Je venais de finir mon travail et de rentrer chez
moi quand le téléphone sonna :
- Monsieur Luc Gerra ?
- Oui, répondis-je.
- Vous avez gagnéééé !
- Pardon ?
- Vous avez gagnééééé !
- Et qu'est-ce que j'ai gagné
?
- Vous ne vous souvenez pas
? Vous aviez acheté un billet de tombola ?
Je fouillai rapidement dans
ma mémoire et me souvins effectivement avoir acheté un ticket
à un de ces groupes d'étudiants bizutés. La voix féminine
du téléphone reprit :
- Quand pouvez-vous venir chercher
votre lot ?
- Je ne sais pas... Qu'est-ce
que j'ai gagné ?
- C'est une surprise, me dit-elle.
Est-ce que vous pouvez venir maintenant ?
- Bon. Pourquoi pas ?
La voix me laissa une adresse
et un nom puis raccrocha. Intrigué, j'enfilai ma veste et
sortis.
L'adresse correspondait à un
vieil immeuble du centre-ville. J'appuyai sur la sonnette
correspondant au nom qu'elle m'avait laissé. Une voix nasillarde
m'indiqua le deuxième étage, porte de gauche.
Arrivé sur le seuil de la porte,
je frappai. Une jeune fille m'ouvrit, m'invita à entrer. Derrière
elle, se trouvait un garçon en train de filmer mon arriver.
Sur la table basse du salon, trônaient une multitude de cadavres
de cannettes de bière.
La jeune fille me sauta au
cou, m'embrassa les joues en me criant à l'oreille : "
Bravo Luc ! ". Puis, elle chercha une bouteille encore
pleine sur la table et me la tendit. Le jeune homme me filmait
toujours. Je pris la parole :
- Bien, bien.
- Alors, me dit-elle, qu'est-ce
que ça fait d'avoir gagné ?
- Pour l'instant, pas grand-chose,
car je ne crois pas encore connaître mon lot.
- C'est LE gros lot, me dit-elle
en riant. Suivez-moi.
Je la suivis, moi-même suivi
par le cameraman amateur. Derrière une porte, se trouvait
un énorme carton, haut de peut-être 2 mètres. La jeune fille,
habillée d'un short en jean et d'un T-Shirt aux couleurs de
son école me dit de l'ouvrir. Je défis le ruban et ouvrit
la boîte. La surprise fut de taille.
Une jeune fille sortit du carton
rapidement vint coller sa bouche contre la mienne. Elle en
profitait largement pour plaquer ses seins, que je sentais
énorme, contre mon buste. La jeune fille qui m'avait accueilli
me dit :
- Voilà le gros lot de la tombola.
- Qu'est ce que ça veut dire
?, dis-je un peu émoustillé.
- C'est notre gage de bizutage.
La tombola a rapporté pas mal de sous pour organiser une beuverie
pour la promo. Mais encore fallait-il trouver le cadeau qu'aurait
le gagnant...
- Alors, comme c'est moi qui
vous ai vendu le ticket gagnant, me dit mon cadeau, j'ai été
désignée pour être le gros lot !
- Gros lot, en effet, lui répondis-je
en matant son maillot tendu à l'extrême par ses seins.
- Et moi, continua l'hôtesse,
en tant que deuxième année, je suis chargée de superviser
la remise du prix, pour m'assurer que tout se déroule dans
de bonnes conditions. Je vous présente également David, qui
mettra un point d'honneur à immortaliser la scène et à réaliser
le meilleur compte-rendu possible pour toutes les deuxièmes
années !
- Salut Luc, me dit David en
me faisant un signe de la main, l'œil toujours collé à son
viseur.
Et bien ! Si je m'attendais
à ça. Le programme était plutôt tentant et le gros lot franchement
appétissant. Mais quand même, ce bizutage allait un peu loin...
- Vous savez, je ne sais pas,
si je dois accepter mon cadeau. Je ne sais même pas si vous
êtes majeures. Je ne voudrais pas être accusé de détournement
de mineurs ou... de viol même !
Mon hôtesse me répondit que
mon cadeau, prénommée Sophie, s'était engagé à respecter sa
promesse et que les deuxièmes années n'apprécieraient vraiment
pas qu'elle se dégonfle (si je puis dire). Et pour couper
court à mes craintes, Sophie se présenta face à la caméra
et prononça : " je suis pleinement consentante de me
livrer totalement à Luc, ici présent, pour les deux heures
à venir. Je suis également pleinement consentante que David
filme ces heures et que la cassette soit diffusée à n'importe
qui. "
Comment refuser maintenant
? Et puis, si elle s'était engagée vis à vis des deuxièmes
années, il n'était probablement pour elle que je refuse. Ca
risquait de la mettre dans une mauvaise situation.
Sophie m'entraîna alors au
salon et me fit asseoir sur le canapé et s'assit sur la table
basse en face de moi. Elle prit une bouteille, la décapsula
et en but quelques gorgées. Une bonne partie de la bière coula
hors de sa bouche, de sa gorge jusqu'à son maillot.
- Oh, dit-elle, j'ai mouillé
mon maillot. Je ne vois qu'une solution.
Sur ce, elle ôta son T-Shirt
et je découvris sa poitrine. Magnifique, sublime. Une poitrine
aux seins parfaitement dessinés, d'une dimension incomparable.
La belle Sophie joua à placer la bouteille entre ses deux
globes. Elle entamait une simulation de branlette espagnole.
Elle savait exciter son public.
L'hôtesse, de son côté, nous
regardait tandis que le cameraman semblait se focaliser sur
la poitrine de Sophie. Ce spectacle, je l'avoue, était loin
de ma laisser indifférent et une bosse se forma rapidement
sous mon pantalon. L'œil vif, et visiblement aguerri de Sophie,
le repéra aussitôt et le sortit de sa prison.
Elle passa sa langue sur ses
lèvres, me lança un regard coquin puis fixa la caméra et dit
: " Remise du Gros Lot :Entrée ". Elle tourna sa
tête vers moi et tout en me regardant se penchant pour venir
lécher mon sexe. Ses lèvres humides se déposèrent sur mon
gland et elle me fit un baiser. Aussitôt, une goutte pointa
sur mon gland. Sophie la remarqua et vint passer un coup de
langue.
Alors que tout avait été très
lent, très doux, jusqu'à présent, Sophie accéléra le rythme.
Elle goba entièrement ma queue, l'aspirant profondément tout
en me branlant de sa main gauche. La droite n'était pas en
reste car elle pressait son sein contre ma verge. Douce sensation
que cette chair contre mon membre tendu. Elle se mit ensuite
à sucer mes boules et remonta le long de ma tige. Elle l'enfourna
de nouveau dans sa bouche en poussant de petits gémissements.
C'était une experte, croyez-moi ! Voyant que David avait du
mal à cadrer l'action, je lui facilitai la chose en relevant
les cheveux blonds de la belle.
Sophie continua encore quelques
instants puis se leva. Elle se frotta contre moi. Ses seins
étaient à hauteur de ma bouche. Je ne pus résister à ce supplice
de Tantale et en attrapai un dans chaque main. Je les pressai
l'un contre l'autre, jouant avec eux. Je pinçai ses tétons,
devenus maintenant tous durs. J'approchai ma bouche et les
suçai maintenant tour à tour. Sophie se serra encore plus
fort contre moi en gémissant.
Après quelques secondes de ce
traitement, elle se décolla. Elle entama une danse très sexy
devant moi. Elle se baissait de telle sorte que je découvris
que sa mini-jupe noire ne cachait aucune culotte. A cet instant,
mon hôtesse, dénommée Lucie, s'approcha et commença à me déshabiller.
Vêtue elle aussi, d'une très courte jupe, elle prenait soin
de bien me coller. Je sentis plusieurs fois ses seins, moins
volumineux que ceux de Sophie, contre mon visage.
A présent nu comme un ver,
j'admirai le spectacle que me donnait Sophie. Lucie, assise
à côté de moi, prit mon sexe en main et commença à le branler.
Sophie vint vers nous à reculons. Elle fit glisser sa jupe
et apparut nue à son tour. Elle était maintenant à quelques
centimètres de moi. Je pouvais même distinguer le jus qui
s'écoulait de son minou bien excité. Lucie se pencha un peu
et, tout en me branlant, donna quelques coups de langue sur
la chatte de son amie. Sophie se baissa et Lucie guida mon
sexe à l'entrée de son vagin. Elle s'assit d'un coup sec et
j'entrai en elle violemment. Hummm, quel bonheur ! Sophie,
assise sur moi, dirigeait la danse. Elle bougeait tout en
douceur et ma queue se trouvait au paradis. Je passai mes
bras devant elle et empoignai de nouveau ses mamelons. Je
les pétrissais sans retenue. Lucie se leva et se colla contre
Sophie. Elle l'embrassa à pleine bouche. Je posai maintenant
mes mains sur les fesses de Lucie. Je risquai une main sous
sa jupe et découvris qu'elle non plus ne portait pas de culotte.
David s'approcha à son tour
et fit un gros plan du baiser que s'échangeaient les deux
créatures. Je fis glisser la jupe de Lucie et entra un doigt
dans son sexe, lui aussi bien humide. Un autre de mes doigts
vint le rejoindre, puis un troisième, sans problème. Sophie
enleva le maillot de son amie et commença à lui lécher les
seins. Elles se touchaient et ce petit jeu commençait à vraiment
me plaire. Je synchronisai les mouvements de mon bassin avec
ceux de ma main. La chatte de Lucie était maintenant complètement
inondée. Je retirai ma main de cet antre du désir et la portai
à la bouche de Sophie. Celle-ci, plus gloutonne que jamais,
se fit un devoir de lécher chacun de mes doigts, mouillés
par la liqueur de Lucie. David ne perdait toujours pas une
miette de ce spectacle.
Sentant que j'étais sur le
point de défaillir, Sophie se leva et s'allongea sur le tapis
du salon. Lucie, qui semblait appréciait gouiner sa copine,
se plaça sur elle, à contre-sens. Elles entamèrent alors un
somptueux 69 que David immortalisa avec son caméscope. J'avais
devant moi les fesses bien rebondies de Lucie et, il faut
bien l'avouer, celles-ci me tentaient horriblement. Ne pouvant
résister à une telle offre, je m'approchai de ce couple féminin.
Sophie comprit immédiatement mon intention. La bouche collée
au sexe de Lucie, elle le quitta un instant pour venir donner
quelques coups de langue experts sur ma queue. Voilà un bon
lubrifiant naturel ! Je pris alors ma queue en main et la
postai à l'entrée du cul de Lucie. Une bonne sodomie s'imposait
! David comprit lui aussi ce que j'allais faire et approcha
sa caméra à quelques centimètres du feu de l'action.
Je poussai mon bassin en avant
et mes premiers centimètres rentrèrent sans difficulté. Je
ressortis de cet orifice pour présenter ma queue aux lèvres
de Sophie. Celle-ci nettoya le tout, prenant bien soin de
déposer quelques filets de salive sur le gland. Je pénétrai
alors de nouveau dans l'anus de Lucie, et cette fois, jusqu'à
la garde. Lucie poussa un cri, retourna sa tête et me jeta
un regard animal. En tout cas, elle ne semblait pas vouloir
refuser le traitement que je lui proposais.
Son anus, bien étroit et peu
distendu, me permettait d'avoir un maximum de contact avec
son conduit. Je l'enculai vaillamment, sans autre forme de
procès. Sophie continuait toujours son boulot, léchant admirablement
et consciencieusement le minou de sa partenaire. David se
positionna face à Sophie pour nous avoir tous les trois dans
son champ de vision. Lucie releva un instant la tête et tomba
nez à nez avec la braguette du jeune homme. Elle la défit
rapidement, fit tomber son pantalon et attrapa une queue de
taille honorable et visiblement excitée. Elle la goba immédiatement.
J'avis donc en face de moi David qui se faisait goulûment
sucer par Lucie, qui, elle-même se faisait brouter le minou
par Sophie tandis que de mon côté, j'enculai fièrement cette
même Lucie. Les copains de Lucie risquaient de tâcher leurs
caleçons en regardant la vidéo filmée par David...
Sophie semblait maintenant
un peu jalouse car finalement, plus personne de s'occupait
d'elle. David, préférant encore pour quelque temps se réserver
aux bons soins prodigués par Lucie et ma queue étant déjà
dans le cul de Sophie, je ne vis qu'une solution. Je montrai
du doigt à Lucie la bouteille de bière que Sophie avait utilisée
tout à l'heure. La coquine qu'elle était n'hésita pas une
seconde. Elle mima une fellation à cette canette puis l'enfourna
dans la chatte gourmande de Sophie tout en continuant à sucer
David. Cette scène continua encore quelques instants. Puis,
David visiblement trop ému pour continuer à s'occuper de la
caméra, la posa sur le buffet, vérifia que nous étions tous
dans le cadre et nous rejoignit.
Une fois David revenu parmi
nous, c'est Lucie qui nous quitta pour prendre la caméra en
main. Sophie se présenta devant le caméscope, les seins fièrement
dressés :
- Après avoir sucé notre gagnant
et après lui avoir offert ma belle petite chatte, je vous
annonce officiellement que s'il le désire, il va pouvoir goûter
à mon cul dans les minutes qui viennent !
- C'est une invitation qui ne
se refuse pas, prononça David.
- En effet, répondis-je, mais
j'ai l'impression qu'il y a de la place pour deux. Pourquoi
ne viendrais-tu pas te joindre à moi ?
Sophie avait l'air un peu anxieuse,
suite à ma proposition. Mais, comme lui fit remarquer Lucie,
elle s'était engagée à satisfaire le moindre de mes désirs.
Aussi, elle ne protesta nullement quand je l'invitai à rejoindre
David, qui était assis sur le canapé. Elle s'assit à califourchon
sur lui, s'emmanchant sur le membre de son partenaire. Je
lui tendis ma queue à sucer et elle s'exécuta docilement.
David, quant à lui, s'étouffait entre les nichons de la belle.
Après un moment très agréable de pompage, je me retirai de
sa bouche et vins me placer derrière eux. Je rentrai immédiatement
un, puis deux doigts dans son anus. Si elle n'était pas vierge
de ce côté, elle devait, en tout cas, n'avoir pas du recevoir
beaucoup de bites par ce trou car mes doigts eurent un peu
de mal à faire leur place. Je plaçai ensuite mon sexe contre
son œillet et poussai lentement. " Doucement ",
me dit-elle en se retournant. J'appuyai encore un peu. Ca
y est, mon gland était absorbé. Je poussai encore et son cul
accueillit quelques centimètres supplémentaires. Je m'agrippai
à ses hanches et enfonçai le reste. J'étais au fond. Sophie
cria, s'immobilisa quelques instants puis commença de lents
mouvements. Je la laissai diriger les opérations pour ne pas
lui faire mal. Petit à petit, ses mouvements se firent plus
rapides et plus forts. Bientôt, elle ne s'épargnait plus et
je commençai moi-même à bouger mon bassin. Cela eut un effet
immédiat car elle hurla sa subite jouissance. Je m'enfonçai
et me retirai rapidement. Je sentais le sexe de David à travers
la faible paroi qui nous séparait. Cela m'excitait terriblement.
Nous la ramonions sans délicatesse et Sophie semblait apprécier.
Lucie filmait la scène de près, ne voulant manquer aucun angle
de vue. Elle s'approcha de moi. Elle suça l'index de sa main
libre et commença à me caresser l'anus. Cela eut pour effet
de m'exciter encore plus et je faillis tout lâcher dans le
cul de Sophie. Cette double pénétration était pour moi un
vieux fantasme et le fait de le réaliser m'enivrait totalement.
Il fallait absolument que je me calme si je voulais profiter
encore un moment de cette formidable opportunité. Je me retirai
donc et laissai Sophie aux prises avec David.
Je m'assis par terre, le nez
collé au sexe de Sophie. Je voyais en très gros plan cette
queue coulissait à l'intérieur de son vagin. A un moment,
David sortit de Sophie. Je ne pus m'empêcher d'intervenir.
Je pris sa bite entre les doigts, le branlai un peu et le
conduisit à l'entrée de la chatte de Sophie. C'était la première
fois que je touchais le sexe d'un autre homme et cela ne me
déplut pas. Loin de là, même... J'étais fasciné par ce membre
qui entrait et sortait. Une fois de plus, la queue de David
se retrouva hors de la chatte de Sophie. De nouveau, j'en
profitai pour le caresser. Et puis, je me dis que l'occasion
était trop belle. J'approchai ma tête et donnai quelques coups
de langue sur cette queue, mouillée de la cyprine de Sophie.
La sensation était assez étrange mais pas déplaisante. Je
m'approchai un peu plus et commençai à sucer le gland. Sophie
me facilita la chose en se relevant un peu. J'avais à présent
ce sexe masculin à disposition. Je décidai d'aller jusqu'au
bout et le pris entièrement en bouche. Je sentais le sang
affluer dans cette verge tendue au maximum. Je le suçai encore.
Mais, quand je sentis qu'il allait éjaculer, j'arrêtai, pas
encore prêt à franchir cette nouvelle étape. Peut-être la
prochaine fois... Je donnai un dernier coup de langue et plaçai
la bite de David à l'entrée du cul de Sophie. Celle-ci ne
se fit pas prier et se l'enfonça jusqu'au bout. Finalement,
elle semblait réellement apprécier la sodomie...
Je me mis un peu à l'écart
pour apprécier la vue. Sophie s'aperçut de ma disparition
et quitta David. Elle ne voulait décidément pas que le gagnant
du gros lot s'ennuie une seule seconde. Assis sur une chaise,
je la vis s'approcher de moi. Elle prit ma queue entre ses
seins et entama une branlette espagnole. Le rêve absolu !
Elle profitait pour donner un coup de langue à chaque fois
que ma queue émergeait de sa généreuse poitrine.
Lucie qui filmait toujours la
scène invita David à ne pas rester dans son coin. Elle posa
le caméscope sur la table en gardant l'œil collé au viseur.
David profita de l'occasion et la pénétra par derrière. La
table remuait sous ses coups de boutoir.
La poitrine de Sophie était
chaude, terriblement accueillante. Je me promis de lui réserver
une bonne partie de ma semence. Je jetai un coup d'œil à l'autre
couple et vis que David était en train de jouir. Lucie n'était
plus vraiment en état de vérifier l'image dans le viseur.
Elle donna ensuite la caméra à David qui fut chargé d'enregistrer
la scène finale. Lucie nous rejoignit.
Etant un adepte des films porno,
je fantasmai déjà à l'idée d'éjaculer sur leurs corps. Elles
me prirent successivement en bouche. Les deux filles, agenouillées
devant moi, me suçaient à la perfection. Leurs langues se
collaient, se joignaient. L'une s'occupait de mes boules tandis
que l'autre avalait ma queue. Je ne pus résister longtemps
et les prévins. Sophie s'occupa alors de moi. Elle me suça
violemment tout en me branlant. Le résultat ne fut pas long
à arriver et j'explosai dans sa bouche. Quel panard ! Je sortis
de cet orifice. Sophie continua à me branler et un nouveau
jet atterrit cette fois sur le visage de son amie. Elle l'accueillit
avec un grand sourire. Je dirigeai cette fois ma queue vers
la poitrine de Sophie et le dernier jet fut pour ses seins.
Je me calai entre ces nibards et Lucie léchait la moindre
partie de ma queue qui refaisait surface. Elles me nettoyèrent
ensuite tour à tour.
Je restai ainsi un moment,
en béatitude totale. Les deux filles me rhabillèrent tendrement,
prenant soin d'embrasser chaque partie de mon corps avant
de la vêtir. David filmait les derniers instants de cette
mémorable remise de prix. Sur le pas de la porte, Sophie me
félicita d'avoir acheté ce ticket.
- Mais, c'est moi qui vous remercie
tous les trois. Et si vous organisez une nouvelle tombola,
n'hésitez pas à venir me vendre un billet.
- Promis, me répondirent-elles
en riant.
La porte se referma et je retournai
chez moi, heureux d'avoir décroche LE gros lot...
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