Je m’appelle Bernard, j’ai 36 ans et je suis
actuellement en recherche d’emploi. Je suis marié depuis
10 ans et j’ai deux enfants. Je suis d’origine Corse et
j’ai le sang très chaud. J’ai tout le temps envie de faire
l’amour et je ne peux pas résister au charme féminin. Il
m’arrive de temps en temps d’avoir une partie de jambes
en l’air extra conjugale sans que ma femme, très jalouse,
soit au courant. J’ai un problème, c’est que j’ai tout le
temps envie de baiser, quel que soit, l’heure ou le lieu.
Et quand je baise avec une autre femme que la mienne, j’adore
être dominateur et j’exige d’elle tout ce qui me passe par
la tête.
Il y a environ 2 ans et demi,
j’étais commercial dans une entreprise de l’agglomération
Lyonnaise et je vais vous raconter l’aventure qui m’est
arrivé avec la Directrice Financière de cette société. Elle
s’appelle Joëlle. C’est une jeune femme de 30 ans, marié.
Elle est brune aux yeux noisettes, avec une jolie petite
poitrine et une paire de fesses à réveiller un mort ! !
!
Dans la boîte, un bon nombre
d’hommes bandent pour elle, et je vous avoue que la première
fois que je l’ai vue, je me suis dit, cette fille, il faut
que je me la tape.
Vu ma fonction de commercial,
j’ai souvent à faire à mon DAF, et plusieurs fois j’ai fait
des allusions à mon esprit libéré, et que, même si j’étais
marié, une petite aventure par-ci ou par-là, ne me dérangeait
pas. Je n’avais jamais aucune réaction, mais cependant,
elle ne paraissait pas choqué.
Et puis un jour, j’ai eu
un déclic. Je mangeais à midi avec des collègues de travail,
et dans le même restaurant, elle déjeunait aussi avec des
amies. Pendant le repas, elle n’arrêtait pas de ma jeter
des coups d’œil et plusieurs fois elle e répondu à mes sourires.
Je me suis dit que cette fois elle était à moi et à la prochaine
occasion je tentais ma chance. Le lendemain matin, je lui
propose de déjeuner ensemble. Elle hésita et accepta finalement
mon acceptation. Le repas calma complètement mes ardeurs.
Elle m’avoua ne pas comprendre qu’on puisse tromper son
conjoint et lorsqu’on est amoureux, il n’y avait aucune
raison d’aller voir ailleurs, même juste pour du plaisir.
Le repas se finit finalement sur divers sujet d’ordre professionnel.
Mais je ne m’avoua pas vaincu et j’adore les challenges....
Je continua le forcing pendant
plusieurs semaines en lui administrant sans cesse des compliments
sur sa coupe de cheveux, sur sa façon de s’habiller,...
Et enfin, un jour ou on alla déjeuner de nouveau ensemble,
j’ai pris la décision de tout tenter ou d’aller au clash.
Il faisait chaud ce jour là et elle était vêtue d’un chemisier
blanc et d’une robe noire arrivant juste en dessous du genou.
On venait de prendre sa voiture et je lui ai mis la main
sur sa jambe.
- Bernard, arrêtes ça s’il
te plaît !
- Tu n’aimes pas ?
- Non !
J’enleva donc ma main, mais
ce ne fut que partie remise car moins de 5 minutes après,
je repose ma main sur sa jambe.
- Bernard !
- Laisse toi faire...
- Non ! Je ne veux pas !
Mais tu es devenu fou !!!
Le repas se déroula plus
vite que prévu, un sandwich et retour au bureau... Cette
fois, j’avais été trop loin et je pensai que c’en était
fini. Mais il ne faut jamais perdre espoir... Au lieu que
notre relation professionnelle devienne tendu suite à cet
épisode, ni elle, ni moi n’avons jamais parlé ou de cette
histoire. Le train-train habituel reprenait ses habitudes.
Et puis un vendredi soir, au moment de partir, et en se
demandant comment allait se dérouler le week-end, elle m’apprit
qu’elle avait une soirée entre copine dans un restaurant
dansant sur les quais de Saône. Hors je connaissais très
bien cette boîte, y étant déjà aller plusieurs fois.
Le soir même, après une très
longue hésitation, je me décide àaller la rejoindre. J’ai
dit à ma femme que j’allais manger avec l’un des dirigeants
de la société dont je vendais le produit et que je risquerai
de rentrer assez tard...
Je suis arrivé au club vers
minuit et demi avec un ami. Quand Joëlle m’a vu, elle s
‘est senti tout de suite gênée. Nos regards n’ont cessé
de se croiser, et au bout d’un moment je me suis mis à la
fixer. Elle a soutenu mon regard en souriant et en se déhanchant
sur la piste de danse. J’avais l’impression qu’elle ne dansait
plus que pour moi et avait oublié ses copines. Mais vu mes
précédents échecs, j’étais un peu méfiant...
Quand les slows sont arrivés,
je me suis dirigé vers elle, sans parler, je lui ai juste
tendu la main. Elle n’a pas eu le temps de réagir, et je
l’ai emmené sur la piste entre mes bras.
- Bonsoir
- Je ne m’attendais pas à
te voir ici ce soir, me dit-elle,
- Je suis venu avec un très
bon ami, on est allés manger ensemble et puis on a décidé
de sortir un peu,
Rien qu’en pensant qu’il
pouvait peut être se passer quelque chose entre nous, je
me suis mis à avoir une érection. Sans délicatesse, j’ai
posé mes mains sur le haut de ses fesses. J’ai senti le
haut de sa culotte. Elle était vêtue d’une robe légère avec
de fines bretelles qui me laissait à penser qu’elle ne devait
pas avoir de soutien gorges.
Je l’ai immédiatement attiré
contre mon ventre pour qu’elle sente mon érection. J’ai
commencé à danser doucement en frottant mon sexe contre
le sien. A ma grande surprise, alors que je pensai qu’elle
allait être offusquée, elle m’a paru étrangement passive.
Je pense que le mélange de l’alcool du repas et des verres
échangés avec ses copines n’étaient pas étrangers à cet
état...
Je me suis alors penché vers
son oreille et je lui ai dit :
- Ta culotte me gêne, va
aux toilettes, retire-la et au retour tu la mettras dans
la poche de ma veste.
Elle est restée bouche bée.
J’ai alors compris qu’elle était dans un état second, et
en la regardant dans les yeux et d’un ton autoritaire je
lui ai dit « Vas-y !!! ».
Elle a regardé en direction
de ces copines qui étaient occupées à papoter entre elle
et elle s’est précipitée en direction des toilettes. Cette
fois, elle ne pouvait plus m’échapper et j’allais enfin
pouvoir réaliser un vieux fantasme...
A peine deux minutes plus
tard, je la vois revenir en ma direction et mettre dans
ma poche un bout de chiffon.
- Bien, lui dis-je
Nous avons repris le slow.
Au bout de quelques secondes, j’ai passé ma main sous sa
robe pour empoigner ses fesses à même la peau. Elle m’a
attiré dans un coin sombre, à l’opposé de la table de ses
amies afin que personnes ne nous voient. J’ai continué mon
mouvement sur sa chatte avec mon sexe tendu en la pressant
contre moi avec mes mains sur ses fesses. Derrière nous,
il y avait une table dans le noir avec deux hommes assis
entrain de boire un verre. Vu les yeux qu’ils faisaient,
ils devaient apprécier le spectacle et devaient avoir une
vue imprenable sur son cul... Je l’ai alors senti vibrer
de tout son corps. Elle venait d’avoir en orgasme entre
mes bras. Je l’ai alors embrassé dans le coup, et je l’ai
entraînée avec moi en direction des toilettes. A peine entré,
j’ai ouvert mon pantalon pour faire jaillir ma bite et je
lui ai dit : « Maintenant tu vas me sucer à fond ! »
Je me suis assis sur le siège
et après une petite hésitation elle s’est penchée pour avaler
mon sexe. Ca faisait plusieurs mois que j’attendais ce moment
là et en à peine une demi-heure j’avais enfin réussi ce
que je n’arrivai pas à avoir depuis un bon moment. Je n’ai
pas résisté bien longtemps à son va et viens tant j’étais
excité par la situation. Je lui ai caressé un peu le sexe
en lui introduisant deux doigts dans la chatte. Au moment
ou j’ai joui, je lui ai tenu la tête pour la forcer à tout
avaler. Quand on est sorti des toilettes, elle a du avoir
la honte de sa vie, car mon copain m’attendait juste devant
l’entrer avec un petit sourire au coin des lèvres. Je lui
ai dit :
- Viens, on s’en va !
- Mais je ne peux pas, je
suis avec des copines...
- Je m’en fous, dis-leur
que tu es fatiguée et que tu vas rentrer te coucher...
Elle alla chercher son sac
et deux minutes après je l’ai retrouvée devant la sortie.
Je l’ai emmené sur le parking des quais. J’étais au sous-sol
et vu l’heure il ne restait plus beaucoup de voiture. Arrivé
à la mienne, je l’ai retournée et ai plaqué ses seins sur
la portière avant d’écarter ses jambes. J’ai relevé sa robe
au-dessus de ses fesses et je l’ai prise debout contre la
voiture sans aucun préambule. Je l’ai prise plusieurs fois
à grand coup en la faisant plusieurs fois hurler. Mais cela
ne me suffisait pas. J’ouvre la portière de la voiture,
la fait mettre à quatre pattes sur le siège arrière et je
m’introduis dans son étroit vagin. Je commence des allers
et retours brusques et saccadés. Je lui attrape les cheveux
et commence à lui tirer. Je lui bouge la tête sans ménagement.
De mon autre main, je lui serre gentiment le coup afin qu’elle
comprenne qui est le maître. Je lâche ses cheveux et lui
introduis deux doigts dans sa bouche pour qu’elles les sucent.
Je poursuis mon entreprise
et pour bien lui faire voir que c’est moi qui domine, je
lui tiens les épaules, la tire en arrière en l’obligeant
à se cambrer au maximum. Je prends un de ses bras que je
replis dans son dos. Elle est comme une poupée qui se laisse
aller. Je choppe des seins que je malaxe comme un fou. J’en
connais plus d’un qui aimerait être à ma place…
Je décide de changer de place.
Je lui place la tête sur le siège arrière de façon à ce
que son cul soit bien relevé devant moi. Je prends mon sexe
dans ma main droite et je lui rentre dans son vagin, puis
je ressors entièrement, comme dans les films… Je recommence
trois, quatre fois et je lui grimpe dessus comme un petit
chien et j’accélère. Je veux que cette position représente
pour elle la soumission totale. Je la bouge comme une brute.
Je sens que je vais bientôt exploser. Je me retire et jouis
sur ses fesses.
Je la retourne pour pouvoir
l’embrasser, mais elle n’a pas voulu. Elle me dit qu’elle
voulait partir, rentrer chez elle et qu’on oublie ce qui
venait de se passer. Je n’ai rein eu le temps de dire et
elle s’est échappée.
Le lundi matin, elle m’a
dit bonjour comme tous les jours, comme s’il ne s’était
jamais rien passé. Mais je sentais qu’elle m’évitait. Plusieurs
fois j’ai voulu lui parler car j’avais encore envie d’elle
et surtout passer une nuit entière avec elle. Mais elle
m’évitait et notre relation devenait de plus en plus tendu.
Même nos relations de travail allaient au clash. Mais ce
qu’elle ne savait pas encore c’est que lors de notre soirée
mon copain nous avait pris en photos sur le parking et que
j’allais devoir les utiliser pour arriver à mes fins...
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