TITRE :  Mon nouvel amoureux
Catégorie : 
Histoire interraciale

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Je m’appelle Catherine, blonde aux cheveux court, un mètre cinquante neuf, une belle poitrine de 95D avec des bonnes fesses bien rondes qui ont tendances à grossir avec les années. Mariée depuis 16 ans avec Laurent, nous avons 39 et 40 ans. Nous avons 2 filles, Sandra 15 ans et Sophie 13 ans. Je travaille dans une parfumerie à Nancy, où je suis responsable du rayon maquillage.

     C’est arrivé l’an dernier, un peu près à la même époque, c’est à dire après les fêtes de fin d’année. Moi qui pensais que j’avais une belle vie, j’ai découvert qu’en fait je m’ennuyais sans m’en rendre compte. C’est Ali qui me l’a fait découvrir. Il travail pour une société de sécurité, il est un vigile dans notre boutique. Il n’est pas du genre gros baraqué, plutôt grand, un mètre quatre-vingt-dix, mais très fin. Il est champion de karaté ou quelque chose dans ce genre. A 24 ans, il est encore étudiant, il fait ce petit boulot le temps de finir ces études. Ce qui nous a rapprochés au début était que nous étions seuls tous les deux, moi délaissée par mon mari trop occupé par son métier, lui était loin de ses parents et de ses sœurs restées au Maroc. Nous discutions simplement ensemble de temps en temps puis de plus en plus souvent, c’était très agréable, nous avions des discutions sur pas mal de sujet, je m’étonnais sans arrêt de sa culture et de ses points de vue toujours construit et réfléchi.

     C’est un mardi après-midi où je quittais à 15h que cela est arrivé. Ali finissait à la même heure et m’a gentiment proposé d’aller chez pour finir notre conversation commencer en pose le matin sur la différence d’éducation entre nos pays. Comme je n’avais rien d’autre à faire que de rentrer chez moi pour me mettre devant la télé et faire du repassage, j’ai accepté avec joie.

     Il habitait dans un petit appartement à environ 300 mètres de la boutique. Il m’a fait découvrir les délices du thé à la menthe fraîche, puis nous avons parlé de tout et de rien pendant pas mal de temps ne voyant pas le temps passer. Assis sur le canapé l’un à cote de l’autre, sirotant ce fameux thé. Puis j’observais son regard, j’avais l’impression qu’il me regardait amoureusement, je me sentis mal a l’aise, il le remarqua et me dit :

     - Ca ne va pas ?
     - Je ne sais pas, tu me regardes bizarrement.
     - Ce sont les yeux de l’amour !
     - Arrête, tu es fou, tu dis n’importe quoi.
     - Je suis fou de toi, nos conversations m’ont rendu amoureux.
     - Je suis bien trop vieille pour toi.
     - Tu es parfaite pour moi, j’ai envie de t’embrasser.

     
     Il ne me laissa pas le temps de répondre que déjà ces lèvres se posaient sur les miennes, je ne réagissais pas, appréciant la chaleur de sa bouche. Je sentis sa langue forcée entre mes lèvres, je le laissais faire. Nous nous embrassions de plus en plus passionnément, ses mais commencèrent à caresser mon corps, je le sentais sur mes hanches, dans mon dos, sur mes seins, il les faisait courir sans cesse, mettant mon corps en ébullition. Il me répétait qu’il m’aimait. Je me sentais si bien dans les bras de cet homme pourtant si jeune. Il déboutonna doucement mon chemisier, découvrant mon soutien-gorge blanc, il me caressait doucement ma poitrine qui réagissait tout de suite, passant ses mains dans mon dos, il le dégrafa, et mis ma lourde poitrine à nu. Je le regardais faire, il prit mes seins en mains, les caressait doucement, les malaxant avec tendresse, serrant les tétons érigés. Puis il plongea sa bouche pour saisir entre ses lèvres l’une de mes pointes. Il le suça longuement, passant d’un sein à l’autre. Je ressentais de doux picotement dans mon bas ventre, je jouissais de ses douceurs.

     Alors qu’il continuait cette douce torture, l’une ces mains cherchait à ce glisser sous ma jupe, le long de mon collant. La main fut bloquée par l’étroitesse de la jupe, il l’a ressorti, puis chercha la fermeture pour me la retirer. Je décidais alors d’être plus active avec mon merveilleux amant. Je retirais ma jupe et mon collant, sans qu’il quitte mes seins de sa bouche. Je venais de lui montrer mon acceptation pour la suite. Ses mains parcoururent alors mes jambes, puis l’une d’elles, remonta jusqu’à ma culotte, caressant mon sexe par-dessus le tissu, déjà il trouvait mes points sensibles, puis la culotte progressivement roula sur le côté, et ses doigts caressaient maintenant mes grandes lèvres, doucement entraient en moi, parcouraient mon sillon jusqu'à mon clitoris. Il me caressait si bien, que je ne pus contenir un orgasme. Mon sexe semblait envahi par un chaud liquide qui s’écoulait sur les doigts d’Ali. Il se recula et me regarda avec un sourire et une tendresse infinie. Il était fier de m’avoir fait jouir mais n’en était pas orgueilleux. Son attitude me combla de bonheur.

     Il était encore habillé. Je me mis alors à m’occuper de lui aussi bien qu’il s’était occupé de moi. Il était assis sur le canapé et je le déshabillais. Je découvrais un torse imberbe, musclé, bronzé. Je le parcourais de ma bouche, allant de ses tétons à son ventre, remontant dans le cou, palpant de ma main la bosse de son pantalon. Je décidais alors de lui retirer son pantalon. Je descendis sa braguette et le baissant avec l’aide de Ali, son sexe m’apparut droit, dur et entièrement épilé devant mon visage :

     - Mais tu ne portes pas de slip petit coquin ?
     - Non, je l’ai retiré lorsque je suis allé aux toilettes lors de notre arrivée.
     - Tu avais tout prévu alors.
     - J’espérais seulement.
     - Je n’avais jamais vu de sexe épilé
     - J’aime ne plus avoir de poils. Et je trouve cela plus hygiénique.

     J’étais à genoux devant ce beau sexe. J’approchais mon visage.

     - Il sent bon !
     - J’en ai profité pour me laver rapidement lorsque j’ai enlevé mon slip.
     - Toi, tu es vraiment un sacré coquin.

     J’avais envie de le prendre dans ma bouche, comme je ne l’ai jamais fais j’approchais doucement ma bouche du gland, il me paraissait gros. Je déposai un bisou sur le méat, puis je donnai quelques coup de langue, je n’osai pas. Je le regardai dans les yeux et lui dis :

     - Je ne l’ai jamais fais auparavant, je ne sais pas trop si je peux bien te le faire.
     - Ce n’est pas grave, fais juste ce que tu veux, je t’aime, tout ce qui vient de toi est du bonheur.

     Sur ces mots, je n’hésitai plus et pris son sexe dans ma bouche, j’essayai de le faire entrer en entier mais il était bien trop gros. Je commençais à faire des allers-retours, attentive au moindre de ses réactions. Je le sortais de ma bouche et descendais pour flatter ses testicules de ma langue, il semblait beaucoup apprécier. Je remontais pour le reprendre en bouche tout en caressant ses belles couilles avec ma main. Je pompais de plus en plus vite, faisant attention de ne pas le blesser avec mes dents. Il me dit d’arrêter car il allait jouir mais je continuais. Je ne savais pas si je serais capable de le refaire un jour, alors j’ai décidé d’aller jusqu’au bout de sa jouissance pour goûter au moins une fois dans ma vie à de la semence d’homme. Je le sentis gonfler dans ma bouche et les premières giclées arrivèrent sur ma langue. Je ne bougeais plus, je laissais Ali faire le mouvement. Il jouissait dans ma bouche. Je le regardais pour ne pas perdre un instant du plaisir que je lui donnais. Le goût était infect mais je décidais de tout garder quand même. Il y en avait trop, ça coulait sur mon menton, puis le filet de sperme descendait sur mes seins. Je déglutissais en le regardant dans les yeux. Lui me regardait avec de l’amour.

     Il se redressa, prit mon visage dans ces mains et s’empara de ma bouche et de ma langue pour un baiser plein de passion. Il me prit par la main et me guida vers sa petite chambre. Je la trouvais plutôt propre et joliment décorée pour une chambre de jeune étudiant célibataire. Ca me mettait encore plus en confiance. Il m’allongea sur le lit et il me couvrit de son corps puis de ses baisers. De nouveau il s’occupait de mes seins, toujours aussi bien. Je sentais ses baisers descendre sur mon ventre, puis sur mon pubis. Il soufflait sa chaleur sur mon clitoris et mes grandes lèvres, sans même les toucher. Il reprenait ses baisers sur mes cuisses, remontait entre mes jambes, il me faisait languir de sa langue. N’en pouvant plus, je lui criais :

     - Lèches moi, je t’en supplie, délivre-moi, je veux te sentir sur mon sexe.
     - Tu es bien impatiente !
     - S’il te plait.

     Il me fit encore patienter le temps de quelques baisers sur ma poitrine et il se dirigea vers ma petite chatte, il joua avec sa langue dans mes poils pubiens. Je ne m’épile pas, je me fais juste un peu le maillot comme on dit pour ne pas que les poils dépassent de la culotte. Je reçus le contacte de sa bouche et de sa langue sur mon bouton d’amour comme une délivrance. Il me le suça divinement bien. Il allait de mon vagin a mon clito avec un infini douceur. Aspirant mes grandes lèvres, mon clito, me pénétrant de sa langue, je devenais folle. Il me fit jouir comme ça, juste en me léchant. J’eus un orgasme très bruyant, lui agrippant les cheveux pour le plaquer très fort contre mon sexe. Il ne s’arrêtait plus. Il était parfait.

     Il se redressa, me fit partager mes propres sécrétions dans un baiser toujours aussi passionné, je les goûtais pour la première fois. Je sentis son sexe dur battre entre mes cuisses. J’écartais les cuisses pour lui faire comprendre que je l’attendais en moi avec impatience. Il poussa son gland à l’entrée de mon vagin, un frisson parcourut tout mon corps, je le sentais enfin pénétrer en moi. J’avais l’impression que sa progression ne finirait pas. Il allait toujours plus profond dans une lenteur calculée, enfin ses testicules s’écrasaient entre mes fesses. Je percevais son sexe si profond en moi que je crus qu’il pénétrait mon utérus. C’était une sensation tellement nouvelle. On m’avait toujours dit que la taille du sexe n’avait pas d’importance, je me suis dis à ce moment la que ceux qui disent cela devraient connaître Ali, ils changeraient d’avis sur-le-champ.

     Il bougea en moi lentement, il savourait l’instant présent, je le regardais dans les yeux. Moi-même, je me régalais de plaisirs. Il s’activa de plus en plus rapidement. Faisant parfois de petit mouvement circulaire avec ses hanches, son pénis frottait alors de nouvelles zones sensibles, je ne pouvais me retenir de crier ma jouissance. Celle-ci s’accentua encore lorsqu’un doigt vint me titiller l’anus. Mon petit trou était enduit de ma mouille et le doigt inquisiteur entra dans cette antre inviolée. Il me faisait partir dans tous les sens et de tous mes sens. Il m’arrachait encore un orgasme terrible. Il continuait ces va et vient longtemps. Puis il me demanda de me mettre en levrette. Puis il me pénétra de nouveau, je le sentis encore plus loin cette fois, je lui demandais d’aller toujours plus vie, encore plus fort, je n’étais qu’une boule de jouissance. Ces gestes commencèrent à être désordonner, il se crispa, j’attendais de recevoir son jus d’homme dans ma chair. Puis il se lâcha complètement, j’avais l’impression de recevoir des litres de foutre dans ma chatte, je ressentais la moindre vibration puis le sperme remplissant mon vagin. Nous criions notre bonheur a l’unisson. Il resta quelques minutes en moi. Il ne débandait pas. Je lui demandais de se retirer. Je m’allongeais sur le ventre, lui sur moi. Je ne pus retenir mes larmes, trop d’émotions avaient parcouru mon corps.

     Nous avons pris une douche ensemble. Il me savonna méticuleusement avec beaucoup de tendresse. Il avait encore envie de faire l’amour, mais je devais rentrer chez moi.

     J’arrivais à la maison vers 19h00. Mes filles étaient déjà la mais ne s’inquiétaient de rien puisque je rentre assez souvent vers ces heures là. Mon mari ne rentra que 30 minutes plus tard. Il m’offrit une superbe bague pour fêter une promotion dans son travail. Après le repas, il était particulièrement excité, il me fit l’amour, toujours aussi mal. Je sus que je ne pourrais plus vivre avec lui. Ali est resté mon amant pendant 1 an, puis j’ai tout avoué à mon mari afin de divorcer. Il m’a laissé la maison avec les filles, le temps qu’elles prennent leur envol. Ali ne vit pas à la maison, nous nous voyons toujours dans son petit appartement. Nous nous aimons malgré notre différence d’age, de religion et culture.

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