remuant son gros derrière que je voulais sauvagement empaler avec le gourdin entre mes jambes. Ses doigts glissent sur le rebord, passent par le nombril, remontent son corps et rencontrent très vite les collines du saint des seins qu'ils passent entre (je ne vois plus sa main plongée dans la masse impressionnante de son avant-garde). Sa main ressort en haut et caresse doucement le haut de sa poitrine, en fait le tour puis remonte jusqu'à son téton dressé fièrement. Elle prend son sein des deux mains et peine à le porter jusqu'à ses lèvres chaudes, tellement il est pesant pour elle. Elle mouille la mamelle en même temps qu'elle mouille sa chatte. Je suis pris d'un tremblement. Je porte ma main sur ma bite du tonnerre et je m'étonne qu'elle soit aussi brûlante. La vache, celle-là risque d'être un bon coup !

     Nous avons chaud tous les deux, ça se voit. Nous n'échangeons aucun mot mais on ne s'empêche de se mater pendant un bon moment. C'est clair, l'un avait besoin de se taper l'autre pour une folle journée de baise avec ce qui s'annonce ici. Plus je la regardais, elle et ses seins, plus je me disais que je l'avais déjà vu. Mais tant pis, je contemple le paysage autant que je pouvais et elle aussi... Tout allait bien avant que du bruit sorte du lit de ma chère et très en chair voisine : c'est son mec qui se réveille. Elle ferme la fenêtre en me fixant des yeux et léchant ses lèvres brûlant de désir. Je reste immobile quelques instants sur mon balcon, ma bite géante au garde à vous, le gland rouge comme de la braise qui ne demandait qu'à exploser. Sans me branler, je sentais que ça venait.

     Bon dieu ! Ses nibards, que c'est géant, je n'en peux plus. Au vu du spectacle qu'il m'a été donné de voir, je ne pouvais m'empêcher de bander, de bander et de bander. Plus je voyais ma queue se tendre jusqu'à une taille qui me semblait infinie, plus je pensais à cette femme opulente ; et plus j'y pensais, plus je triquais un max. Dans le salon, je marche doucement pour éviter que de grosses secousses viennent déclencher le déluge blanc. Quel cul ! Mon gros canon se balance de droite à gauche, lentement et librement, lourd, très lourd, je le sentais comme un grand poids entre les jambes. Quelle paire ! Le gland qui le surplombait divinement était gonflé, rouge, étiré, poussait toujours. Mes couilles étaient vraiment dures, car ma bite glissait dessus et me faisait très mal, ils étaient remplis de foutre à ras bord et prêts à gicler d'un coup de fusil. Je n'ose imaginer la taille de cet énorme machin qui me pend devant moi et que je suivais : trente ou trente-cinq centimètres. Qui sait ? Peut être la voisine le sait, à vue d'œil. Non ! Je me surprends à plaisanter dans ces moments là, ce qui peut être fatal à moi et à mon apart.

     Je rentre dans ma chambre et c'est arrivé. A l'ultime pensée de cette femme et de son opulente poitrine, je sentais venir du plus profond de moi-même la suprême onction. Je me suis mis à éjaculer, sans retenue, une surdose de foutre sur mon lit. Je n'en crois pas mes yeux, une grosse gerbe blanche sort par litre de ma trique. Plusieurs saccades secouent mon sexe géant. Ca n'en finis pas. Je me laisse aller à cette explosion et je vois le résultat. Tout mon lit est souillé par le liquide visqueux. Que ça fait du bien ! Mais, ceci ne calme pas mon ardeur, ma queue est toujours en pleine forme et n'a pas diminué d'un iota. J'essaie de ne plus penser à cette femme, risquant sinon de repeindre mon appart en blanc. Je me dirige vers le canapé pour dormir, la bite bien droite et fière...

     Je me réveille soudain et réalise qu'on frappe à ma porte. Il est 12H10. Encore à poil, je m'apprête à prendre quelques vêtements traînant dans la pièce, alors que je n'ai pas totalement débandé. Il reste un gros renflement marquant mon pantalon. J'ai la vague impression que c'est la voisine qui vient me rendre visite pour me demander du sel ou autre chose, exprès pour s'envoyer en l'air. On peut toujours rêver, mais ses atouts très majeurs me sont encore sur le cœur et sur ma queue. On continue de frapper à ma porte et on m'appelle. Je reconnais la voix de Rébecca, mon ex, maintenant. Tant pis ! Elle vient récupérer ses affaires dans ma chambre qui sent encore le foutre. J'ouvre la porte.

     - Salut. Ca fait cinq minutes que j'attends que tu m'ouvres !...
     - Excuse-moi, je n'étais pas réveillé...
     - Comme d'habitude. Bon, je ne vais pas te déranger, je prends mes affaires et je m'en vais.

     Elle force le passage et avant qu'elle ne rentre dans ma chambre, je la retiens par le bras.

     - Tu ne crois pas que j'ai droit à une seconde chance...
     - Oh ! non! Je n'ai plus envie de t'écouter. Tu m'as trompé avec cette garce. Je n'ai plus envie de toi... Je ne veux...

     Elle fixe son regard sur mon pantalon encore tendu.

     - Je vois que c'est la grande forme, ici.
     - C'est toi qui me fais cet effet, lui dis-je en mentant. Tu es toujours la plus belle.

     Un léger sourire se fait sur son visage, pas sur ce que je viens de dire, mais sur ce qu'elle pense à l'instant quand elle voit mon membre dressé sous le tissu. J'ai toujours aimé les femmes perverses qui ne pensaient qu'à une chose, même si c'était la fin du monde : le sexe, le sexe et... le sexe.

     - Tu sais à quoi je pense ? me dis-t-elle
     - Veux-tu vraiment ça ?
     - Approche !

     Elle s'approche de moi et colle ses lèvres sur les miennes pour m'embrasser comme elle sait si bien le faire. Cette brune incendiaire me tire vers elle pour se diriger vers la chambre, je change de direction pour aller vers le balcon de peur qu'elle voie le lit encore aspergé par la déferlante de ce matin, et je continue à l'embrasser. Je commence à dégrafer son léger chemisier, laissant apparaître ses jolis seins bien fermes reflétant la lumière du soleil. Quel spectacle ! Je les lèche par petits coups, partout, sur ses aréoles, ses mamelons, cette chair si tentante. Je passe mes mains sur son jean et les fait entrer à l'intérieur pour bien ressentir ces fesses rondes serrées. Je passe et repasse inlassablement dans cette masse qui se laisse triturer, ce qui me fait beaucoup bander. Mon ex en profite aussi pour bien ressentir ma belle grosse bite, qu'elle connaît fort bien, et qui ne demande qu'à sortir.

     A son tour, elle commence à déboutonner mon pantalon. A ce moment, je tourne la tête vers la fenêtre. J'aperçois ma voisine regarder mes ébats sur son balcon. Elle porte un T-shirt avec écrit J'aime Paris et la Tour Eiffel dessus. Comme ce bout de tissu colle à cet amas de chair tendre à caresser, les mots se trouvent vraiment déformés. On a l'impression que ses seins sont encore plus gros qu'il n'y paraît. Ces tétons sont imprimés fortement sous le tissu. Ca me rend fou et je sens que ma queue est soudain à l'étroit dans mon pantalon, ce qui a vite fait d'étonner Rébecca. Elle caresse l'énorme forme et tente de la sortir de son carcan. Au même moment, comme si elle devinait les faits et gestes de notre couple, la pulpeuse blonde soulève ses lourdes mamelles avec son T-shirt très moulant afin de le retirer. Le mouvement rebondissant de ses nibards me font un haut le cœur, ce qui fait que Rébecca, n'ayant pas eu le temps d'ouvrir le sarcophage, voit soudain une énorme verge sortir tout droit des profondeurs de mon corps, éclatant un bouton au passage. Je la regarde effrayée sur le coup puis elle me dit :

     - C'est monstrueux, je la tiens à peine dans mes mains.
     - Alors profites-en, ma chérie.
     - En plus, elle est vraiment chaude, brûlante...
     - Il faut la lécher pour la refroidir...
     - ... et pour me réchauffer, petit vicieux.

     J'enlève mon pantalon, elle aussi. Je me mets sur les genoux et elle pose ses mains sur mon sexe géant, commençant alors une longue fellation. Elle ne peut pas englober le reste de chair qui lui reste à sucer une fois que ces mains étaient placées. Je l'avoue, elle est toujours douée dans ce domaine. Elle suce vigoureusement ma verge, en faisant énormément de bruit de suce. Un mélange de salive et de sperme, qui sort petit à petit, coule le long de ma charpente. Pendant ce temps, je passe mes mains le long de son dos, en le massant. Arrivé à son cul, je le tripote énergiquement comme de la pâte, je sens aussi que ma partenaire mouille de plus en plus, au fur et à mesure de nos caresses mutuelles. Instinctivement, je lève la tête en direction de la voisine. Je la vois me montrer un énorme derrière où un petit string noir à du mal à se montrer. La blonde l'enlève, toujours de dos, et le petit bout de tissu voyage tranquillement le long de cette large courbure avant de terminer le long de ses jambes merveilleuses. La radieuse voisine est penchée en avant pour retirer son string, ses gros atouts mammaires pendent jusqu'à ses genoux et ses jambes ne peuvent les cacher entièrement, tellement ils sont énormes. Tout est magnifique en cette femme. Elle a l'air irréel. La blonde écarte maintenant ses fesses pour montrer une large fente mouillée mainte et mainte fois pénétrée. Je bande à mon maximum ce qui fait le plaisir de ma partenaire, toujours la bouche occupée.

     Rébecca se retire et lèche mon ventre pour arriver à ma bouche, ma bite entre ses mains qui l'astiquent vigoureusement. Elle m'embrasse avec le souffle du désir qui l'envahit, elle est vraiment chaude et ce n'est pas mon sexe qui va se plaindre, torturé dans tous les sens par des mains expertes et agiles. Ma partenaire a de quoi me masser avec la masse géante que je lui présente, car elle ne peut en faire le tour avec une main.

     - Tu m'impressionne... vraiment... je ne t'ai jamais connu... aussi bien membré, me dit-elle entre chaque coup de langue bien fourrée, je vais être sincère avec toi... j'en ai vu des bites énormes... mais celle-là... c'est de loin... la plus grosse.

     Ce joli compliment obscène m'excite d'avantage. Je bande, je bande, je bande comme un fou. D'un côté, j'ai le son et de l'autre les images.

     Puis elle arrête son massage buccal et s'allonge :

     - Maintenant, je veux que tu me défonces la chatte avec ta grosse queue. Je veux la sentir en moi.

     Je ne me fais pas prier. Mon gros gland parcourt son ventre laissant au passage un léger filet de sperme puis, avec mes deux mains, je force ma bite à entrer dans l'intimité de mon ex. Elle a du mal à rentrer et je dois faire des aller-retour pour m'enfoncer d'avantage dans sa chair. Ses seins deviennent tout durs, Rébecca commence à jouir mais montre ensuite de la douleur au fur et à mesure que je m'enfonce, je vois que j'occupe tout son orifice ce qui rend plus difficile la pénétration. Je continue de m'enfoncer par des allers et retours comme un burin jusqu'à ce que j'arrive au bout. A mon grand étonnement, je constate que je n'ai pas englouti la moitié de mon membre dans la chatte de Rébecca. La brune jouit de plus en plus "Vas-y, vas-y", je fais des va et viens tout en douceur, "bourre-moi la chatte avec ta putain de grosse queue", "AAAhhh!!!Qu'est-ce qu'elle énOOrme!!!" "Oh mon Dieu, continue, je la sens tout en moi, que c'est bon, OOOoooh oui!!!". Sur ce, je continue de plus belle. Puis, je sors ma grosse trique toute huilée, je ne l'avais jamais vu aussi gigantesque, on aurait dit un troisième bras. A partir de là, Rébecca se mit à se plaindre : "Non, tu n'as pas le droit de me faire ça. Continue à me labourer le minou. Continue, oui, continue, mets-la-moi dedans, oui... comme ça... qu'est-ce que c'est bon d'être avec toi!".

     La voisine ne restait pas passive durant notre chaude retrouvaille. Depuis le début, elle nous espionnait de sa fenêtre. Elle se moque éperdument du voisin de dessus qui se branlait énergiquement sur sa pine avec cette vue splendide sur l'échancrure de son T-shirt puis sur ses seins avides de désirs. Ils sont maintenant durs comme du béton et elle aime ça. Elle aime ce couple qui s'envoie en l'air devant elle, elle aime que l'homme au sexe de cheval se tape sa gonzesse en ne pensant qu'à ses énormes engins.

     Une fois que le couple arrive à la position 69, je fais en sorte que je puisse mater ma putain de voisine. Celle-ci est partie chercher une chaise en osier. Elle revient et s'assoit au bord du balcon afin que tout le monde, surtout moi, puisse la voir. Ses seins géants et durs paraissent disproportionnés par rapport à son corps, ils sont au garde à vous, dressés, attendant d'être triturés, pelotés, sous-pesés. La voisine est entièrement nue sur son piédestal et écarte en grand ses jambes. Le décor est magnifique. J'arrête mon broute minou pendant cet instant, ce qui contrarie Rébecca. Je reprends mon travail tout en jetant un coup d'œil plus loin. Ma voisine se penche sur le côté pour saisir un objet long, obligeant ses obus à rouler sur son thorax et tomber sous son nez. Je devine que l'objet en question est un concombre bien en forme et qu'elle va s'en servir pour un usage très personnel. Ceci n'a rien de culinaire, et pourtant elle va m'en donner la recette pour une bandaison d'enfer.

     Elle commence un va et vient langoureux en tournant le légume dans son vagin d'une main ; et puis de l'autre, elle malaxe un de ses gros seins qui se balade de part et d'autre de son corps et de son bras. Encore une fois, ils paraissent très lourds car elle a du mal à porter son sein à sa bouche et tête enfin le bout tout dur de ses mamelles, deux gros tétons qui s'érigent à leur sommet. Ca me fait triquer encore plus d'autant qu'elle enfonce de plus en plus son objet sexuel. Puis elle penche sa tête en arrière, les jambes raidies par l'orgasme qu'elle va atteindre. Je n'en crois pas mes yeux, elle vient de fourrer entièrement le concombre dans son vagin. Sa poitrine a pris du volume, tellement elle est serrée sous sa main, et du lait s'en échappe quelquefois par giclée.

     Du coup, je ne peux plus tenir. Je me relève avant que Rébecca soit inondé par le fluide visqueux. Nous sommes tous les deux face à face et j'enfonce mon piquet en elle. Elle se laisse aller par l'effluve sensuelle et sexuelle qui la transcende. J'essaie de me retenir le plus longtemps possible. C'est alors que je vois la pulpeuse blonde se foutre de l'huile solaire comme si la bouteille était un pénis et fais sortir le liquide par à-coup sur ses nibards. Elle étale le tout et se les malaxe tout en continuant son jeu. Elle vide la bouteille d'un coup et le liquide asperge la femme de la tête aux seins avec par endroits de grosses flaques bien dégoulinantes.

     C'en est trop, je lâche la sauce en Rébecca. Je suis pris d'un sauvage élan et tout le sperme se jette par grosses giclées dans les profondeurs de son vagin. Tout est inondé jusqu'aux ovaires et le surplus ressort sous pression de mon ex, littéralement tétanisée. Nous avons du foutre plein les jambes et je continue à éjaculer comme un dingue de ma trique géante. Un bon litre de sperme se retrouve sur le sol et sur nous, pour la plus grande joie de ma voisine qui ressort son concombre toute huilée.

     Rébecca est aux anges. Elle vient de s'exploser le vagin avec le plus gros pénis qu'elle n'a jamais possédé, un énorme membre qui reste raide de plaisir. Ce que je vois entre mes jambes me paraît hors du commun, démesuré... Quarante centimètres de pur bonheur, au moins ! Bref, j'en suis content et épuisé. Nous venons de passer toute l'après-midi à s'envoyer en l'air comme des bêtes, le soir arrive. Je commence à m'endormir avec ma compagne dans le sperme gluant dans le salon. J'attends un lendemain encore plus radieux qu'aujourd'hui. Et tout d'un coup...

     J'ouvre les yeux. Il fait encore nuit. Je parcoure des yeux ma chambre éclairée par les réverbères.
     "Ce n'était qu'un rêve!" Et comme tous mes rêves, je ne m'en souviens plus du tout...

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