L’aventure que je vais vous raconter s’est passée
il y a maintenant 6 mois.
Si les détails sont nombreux
et précis c’est sans doute par ce que cette aventure a changé
ma vie et que je l’ai rapidement retranscrite pour pouvoir
m’en souvenir. Et aussi par déformation professionnelle
de scientifique…
Je
suis Françoise, professeur en Faculté, 38 ans, blonde aux
yeux verts, 1.55 m pour 42 kg TP 95 C pour les amateurs
de silhouette. Chaque année, un Congrès de Pharmacologie
a lieu quelque part dans le monde et cette année, les responsables
ont choisi de nous faire travailler dans un pays chaud.
Autant faire coïncider l’agréable
avec le travail. Une semaine de travail pour bien se changer
les idées.
Les idées, en ce moment, elles
sont grises.
Mon mari a été victime de
ce que nous appelons un AVC, accident vasculaire cérébral
à 45 ans. Un vaisseau qui pète dans le cerveau. En fonction
de la taille de la veine et de sa localisation, on en meurt
ou on en reste très diminué. Lui, il a survécu. La moitié
du corps engourdie et paralysée. Depuis 6 mois, il progresse
beaucoup, il a repris le dessus et s’il a recouvré la parole,
il est toujours dans un fauteuil roulant depuis bientôt
18 mois… 18 mois de courage pour nous deux, pendant lesquels
j’ai du faire face à mon travail d’enseignante en Pharmacologie
Dynamique aux étudiants de 5 ème année de la Faculté de
Médecine, plus la « paillasse » l’après midi. Mais bon,
il ne faut pas se plaindre, le plus dur est pour lui.
Bien évidemment, toute vie
sexuelle est impossible et si pendant les 3 premiers mois,
je n’ai eu plus aucune libido, il m’est arrivé, depuis qu’il
est rentré à la maison en hospitalisation à domicile d’avoir
envie d’un câlin. Je me suis caressée furtivement, en cachette,
avec un immense sentiment de culpabilité. Certes, dans mes
pensées érotiques, je faisais l’amour avec mon mari, mais
comment pouvais-je me donner du plaisir quand lui ne pouvait
plus rien faire, à quelques mètres de moi, dans la pièce
d’à côté ?
Mon mari, brillant chercheur
en thermodynamique, est un homme à l’esprit ouvert et quand
il a pu communiquer un peu avec moi, m’a fait savoir qu’il
ne fallait pas que je renonce à ma vie sexuelle sinon à
ma vie de femme. Il m’a dit immensément regretter ne plus
pouvoir me prouver son amour et par-là me donner du plaisir.
« Tu es trop jeune pour ne plus avoir de relations sexuelles.
Il m’a encouragée à me caresser. Tout d’abord, je me suis
caressée dans la chambre, lui restant dans la pénombre,
pour m’éviter le poids de son regard, mais je n’y arrivais
pas. Il m a ensuite proposé de m’acheter un godemiché car
c’était surtout la pénétration qui me manquait. Mais je
n’ai jamais osé franchir le seuil d’un sex-shop. Je me suis
donc caressée enfin devant lui et je suis arrivée à me procurer
quelques miettes de plaisir arrachées à la vie quand celle
ci n’est plus un long fleuve tranquille…
Bref, j’avais besoin de dépaysement
au bout de ces 18 mois de soins constants et d’angoisse.
J’ai pu faire coïncider mon Congrès avec un séjour en Clinique
de rééducation pour Jean où il réapprendrait à se lever,
voire à marcher… Il m’a assurée qu’il n’avait pas besoin
de son infirmière adorée -sa petite femme- et que je devais
me changer les idées. J’ai bien reconnu là son courage et
c’était vrai qu’il avait raison. J’avais besoin de penser
un peu à moi et cesser de faire l’infirmière 10 heures par
nuit.
Donc, un aller en avion pour
Paris ou j’ai retrouvé des collègues de ma Fac mais aussi
de la France entière et c’est dans un groupe de 150 enseignants
que je me suis fondue pour prendre un premier avion pour
Madrid puis un second pour Dakar. Vols fatigants mais, on
en profite pour papoter entre nous de choses et d’autres,
que ça soit professionnel ou des choses anodines.
Première demi-journée libre
pour récupérer et défaire les valises, voire se reposer
un peu. La piscine de la résidence est juste en bas de mon
bungalow. Une douche, et une tête. Quel bonheur, ne penser
à rien, même pas à soi. Bonne nageuse, je fais des longueurs
en apnée, je me régale sentir cette eau à 27 ° C s’insinuer
en moi. Je sors d’un bond, et m’effondre dans une chaise
longue, encore ruisselante. Comme souvent après ce genre
d’exercice un peu violent, je me laisse aller et je m’assoupis
un peu. J’ouvre les yeux quand j’entends des pas qui se
rapprochent de moi.
C’est Charles, un collègue
de Paris, qui, au courant de mon célibat forcé, vient pointer
son museau…ou sa truffe ou sa queue…La chasse est ouverte
et ça n’a pas été long…..
- J’ai su pour ton mari…
C’est pour ça que vous n’êtes pas venu l’année dernière….
- On ne peut rien te cacher…
- Alors, comme ça, seule et
abandonnée, me fait il avec un sourire qui se voudrait Gibbs….
- Seule, mais pas abandonnée
Il se permet une main aventureuse
sur mon épaule et entame un couplet qu’il m’avait déjà servi
il y a 15 ans quand nous étions étudiants.
- Ah, la solitude, ça n’existe
pas et si tu savais que moi-même, je ………
- Ecoutes Charles, t’es gentil,
tu es marié avec une bonne copine, je suis mariée et loin
de moi toute pensée d’avoir une aventure avec toi, alors
t’es gentil, tu me lâches.
La tronche !!! Il se relève
rapidement. C’est le râteau express de 18 h 45.
- Bon, je vois que ta parano
ne s’est pas calmée. On se voit demain au Congrès ?
- C’est ça. A demain Charles.
Et bien le bonjour à Marie Christine. »
Deux
jours de cours sur les nouvelles techniques enzymatiques
de séparations et de différenciations moléculaires. Enfin
deux matinées. Les après-midi, je les passe au bord de la
piscine avec Laurence, collègue basée A à Nantes, divorcée
depuis deux ans. Lassée des infidélités masculines, elle
a décidé de consommer du mâle sans se fixer. Nos conversations
sont souvent inavouables et nous piquons des fous rires
comme des gamines.
Nous consommons des cocktails
que nous nous faisons apporter soit au bord de la piscine,
soit au bord de la plage. Le grand truc, c’est d’emmener
les chaises de l’hôtel dans l’eau et de papoter en regardant
passer les gens, comme aux terrasses de cafés des grandes
villes. L’eau à 28 ° C est délicieusement bonne. Nous enlevons
le haut du maillot et les Noirs n’ont pas l’air affolés
des mœurs européennes. Entre femmes, nous en profitons pour
dire du mal des mâles français qui, mariés ou pas se jettent
sur la première proie, mariée ou pas… Dans nos champs de
vision passent les Sénégalais, garçons ou filles qui sont
très bien fichus. Des cuisses, des pectoraux, des poitrines
insolentes…
- Il y en a quelques-uns
que je prendrais bien pour mon dessert, me souffle Laurence
en voyant de loin s’approcher un superbe Noir.
C’est le serveur de l’hôtel,
pour le côté plage. Il s’arrête face à nous et d’un grand
sourire me lance :
- Que prendra mon professeur
?
- Pardon ?
- Madame mon professeur, je
vous demande si vous désirez boire quelque chose.
- Pourquoi m’appelez-vous
comme ça, nous sommes 150 ainsi ?
- Mais par ce que vous êtes
mon prof à la Fac de Marseille. 5 ème année.
- Vous…. Vous… êtes mon élève
?
- Oui, avec 125 autres.
Le bol !!! C’est tout moi
ça ! 3 500 km et je me retrouve dépoitraillée devant un
de mes étudiants.
- Excusez-moi, c’est pour
ça que je ne vous ai pas remis.
- Sans importance et puis
je sais que pour vous autres Blancs, ajoute t’il avec un
grand sourire, tous les Noirs se ressemblent.
- Non non, ça n’est pas ça,
mais que faites-vous ici, demande-je stupidement
- Je suis chez moi et je paie
une partie de mes études en travaillant ici, avec mon oncle
au Bar.
- Oh je vois. Eh bien, je
suis ravie de vous savoir ici Monsieur …Monsieur….
- Oh pas de Monsieur. Ici,
pour tout le monde, c’est Barthélemy
Je me sens stupide, là devant
lui, les seins à l’air, les jambes écartées dans l’eau.
Laurence intervient.
- Alors Barthélemy, si vous
voulez bien nous servir, vous pouvez nous mettre ce que
vous voulez. Pour deux.
Elle le regarde d’un air équivoque.
Barthélemy hésite devant ce
double langage. Il ne sait sur quel mode il doit répondre.
- Ce que je v…..
Je regarde Laurence. Elle
semble très sérieuse et continue, imperturbable.
- C’est vous le spécialiste.
On vous laisse décider ce qui peut être bon pour nous. 2
femmes seules qui ont soif de tout.
Il répond du tac au tac
- Oh Madame, le choix est
bien difficile, mais je tenterais de vous contenter toutes
les deux et pour le mieux. Je crois que je vais vous trouver
quelque chose qui vous plaira.
Il s’en retourne vers le bar.
J’apostrophe Laurence.
- T’es complètement folle
de le brancher comme ça !
- Moi ? Mais je n’ai rien
fait !!!! s’amuse t elle
- Tu rigoles, tu lui dis de
nous mettre ce qu’il veut …….
- T’as pas vu comment il nous
matait tout à l’heure quand on se mettait de la crème sur
la poitrine? Ca fait 3 fois qu’il vient à côté de nous,
ranger des chaises qui sont là depuis deux jours…Pour une
fois qu’on sait sur quoi on peut tomber. Tu sais, les hommes,
c’est comme la neige, on sait jamais combien de cm on va
avoir et combien de temps ça va tenir…..
- Alors que là ????….
- Là, ma fille, c’est pas
de la neige, c’est de l’ébène. Brut de brut. Rien que du
bon. Ecoute, entre un collègue blanc de 45 balais, bedonnant,
perdant ses cheveux, marié et qui va essayer me tirer comme
un lapin en me gueulant si je la sens bien sa petite frite,
un jeune black bien fait, beau et costaud sous tous rapports,
le choix est vite fait… Et moi je te dis, qu’il est mignon
et qu’en plus il a l’air d’avoir un sacré paquet.
- Qu’est ce que tu en sais
?
- Avant d’épouser Jacques,
j’ai eu une autre vie. Des expériences de couleurs, si on
peut dire, en parlant de noir…..
- Tu rigoles ?
- Oh que non, et crois-moi,
toute femme blanche devrait passer par-là, si tant est qu’elle
aime le sexe.
- A ce point ?
- Ma fille, dit-elle d’un
air sentencieux, tu peux pas savoir comme ils ont envie
d’être à la hauteur de leur réputation, comme ils aiment
la chair blanche, et …… comme leur queue est longue et dure,
finit-elle en pouffant, heureuse de sa chute.
- Ils ne sont sans doute pas
tous comme ça.
- Pas un pour rabaisser l’autre
! Et puis t’as vu comme il nous matait. Ma fille, on a le
ticket ! Eh bien à toi de regarder. Vise le paquet qu’il
a dans son bermuda et sans effort…
Elle a à peine le temps de
finir sa phrase que Barthélemy est de retour, les yeux effectivement
rivés sur ses seins. Un grand sourire Banania illumine son
visage.
- J’espère que vous allez
vous régaler, mesdames. C’est ma spécialité.
- J’espère que c’est pas la
seule …
- J’aimerais vous faire connaître
d’autres spécialités du Sénégal
- Qui sont ……???
- Très spéciales ……, mais
après mon service, vers 22 h
- Vous nous mettez l’eau à
la bouche … Dites en plus.
- Des cocktails plus corsés,
de la danse de chez nous, mais j’y pense, pour les cocktails,
venez plutôt, disons vers 21 heures. Je vous offrirai ma
potion magique, comme disent les Séné gaulois.
- Les Séné quoi ???
- Les Français de souche qui
vivent depuis longtemps au Sénégal.
- Et cette potion magique
? s’enquiert Laurence
- Une surprise …. Alors, c’est
d’accord ? 21-30 h au bar.
- A ce soir Barthélemy » s’élance
Laurence.
Laurence me regarde, un air
égrillard dans les yeux.
- Ma fille ce soir, t’as le
choix. C’est ou la soirée chiante avec un laboratoire de
produits chimiques qui va essayer de nous fourguer sa came,
ou bien on va s’encanailler. Boire, danser, et plus si affinités…Ca
va me changer des connards de France et de leurs culs coincés.
La proposition est soumise au vote… Je vote pour, dit-elle
en levant ses deux bras au-dessus de sa tête, ce qui a pour
effet de vider son verre au-dessus d’elle…. Bon, j’en serais
quitte pour rappeler le beau Barthélemy
- Vraiment, t’es pas bien…
- Ecoute, j’en ai marre des
5 à 7 avec des stressés, des paumés, des cas sociaux, des
mecs qui sont persuadés que le maximum de l’érotisme consiste
à te mâchonner le lobe de l’oreille, après t’avoir bidouillé
le clito 30 secondes. Quand ils le trouvent ! Quand ils
y pensent ou pire s’ils savent ce que c’est et où ! J’ai
envie de faire l’amour et qu’on me fasse l’amour. Point
barre. Exister en tant que femme. Ni plus, ni moins.
- Ah l’amour toujours, la
Femme avec un grand F, l’Homme avec un grand H …
L’amour surtout, me coupe
t elle, l’Amour avec un grand Q mais je préfère l’homme
avec un gros sexe…
- Tu as sans doute raison.
- Un peu que j’ai raison.
Pas de crétin qui va me coller, pas de jaloux, pas ou peu
de sentiment et puis surtout, beaucoup mais alors vraiment
beaucoup….. ».
Elle laisse sa phrase en suspens
- Oui ?
- Surtout beaucoup de sexe….En
quantité, en longueur et en largeur en couleur.
Je m’amuse de son excitation
exagérée.
- Je vais surtout croire que
son cocktail ou le peu que tu en as bu te monte à la tête.
- Pas du tout, Docteur, rien
ne m’est monté à la tête. Tout est descendu directement
là, dit-elle en me désignant l’emplacement de ses ovaires
sur son maillot.
Tu sais, ça va faire 6 mois
que je ne suis pas éclatée ou plutôt qu’on ne m’a pas éclatée…
(Se reprenant soudain). Ma pauvre chérie, je suis idiote
de me plaindre quand toi ….
- C’est vrai que depuis quelques
temps, je ne suis pas à la fête
- Ecoute, ce soir, on s’amuse.
On fait les folles et advienne que pourra !
- En attendant ce programme
intéressant, je rentre prendre une douche et puis je vais
téléphoner après le repas à Jean. 20 h au bar ? OK ?
- Ca marche.
19 h 30 Après une bonne douche
presque froide pour me débarrasser de l’eau sablonneuse
de l’Océan et tenter de chasser les idées coquines infiltrées
dans ma tête. Décidément cette Laurence, quel numéro !
En parlant de numéro, le portable
passe mal et je me dirige vers la réception pour avoir un
téléphone filaire.
Une superbe sénégalaise me
dit avec un sourire éclatant d’au moins 50 dents que je
serai plus au frais au téléphone de la piscine.
Effectivement, une petite
brise du soleil couchant évapore les petites gouttes de
sueur et laisse une agréable sensation de fraîcheur.
J’arrive à avoir Jean au bout
du fil. Il s’est habitué à son nouveau séjour. Il a fait
quelques progrès et m’enjoint de bien me reposer.
- Que fais-tu ce soir ? Demande
t il.
- Je mange avec Laurence et
on va boire ensuite un verre avec des amis éludé-je.
- Il y aura des hommes avec
vous ?
- Pourquoi me demandes tu
ça ?
- Profites en bien mon doux
amour, amuse-toi et pense à toi. Tu t’es bien occupée de
moi, pense à toi.
- Tu sais, ça ne sera pas
une soirée extraordinaire. » Il doit sentir que je mens
mal.
- Vas danser, amuse-toi mais
« Save the last dance for me ».
- Tu veux dire ?
- Profite de la vie, j’ai
confiance en toi, tu sais comme ça va m’aider. Défoule-toi,
prends du plaisir, je ne serai pas jaloux.
- Tu es gentil. Je t’aime.
A très bientôt.
- Bonne nuit mon amour.
A peine raccroché, je sens
une douce main se poser sur mon épaule, je me retourne,
Laurence est là, superbe. Robe à volets, fendue jusqu’en
haut des cuisses, un décolleté verti-gi-neux mettant en
valeur sa belle poitrine, sans sous tif, un maquillage de
la reine de Sabbat.
- Alors, dit-elle, la nuit
est à nous ?
- Oui, j’ai même la permission
de minuit de Jean. Il va bien et insiste pour que je m’amuse
tout plein.
Je reconnais bien là sa grandeur
d’âme.
Barthélemy est là derrière
son comptoir.
- Que puis-je vous servir
?
- Faites-nous le plein, en
lançant un regard égrillard à faire bander un aveugle.
- Alors un Spatial pour tout
le monde. C’est moi qui offre.
- Qu’est ce ?
- Bois bandé, rhum, Cola,
Ginseng, zestes de citron et glace pilée.
- Whaouh !!! C’est pas ce
qu’on met dans les moteurs d’avion ?
- Non-Madame, dans les boosters
des lanceurs de la navette spatiale…Mais ils ont arrêté,
ça faisait des trous dans les réservoirs… Maintenant, c’est
devenu la boisson nationale du village…
- Allez, on essaie
La boisson est délicieuse,
la tête me tourne un peu.
La musique est envoûtante
et Laurence s’est mise à onduler sur la piste en me défiant
du regard. Elle est rapidement entreprise par 1 Blanc et
3 ou 4 Sénégalais.
C’est bientôt l’inévitable
salsa et les chansons de la Compagnie Créole. Barthélemy
me sourit et me propose d’aller la rejoindre sur la piste.
- Mon service est fini. Je
suis libre et …disponible.
- Avec plaisir.
Pendant ce temps, Laurence
a pratiquement disparu sous les mâles sénégalais qui le
serrent de près. Elle est à son affaire en ondulant des
hanches. Elle retourne au bar reprendre un autre verre suivi
du regard brûlant de 4 ou 5 hommes et retourne sur la piste
en entendant la musique d’un Collé Serré. Un grand mâle
s’empare d’elle et ils miment pratiquement l’amour sur scène.
Ses cuisses fuselées dépassent de sa robe de gitane, ses
seins semblent prêts à sauter directement dans les mains
envieuses de ses partenaires de danse.
Barthélemy se plante face
à moi et nous dansons ainsi quelques danses un peu chaudes.
Est ce l’effet de sa potion magique, le comportement de
Laurence, l’attrait de ce beau garçon, mais j’ai l’impression
de voler, d’être désirable. J’ai de plus en plus envie de
m’amuser. Pourtant, une petite voix me dit »que fais-tu
là, avec ce garçon qui a 10 ans de moins que toi ? »
Pourtant, je danse comme
une folle, je suis heureuse. D’être une femme désirée et
qui danse sous les regards de ces hommes qu’on devine avides
de femmes. Les Sénégalaises ne sont pas en reste, un couple
est en train de mimer l’acte d’amour devant nous, à quelques
mètres de nous.
Barthélemy est très prévenant,
me souriant sans cesse, mimant sa danse sur la mienne. Il
ondule des hanches en me fixant dans les yeux. Je vois son
torse puissant sous sa chemise entrouverte et les fameuses
tablettes de chocolat qui sont vraiment chocolat… Il a la
grâce et l’agilité d’un félin. En plus, il est loin d’être
vilain, ce coquin. M’est avis qu’il ferait bien connaissance
avec moi un peu plus…. Si affinités. La tête me tourne un
peu et je retourne m’asseoir au bar. Il me rejoint bientôt,
escorté de Laurence et d’un mâle dominant qui la tient par
les hanches. Barthélemy propose de reprendre la même boisson.
C ‘est vrai que c’est délicieux.
- Ca n’est pas raisonnable,
mais je crois que je vais faire une entorse à mon régime.
- T’as raison, glousse Laurence,
c’est bon pour ce qu’on a
- Djombe, sers-nous, dit Barthélemy.
Il se tourne vers moi.
- Redis moi ce qu’il y a dans
ton truc demande Laurence
- Surtout du Bois Bandé. Ca
donne de la vigueur aux hommes et aux femmes l’envie de
faire l’amour.
- T’as raison, lui répond-elle,
en ce qui me concerne, ça marche bien. Et puis, on va arrêter
de se faire des « tu » longs comme le bras. Ce sois, on
s’amuse et on fait sauter les protocoles.
- D’accord, m’entends-je lui
répondre. Barthélemy, sers-moi un grand verre avec des glaçons.
- Tu es sur que c’est raisonnable,
me demande t il en me souriant
- Ce soir, la prof laisse
la place à la femme.
Barthélemy se met à côté de
moi et hasarde une main sur mon genou. Je la repousse doucement.
La salle est pleine de confrères trop heureux de surveiller
mes faits et gestes.
- Viens plutôt danser lui
souris-je maintenant que la musique est plus calme.
L’habituel « Only you » sort
des haut-parleurs. Il se colle à moi. Comme je suis petite
face à lui. Il colle ses grandes mains sur le bas de mon
dos et nous entamons un slow. Laurence nous a rejoins sur
la piste avec son partenaire.
Nous nous croisons au rythme
du tempo. Barthélemy plaque insensiblement ses mains sur
mes fesses, profitant de l’obscurité et m’attire vers lui.
Je suis soudain gênée par quelque chose d’inhabituel, comme
un caillou dans une chaussure. Je mets quelques secondes
à réaliser que c’est son sexe qui nous sépare…. Un truc
incroyable de volume et de dureté. Il est placé entre mon
nombril et mes seins. J’ai un premier mouvement de recul
mais il me tient fermement par les fesses et je ne puis
me dérober à cette pression intime. La sensation remonte
de mon ventre à mon cœur puis à mon cerveau en une fraction
de seconde et redescend à mon bas ventre aussitôt. Une envie
de faire l’amour m’embrase.
Je ne sais où regarder, n’osant
pas soutenir son regard. En tournant la tête, je vois que
la même scène avec Laurence se déroule à côté de nous, mais
que Laurence a carrément glissé ses cuisses entre celles
de son partenaire et mit ses mains sous son tee-shirt. Elle
lui caresse doucement la peau du dos pendant que son cavalier
a les yeux rivés dans son décolleté. Par prévenance, il
ne lui a pas sorti les seins de sa robe, mais ça n’est certainement
pas l’envie qui lui manque. A elle aussi… Je pose la joue
sur la poitrine trempée de sueur de Barthélemy et je me
surprends à aimer ça. Maintenant, je me colle à mon tour
contre lui, et me laisse aller. Il descend une des ses mains
le long de mes cuisses et commence à vouloir me caresser
les hanches. Cette sensation m’électrise et je sens que
je commence à lubrifier. J’ai envie de ce mec et mon petit
corps le réclame.. J’ai envie de l’embrasser et même de
faire l’amour avec lui sur la scène, devant mes collègues
horrifiés. J’ai peur de ne pas me contrôler. J’arrête la
progression de sa main et lui souffle.
- Non, attends, pas ici.
- Viens, me dit il en se séparant
de moi.
Je regrette presque qu’il
ne me prenne pas par la main. Il s’adresse à Jérémie, le
partenaire de danse de Laurence et revient vers moi.
- Si tu veux, on peut se retrouver
dans la chambre de mon collègue qui lui aussi travaille
pour l’hôtel. Avec lui, nous partons en avance et Laurence
et toi, nous rejoignez dans 10 mn. Je le regarde sans savoir
quoi lui répondre. J’ai envie de cette folie. J’hésite un
peu et les mots ne sortent pas. Laurence répond à ma place.
- Ca marche. Ou est-elle
cette chambre ?
- Derrière le bar, au fond,
près de la guérite de sécurité. On vous attend.
Je regarde Laurence qui semble
si sûre d’elle. Les garçons s’en vont dans l’obscurité.
- Je me sens comme une pile
électrique m’assure t elle. Allez hop, on va dire bonsoir
a quelques vieilles barbes et on les rejoint. Moi ce Bois-Bandé-Ginseng-Rhum
m’a donné une envie ……… Je te dis que ça. Il est pas mal
le mien et en plus, il a l’air monté comme un âne. Il n'arrêtait
pas de se frotter en dansant. Je sais pas comment il a pas
joui pendant les slows. Ca m’a mise dans un état….
- Tu crois que c’est raisonnable
? Demandé-je tout en connaissant la réponse et en sachant
de ce que j’ai envie.
- T’en as autant envie que
moi, qu’eux et y a pas de mal à se faire du bien. Allez
Hop ! Jean t’a donné sa bénédiction ou non ? Il a envie
que tu t’amuses et tu ne le tromperas pas avec une aventure
sans lendemain. En route, mauvaise troupe !!
- Je ne sais pas, je ne sais
plus. J’ai besoin de téléphoner à Jean.
- T’es folle !!!
- Non, j’ai besoin de savoir……
- Quoi… ???
- Ce qu’il m’a dit tout à
l’heure, son « Save the last danse for me ».
Je retourne au bar pour téléphoner
à Jean. Il ne dort pas.
- Mon amour, tout à l’heure,
tu m’as dit « Save the last dance for me ». Tu peux m’éclairer
un peu ?
- Ma Chérie, tu es sûrement
entourée de jeunes gens qui ne pensent qu’à vivre la vie
et à en profiter. Fais de même. La vie est trop courte.
Amuse –toi. Dieu sait ce que nous avons vécu ces derniers
mois. Je te le redis, je ne serai jamais jaloux de ton bonheur…
- Tu es trop généreux.
- Non, c’est toi, toi qui
m’a aidé à survivre pendant cette rééducation, mais je te
jure bien que tu ne perds rien pour attendre. Je fais de
gros progrès et j’ai hâte de te faire l’amour. Et ça sera
merveilleux. Amuse toi et Save the last….
- Je t’aime
- Moi aussi. A très bientôt.
Je raccroche les larmes aux
yeux. Laurence m’interroge.
- Tu lui as pas dit qu’on
sortait ce soir ?
- Si !
- Et évidemment, il t’a fait
un sketch
- Et bien ma cocotte, j’ai
son feu vert. Et son aval.
Elle ouvre une bouche pareille
à la grotte de Lourdes.
- Ah ben, elle est raide,
celle-là….. Elle se reprend
- En tout cas, pas aussi que
celle de nos deux blacks » .Contente de sa plaisanterie,
elle se met à hennir…..
Nous faisons des adieux académiques
à nos collègues et après avoir emprunté le chemin du retour,
bifurquons vers la guérite de sécurité. Une seule lumière.
Ils sont là, derrière la porte.
Alea Jacta Est.
Laurence a à peine le temps
de frapper à la porte que celle-ci s’ouvre. Jérémie est
là, se rajustant, son pantalon encore à mi-genoux. Il vient
de prendre une douche. Derrière lui, Barthélemy sort de
la salle de bains, beau comme un dieu, des jambes interminables
et fuselées. Il noue en vitesse une serviette autour de
ses reins, cachant à peine un membre de fort bonne facture.
Jérémie s’empare de Laurence qui a à peine le temps de rentrer.
Il écrase ses grosses lèvres contre les siennes et l’embrasse
goulûment. Elle se cambre et frotte ainsi son ventre contre
son bassin. Barthélemy se dirige vers moi, passe ses mains
dans mes cheveux et me fait un long bisou humide dans le
cou. Je me sens défaillir. Une envie animale d’être désirée
me reprend et je me serre contre lui. Son torse glabre est
musclé. Je m’écrase contre lui, déformant mes seins sur
ses pectoraux. Il descend une main comme il l’avait fait
sur la piste de danse et recommence à me caresser les hanches.
Je me sens toute chose. J’ai envie de me fondre en lui.
Je sens une bosse énorme soulever sa serviette. Il remonte
ses mains le long de mes petites épaules et fait doucement
glisser ma robe le long de mon torse. Mes bretelles descendent
le long de mes épaules, il roule celles ci le long de mes
coudes et entreprend de faire sortis mes seins de ma robe.
Il s’empare de ceux-ci et m’embrasse longuement. Sa bouche
descend ensuite vers mes aréoles et entreprend de les sucer
l’un après l’autre. Je sens mes jambes se dérober sous moi.
A croire qu’un nerf relie directement mes seins à mon clitoris.
Je m’accroche à ses épaules
en gémissant, les yeux fermés, le visage tendu. Je sens
confusément son sexe qui se lève contre mon ventre et, ironie,
nous sépare. Sa bouche remonte à mes lèvres et il me glisse
une langue généreuse dans la bouche. Je passe mes bras autour
de son cou, en les levant bien haut. En ouvrant les yeux,
je m’aperçois que Laurence n’a pas perdu son temps. Jérémie
est allongé sur le lit de la petite chambre et Laurence
a descendu son pantalon pour se saisir d’un membre majestueux
qui est déjà en semi-érection. Elle se penche vers celui-ci
et l’embouche aussitôt, comme si elle avait fait ça toute
sa vie. Jérémie qui surveillait la manœuvre, se laisse tomber
en arrière sous la douceur de la caresse. Elle entreprend
de sucer son pénis qui augmente encore de volume. Elle l’enserre
de sa main gauche, mets sa main droite par-dessus et embouche
le gland qui dépasse. Je vois ses joues se creuser sous
la succion. Je suis terriblement excitée par le spectacle
qu’il m’offre. Je ne peux me détacher du spectacle de cette
superbe fellation. Barthélemy suit la direction de mon regard
et voit ma fascination.
- Ca te plait ?
- J’ai envie de te faire la
même chose, lui dis-je d’un souffle.
- Attends, fait-il en laissant
glisser ma robe définitivement au sol.
Il enlève également mon soutien
gorge, libérant ainsi mes seins qui me donnent l’impression
d’avoir doublé de volume. Ma culotte est trempée. Elle atterrit
entre mes chevilles. J’ai envie de voir, sentir, ressentir
son sexe. En fait, il se penche légèrement vers moi, et
me prend dans ses bras comme si je ne pesais rien. Il m’emporte
vers l’autre lit de la chambre et m’y installe délicatement.
Mes mains quittent ses épaules. Je l’embrasse à mon tour
pour le remercier de la tendresse et de l’amour qu’il va
me donner. Il se débarrasse rapidement de sa serviette.
Son sexe tendu claque contre son ventre.
Mon Dieu ! Il est monté comme
les représentations du Satyre. Son gland décalotté arrive
largement au-dessus de son nombril. Ses testicules sont
énormes et bien visibles car il est entièrement rasé, comme
son collègue. Je tends la main vers « la chose » mais il
se recule et entreprend de me caresser les cuisses avec
des gestes d’une infinie douceur. Je me cale plus confortablement
sur le lit, me doutant confusément de ce qui va m’arriver.
Il s’installe à genoux devant le lit et me suce les orteils
que j’ai si sensibles. Je veux me dégager, mais il me tient
tendrement et je ne peux me dégager. La caresse est finalement
très agréable et je me détends, me laissant emporter par
des ondes de douceur qui m’assaillent. Il écarte le compas
de mes jambes, remonte sa langue le long de mes mollets,
franchit les genoux.
Je l’attends. Ses grosses
mains me tiennent aux hanches. Sa langue remonte encore.
C’est interminable. Comme une immense soif et un temps infini
pour ouvrir une bouteille. Ses mais descendent le long de
mes jambes et les écartent. Enfin ! Son nez arrive sur mon
buisson, réduit à sa plus simple expression. Je sens la
moiteur de mon sexe. Sa respiration nasale me chatouille
le clitoris et très rapidement me stimule. Toute honte bue,
je relève la tête pour assister au spectacle de cet homme
qui n’est pas mon mari et qui entreprend de me faire une
minette. Le spectacle est à la hauteur des sensations. Il
s’est installé à genoux entre mes jambes qui pendent au
dehors du lit et sa tête est entre mes cuisses. Ses mains
vont des mes hanches à mon nombril.
Je me mets soudain à penser
que si je ne peux m’occuper de lui, je peux me caresser
les seins. Les sensations sont grisantes. Mes aréoles sont
brûlantes, mes seins fermes, comme gorgés de lait… De ma
main droite, je me caresse les seins, n’osant pas me toucher
le clitoris qu’il ignore encore superbement. Ma main gauche
s’aventure enfin sur sa tête crépue et l’entraîne vers ma
foune qu’il semble vouloir éviter. Son menton remonte et
ses grosses lèvres se posent sur les miennes. J’en défaille
presque. Je comprends maintenant pourquoi il a voulu me
faire languir !! Le coquin ! Ses mains écartent mes cuisses
et sa langue prend possession de mon vagin. Il tourne un
peu son visage, repousse ma cuisse gauche de sa joue et
réussit à entrer entièrement sa grosse langue dans mon vagin.
Il la remonte doucement, me faisant ainsi connaître des
sensations inouies. J’ai envie qu’il s’occupe de mon clito.
Lisant dans mes pensées, son pouce gauche, qu’il a humidifié
(sur son gland ?) se pose sur mon bouton d’amour.
Il a à peine le temps de
le masser que je bascule dans un orgasme terrible, une main
sur un sein, l’autre enfonçant la tête de Barthélemy sur
ma foune qu’il entreprend d’aspirer de plus en plus fort,
tout en continuant à me masser le clitoris. Sa grosse langue
si douce et pourtant râpeuse m’emplit totalement. Je me
raidis et bascule la tête en arrière, les cuisses resserrées
autour de sa tête. Il me les écarte un peu, je sens que
je pourrai le broyer. Me sentir controversée dans mes spasmes
me donne l’impression d’être violée… Je crie ma jouissance
à pleine gorge. Je sens mon cœur battre dans mon clitoris
et ai l’impression que cet orgasme ne s’arrêtera jamais.
Barthélemy m’encourage dans mon plaisir et je sens un doigt
inquisiteur me masser l’anus pendant mon plaisir. Je me
rends compte ainsi que je suis trempée. Le temps semble
s’être arrêté et je voudrais bien qu’il en soit ainsi. Plus
de 18 mois sans être touchée…
Je rouvre les yeux. Il est
toujours installé entre mes cuisses et continue de me lécher
tendrement. Je m’aperçois que Laurence et Jérémie se sont
arrêtés pendant leurs ébats pour nous regarder, enfin me
regarder jouir. Et pour cause… Je saurai plus tard que mon
hurlement de jouissance a déclenché l’éjaculation de Jérémie
qui n’était pas prévue…. Du moins pas si tôt et pas dans
ces conditions…Laurence est maculée de sperme sur le visage
et les cheveux, son rimmel a coulé. (Elle m’avouera plus
tard en pouffant qu’elle s’en était pris une rasade dans
la gorge avant de ressortir précipitamment l’objet de tous
les délits du fond de sa gorge….) Laurence est à genoux,
dépoitraillée, la robe baissée à la taille face à son amant
qui s’est relevé. Elle tient toujours à la main son membre
viril qui s’est vidé de sa substance. Sur le visage de son
amant, on peut lire le plaisir et la stupéfaction d’avoir
éjaculé aussi vite. Un fou rire nous gagne. Je lui lance
:
- Il paraît que c’est bon
pour la peau….
- Oui, eh bien comme démaquillant,
c’est pas terrible…En tout cas, ça avait l’air bien !
- Bien ?? Tu rigoles ? Dévastateur…
Un tremblement de terre ou plutôt de chair. Ca va paraître
bateau, mais je ne sais pas si j’avais jamais jouis comme
ça.
- Faut dire aussi que rester
en panne 18 mois, on fait des réserves, dit Laurence
- C’était bon pour moi aussi,
assure Jérémie, même si j’ai été le premier surpris…
- Et moi tout de suite » après
plaisante Laurence.
Je me suis relevée sur les
coudes et ma tête est maintenant proche de celle de Barthélemy.
Mon bras gauche enserre sa tête et il se rapproche de moi
pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres fines reviennent
au contact des sa grosse bouche d’africain et de sa langue
qui joue avec la mienne. J’ai l’impression qu’elle me fait
l’amour. Je me rends compte qu’il m’a donné du plaisir mais
qu’il n’a rien eu en échange. Je me bascule en arrière et
il vient sur moi. Pour ne pas être écrasée, j’écarte les
jambes et il s’installe sur moi. Je sens son membre énorme
qui bat contre ma cuisse. Cette sensation me trouble et
relance ma libido. Je me sens femme, femelle, creuse…Il
m’embrasse dans le cou. Je lui gémis de ne pas me faire
de suçon. Il déserte et attaque aussitôt mes seins gonflés
du bonheur d’être désirée. Ses grosses pattes enserrent
mon ventre qui se creuse sous leurs investigations.
- J’ai envie de toi, me lance
t il.
Je suis surprise car il a
dit ce que j’avais envie de prononcer
Il se penche vers la table
de chevet et se saisit d’une boîte de préservatifs grande
taille, commence à se débattre pour trouver rapidement le
bon sens.
- Attends, lui dis-je, c’est
moi qui vais te la poser. »
Ce disant, je me retrouve
avec cette colonne de marbre noir sous le nez. Moi qui avais
toujours redouté des odeurs un peu trop …fauve, je suis
agréablement surprise par la douceur des effluves qui émanent
de son sexe. Je me penche un peu plus et m’enhardissant,
le prends entre mes lèvres. Il pousse un gémissement de
plaisir, rejetant la tête en arrière, ses mains sur mes
épaules. C’est le plus énorme, le pli gros, le plus long
sexe que j’au jamais touché ou même vu dans les films pornos
que je regardais de temps en temps avec Jean. Je pose une
première main qui touche son pubis, la seconde au-dessus
de la première, le gland violacé dépasse encore fièrement
de quelques centimètres avec son doux capuchon roulé sagement
dessous. Il sourd du méat un liquide transparent qui aide
à la tendre masturbation qui suit immédiatement. Il abandonne
mes épaules pour se saisir de mes seins bien remplis car
je suis penchée en avant sur lui. Ses pouces jouent avec
mes tétons. J’alterne les succions profondes (quand bien
même je ne peux pas l’avaler en entier) les franches masturbations
manuelles à deux mains pour revenir avec ma bouche seule.
Je m’amuse ainsi à le décalotter à l’aide de mes seules
lèvres. Je sens que je pourrais jouis encore rien qu’à ces
simples jeux. C’est lui qui met fin à ce délicieux supplice.
En me repoussant doucement, il annonce en souriant :
- Faut arrêter, sinon, je
vais faire comme mon collègue…. »
J’ai trop envie qu’il me
mette sa queue dans le ventre(voilà que je me surprends
à penser de façon crue). Je prends la capote, l’écarte au
maximum et la pose sur son gland, la déroulant sur 5 ou
6 cm. Puis, je me penche sur son sexe, et seulement avec
les lèvres, entreprend de la dérouler sur sa magnifique
queue. Je ne peux évidemment aller jusqu’au bout, mais c’est
bon de la sentir encore grossir sous mon palais. Il a reposé
ses mains sur mes épaules. J’ai mis mes mains autour de
ses fesses. Il les serre, je sens qu’il se retient.
Il me repousse doucement
sur le dos. J’écarte les cuisses. Je l’attends. A cause
de la différence de taille, il descend beaucoup, se repose
sur les poignets, son membre à l’horizontale. Il s'avance.
Qu’est ce qu’il attend ? Pour m’embrocher. Pour me prendre.
Jusqu’aux ovaires. Jusqu’à la gorge. J’écarte au maximum
les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes.
Son bélier se rapproche et entreprend une lente reptation.
Son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs, passe
un premier obstacle de chair. Entre enfin. Je soulève mon
bassin pour mieux faciliter l’envahissement. Il pousse toujours.
Un tiers de son membre est entré.. Mes mains se posent sur
ses biceps. Pas pour le freiner. Pas pour le ralentir. Non,
mes mains sont derrière ses biceps pour l’attirer en moi.
Il entre encore et toujours. Sans difficulté majeure. Je
suis trempée. Je sens passer son gland un peu plus haut
et repousser des chairs plus intimes encore. Je relève la
tête sur l’oreiller et surveille la prise de possession.
Il ahane
- Tu es bonne, tu es bien
serrée ». Il se penche sur moi pour m’embrasser. Je tourne
la tête, gênée par ce geste trop personnel que je réserve
à mon mari. Il semble comprendre et se contente de m’embrasser
dans le cou. Ca n’est pas désagréable du tout.
Je lui réponds
- Viens ».
Il est entré de plus de la
moitié. Il avance encore son bassin, j’écarte du mieux que
je le peux mes jambes. Je sens son sexe buter conter le
col de mon utérus. C’est dingue, cette sensation de remplissage
maximale, d’être touchée dans un endroit inaccessible… Une
décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup
sous la pénétration profonde. J’écarte mes jambes encore
plus et les détends. Il sent ma jouissance et entame une
courte série de va et vient. Mes jambes se replient d’elles
même derrière ses reins et l’emprisonnent en moi. Je crie
sous la violence de l’orgasme. Tout mon bassin est douloureux
de plaisir.. Je voudrais et redoute que ça ne s’arrête jamais.
Son dos voudrait se reculer mais je le tiens prisonnier.
Son recul me tire sur les jambes et les cuisses. Mon cœur
monte à 180, ma respiration est superficielle, mon regard
fixe. Mes mais montent sur ses épaules pour le retenir,
pour le garder en moi, pour lui demander de sortir de moi
mais de revenir, pour m’assurer de sa réalité en moi, de
la folie que je commets en ce moment.
Mais c’est trop bon. Je gémis
en le regardant dans les yeux et lui dis tout mon plaisir.
- Ne t’arrête pas. C’est bon,
c’est trop bon. Ohhhhhhhhh !
Il accélère la cadence. Je
n’en peux plus. Il va me rendre folle. Brusquement, ses
mouvements deviennent désordonnés et il frappe de plus en
plus fort avec sa matraque dans ma chatte malmenée. Il se
crispe et se met à jouir de longs flots de sperme. Il roule
des yeux, se penche un peu sur le coté et me malaxe un sein
de toutes ses forces. Le sentir venir en moi me ré excite
et relance mon orgasme. Je me tends vers lui pour me faire
prendre encore plus. Maintenant, il est fiché au plus profond
et je sens les derniers spasmes de sa jouissance. Il avance
son bassin au gré de sa jouissance et je me tends vers lui.
Il m’embroche un peu plus. Comme c’est bon de faire l’amour,
comme c’est bon d’être une femme désirée et comblée.
- Je reprends lentement mes
esprits, Barthélemy toujours fiché en moi, limitant maintenant
ses mouvements en moi.
Plus loin, Laurence ahane
de plaisir sous les coups de boutoir de son amant d’un soir.
Elle est entièrement nue et Jérémie l’a installée en levrette,
elle repose sur les coudes la tête sur ses avants-bras.
Ses gros seins blancs ballottent au rythme des assauts de
Jérémie qui entre et sort régulièrement de son ventre un
organe de belle taille. Elle couine quand il sort entièrement
et gémit quand il revient. Penché sur le coté, il contemple
le visage angélique de mon amie qui semble s’être échappée
de ce bas-monde pour aller planer dans des cieux plus cléments.
Les yeux fermés, elle savoure la douce violence qui l’envahit.
Jérémie surveille la montée progressive du plaisir de sa
partenaire et se penche régulièrement pour attraper un sein
qui danse sous ses coups de reins. Il semble se guider aussi
à ses intonations et, quand elle commence à gémir puis crier,
il accélère le mouvement ou change la trajectoire de son
sexe dans celui de Laurence.
C’est très émoustillant de
les voir faire et je sens une douce chaleur qui irradie
mon ventre et sauf erreur de ma part, je sens la queue de
Barthélemy re-durcir en moi. Lui aussi est fasciné par le
spectacle audio-visuel. Il se dégage de moi et s’allonge
comme moi sur le côté, me caressant doucement les seins
de sa main droite. Je sens sa grosse queue poisseuse de
sperme reposer puis battre contre ma fesse. Il s’est débarrassé
de son préservatif « King Size »en le nouant, fier semble
t il de la grande quantité de sperme emprisonnée... Je me
laisse aller à ses caresses. Sa main gauche est passée sous
mon torse et joue avec mes seins gonflés. Sa main droite
est sur ma hanche et caresse mon ventre si délicieusement
malmené. Dieu que c’est bon !! Je me sens totalement déconnectée
de toutes les contingences de ce monde. Je ne pense qu’à
Jean qui me permet de me procurer ce plaisir, qu’à mon corps
qui est merveilleusement bien. (J’enseigne les Endorphines
en 5 eme année, ces molécules naturelles du cerveau qui
permettent d’atténuer la douleur ou d’exacerber un plaisir…),
qu’à ce jeune Africain qui est là derrière moi, qui a envie
de moi et qui m’a rendue à ma féminité ce soir.
Je pense aussi à ce que je
vois aussi, c’est à dire à mon amie dont les cris se font
de plus en plus perçants sous la pénétration. Il a maintenant
abandonné ses seins et se tient à genoux derrière elle,
les jambes très écartées pour compenser la différence de
taille. Ses mains se sont posées sur ses hanches et il la
tient bien. Je ne sais pas bien si c’est son bassin qui
avance, ses mains qui l’attirent à lui ou si c’est elle
qui vient au-devant du membre qui la transperce. Sans doute
les trois ensemble… La tête toujours penchée sur le coté,
elle a maintenant la bouche ouverte, pour crier son bonheur,
nous avertir de sa jouissance proche mais aussi pour respirer
bien à fond car on devine sans peine que son cœur doit battre
la chamade. Sa main droite a gagné son bas-ventre et elle
se caresse le bouton. Il la lâche de la main gauche, s’empare
d’un sein et la colle d’un coup en lui.
Sous la violence de l’orgasme,
elle relève la tête et exhale un soupir comme un ballon-sonde
qui se dégonfle. Elle abandonne son clitoris et attrape
la hanche droite de son amant comme pour assurer la prise…
Elle donne deux ou trois coups de reins, repose ses bras
devant elle, et entame un orgasme qui semble digne d’éloges.
Son amant lui aussi, donne deux ou trois coups de reins
et reste, abuté dans sa femelle, à se vider en elle, le
regard fixe, ses grandes mains ayant attrapés les deux seins
qu’il malaxe comme un malade. Elle est face au mur et gémit
comme sous l’effet d’une brûlure.
Ses cuisses s’écartent petit
à petit, elle bascule en avant, se libérant de l’emprise
intérieure, et elle s’affale devant elle, le sexe de Jérémie
ressortant d’elle avec un petit bruit ridicule… Elle garde
les yeux ouverts, savourant son plaisir. Je ne sais si elle
me voit, mais je suis dans la direction de son regard vitreux.
Jérémie recule du petit lit où gît sa conquête. Il retire
prestement sa capote, bien remplie elle aussi et descend
du lit. Il se dirige vers Barthélemy et d’un air complice,
lui tape dans la main, comme deux gamins ravis d’avoir partagé
un des 400 coups …
Je suis encore un peu excitée
mais me laisse aller à une douce torpeur pendant que Laurence
cuve son plaisir. Jérémie s’est engouffré sous la douche.
Je me laisse à glisser une main derrière moi et à caresser
les tablettes de chocolat (c’est le cas de le dire !) de
Barthélemy. Il flatte un peu encore mes seins et mon ventre
et s’en va à son tour sous la douche dès que Jérémie en
est sorti. Je m’allonge sur le coté, repue (enfin presque
!). Nos mâles sont maintenant revenus dans la pièce principale
du logement et parlent leur dialecte. On dit les femmes
bavardes !! Leurs palabres sont régulièrement interrompues
de grands éclats de rire. Visiblement heureux.
La vie est belle !
Barthélemy vient vers moi
et me contemple dans mon demi-sommeil. Je me retrouve avec
son truc pratiquement sous le nez. Il n’a pas l’air indifférent
à ma présence. Je vois de grosses veines qui battent sous
la peau et ses testicules ont l’air de mener une vie tout
à fait indépendante, montant et descendant sans cesse. La
bête se relève tout doucement.
J’ai encore envie de faire
l’amour avec elle.
Il se penche vers moi et
m’embrasse dans le cou. Je fonds littéralement. Mes bras
passent autour de son torse et le serre contre moi. Ses
mains s’attardent sur mes seins qui n’ont jamais été aussi
gonflés depuis la naissance de ma fille. Mes aréoles sont
gonflées et je suis presque étonnée de ne pas voir sortir
de lait… Une de ses mains est descendue vers mon entre jambe
et s’insinue dans ma chatte. Je suis maintenant totalement
et sexuellement disponible. Mes mains descendent de son
torse et entourent son pénis qui bondit maintenant, petit
oiseau fragile. Je le prends bien en main et commence à
le masturber doucement. Un liquide incolore sourd du méat.
Il grandit et grossit à vue d’œil.
Une merveille… J’empaume
ses testicules de l’autre main. Il envoie sa tête en arrière
et se concentre sur les bonnes choses que je lui fais. Ses
mains me tiennent aux épaules. Je le prends en bouche et
décalotte son gland sans tirer sur la peau de mes mains.
Son gland aussitôt gonfle énormément et je ne peux le recouvrir
de son capuchon de chair. Je le sors de ma bouche à son
grand désarroi et me dépêche de le re-calotter et de le
sucer à nouveau.
Il est aux anges. Ses testicules
sont collés au plafond ! Je le prends plus profondément
et tente une gorge profonde pour voir jusqu’où je peux aller.
Un réflexe nauséeux m’arrête alors qu’un bon tiers dépasse
encore de ma bouche qui s’est refermée à grand peine. Je
le ressors doucement, englué de salive et de secrétions.
La bête a encore grossi pour prendre finalement des dimensions
quasi dantesques. Je n’ai pas de centimètre de couturière
sous la main mais je pense que mon amant d’un soir est doté
d’un engin qui dépasse les 24 cm.. Ma main ne fait pas le
tour de ce cylindre qui bat devant mon nez. Je l’embrasse
le long de la hampe pour le remercier du bonheur qu’il va
encore me donner… Barthélemy me repousse lentement le dos
sur le lit, ma bouche le quitte à notre grand regret à tous
deux. Mes cuisses s’ouvrent seules.
Je sais la douce violence
qui m’attend.
Il descend sa tête vers mon
buisson ardent qui n’attend que lui. Il se met à genoux
devant moi et me tient les jambes écartées bien droites
vers le ciel où il va m’envoyer. Je me sens femelle, j’ai
envie de cet homme de 15 ans de moins que moi, j’ai envie
de son sexe en moi, j’ai envie de vivre…
Il repose le creux de mes
genoux sur ses épaules et ses mains remontent le long de
mon ventre, le massent et s’attardent encore sur mes seins
qui décidément sont à la fête ce soir…
Je sens une autre main dans
mes cheveux et encore une autre.. C’est Laurence qui s’est
approchée de moi et me caresse… Ses mains repoussent celles
de Barthélemy qui redescendent vers mon ventre. J’ai tant
envie d’être câlinée. Je la regarde et ouvre la bouche pour
le lui dire quand elle descend son visage vers le mien et
m’embrasse à pleine bouche, sa langue s’introduisant au
plus profond de ma bouche… J’en reste bête mais c’est si
bon. Et puis en l’embrassant, j’ai moins de remords vis
à vis de Jean… la vie est compliquée... Mes mains se tendent
vers ses seins orgueilleux et empaument ses aréoles. C’est
la première fois que j’embrasse une femme et que je touche
des seins de façon sensuelle.
C’est doux, c’est très agréable.
Je lui rends fougueusement son baiser en lui massant les
seins. Je lui arrache quelques gémissements qui ne peuvent
sortis de sa bouche encombrée. Elle se dégage doucement
et me tête les seins à son tour. J’ai du mal à reconnaître
mon 95 C qui a l’air d’enfler sous les caresses. Barthélemy
active sa langue sur mon clito qui se redresse lentement.
Jérémie s’approche de Laurence en la caressant par derrière,
mêlant ses grandes mains sombres aux miennes aux seins de
sa maîtresse. Il l’embrasse dans le cou, elle se retourne
et l’embrasse à pleine bouche.
Ils nous abandonnent pour
regagner leur couche. J’abandonne à regret la douceur féminine
pour me concentrer sur d’autres douceurs.
Le sexe de Barthélemy est
déjà au garde à vous… Je suis bien… Barthélemy ressort sa
langue de ma foune et descend un peu plus bas. Un doigt
inquisiteur s’approche du liseré de mon cratère le plus
secret, que je n’ai jamais livré qu’à Jean. Je suis trempée…
Sa bouche rejoint son doigt
et sa langue s’insinuent entre mes fesses. Il relève mes
cuisses pour mieux dégager mon anus et sa langue râpeuse
se met en devoir de me l’humidifier. Ses mains remontent
le long de mes jambes grandes ouvertes et me les basculent
encore en arrière. Mon anus est ainsi entièrement dégagé
et prêt à subir ses assauts… Dans un moment d’égarement,
je prends mes jambes moi-même pour les remonter vers moi
et lui laisser libre accès à l’objet de ses désirs. Ses
mains se placent de part et d’autre de mes fesses et les
écartent doucement. Il roule sa langue sur elle-même et
je sens très doucement le plus merveilleux des pénis qui
essaie de me transpercer. C’est divin !!
Mes mains abandonnent mes
jambes une seconde et je prends les siennes pour qu’il m’écarte
mieux les fesses, révélant mon puits secret. Il a bien compris
mon manège, ses mains remplacent les miennes. Sa langue
incroyablement longue, douce et puissante réussit à entrer
dans mon rectum, enflammant un brasier dans mon ventre.
Je n’ai jamais été caressée ainsi. J’ai un peu honte, mais
la sensation est tellement fabuleuse que je me laisse aller
à ce plaisir. Je me surprends à me tortiller pour que sa
langue puisse me pénétrer le plus possible. Je tiens mes
jambes seules en l’air et je prends la tête de Barthélemy
pour l’appliquer le plus possible contre moi. Je ne peux
que l’attraper que par sa chevelure crépue, et c’est bien
volontiers qu’il se prête à mes exigences en s’insinuant
le plus possible en moi. C’est divin !!! Il retire sa langue
et effectue des mouvements de succion et se met en demeure
d’aspirer mon anus. J’ai l’impression folle qu’il va m’avaler.
Je pose mes mains sur son front et le supplie d’arrêter.
- Arrête. J’ai trop envie
de toi. Viens comme ça….
- Le temps d’enfiler une capote…
La perspective de ne pas goûter
la douceur de sa queue me déplait. Soudain, une pensée traverse
mon esprit.
- T’es en 5 eme année ?
- Oui, pourquoi ?
- Donc, pour l’hôpital, t’as
fait le test HIV et toute la batterie de tests qui va avec
?
- Evidemment.. Tout est négatif.
- Alors, si tu n’as pas attrapé
quelque saleté depuis ton test, plus besoin de capote…
- Je vous jure Docteur, dit-il
en se marrant, qu’à part la veuve poignet, depuis le mois
de juin, ma bistouquette n’a connu personne..
- Bistouquette, bistouquette,
moi, je dirais plutôt matraque de CRS…
Décontractée, je me laisse
aller en arrière, heureuse d’abandonner ce latex, qui s’il
est bien utile, moi me déplait après 15 ans de vie maritale.
Je repense à cette maxime
orientale : « Ecarte les cuisses et que le plaisir t’emporte
». A Dieu va.
Jérémie me reprend les chevilles
entre ses grosses mains noires.
(Mon Dieu ! Quel contraste
saisissant !! C’est maintenant que je m’en aperçois…)
Il m’écarte les jambes. Je
suis sa douce prisonnière. Il me tient aux jambes, mon sexe
et mon cul lui sont offerts, proposés. Il ne peut pas me
refuser sa venue. Il doit me prendre… J’ai trop envie de
lui. Par-là. Que fait-il ? Et s’il ne voulait plus de moi
?
Il s’avance à genoux. Je lance
ma main droite pour me saisir de son sexe. Mes doigts ne
rejoignent pas mon pouce.. Je me demande une fraction de
seconde ce que je vais en faire… Il se laisse manipuler.
Le bout de son gland est trempé de secrétions. J’applique
son gland contre ma rondelle et je sens sa queue qui palpite
ma main. Je m’enduis de ses secrétions et applique son gland
bien fort contre ma rondelle.
- Laisse moi faire, lui dis-je.
Je prends doucement son pieu
et le dirige un peu plus fort entre mes fesses. J’ai l’intention
de mener la danse. De m’enculer sur son gros machin tout
en douceur, comme je le faisais avec Jean Je l’attire à
moi, il se rapproche encore un peu. Je le sens docile. A
bien y réfléchir, sodomiser une femme blanche de 15 ans
son aînée et qui plus est sa prof de Fac, ça ne doit pas
arriver tous les jours.
Une sodomie, ça se mérite…
Je le regarde dans les yeux
pour lui monter ma docilité, parce que j’appréhende toute
velléité de grands coups de reins, pour lui montrer enfin
que je suis pour ce soir, sa femelle conquise. Que tout
est pour lui. Que même si j’ai peur d’avoir mal, j’ai envie
d’essayer…
Malgré l’excitation de la
folie que je suis en train de commettre, je tente de me
calmer et de faire le vide en moi pour bien me décontracter.
Peine perdue. Ses grosses mains viennent de s’emparer de
mes seins et il en presse les bouts comme s’il voulait en
faire sortir du lait. Ma main presse sa queue et l’intromission
commence….
Tout d’abord, le gland est
si gros, que j’ai l’impression qu’il n’a aucun rapport de
volume avec mon anus… Comme deux corps totalement étrangers
qui n’ont aucune raison de s’emboîter. Je réussis, à tâtons,
à présenter le bout de son gland sur le plus profond de
mon cratère. Je pousse sur mon sphincter pour m’ouvrir et
je sens la chaleur de sa queue contre ma muqueuse. La lubrification
aidant, il glisse et entre en moi plus facilement que prévu.
Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul
trait. Je me sens me dilater de plus en plus… Je suis inquiète,
je le regarde intensément, j’ai peur qu’il ne me fasse mal…Il
s’arrête, s’enquiert de mon bien-être.
- Ca va ? Je te fais pas
trop mal ?
- Non. Et j’espère que vas
me faire du bien…
Ma main droite s’est empare
de mon clitoris qui ainsi fait monter encore plus la pression
dans mon ventre.
Le temps de laisser mon sphincter
se dilater et je l’invite d’un clignement des yeux à reprendre
sa longue marche. Il pousse, inexorablement, doucement,
sans vraiment forcer, surveillant à la fois mon visage pour
y lire d’éventuelles traces de douleur, et l’avancée de
son pénis. C’est quand même différent sans capote… Ses mains
se positionnent de part et d’autre de mes cuisses et tendent
mes fesses afin qu’il puisse entrer sans me faire mal… Ainsi
prisonnière, je me sens pénétrée inexorablement.
Je pousse, lui aussi…
Il entre, je m’ouvre…
J’ai l’impression d’être
délicieusement forcée… Comme une violée consentante… Je
suis en train de me faire empaler. Le délice des supplices…
Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon
cul.. Je penche ma tête pour surveiller l’infernale progression
et m’aperçois qu’il est entré aux plus des deux tiers. C’est
impensable !!! Comment mon petit gabarit peut-il avaler
une bête de cette taille ? Et ça n’est pas fini… Je ne sens
pas de limite physiologique à son envahissement. C’est vrai
que par-là, la route est presque droite (rectum/recta =
droit).. Jusqu’où ira t il ? Au fond, je l’espère bien.
- Ca va toujours ?
- C’est délicieux. Tu es énorme,
mais tu me fais tant de bien.
J’appuie ma main gauche sur
son torse puissant et me laisse définitivement clouer comme
un vulgaire papillon…Je me caresse comme une perdue. Ma
bouche est sèche de par l’émotion de réaliser une grande
première, mais mon sexe est une véritable fontaine. J’enduis
son sexe de temps en temps de mes secrétions Il reprend
mes jambes entre ses grosses pattes et poursuit sa longue
marche. Je pousse une dernière fois, et ai d’un coup la
surprise de sentir ses testicules se poser contre mes fesses.
Il est entré entièrement en moi !!! Je n’aurais pas imaginé
cela hier encore. J’aurais pensé que c’est physiologiquement
impossible. Mais il est là et bien là. Je sens sa monstrueuse
présence au plus profond de moi. Je n’ose pas bouger, comme
si j’avais avalé un sabre…
Je suis ravie. Des larmes
me montent aux yeux.. Je passe une main derrière sa nuque
pour l’amener à moi, il se penche à moi et je l’embrasse
goulûment, malgré mes principes.
Je me sens dépendante de lui,
comme reliée à lui par un cordon ombilical. Le plaisir commence
à manifester sa présence dans mes reins. Lui seul peut me
faire jouir. Je suis sa chose. Lui seul décidera de nous
faire jouir. Pourvu qu’il prenne son temps. Pourvu qu’il
ne tarde pas. Pourvu que la montée du plaisir soit interminable,
que le plaisir soit long. Que sa volonté soit faite… Encouragé
par mon signe de bonne volonté, par le fait que je n’ai
pas mal, il engage, après notre baiser une lente reculée.
Il s’en va comme la mer se retire et me laisse désolée.
Un grand vide installe sa
présence envahissante…
Mon corps qui avait difficilement
accepte sa présence, ne peut se résoudre à le laisser partir.
Je me déballonne, je me sens vide. Je sais qu’il reviendra
mais je ne veux plus de cette interminable progression.
Je ne veux pas qu’il me quitt. Plus de trois quarts de son
bâton magique sont sortis de moi. Je ne sens plus que son
gland volumineux qui fraye son chemin à rebours dans mes
reins. . Ma main lâche son épaule et le retient aux hanches.
Il s’arrête net. Je le regarde dans les yeux, interrogative.
Il me fixe et ….Pousse d’un seul coup son sexe au plus profond
de mon cul. 20 centimètres d’un coup !!! Le retour tant
attendu de sa matraque m’envoie des décharges dans le cerveau.,
comparables à celles que je ressentais lorsque étudiante,
j’ai goûté à quelques drogues plus ou moins douces…Des décharges
folles zèbrent ma conscience.
Je crie.
Il reste quelques secondes,
vrille un peu son sexe en moi et repart.
Je gémis.
Il donne un grand coup de
reins et revient aussi vite, aussi loin, aussi fort.
Une tornade de plaisir commence
dans mes reins et s’achève dans mon cerveau. Mes sens sont
exacerbés. Je ressens très exactement ce qu’il me fait subir.
Il accélère la cadence. Ses
coups de reins sont de plus en plus marqués. Ma main danse
une sarabande infernale sur mon sexe. Je sens le plaisir
arriver au triple galop. Il va arriver… Il est là. Je sens
littéralement mes reins exploser de plaisir pendant que
je suis paralysée cérébralement, incapable de penser à autre
chose qu’au plaisir qui déferle en moi. Je suis une surfeuse
rattrapée par un vague énorme qui me roule et m’emmène.
Je hurle.
Je m’arque boute sous lui
et m’offre ainsi encore plus. Il me perfore. Il entre et
sort de moi sans aucun problème. Je le sens sortir parfois
entièrement de mon cul, mais il y retourne d’un trait, comme
si sa queue avait toujours connu le chemin. La route qu’il
avait ouverte en 3 ou 4 minutes, il met maintenant 1 ou
2 secondes pour la refaire. Il tape au fond de mes fesses.
Mon cœur bat la chamade. Je vais manquer d’air. Je m’arrête
de crier pour prendre de grandes goulées d’air. Ma main
gauche s’est refermée convulsivement sur son coude droit
et je le serre comme une planche de salut.
Il entre et sort.
Il sort et entre. Il est l’infernal
piston d’une machine diabolique et moi, la machine à jouir.
Il me bourre pendant un interminable
temps trop court. Il est en sueur.
Je hurle toujours.
Je le vois au-dessus de moi,
il roule des yeux, il a beau contrôler sa jouissance, je
sais qu’il ne durera pas bien longtemps.
Mon capital orgasme est entrain
de s’épuiser. Je lui lance :
- Viens, maintenant. Donne,
donne-moi tout…..
Il se lâche presque aussitôt.
Je sens son plaisir s’écouler au plus profond de mes fesses.
Comme je sens bien son sexe se vider en moi, me donner le
meilleur de lui. De longs jets, de longues saccades qui
n’en finissent pas de ruisseler dans mon cratère en feu.
Son plaisir à lui réveille
le mien qui s ‘endormait. Je n’ai plus besoin de stimulation
clitoridienne et je glisse mes mains derrière sa nuque pour
l’accompagner. Mon cœur rebondit dans ma poitrine. Nous
allons jouir ensemble…J’enchaîne un second orgasme, plus
calme, plus raisonnable…
Il éjacule encore 5 ou 6
jets et ralentit doucement ses incursions pour profiter
des derniers spasmes ravageurs. Son sexe n’a pas encore
dégonflé, je le sens encore bien présent. C’est incroyablement
bon… Il se penche vers moi et se met à m’embrasser de sa
grosse bouche qui englobe mes lèvres. Je lui rends son baiser.
Il est toujours fiché en moi et son ventre bouge de façon
toute a fait indépendante, comme animé d’une propre vie.
Je suis toujours reliée à lui et nous ne faisons plus qu’un,
pendant encore quelques trop courts instants…
Ca a été fabuleux. Je veux
le lui faire savoir. Ma bouche a du mal à articuler quelques
sons. J’ai la gorge sèche. Du mal à reprendre mon souffle.
- C’était, c était ….
- Super, extra, dément, me
coupe t il.
- C’était, tu peux pas savoir,
c’était fort fort fort…J’ai cru que j’allai m’évanouir
- Tu es un super coup. Et
tellement serrée. C’est tellement bon un petit cul bien
serré. Un petit cul de blanche…
- Et un gros sexe de Noir….
Génial… J’avais peur que tu me fasses mal. Tu as été merveilleux.
Je n’avais jamais pratiqué qu’avec Jean, qui est moins bien
monté que toi. Ca devais faire deux ans que je …
- Eh bien, faudra pas attendre
encore deux ans pour t’en servir, me coupe t il. Tu sais,
ton petit cul marche très bien, il lui fallait seulement
un peu de ramonage….Dit-il en riant. Tu m’as bien fais jouir.
Tu es très excitante quand tu jouis, sauf….
- Sauf ?
- Sauf que tu m’as arraché
la peau du coude..
Je regarde horrifiée son coude
où ruissellent de grosses gouttes de sang.
- Qu’est ce qui s’est passé
? C’est moi ?
- Disons que tu as extériorisé
ton plaisir… sur mon coude.
Il rit de bon cœur.
- Mon Dieu, je suis désolée.
Je ris à mon tour ce qui
a pour effet de le chasser de mon anus. Il se retire de
mes fesses merveilleusement endolories. Il se penche et
dépose un doux baiser sur chacun de mes seins dressés vers
le ciel. Il s’allonge à mes côtés. Je n’ai même pas la force
de m’intéresser aux prouesses de Laurence qui couine sous
son partenaire qui la pilonne comme un forcené.
Je suis bien... J’ai merveilleusement
joui, j’ai réalisé un fantasme que doivent nourrir beaucoup
de femmes européennes, mariées ou pas. J’ai les sens apaisés,
la bénédiction de mon mari… Je n’ai même pas la force d’aller
sous la douche. Je me blottis contre l’épaule de Barthélemy
et me tourne contre le mur. Je me laisse envahir par la
torpeur. Après l’effort, réconfort…
Je suis réveillée vers 3
heures du matin par des cris proches de moi. En me retournant
vers la couche de Laurence, je m’aperçois que les choses
ont bien évolué depuis mon petit somme.
Laurence est installée à
califourchon sur Barthélemy et le chevauche ardemment. Ses
seins ballottent devant le nez de celui-ci qui les suce
quand ils passent devant sa bouche. Les petits cris viennent
de ce que Jérémie s’est installé derrière elle et a entrepris
de la sodomiser alors qu’elle est fichée sur mon partenaire
d’un soir. Un pincement de jalousie finit de me réveiller,
mais bientôt l’excitation du spectacle reprend le dessus.
Et puis, Barthélemy ne m’appartient pas. Et puis dans 3
jours, nous serons reparties. Et à Paris, la Fac est grande,
et je le sais trop beau garçon pour avoir besoin de venir
me relancer. Un tube de gel lubrifiant gît sur le lit et
en m’approchant, je peux voir que l’anus de Laurence a été
copieusement graissé… Jérémie a du mal à entrer doucement,
d’où les cris… Bonne fille, je m’approche et le prends dans
ma main ce qui a pour effet de lui faire prendre immédiatement
une taille de plus…. Du xxl au xxxl ….
D’une main, j’écarte une
fesse de Laurence, de l’autre je présente le mandrin au
bon endroit avec le bon angle. En dessous, Barthélemy ne
bouge plus et tient solidement Laurence par les hanches
pour assurer la prise. Laurence sait la victoire proche.
La réussite est immédiate… Le pénis s’engouffre immédiatement
dans l’anus de Laurence qui hurle son bonheur sous la pénétration.
C’est fascinant de vivre ça en gros plan… Jérémie pousse
encore et toujours et, moins doux que Barthélemy ne s’arrête
pas pour s’enquérir de la santé de sa partenaire… Les hurlements
de Laurence ne cesseront que lorsqu’il sera arrivé à ses
fins, ses couilles écrasés contre les fesses offertes de
celle-ci. Elle a la tête sur le côté et ferme les yeux sous
la douceur de la brûlure… Jérémie décule presque et la réinvestit
sans ménagements. Elle crie un « c’est bon », la voix cassée.
Barthélemy se remet à bouger dans son sexe et vu la taille
imposante de leurs sexes, synchronise sa possession avec
celle de son copain.
L’anus de Laurence a entièrement
happé le boudin de Jérémie. Laurence, maintenant, gémit
sans cesse, ses seins écrasant la tête de Barthélemy qui
se régale certainement de ces grosses mamelles blanches.
Il tient maintenant écartées les fesses de Laurence pour
que son ami puisse l’enculer bien à fond.
Les gémissements de Laurence
se font maintenant de plus en plus fort et c’est sans nul
doute vers un orgasme Homérique qu’elle se dirige. Après
avoir accompagné les assauts de ses partenaires, elle s’arrête
pour recevoir. Ils lui donnent. Chacun ne pense qu’a soi.
Elle jouit sans retenue, égrenant d’une voix inconnue des
mots orduriers que je ne connaissais pas. Jérémie et Barthélemy
se lâchent à leur tour, la tenant, qui aux hanches, qui
par les seins. Ils lui donnent de grands coups de reins
et éjaculent dans leur capote, au plus profond de Laurence
qui râle maintenant, son beau masque déformé par un plaisir
intense.
Voir ces deux sexes de ces
deux mâles en rut se vider dans le corps de mon amie est
très excitant. Une boule de chaleur se dirige vers mon bas-ventre
et j’ai encore envie de faire l’amour…
Laurence cuve son orgasme,
ses 2 partenaires toujours fichés en elle. Tout le monde
reprend son souffle.
Jérémie se dégage enfin de
l’anus de Laurence, ressortant un objet toujours aussi long,
un peu moins gros et beaucoup plus flasque. Il retire sa
capote, la noue et la jette dans la poubelle. Il s’allonge
sur la couche presque face à elle. Laurence se penche vers
lui et en guise de remerciement, le gobe et entreprend de
le nettoyer, ses doigts le décalottant pour recueillir la
moindre goutte de sperme.
Elle se tourne vers moi, les
yeux brillants.
- C’était mon fantasme et
crois-moi que ça va le rester. Et tant que je vivrai, je
n’aurai de cesse de recommencer…. Je lui dis merci à ma
façon. C’est ce qu’ils aiment. Pas vrai mon Doudou ?
- Oh oui. Tu sais ce qu’on
aime et on aime ce qu’on te fait. La femme blanche est bonne
à baiser…
Elle se tourne vers moi.
- Bon, maintenant, un peu
de repos. Il nous reste 3 jours d’amour, et ça fait 72 heures….
Les 3 autres jours ne dépassèrent
pas en érotisme ce premier soir, mais furent leurs égaux
ou leurs petits frères.
Je
suis rentrée à Paris, ai retrouvé Jean, Je l’ai remercié
de sa largesse d’esprit, lui ai tout raconté par le menu.
Vous me croirez si vous le voulez, mais ça a été une bonne
rééducation sexuelle pour lui. Pendant mon récit, j’ai vu
son sexe se redresser lentement mais courageusement. Je
l’ai sucé et il a eu une érection de petit garçon… Depuis,
il a fait de gros progrès…
Je l’aime encore plus et lui
aussi.
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