Lorsque j'ai commencé l'université, j'ai rencontré
une fille magnifique. Elle avait 19 ans, j'en avais 21.
Sophie est noiraude, cheveux mi-longs, une poitrine un peu
lourde, mais ferme et une bouche charnue, qui donne envie
de l'embrasser. Naturellement je suis tombé amoureux.
J'ai longtemps essayé de la
séduire. Un jour, que nous étions ensemble, Sophie me proposa
de passer chez elle. Elle me présenta sa maman. A l'époque
tout ce qui concernait Sophie me paraissait merveilleux,
aussi ai-je trouvé sa maman fantastique. Elle avait alors
45 ans, vivait seule depuis qu'elle était divorcée, elle
était extrêmement jolie, bronzée, cheveux lui tombant sur
les épaules. Ce jour là, elle était vêtue d'une longue robe,
très séduisante et d'un léger décolleté. Sophie nous a laissé
seuls pendant cinq minutes, car elle devait prendre quelque
chose dans sa chambre. J'étais très poli, nous échangions
des banalités, mais je devais faire un effort extrêmement
puissant pour détourner mes yeux de ses seins, volumineux
qui semblaient encore fermes et qui m'excitaient.
Naturellement j'étais autant
séduit par la mère, Nicole, que par Sophie. Mon attrait
pour Nicole était peut-être plus fort que pour Sophie, car
Nicole était inaccessible et le sentiment que j'éprouvais
pour elle était augmenté par le fait qu'il y avait une sorte
de transgression sociale.
Sophie est tombée amoureuse
de moi et nous sommes sortis ensemble. Notre histoire était
banale, nous étions amoureux et tout fonctionnait dans le
meilleur des mondes. En fin de semaine, nous quittions souvent
l'université pour passer le week-end chez la maman de Sophie
qui avait une maison dans une petite ville. Je dormais avec
Sophie. Pendant les vacances universitaires nous avons passé
deux mois chez la maman de Sophie. Mon attrait pour sa maman
grandissait.
Nicole était très attirante.
J'étais toujours impressionné par sa présence et je perdais
mes moyens devant elle. Je pense qu'elle jouait un jeu de
séduction avec moi, elle avait besoin de sentir qu'elle
pouvait encore être attirante. Et doucement, elle se moquait
un peu de moi. Mais je crois qu'elle s'est laissée prendre
au jeu de la séduction. Une nuit, je me suis levé pour aller
aux toilettes, et j'ai rencontré belle-maman qui sortait
de la salle de bains, elle ne portait qu'une chemise de
nuit en soie, tenue par un léger fil qui passait sur chacune
de ses épaules. La vision de ce léger tissu sur sa peau
me laissa dans un état d'excitation incroyable.
Un matin alors que Sophie
entrait dans la chambre de sa maman, j'aperçus Nicole en
soutien-gorge blanc, vision qui me poursuivit durant toute
la journée. Un matin j'entrai dans la salle de bains alors
que belle-maman s'y trouvait, elle sortait de la douche
et se séchait avec un linge, malheureusement, je ne pus
pas voir ses seins, tellement j'étais ému, je sortis aussitôt.
Elle ne réussit pas à cacher une certaine gêne, mais aussi
de la satisfaction, me sembla-t-il. Un autre jour, alors
que je me brossais les dents, elle entra rapidement dans
la salle de bains et me dit qu'elle était en retard et devait
prendre une douche. Elle se tourne, enlève sa chemise de
nuit qui tombe au sol et entre dans la douche. Je ne la
vois que de dos, mais j'ai l'occasion d'apprécier ses fesses,
légèrement rebondies et son dos bronzé.
Une après-midi, Sophie voulait
aller voir une amie, que je n'appréciais pas trop, je lui
dis que je resterais à la maison à lire. Vers 14h00, Sophie
s'en va et je monte dans sa chambre où je lis. J'entends
bientôt ma belle-mère qui entre dans la salle de bains et
fait couler un bain. Après 15 minutes de lecture (pouvais-je
vraiment lire ?), je me décide à aller à la salle de bains,
en espérant qu'elle n'ait pas fermé la porte à clé. J'entre
et en effet, la porte n'est pas fermée à clé. Après deux
pas, je fais l'étonné et m'excuse auprès de Nicole qui est
au fonds de son bain, malheureusement la mousse cache ses
formes, dont je ne vois que le début des seins. Elle me
dit de rester et faire ce que je voulais, elle déclare qu'elle
n'est pas gênée. Je reste et je me brosse les dents. Puis
je quitte la pièce très excité.
Quelques temps plus tard,
mon amie Sophie devait partir pour trois jours à l'université,
car elle voulait, avant la rentrée universitaire, travailler
un séminaire avec deux autres amies. Nous en parlons au
repas et nous disons à Nicole que nous allons retourner
à l'université, dans notre appartement d'étudiants. Nicole
déclare qu'elle aurait voulu que nous l'aidions pour des
travaux de jardin. Nous lui proposons de revenir la semaine
suivante, puis Sophie déclare que je pourrais rester et
aider sa maman, car elle-même travaillera beaucoup avec
ses amies. Nous acceptons.
Le lundi matin, Sophie s'en
va. Je passe l'après-midi à exécuter des travaux de jardin
avec ma belle-maman. Elle est en face de moi et se penche,
je vois ses seins pris dans un soutien-gorge. Je suis presque
continuellement en érection, ce qui est parfois gênant,
car je porte un short. Le soir, nous mangeons, nous regardons
la télévision, puis nous montons nous coucher. Je laisse
ma porte ouverte, pour aérer et faire un courant. Je suis
sur mon lit, en short, avec un T-shirt. J'entends Nicole
qui entre dans la salle de bains, elle ressort, passe devant
ma chambre, s'arrête sur la porte, me demande ce que je
lis. Je la regarde, elle porte une chemise de nuit très
transparente, qui laisse deviner ses seins. Nous bavardons,
elle vient près de moi pour prendre mon livre et voir de
quoi il s'agit. Elle s'assied à mes côtés sur le bord du
lit. Elle parcourt le livre. Je suis à côté d'elle, je devine
ses seins, j'entends dans mes tempes mon cœur qui bondit,
j'ai envie d'avancer ma main sur sa cuisse, j'ai envie de
l'embrasser, mais je n'ose pas. Trop d'interdits nous séparent,
je vis avec sa fille, elle est presque ma belle-maman. Elle
lève les yeux, me regarde avec un regard langoureux, puis
elle se lève et me quitte. Naturellement, je ne peux pas
dormir, je me retourne dans mon lit. Je me lève vers minuit
et je descends boire à la cuisine. Nicole descends, elle
ne dort pas non plus, elle me dit qu'il fait trop chaud.
Nous bavardons, j'ai une érection très visible, nous sommes
appuyés contre la table, debout, la faible lumière met sa
peau bronzée encore plus en valeur. Soudain elle prend les
deux verres, les pose sur l'évier et en passant devant moi,
elle me donne une petite tape sur le short, elle touche
ma bite en érection à travers mon short. Mais à peine ai-je
réagi qu'elle est déjà en train de monter les escaliers.
Trop tard.
La journée suivante se passe
comme la première, travail dans le jardin, repas, travail.
Vers 17h00, exténué, je monte prendre un bain. Pendant que
je suis dans l'eau, belle-maman entre dans la salle de bains.
Elle se déshabille, je la vois de dos, entre dans la douche.
Je reste dans mon bain. Elle sort de la douche, j'aperçois
ses seins, elle se sèche et entoure son corps de sa serviette
de bain. Elle est très jolie, avec ses cheveux mouillés
et cette serviette qui serre son joli corps. Je sors du
bain. Je me sèche et je ne cache pas une forte érection.
Je mets ma serviette autour de la taille. Pendant qu'elle
se sèche et se maquille, je me mets à côté d'elle pour me
peigner. Comme le miroir est trop petit, nous nous bousculons
en rigolant, nous nous poussons de la taille, nous sourions.
Soudain ma serviette tombe et laisse ma bite en érection.
Nous nous arrêtons, je regarde ma belle-maman, je n'arrive
pas à bouger et j'entends mon cœur dans mes tempes. Soudain
belle-maman s'exclame, "Oh, elle est jolie" ;
elle me donne une petite tape sur le pénis, puis soudain
elle le prend en main et commence un va-et-vient. Elle me
regarde et me sourit. Je suis paralysé. C'est alors qu'il
me vient l'envie de la toucher, je pose ma main sur son
épaule et je commence à descendre vers son sein couvert
par la serviette, mais soudain elle s'arrête, elle me dit
: arrêtons-nous avant de faire une bêtise et elle quitte
la pièce avant que je ne puisse réagir ou dire quelque chose.
Je retourne dans ma chambre et je lis.
Elle m'appelle pour le repas
du soir. Nous mangeons en échangeant quelques banalités,
mais nous sommes tous les deux très gênés. Nous regagnons
nos chambres sans échanger plus de trois mots. Je vais dans
la salle de bains faire ma toilette, lorsque je ressors,
torse nu et en short, belle-maman sort de sa chambre et
vient près de moi. Elle me dit qu'elle s'excuse pour ce
qui s'est passé dans la salle de bains et qu'il faut oublier.
Je lui dis qu'elle ne doit pas s'excuser et que de mon côté
je n'ai pas envie d'oublier, au contraire, j'ai envie de
recommencer. Sans trop savoir ce je fais, je l'embrasse.
Mes lèvres sont sur ses lèvres, ma langue cherche à s'enfoncer
dans sa bouche ; elle résiste, garde les lèvres fermées,
j'insiste, puis soudain sa bouche s'ouvre, nous échangeons
un fougueux baiser, je sens tout son corps qui se détend.
Nous recommençons plusieurs fois. Je l'embrasse dans le
coup, j'enlève lentement les bretelles qui retiennent sa
robe, qui tombe. Elle porte un soutien-gorge blanc, mes
mains parcourent son corps, caressent ses seins à travers
le soutien-gorge, j'enlève gentiment le soutien-gorge, ses
seins se libèrent, je les caresse, je joue avec ma langue
sur ses tétons ; de son côté, elle caresse mon torse, m'embrasse
dans le cou, me lèche les tétons. Elle baisse mon short,
s'empare de ma bite, qu'elle caresse, commence un va et
vient avec sa main. A mon tour, je lui enlève le slip, nous
nous serrons l'un à l'autre, nous nous embrassons. Elle
se baisse, prends ma bite dans sa bouche tout en la tenant
d'une main. Je suis dans un état second, belle-maman est
agenouillée devant moi, en train de tirer une pipe. Je lui
caresse les cheveux. Lorsque je sens que je vais bientôt
éjaculer, j'arrête Nicole, je la prends dans mes bras, nous
nous embrassons. Ma main explore son intimité, j'enfile
un doigt dans sa chatte, je le ressors pour m'arrêter sur
son clitoris. Elle n'en peut plus. Elle prend ma bite dans
une main et la guide vers sa chatte. Lentement j'entre en
elle. Lorsque je suis au fonds, nous nous arrêtons un instant,
puis lentement, elle commence à bouger, dans un lent va
et vient. Elle jouit en premier, puis c'est mon tour. Nous
sommes totalement épuisés. Elle est appuyée contre le mur
et moi je suis appuyé sur elle. Après quelques minutes,
elle m'embrasse. Puis soudain elle se sépare de moi, prends
ses affaires et elle retourne dans sa chambre.
Je me couche, mais je ne
peux pas dormir. Soudain vers minuit, Nicole entre dans
ma chambre, elle est vêtue de sa chemise de nuit, elle vient
vers moi, soulève le drap et se couche sur moi. Elle m'embrasse.
Je passe mes mains sous sa chemise de nuit, je lui caresse
les seins. Elle est maintenant assise sur moi, qui suis
couché sur le dos. Elle enlève mon short, prends ma bite
en main et elle la guide vers son intimité. Je coulisse
lentement en elle, je sens quelle est déjà toute mouillée.
Elle commence un lent va et vient, assise sur moi qui la
tient par la taille. Elle se penche, elle m'embrasse. Ces
instants sont merveilleux et ils durent longtemps. Nous
jouissons presque ensemble. Elle est sur moi, exténuée,
détendue, heureuse. Alors commence une folle nuit d'amour,
je découvre son corps, ma langue va de ses seins à son clitoris.
Nous jouissons plusieurs fois. Le matin, je me réveille
seul dans mon lit.
La matinée s'est déroulée
comme les autres. Nous évitons de parler de ce qui s'est
passé. Après le repas Nicole se change et part en ville
faire quelques courses. Elle rentre en fin d'après-midi.
Dans sa robe, elle est très séduisante. Je l'embrasse, elle
est embarrassée. Mais très vite elle se laisse allée. Elle
m'emmène dans sa chambre. Pour moi, c'est un endroit magique,
dans lequel je n'étais jamais entré. Le fait de m'emmener
dans sa chambre, c'est comme si elle renonçait à toute résistance,
malgré le fait qu'elle soit ma belle-mère. Nous sommes dans
sa chambre, devant son lit. Nous nous embrassons. Je défais
sa robe, qui tombe, elle porte un soutien-gorge blanc et
un slip blanc, ce qui m'excite beaucoup. Nous faisons l'amour
lentement, j'adore caresser ses seins, l'embrasser, la pénétrer.
Je réalise alors un fantasme auquel je rêvais depuis longtemps,
je la prends en levrette. Je vois encore ses fesses et ses
jambes, légèrement écartées, ce qui est très excitant et
ma bite qui s'avance lentement, puis l'entrée dans son sexe,
guidée par sa main, puis la sensation extraordinaire ressentie
lorsque je la pénètre. Après un léger temps d'arrêt nous
commençons un va-et-vient, merveilleux qui nous conduit
au plaisir. Ensuite, nous descendons manger et nous remontons
dans sa chambre pour faire l'amour. Sa peau est très jolie,
son corps de femme mure m'excite. Elle trouve en moi la
jeunesse, l'amant de sa propre fille.
Le lendemain mon amie revient
et notre rythme normal reprend. Nous rentrons à l'Université.
Durant les fêtes de Noël nous retournons chez belle-maman.
Une après-midi Sophie rend visite à une amie, j'en profite
pour rester seul avec belle-maman. Elle cède rapidement
à mes avances et nous passons toute l'après-midi au lit.
Nous sommes à peine habillés lorsque Sophie revient. Le
soir, je fais l'amour avec Sophie, c'est excitant de faire
l'amour la journée avec la mère et le soir avec la fille.
En février, je déclare à
Sophie que je vais faire une semaine de ski avec un ami.
En fait, je me rends chez belle-maman. Elle ne sait pas
que je viens. J'arrive le lundi soir. Elle est seule chez
elle. Je lui dis que je viens pour une semaine. Nous avons
vécu ensemble une semaine, comme un couple, nous avons fait
chaque jour l'amour. Ce fut inoubliable.
Je me réjouis de ma prochaine
visite à belle-maman. Je suis heureux.
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