Cette aventure remonte à quelques années, alors
que je terminai un cycle d'études et que j'avais besoin
d'un mois de tranquillité pour achever un mémoire.
Ma tante Marie était propriétaire
d'une jolie bâtisse traditionnelle dans les Cévennes, une
ancienne ferme, près d'un petit bourg dont je tairai le
nom. L'occasion se présenta que ma tante Marie, ayant appris
mon souhait de trouver un endroit calme pour travailler,
m'offrit l'hospitalité de cette maison campagnarde, avec
en échange la mission de refaire quelques peintures extérieures,
ce que j'acceptai avec empressement.
J'arrivai donc dans ce village
un matin de début mai, passai prendre les clés à une ferme
voisine, et m'installai, seul dans cette grande bâtisse.
Je m'organisai rapidement ayant fait mes provisions pour
la semaine et acheté les pots de peinture nécessaires à
la réfection promise.
Je passai ainsi plusieurs
jours, alternant le travail à mes études et quelques coups
de pinceaux. Le soir, j'allumai un feu de cheminée pour
chauffer un peu la maison et aussi faire quelques grillades.
Plusieurs jours studieux se passèrent ainsi, dans la douce
quiétude printanière, sans rien ni personne pour me déranger.
Un après midi, je décidai
de me faire couper les cheveux, ayant repéré au village
un salon de coiffure à l'enseigne Marité - coiffure. J'avais
noté qu'il n'y avait pas foule lorsque j'étais passé devant
la maison et me dispensai donc de prendre un rendez-vous.
Il était 16 heures environ
lorsque j'ouvris la porte du salon. Une femme d'environ
45 ans, agréablement ronde, les cheveux mi-longs savamment
coupés, le nez mutin et la bouche pulpeuse m'accueillit
d'un sourire. Le salon était désert et elle lisait un magazine
les jambes croisées sur un siège. Elle portait une robe
décolletée laissant apparaître le sillon de seins prometteurs.
Je crus apercevoir avant qu'elle ne prenne une position
plus discrète la lisière de bas et les pinces de jarretelles.
- Bonjour ! Je suis Marité
m'accueillit-elle d'un sourire..
- Bonjour, je viens pour une
coupe de cheveux, c'est possible maintenant ? Euh vous faîtes
les hommes ?
- Bien sûr, aucun problème,
je fais tout me répondit-elle avec un sourire...
Elle se leva et m'invita
à m'asseoir sur le siège pour le shampooing. Tandis que
l'eau tiède coulait sur mes cheveux, et que je sentais la
fragrance épicée de son parfum tout près de moi, elle commença
à me faire la conversation.
- Vous êtes du pays ? me
demanda-t-elle.
- Pas vraiment, j'occupe quelques
jours la grande maison près de la fontaine aux loups. Elle
appartient à ma tante. Je suis venu pour travailler...
- Ah...je vois. Vous devez
vous ennuyer tout seul là- bas un beau jeune homme comme
vous ?
- Oh non, j'ai du travail,
pour l'université, et puis ma tante m'a demandé de faire
quelques retouches de peinture et de nettoyer un peu autour
de la maison. Alors, j'ai de quoi faire...
Ses mains sur ma tête étaient
douces. Elle me massai les cheveux puis bientôt elle me
les rinça et me fis installer sur le fauteuil devant le
grand miroir.
- Alors je vous les coupe
comment ?
- Assez court, répondis-je...
Malgré moi, je lorgnai sur
son décolleté et nos yeux se rencontrèrent dans le miroir,
les siens espiègles et moi un peu intimidé d'être pris sur
le fait à regarder où je ne devais pas, du moins le croyais-je.
Les ciseaux couraient sur
mon crane et les mèches tombaient. Elle était tout près
de moi et cette promiscuité me troublait de plus en plus.
A plusieurs occasions, je sentis ses seins qui se pressaient
contre mon épaule.
Elle travaillait vite et
bientôt je me trouvais avec une nouvelle tête, bien dégagée.
Elle me sourit, me passa
la brosse et me montra ma nuque au moyen du miroir. Elle
vit cependant mes yeux aller davantage vers son décolleté
que vers ma tête dans la glace.
Je me levai et vins vers
elle lui demander combien je lui devais.
- Cà dépend, répondit-elle
mystérieusement avec un sourire en coin.
- De quoi ?
- De votre habilité...
- Mon habileté ? rétorquai-je
surpris.
- Oui, je vais vous montrer,
venez.
Nous passâmes dans la partie
du salon coté shampooing, qui ne se voyait pas de la rue.
Elle était debout devant
moi et me dit :
- J'ai bien vu que vous matiez
mes seins tout à l'heure...
- Oh non.. pas du tout, arrivai-je
à répondre.
- Ils vous plaisent ? me demanda-t-elle
en pressant les bras pour faire pigeonner son décolleté.
- Euh, oui bien sûr...
- Vous voulez les voir ?
- ...
La situation m'échappait
et je me demandai qui était cette coiffeuse qui me draguait
aussi ouvertement et cela d'autant qu'elle avait près de
20 ans de plus que moi.
Mais alors que je m'attendais
à ce qu'elle dévoile son opulente poitrine, elle commença
à relever sa robe sur ses cuisses gainées de bas.
Je regardai, hypnotisé, le
spectacle de cette coiffeuse découvrant son porte-jarretelles
mais point de culotte. J'aperçus au contraire une jolie
touffe brune taillée alors qu'elle s'asseyait, jambes très
écartées, sur un des fauteuils.
D'un doigt elle ouvrit sa
fente, passant sa langue sur ses lèvres.
- Lèches-moi.
Interloqué, je regardai cette
femme offerte, qui se touchait délicatement en attendant
que je me décide. Finalement je tombai à genoux entre ses
cuisses et approchai mon visage de cette chatte si généreusement
proposée.
- Oui, vas-y. J'aime tellement
çà.
D'un doigt, j'effleurai ses
lèvres intimes tout en me rapprochant de sa fourche dont
je humai la fragrance excitée.
J'y apposai mes lèvres et
de ma langue gourmande et commençai à lécher cette chatte
humide dont le goût, je l'avoue, me plut immédiatement.
J'entrepris alors un cunnilingus
savant, alternant les coups de langue, les doigts, les aspirations
du clitoris bandé et délicieusement sorti de sa gangue.
Pendant ce temps cette jolie
coiffeuse avait sorti ses gros seins de son soutien-gorge
et se les caressait, palpant ses globes avec délectation,
ses doigts aux longs ongles nacrés agaçant et pinçant ses
mamelons durcis.
- Ohh oui c'est bon gémissait-elle.
J'aime çà me faire bouffer la chatte comme çà. Oui.. vas-y
manges-moi.
Ses encouragements m'excitaient
alors que je lapai avec conscience la généreuse cyprine
de cette moule excitée.
D'une main, je sortis ma
queue de ma braguette et je me touchai la hampe en léchant
la chatte mure de ma coiffeuse. Ma langue s'activait sur
son bouton qui roulait, sur, sous mes lèvres.
-Oui.. c'est bon. Oh tu fais
çà... bien mets moi tes doigts aussi vas-y...
Je m'empressai d'obéir et
tout en lui aspirai son clitoris, je lui mis un puis deux
doigts dans son fourreau, alors qu'un troisième excitait
son anus...
C'est alors qu'un bruit de
porte qui s'ouvre attira mon attention. Une jolie jeune
femme brune d'environ 30 ans venait d'entrer par la porte
de derrière et se trouvait à deux mètres de la scène, voyant
une femme aux cuisses gainées de bas écartées à souhait,
assise sur le fauteuil du shampoing et une tête aux cheveux
courts bouger entre les cuisses.
- Ohh, Marité... mais que,
que fais tu ? parvint à articuler l'intruse, le moment de
première stupeur passé.
- Oh c'est toi Elodie, ben
tu vois, je me fais lécher...Continues toi m'ordonna-t-elle
lâchant d'une main ses seins et l'appuyant sur ma tête.
Je lorgnai néanmoins en coin
la nouvelle venue, charmante avec sa jupe courte et son
chemisier ouvert sur un petit caraco.
Je levai les yeux. La coquine
regardait visiblement intéressée.
- Euh dit Marité, je vous
présente Elodie c'est notre boulangère... une amie euh intime...et
hum Elodie je te présente euh un client ... ?
- Chris, dis-je, relevant
un instant ma bouche de la chatte mais continuant à la doigter.
Elodie me regarda, souriante
et pas du tout choquée me sembla-t-il. Je devais être beau
avec mon visage tout enduit de la mouille de la coiffeuse
souriant à cette jeune femme.
- Tu devrais essayer Elodie,
ce coquin me lèche divinement tu sais...invita Marité mais
attends un peu qu'il me fasse jouir... je sens que çà vient.
Tiens assieds-toi sur le siège à côté.
Je poursuivis ce léchage
me masturbant d'une main, ce que remarqua rapidement Elodie.
Elle regardait aussi ma tête
entre les cuisses de Marité. Elle pris place sur le siège
à côté alors que Marité gémissait de plus belle et lui commentait
la qualité de mes coups de langue "Ohh il m'enfonce
deux doigts là et sa langue maintenant, ohh oui"....
La jolie Elodie, ses cheveux
noirs mi longs bien souples me plaisant infiniment, se montrait
intéressée et je vis soudain après un nouveau coup d'œil
de côté qu'elle avait relevé sa jupe et écarté les cuisses.
Sa main bougeait doucement sur sa culotte.
Je sentais que Marité se
tendait et que le plaisir montait en elle. Soudain, alors
que je suçai avidement son clito tout en agitant deux doigts
dans son fourreau, je perçus son gémissement, un feulement
puis un cri de jouissance alors que ses cuisses se serraient
contre ma tête. La cochonne jouissait à fond sous ma langue.
- Oh oui, oui, je jouis..
c'est bon...
Ses doigts suppléèrent ma
langue pour extirper les derniers soubresauts de son orgasme.
Elle reprit ses esprits et son regard se porta sur Elodie
qui se touchait doucement, ses doigts caressant sa motte
par dessus son slip de dentelle.
Marité me fit signe de porter
mon attention sur son amie.
- Ohh Elodie qu'est ce c'est
bon. Tu en as envie je parie...
- Je ne sais pas si...
Mais sans attendre je me
déplaçai et vint poser mes lèvres sur le fin tissu de la
culotte de la jolie boulangère qui ne se refusa pas, au
contraire, elle écarta un peu plus les cuisses. Je léchai
le slip quelques instants, puis, d'un doigt écartai l'élastique
pour poser ma bouche sur sa chatte humide.
Je recommençai donc une nouvelle
prestation sur ma seconde chatte de la journée, tout aussi
réceptive que la première. La jolie boulangère mouillait
abondamment et m'envoyait des flots de cyprine que j'avalai
tel un gourmand.
Son amie "intime"
la coiffeuse en profitait pour sortir les seins d'Elodie
et les caresser puis les sucer tandis que ma langue virevoltait
sur le bouton et les nymphes de la coquine qui se révélait
fort chaude.
Je renouvelai les doigtages
de chatte et de cul me disant que la cochonne ne tarderait
pas à exploser de plaisir à son tour.
C'est alors que tinta la
sonnerie de la porte d'entrée principale du salon. Heureusement
que nous étions cachés mais Marité se releva de suite, et
lissant sa robe sur ses cuisses, nous laissa tout en nous
indiquant que cela devait être Madame le Maire qui avait
rendez-vous pour un coup de peigne avant une inauguration.
Consciencieux, je poursuivais
mon cunnilingus au profit de la boulangère qui, sur le point
de jouir, ne pouvait maintenant reculer et se laissait aller
à son plaisir.
La coquine ne put éviter
quelques gémissements ce qui naturellement attira l'attention
de la coiffeuse et de la cliente. Tout à son orgasme fulgurant,
Elodie fermait les yeux en se pelotant les seins. Je vis
quant à moi les deux femmes qui me regardaient accroupi
entre les cuisses de la boulangère.
La mairesse était une femme
assez grande, à la bouche engageante et aux yeux pétillants,
la quarantaine, les cheveux blonds en chignon, vêtue d'un
tailleur et de jolis escarpins.
- Eh bien Marité, on ne s'ennuie
pas dans ton salon, dit Madame le Maire...
Marité sourit.
- Non, tu vois Véronique,
ce charmant jeune homme qui occupe la ferme de la fontaine
aux loups a accepté de payer en nature sa coupe de cheveux...
- Parce que toi aussi Marité,
tu y es passée.
- Oui, et je te prie de croire
que c'était super... Tu as bien 10 minutes Véronique, jamais
deux sans trois proposa Marité.
- Non, je suis à la bourre
ce soir, mais pas celle que j'aimerai dit-elle en souriant
; je vais à la réunion du conseil général puis j'ai une
cérémonie d'inauguration. tu as juste le temps de me donner
un coup de peigne Marité.
- Tu ne sais pas ce que tu
perds...
Madame le Maire jeta un œil
sur ma queue bandée sortie de ma braguette mais dont personne
ne s'occupait.
- S'il lèche aussi bien qu'il
est monté, effectivement, je regrette d'être prise ce soir,
me dit-elle me regardant dans les yeux.
- Mais c'est vrai çà, dit
Marité qui m'empoigna la bite. Le pauvre chou, il nous lèche
toutes les deux et puis rien. Le pauvre, dis Elodie tu veux
bien lui faire une petite gâterie pendant que je coiffe
Véronique ?
Marité se pencha vers ma
braguette pour goba ma queue pour la sucer quelques instants.
- Hum elle est bonne dit-elle
en se relevant. Bon viens Véronique que j'arrange tes cheveux.
Je pris place à l'invitation
de Marité sur le siège à côté de celui où elle coiffait
Madame le Maire tandis qu'Elodie s'accroupit devant moi
pour me sucer.
Elle défit mon pantalon pour
sortir ma queue et mes couilles du slip et commença une
très honnête fellation sous le regard des deux autres.
- Alors Elodie elle est bonne
sa queue ? lui demanda crûment Marité.
-Hummmm oui super répondit
celle-ci, replongeant sur ma hampe...
J'étais passablement excité,
surtout d'être ainsi sucé devant les deux autres, de telle
sorte que je sentis très rapidement mon plaisir monter...
- Ohh oui, je dis d'un air
annonciateur d'une très prochaine explosion...
Aussitôt Marité arrêta quelques
instants sa coiffure pour se pencher vers ma queue branlée
par la boulangère. Elle approcha son visage, bouche ouverte
et langue sortie attendant de recevoir ma jouissance.
Elodie pelotait mes couilles
en même temps alors que la coiffeuse prit mon gland entre
ses lèvres le suçant fortement, ce qui accéléra encore mon
plaisir de telle sorte que j'explosai devant la bouche de
ces deux coquines, lâchant plusieurs jets de foutre épais,
dont se délectèrent les deux vicieuses.
Marité se releva se léchant
les lèvres et comme çà embrassa Véronique à pleine bouche.
- Ohh Madame le Maire, goûte-moi
ce foutre dit-elle. Celle-ci ne se fit pas prier et je vis
leurs bouches, leurs lèvres unies et leur langue se mélanger
avec mon jus.
Elodie se rajustait prétextant
son retard alors que Marité déclarait :
- Eh Chris tu ne voudrais
pas nous inviter à passer à la fontaine aux loups, te rendre
une petite visite. Cà fait bien longtemps que je n'y suis
plus allée ?
- Euh bien sûr dis-je.. oui
avec plaisir pensant aux gros seins bandants de Marité.
- Que dites-vous de demain
après midi les filles, fit aussitôt celle-ci ?
Un peu interloqué, je la
regardai...
- Toutes, toutes les trois
?
- Oh, je suis libre moi, dit
Véronique à 14.00 heures ?
- Ok dit Marité et toi Elodie
?
- Euh je ne sais pas...
- Mais si on va s'amuser comme
des folles... et puis dit à Marco de venir.. Tu veux bien
Chris ? parce que toi tout seul, avec trois coquines dans
notre genre...
- C'est qui Marco ? demanda
Véronique.
- Tu sais bien, demande à
Elodie... C'est le nouvel apprenti de la boulangerie et
notre chère amie Elodie fait son éducation, un autre apprentissage
si tu veux, hein Elodie ?
- Euh oui mais n'allez pas
le dire à mon mari...
- Bon on est tous d'accord
alors super...
C'est complètement retourné
que je quittai le salon de coiffure, sans avoir payé ma
coupe d'ailleurs, après avoir découvert une vraie salope
en la personne de la coiffeuse du village, une apprentie
cochonne en celle de la boulangère et probablement une troisième
qui n'était autre que le maire du patelin et que toutes
les trois s'étaient invitées à venir me voir dans la maison
de ma tante pour une séance que je devinai forcément assez
chaude compte tenu du premier contact, qui plus est avec
un autre étalon pour encore mieux satisfaire ces dames,
qui apparaissaient au surplus complètement bisexuelles.
Je me demandai si cela n'était
pas un rêve et d'érotiques pensées habitèrent mon sommeil.
Alors que je m'efforçai d'avancer dans mon travail au cours
de la matinée, je me surpris à espérer que cela n'était
pas une plaisanterie et que ces coquines allaient bien arriver
à la ferme.
La première à se présenter
me surprit totalement car je ne l'entendit pas venir. C'était
Véronique, Madame le Maire, qui arrivait en vélo. Elle me
découvrit sur la terrasse de la maison, côté jardin. J'avais
ouvert les deux portes-fenêtres, posé un tapis sur les dalles
et quelques fauteuils compte tenu du beau soleil qui chauffait
au sud. Abritée du vent, cette terrasse était très confortable.
Véronique était en jean
et chemiser blanc largement déboutonné avec un soutien-gorge
de dentelle blanche.
- Bonjour, me dit-elle.
- Ohh bonjour Madame le Maire..
- Véronique répondit-elle...Votre
tante a bien arrangé la ferme.. c'est très agréable et la
vue est splendide non ?
Moi qui matai alors sa poitrine,
je balbutiai :
- Euh oui très jolie vue
dis-je..
Elle sourit et s'approcha
de moi pour poser ses lèvres sur ma bouche et je me retrouvai
à échanger un baiser fort humide avec Véronique qui, sans
hésiter, porta la main sur ma braguette.
C'est alors que le moteur
d'une voiture se fit entendre et après quelque temps, Marité
nous rejoignit bientôt, portant une jupe moulante sur des
jambes gainées de gris et un tee-shirt tout aussi moulant
sous lequel il n'y avait manifestement aucun soutien-gorge.
- Bonjour ! Ohh vous avez
déjà commencé à ce que je vois...
- Mais non j'arrive, dit sa
copine nous nous faisions juste la bise...
- Oui, je vois, avec la langue...
- Je vous sers quelque chose
Mesdames ? J'ai du café ou vous voulez quelque chose de
plus euh fort, un armagnac peut-être une liqueur ?
- Bonne idée, oui dit Marité,
un petit alcool, çà ne fera pas de mal.
Elle prit place sur un fauteuil,
croisant ses jambes, ce qui nous fit voir qu'elle portait
effectivement des bas jarretières.
Alors que je regardai précisément
ses cuisses, sirotant moi aussi mon armagnac, la coquine
les ouvrit pour nous montrer qu'elle s'était également dispensée
de mettre une culotte.
Pendant ce temps, Véronique,
assise près de moi, me caressait la cuisse, remontant de
plus en plus vers ma braguette.
Marité poursuivit son exhibition
et, écartant carrément les cuisses, commença, en nous regardant,
à se masturber, dévoilant ses cuisses et sa fourche épilée.
Je passai une main dans le
chemisier de Madame le Maire pour peloter ses seins, tandis
qu'elle défaisait, de plus en plus fébrilement, les boutons
de ma braguette pour sortir la queue dont elle avait manifestement
très envie.
Elle me prit entre ses doigts
pour me branler tout en regardant sa copine se toucher.
Marité avait relevé son tee-shirt et exhibait ses gros seins
dont elle excitait les bouts de sa main libre.
Enfin, un nouveau bruit attira
notre attention. C'était la camionnette aux couleurs de
la boulangerie locale. Elle franchit la grille et s'arrêta
dans la cour. Elodie, en robe blanche à fines bretelles,
mousseuse, fit son apparition complétant notre réunion,
et cela d'autant qu'elle était accompagnée d'un jeune homme
d'environ 20 22 ans, très brun, qui se révéla être Marco.
Tous deux acceptèrent aussi
une bonne dose de digestif tandis que Véronique s'était
penchée sur ma queue pour me sucer.
Elodie, s'empressa de se
mettre à genoux entre les cuisses de Marité, et fit signe
à Marco de prendre occupation de sa croupe. Celui-ci vint
alors relever la robe de sa patronne pour découvrir un string
mettant en valeur les deux globes fessiers, et plus exactement
les belles miches de la boulangère.
Véronique se releva pour
se déshabiller et elle retira rapidement jean et culotte,
revenant s'asseoir en écartant les cuisses, invitation que
je saisis immédiatement. Ma bouche prit donc possession
de la belle chatte odorante de Madame le Maire.
Elle regardait le trio en
face d'elle appréciant mes jeux de langue et de bouche,
voyant Marco lécher le cul de sa patronne qui se trémoussait
de plaisir en léchant la coiffeuse.
Notre après midi de cochonneries
débutait sur des chapeaux de roue. Je vis Marco se relever
et venir présenter sa belle bite à Marité qui lui fit une
bonne pipe bien baveuse. Puis Elodie et Marité se mirent
tête bêche sur le tapis pour se livrer à un 69 aussi lesbien
que torride alors que Marco, voyant devant lui la croupe
offerte de la coiffeuse, au-dessus de sa patronne, en profita
pour l'enconner fermement, sentant la langue de la boulangère
courir sur la pine coulissant dans le fourreau de Marité.
Pendant ce temps, après que
Véronique m'ait de nouveau sucé, poussant le vice à lécher
ma raie et mon cul, Madame le Maire réclama une solide pénétration
que je lui offris en levrette, tripotant en même temps ses
belles fesses, qui ne semblaient pas refuser quelques tapes
sonores.
Nous variâmes les plaisirs
et je pus baiser Elodie, alors que Marco rendait hommage
à Madame le Maire.
Les coquines se joignirent
rapidement à nous pour rivaliser de coprolalie excitante,
suppliant de se faire fourrer défoncer, ramoner le con,
la bouche et le cul par deux grosses pines alors que de
notre côté nous exprimions obligeamment notre plaisir à
enfiler des grosses putes, de belles salopes, des jouisseuses
du cul, de bouffeuses de bites et de foutre et force autres
qualificatifs qui nous transformèrent en bêtes orgiaques,
toutes à la célébration vicieuse de leur plaisir.
La première sodomie de la
journée fut naturellement offerte à Marité, qui pris très
élégamment mon braquemart dans son cul se branlant la moule
comme une folle en jouissant en continu.
Les cris de jouissance, les
orgasmes se succédèrent. Sous le regard des trois femelles
excitées, nous dûmes Marco et moi, mais nous le fîmes avec
plaisir, nous branler et nous sucer devant les trois dames
qui se masturbaient de concert.
Après une heure de bonne
baise et d'échanges multiples, nous primes quelques instants
de repos et je pus servir le café préparé que nous dégustâmes
nus sur la terrasse, recommençant nos agaceries, lesquelles
remirent tout le monde sur le chemin du désir, de l'excitation,
bref, à nos bandaisons renouvelées correspondaient des flots
de mouille.
Un peu d'ordre était nécessaire.
En hôte soucieux du plaisir de mes invités, je pris les
choses en main
- Attendez Mesdames dis-je.
Nous allons jouer à un petit jeu. Je parie que vous aimez
toutes vous faire prendre par deux bites en même temps non
?
Les trois coquines o-pinèrent
à l'unisson.
- Voilà, Marco et moi on
va vous enfiler chacun son tour tous les deux en même temps.
Mais attention, les trous seront tirés au sort. Vous n'avez
pas le choix. Voyez, je fais trois papiers : un marqué "bouche",
un autre : j'écris : "chatte" et le troisième
vous voyez : je marque "cul". Chacune à votre
tour, vous allez tirer deux papiers et Marco et moi, on
fera ce qu'il faut en fonction de votre ... chance. OK Mesdames
?
Nouvel assentiment unanime
des cochonnes.
- Alors qui commence ?
- La préséance demande que
Madame la Mairesse commence, propose Elodie.
- Véronique ?
- Bon d'accord, je veux bien
commencer dit-elle en approchant sa main de la soucoupe
où se trouvent les papiers pliés.
- Alors Véronique ?
Elle avait ses deux papiers
qu'elle lisait et qu'elle nous montra. Chatte et Bouche
dit-elle.
Marco et moi fîmes notre
devoir, lui dans la chatte de Madame le Maire, prise en
levrette et moi-même dans sa bouche. C'était la plus douée
des trois en matière de fellation. Marité était vorace et
gourmande, Véronique se montrait plus experte et raffinée
et je dirai même plus cochonne.
Véronique explosa bientôt
de jouissance avant même que Marco et moi puissions changer
de position.
Ce fut le tour d'Elodie qui
piocha "bouche" et "cul".
- Ohh, dit elle...
Marité qui s'était de nouveau
tranquillement gouinée avec Elodie tandis que Marco et moi
baisions Véronique, s'empressa de venir préparer l'anus
délicat de la boulangère avec force caresses, coups de langue,
lubrifiant le chemin de mouille et de salive, décontractant
la rondelle palpitante de désir et d'appréhension.
D'autorité, je décidai que
je serai l'enculeur de la boulangère qui avalait déjà la
bite de son apprenti, de moins en moins timide en face de
ces femelles dévergondées à l'extrême.
Marité, toujours serviable,
présentai ma queue à l'entrée de la rosette de sa copine,
caressant de mon gland la raie humide. Bientôt, forçant
la résistance de l'anus, je pénétrai ce joli derrière. Elodie
gémissait, ses plaintes et soupirs étouffés par la bite
dans sa bouche, prise entre douleur et plaisir d'être écartelée.
Mais finalement, la garce
apprécia grandement un tel traitement et par la suite en
redemanda, son cul avalant alternativement la queue de Marco
et la mienne.
Marité s'impatientai et elle
se rua sur les papiers après que nous eûmes fait jouir la
belle boulangère.
Elle tira "chatte"
et "cul", à sa grande et libidineuse satisfaction.
Nous nous concertâmes avec
Marco et lui indiqua que je voulais bien commencer par le
con.
Je m'assis donc sur le canapé,
et Marité vint s'enfourcher, face à moi, sur ma queue bien
raide, non sans que Madame le Maire ait quelque peu salivé
dessus, alors que la patronne de l'apprenti mitron faisait
de même sur son jeune chibre.
Je limai quelques minutes
la chatte de la coiffeuse et je sentis bientôt, dans son
petit trou, l'introduction parfaite de la bite de Marco.
Nous ressentions notre queue l'une contre l'autre, séparées
par la paroi de chair alors qu'en alternance nous fourrions
le devant et le derrière de Marité, aux nages, qui gémissait
et criait de plaisir, sous le regard envieux des deux autres
dames, la main entre leurs cuisses.
Après ces nouvelles délices,
Marco et moi prîmes un plaisir bien mérité en jutant sur
les seins et dans la bouche des trois cochonnes, qui naturellement
firent en sorte de tout avaler.
- Où fait-on pipi ? demanda
soudain Marité alors que nous reprenions nos esprits...
- Moi aussi, j'ai envie renchérit
Elodie.
Je la regardai et répondis
"Mais ici même Marité". Venez...
Nous avançâmes tous les cinq,
nus, sur l'herbe au-delà de la terrasse et, debout, même
les trois femmes, nous nous mîmes à uriner de concert. Chacun
regardait les autres pisser.
A côté de moi, Véronique
prit ma queue pour diriger quelques jets dorés sur sa touffe
me regardant d'un air vicieux., me faisant penser de n'être
pas allée au bout de la perversité de la première dame de
la ville.
Nous avons poursuivi cette
partouze, il faut bien l'appeler par son nom, une partie
de l'après midi, variant à l'infini les possibilités, jusqu'à
l'épuisement de nos sens. Nous explorâmes quelques voies
intéressantes et des plus perverses, notamment quelques
pipes à deux bouches en double mixte, qui excita fort ces
dames, des doigts féminins bien a fond dans les culs des
hommes, une double branlette espagnole superbe entre les
gros seins accueillants de Marité, et même un quignon bien
dur d'une baguette en provenance sûrement de la boulangerie
d'Elodie qui sembla apprécier la prendre dans son con distendu,
alors que Madame le Maire, proprement enculée par Marco,
fistait la large chatte de Marité.
Finalement, Elodie repartit,
au volant de sa camionnette de livraison, non sans avoir
reçu une dernière fois la queue de son apprenti entre les
cuisses. Marco, après avoir enfourché ces dames, enfourcha
son cyclomoteur retiré du fourgon, et partit rejoindre la
boulangerie.
Véronique et Marité restèrent
encore quelque temps, nues, se mignardant doucement, repues
de plaisirs et de jouissance, tandis que je faisais quelques
rangements.
Elles se rhabillèrent alors,
chacune venant poser ses lèvres sur ma queue, à titre d'au
revoir coquin, enchantées de leur après midi polissonne.
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