Voici comment j'ai trompé mon mari pour la premiere
fois.
Je suis une femme ordinaire
de 42 ans ni belle ni moche, plutôt petite, bonde aux cheveux
courts et portant des lunettes. Physiquement, j'ai de petits
seins (trop petits à mon goût) et un aspect qui n'attire
pas particulièrement le regard (on n'a jamais sifflé sur
mon passage ).
Jusqu'à présent j'étais une
femme fidèle, comme la société et une éducation religieuse
souhaitent nous voir. Parler sexe n'était pas du tout dans
mes habitudes.
Et c'est alors que le démon
de midi est apparu (je croyais que ce phénomène ne concernait
que les hommes qui sont tous plus ou moins cochons et obsédés
à mon avis). J'ai eu envie d'un homme que je fréquente de
temps en temps. Il est plus vieux que moi (j'ai toujours
été attirée par les hommes plus vieux), pas monsieur muscle
du tout, pas très grand non plus. En un mot, très ordinaire.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai eu envie de lui.
Je ne savais pas du tout
comment faire pour l'aborder et lui faire comprendre mon
désir. Après des jours de réflexion, j'ai eu une idée, peut-être
pas très bonne mais je n'ai trouvé que cela.
J'ai attendu un jour où je
savais que sa femme serait absente et je suis allée sonner
à sa porte.
Il m'a ouvert assez étonné
de me voir.
" Bonjour, comment tu
vas ? "
" Bien, merci, mais je
suis venue te voir pour te parler de quelque chose dont
je ne peux pas parler avec mon mari et qui me tracasse énormément
".
Maintenant j'étais obligée
de me jeter à l'eau avec mon histoire qui me paraissait
de plus en plus mauvaise.
Comme il ne me faisait pas
entrer, j'ai dû lui dire que je préférais lui parler à l'intérieur.
Nous nous sommes donc installés dans le salon, face à face.
J'étais habillée comme tous les jours, avec une jupe arrivant
aux genoux et un petit chemisier mais, à l'inverse de mes
habitudes, j'avais troqué mes collants pour des bas Dim.
"Et bien voilà, c'est
assez difficile à expliquer mais je ne vois que toi pour
me conseiller "
Sachant ce que j'allais lui
révéler, j'étais déjà très gênée et j'aurais voulu être
ailleurs.
" Depuis quelque temps,
je reçois des lettres anonymes et je ne sais pas quoi faire
"
" Ah ! Et que disent
ces lettres"
" Elles sont assez osées,
et j'ai peur d'en parler à mon mari, ça doit être un malade
qui les écrit"
" Osées, mais jusqu'à
quel point ?"
" Il me dit qu'il a envie
de moi et il me décrit tout ce qu'il voudrait me faire "
" Et ça te choque vraiment
"
" Oui, je trouve dégoûtant
de parler de ces choses comme cela et il emploie des termes
très crus et veut faire des choses que je ne fais même pas
avec mon mari."
" Ah bon ! Je te trouve
quand même pas très logique. Tu dis que ces lettres te dégoûtent
et si je comprends bien tu les lis quand même. Si tu étais
vraiment choquée, tu les jetterais, non ??? .
" Oui, tu as peut-être
raison mais que puis-je faire pour que ça s'arrête ?
" Moi je crois que tu
ne veux pas vraiment que ça s'arrête. Je pense plutôt qu'il
y a deux femmes en toi, une bien pensante qui s'offusque
comme une grenouille de bénitier et une autre qui désire
secrètement que cela continue et peut-être plus, mais qui
a peur du qu'en dira t on ".
J'étais presque arrivée où
je voulais, encore un petit effort. Je commençais donc à
remuer dans mon fauteuil, à croiser et décroiser mes jambes...
"Je crois même que de
me raconter ça t'excite déjà ? J'ai pas raison ? Je dois
avouer que je suis moi-même excité.
Là, il s'est levé et s'est
assis à côté de moi puis il m'a prise par les épaules, m'a
tournée vers lui et m'a embrassée. Un baiser sauvage, sa
langue était partout. Pendant qu'une de ses mains pressait
mon visage vers le sien, son autre main me malaxait la poitrine,
défaisait les boutons de mon chemisier. J'avais l'impression
qu'il avait dix mains. Sa main me palpait les cuisses, remontait
vers ma culotte, se glissait dessous et me pénétrait. Cela
faisait un moment que j'étais mouillée mais alors là ce
fut le déluge, mes cuisses étaient trempées jusqu'aux genoux.
Je n'aurais jamais imaginé le voir si fougueux.
Puis il m'a allongée sur
le tapis, m'a écartée le plus possible les cuisses et m'a
regardée dans les yeux. J'étais quand même très gênée de
me trouver dans cette position humiliante devant lui, toujours
habillé, mais je sentais que me sentir soumise l'excitait
au plus au point. Après, il ma sucée très longtemps et j'ai
joui constamment. Il s'est alors déshabillé et m'a donné
sa queue à sucer. Je devrais plutôt dire qu'il a violé ma
bouche tant il était...
Je le suçais en enfonçant
son sexe le plus profond possible dans ma gorge et en le
regardant droit dans les yeux.( mon mari m'a dit que regarder
dans les yeux une femme sucer est aussi excitant que le
fait d'être sucé, surtout quand je garde mes lunettes)
Je le masturbais, je le suçais
et pendant ce temps ses doigts étaient partout, j'étais
entièrement violée.
Après, il a mis mes genoux
très hauts sur ses épaules et s'est couché sur moi. Il m'a
pénétrée d'un coup, tout au fond et m'a transpercée de plus
en plus vite, de plus en plus profond. Je criais, je jouissais,
j'étais en sueur, complètement trempée et je souhaitais
que ça dure toujours. Pas une seconde il n'a été question
de préservatif, on était comme des animaux.
Je n'avais plus honte du
tout moi la femme prude et fidèle.
Il s'est alors retiré de mon
sexe et m'a demandé de le sucer. Sa verge était gluante
de mes sécrétions et je n'avais aucun dégoût, je la suçais
et la masturbais à en mourir. Moi qui suçais très peu mon
mari et lui interdisais de jouir dans ma bouche car je trouve
le goût du sperme dégueulasse, je m'apprêtais à recevoir
le sperme d'un inconnu. Quand il est parti, j'ai cru que
ça n'arrêterait jamais, j'en avais partout, dans la bouche
bien sûr mais aussi sur les lunettes, sur les joues et dans
les doigts. Le goût n'était pas meilleur que celui de mon
mari mais je n'ai rien dit quand, avec un doigt, il a ramené
tout son jus gluant dans ma bouche et qu'il m'a fait sucer
mes doigts puis j'ai du garder ce sperme en bouche et jouer
avec avant de l'avaler.
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