J'attendais l'heure du départ de mon avion dans
une salle d'attente de l'aéroport Charles De Gaule.
Il y avait pas mal de voyageurs
en partance pour deux destinations opposées. L'une était
une grande ville des Etats-Unis, l'autre la capitale d'un
pays de l'hémisphère sud, ma destination. J'avais encore
une petite demie heure à attendre...
Je rêvassais quand une femme
vint s'asseoir sur le fauteuil à côté de celui que j'avais
investi.
Je me tournais discrètement
vers elle et j'eus un flash.
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Cette cliente avait la réputation
de parler à ses interlocuteurs mâles à une distance tellement
faible, que son corps frôlait celui de l'autre. Je ne voulais
pas croire à cela.
Le secteur d'activité de
son entreprise était saisonnier, et c'est surtout l'hiver
qu'elle faisait appel à nos services. Des collègues, amateurs
de ski, se disputaient toujours les interventions demandées.
Il arriva un jour que cette
cliente demanda une intervention en été, et les collègues
se disputèrent pour ne pas y aller. Il me fallut me dévouer...
Une fois en présence de la
personne qui était souvent l'objet de nos discussions plus
ou moins égrillardes, je dus modifier l'opinion que je m'étais
faite de la personne en question.
Il ne m'avait pas été rapporté
qu'elle était jeune, la trentaine tout juste, qu'elle était
célibataire, bien proportionnée de partout à l'exception
d'une poitrine forte, qu'elle avait de beaux yeux bleus
clairs et que son sourire était ravageur.
Ce qui était vrai, c'est
qu'elle se rapprochait vraiment beaucoup de moi pour me
parler...
Il faisait très beau ce vendredi
là et même chaud compte tenu de l'altitude du lieu. Marine,
c'est ainsi qu'elle me demanda de m'adresser à elle, était
vêtue d'une robe d'été en coton léger. Je remarquais d'entrée
que le haut était sagement boutonné haut, et je ne remarquais
que le volume respectable de ses seins.
Marine m'avait fait venir
parce que son système ne fonctionnait pas correctement,
et ce malgré de multiples interventions faites tant par
mes collègues que des gens d'autres sociétés. Je ne pus
m'empêcher de me dire que les intervenants ne pouvaient
pas travailler correctement en présence d'une telle personne.
Ils devaient forcément penser à autre chose qu'au système
en panne...
Je posais des questions sur
les manifestations indésirables du système, et écoutais
en faisant de gros efforts pour ne penser qu'à ses réponses.
Dix minutes plus tard j'avais
assez d'éléments pour me mettre au travail. J'eus la chance,
ou le savoir faire, de trouver la cause réelle en une demi-heure,
et en un quart d'heure la machine était réparée. Marine
était perplexe et suspicieuse quand je décrétais la panne
résolue.
Elle lança une manip qui
devait durer une bonne heure. "Je ne vais pas vous
laisser partir sans avoir vérifié que tout marche bien."
Elle avait dit cela alors
que ses bouts de seins frôlaient ma chemise, et en me regardant
droit dans les yeux. Je reçu ces propos avec tout le contexte
équivoque qu'elle y avait peut-être mis...
Puis elle m'offrit un café.
Pendant qu'elle le préparait, je baillais.
"Vous êtes fatigué ?"
"Oui, je me suis levé
tôt..."
"C'est vrai, quand vous
m'avez annoncé votre arrivée pour huit heures, je n'y ai
pas cru. Vos collègues arrivent toujours beaucoup plus tard...
Si vous voulez, il y a un canapé dans mon bureau, vous pouvez
vous allonger le temps de préparer le café."
Bien entendu je déclinais
cette offre.
Elle continua : "Vous
faites toujours les choses aussi vite ?"
Je décidais de jouer aussi
le registre ambigu. "Non, parfois je prends mon temps..."
Elle vint vers moi, une tasse
pleine de café dans chaque main. Elle s'approcha encore
très près. Il n'y avait nullement besoin de cette proximité
pour que je puisse voir que sa chemise était maintenant
largement déboutonnée. Elle portait un soutien-gorge pigeonnant
qui faisait gonfler ses seins, tout en laissant la partie
supérieure bien dégagée. Je ne pouvais détacher mes yeux
de ce spectacle.
"Vous aimez ?"
"Oui, votre café est
excellent." Et avant qu'elle puisse dire quoique ce
soit j'ajoutais : "J'aime aussi regarder vos seins.
Ils sont beaux."
La répartie fusa : "Finissez
votre café et libérez-les..."
Je finis ma tasse d'une gorgée,
comme si j'avais peur qu'elle change d'avis, et la posais
sur la table.
Je finis de déboutonner sa
chemise et la tirais un peu en arrière. Puis je dégrafais
son parachute et libérais ses seins. Ils se tenaient bien
droits, orgueilleux et fiers. Elle avait déjà les tétons
gonflés montrant son degré d’excitation. Je posais mes mains
sur sa poitrine et me mis à masser les globes. Elle se cambra
en arrière et son pubis vint au contact du mien. Puis elle
posa sa tasse et mis ses mains sur mes épaules.
Je la fis tourner et la poussais
à s'allonger sur la table. Je plaçais rapidement deux chaises
pour qu'elle puisse y poser ses jambes et retroussais sa
jupe.
La jupe était assez ample
pour bien dégager ses jambes. Elle avait dessous un petit
string qui cachait à peine les poils de son pubis. Après
avoir enlevé le petit morceau de tissus je mis à l'air son
entrejambe et découvris les lèvres de son vagin en lui écartant
les cuisses.
Ce fut un choc. Elle avait
un clitoris de la taille d'une phalange de petit doigt.
Elle remarqua mon étonnement.
"Tu es choqué ?"
"Par quoi ?"
"Par mon clito..."
"Je ne suis pas choqué.
Je suis étonné."
"Cela ne te gêne pas
?"
"Non, pourquoi ?"
"Beaucoup de mes amants trouvent cela déguelasse, et
partent bien vite..."
Je me mis à lécher, puis
à aspirer son clito en le prenant délicatement dans ma bouche.
Elle sentait bon la femme qui à envie de se faire baiser.
Manifestement elle avait
pris un bain ce matin, s'était lavée et l'odeur qu'elle
dégageait était celle d'une mouille fraîche.
Plus je la suçais, plus son
clitoris gonflait. J'avais l'impression de faire une pipe...
Marine commençait à gémir
de plus en plus fort. Tout en continuant à agacer sa petite
bite, je faisais rouler ses tétons entre mes doigts. Son
orgasme se déclencha subitement. Marine déclama des mots
sans suite, comme si elle délirait. Son corps se mit à trembler
et elle serra ma tête entre ses cuisses.
Pendant tout le temps que
dura sa jouissance, je continuais à aspirer son clitoris
et à masser sa poitrine. Elle hurla puis se détendit. Pendant
qu'elle était immobile allongée les bras en croix, je défis
mon pantalon, enlevais mon slip, et pris ma bite pour la
présenter à l'entrée de son vagin. Je passais doucement
mon gland entre ses grandes lèvres pour mélanger ma mouille
avec la sienne. Marine ne sembla pas réagir à cette caresse.
Poussant à peine, je fis entrer le gland dans son orifice.
C'est à ce moment que je remarquais que ses yeux étaient
révulsés. Elle était dans les pommes... Je me mis à la baiser,
sans me demander si elle était disposée à me recevoir de
la sorte ou pas.
Je la besognais depuis environ
deux minutes quand elle revint à elle. Comme j'étais très
excité, je n'allais pas tarder à éjaculer. Marine réalisa
très vite ce qui lui arrivait, et ce qui allait se passer
très prochainement. "Il ne faut pas mettre ton jus
dedans, ce n'est pas le moment." Et Marine tenta de
me repousser. J'avais saisi ses hanche, et je tirais dessus
à chaque pénétration. Chaque fois que ma verge était enfoncée
jusqu'à la garde, je sentais son clitoris qui heurtait mon
pubis. Je n'avais jamais senti quelque chose de comparable.
C'était excitant en diable.
Marine avait vite compris
que j'étais à un point de non retour. Quoiqu'elle fasse,
elle ne pourrait plus me convaincre de ne pas éjaculer en
elle. Elle me parut résignée. Elle dû sentir à mes mouvements
que l'explosion était imminente. Elle dit une dernière fois
: "Retires-toi, ne me mouille pas, je risque d'être
enceinte..." A peine eut-elle fini de le dire que l'éruption
se produisit. Je ne me souviens absolument plus des quelques
secondes qui suivirent. Mon orgasme fut si puissant que
j'ai l'impression que je perdis connaissance à mon tour.
Pourtant j'étais toujours debout entre ses cuisses, ma queue
profondément enchâssée dans son vagin, quand je repris conscience.
Marine me souriait : "Bon
sang, quel pied tu as pris... Dommage, j'aurais voulu te
recevoir en bouche..." Je me retirais, et m'accroupis
pour mettre ma tête entre ses jambes. Je léchais sa moule
et aspirais mon sperme qui commençait à couler. Enfonçant
ma langue du mieux que je puisse, je tirais le maximum de
jus. Ma bouche bien remplie, je me levais et pris sa bouche.
Elle ouvrit largement ses lèvres et reçu ce que je lui donnais.
Tout en m'embrassant, elle déglutit et avala ma semence.
Elle rompit notre étreinte
et s'assit sur la table. "Tu m'as fait jouir d'une
belle façon. Cela m'était très rarement arrivé jusqu'à présent.
Merci."
Elle me serra dans ses bras
et je sentis que ses tétons étaient toujours aussi durs.
"Tu es encore excitée
?"
"Je suis tellement excitée
que je pourrais recevoir deux ou trois hommes en même temps..."
Elle se tu un instant et ajouta : "Qu'est-ce tu m'as
mis... Ca coule encore. J'espère que tu ne me laisseras
pas le genre de souvenir que je ne désire pas pour l'instant..."
Elle se leva et se dirigea
vers les toilettes. Elle revint quelques minutes plus tard.
Elle avait remis de l'ordre dans sa tenue, fermé sa chemise
et enlevé son soutien gorge. Elle vint vers moi et mue par
l'on ne sait quelle intuition, elle regarda sa montre. "Oh
! Il est presque onze heures... Il faut voir ce que donne
le système." En cinq minutes Marine constata que tout
fonctionnait comme elle le souhaitait.
Je lui dis qu'il était temps
que je reprenne la route. "Oh non ! Tu vas manger avec
moi, tu partiras après le repas..."
Je n'eus pas la force de
résister à une telle invitation formulée comme une supplique.
Quand je lui dis que j'allais rester, elle se jeta à mon
cou et m'embrassa. Elle se dégagea aussitôt pour aller à
la cuisine, située à l'étage.
En effet je ne vous ai pas
dis que son labo était au sous-sol d'une maison bourgeoise
assez isolée dans les faubourgs d'une petite bourgade de
montagne.
Marine me demanda de la suivre
et me précéda dans l'escalier. Je pus constater, en laissant
quelques mètres entre elle et moi, qu'elle n'avait pas remis
de culotte.
La cuisine était à l'américaine.
Depuis le canapé où elle me demanda de prendre place, je
pouvais la voir vaquer à la préparation du repas.
Marine interrompit son travail
pour m'apporter un verre d'apéritif. Pendant qu'elle me
tendait le verre, je tentais de la prendre par la taille.
Elle esquiva avec un rire de gorge de femme qui cherche
à séduire. Je bus une gorgée après lui avoir déclaré que
je buvais à sa santé.
Elle m'invita à passer à
table. Ce qu'elle avait préparé était tout simplement délicieux.
Elle m'avoua ne faire ce genre de cuisine que pour les hommes
ayant réussi à vraiment la faire jouir. "Et j'espère
que ce n'est pas fini..."
Le repas terminé je ressentis
une impérieuse envie de faire la sieste. Marine me proposa
d'aller m'allonger sur son lit.
A peine couché, je m'endormis.
Mon sommeil fut court. Je me réveillais après une vingtaine
de minutes. Le bruit venant de la pièce voisine indiquait
sans ambiguïté que Marine prenait une douche. Ce fut alors
que je constatais que j'avais une belle érection. Puisque
Marine se douchait, pourquoi ne pas la rejoindre et en faire
autant, pensais-je.
Quand Marine me vit pénétrer
dans la salle de bains, elle commença par me demander si
j'avais bien dormi, puis s'exclama : "Et tu as un réveil
triomphant."
Nue, mouillée des pieds à
la tête, elle était vraiment magnifique.
"Si je ne bandais pas
déjà, je le ferais certainement devant le tableau que je
vois."
Elle sourit et se mit à rire.
"Flatteur..."
Sans tarder d'avantage je
la rejoignis sous la douche. L'eau était juste à la bonne
température.
"Elle est belle ta queue
quand elle est dans cet état..."
Dit Marine avec un ton admiratif
sincère. Dès que j'eus fini de la laver et rincer, Marine
se mit à genoux et l'empoigna. Elle joua avec le prépuce,
le faisant reculer jusqu'au frein, puis avancer jusqu'à
recouvrir le gland. Elle agissait énergiquement, mais avec
douceur. Comme je lui en fis la remarque elle m'assura avoir
une certaine expérience de la chose.
"J'aime jouer avec la
verge de mes hommes. J'aime les regarder, les sucer, et
j'aime par dessus tout sentir une verge vibrer dans ma bouche
juste avant qu'elle ne se mette à faire gicler sa semence."
Marine se sécha, j'en fis
autant. Puis elle m'entraîna vers sa chambre et s'allongea
sur le lit. Elle tendis les bras et je la rejoignis avec
hâte.
Puis Marine prit possession
de mon membre. Je me mis à baiser sa bouche avec furie.
J'explosais rapidement. Sans pouvoir me contrôler, j'enfonçais
ma queue tout au fond de sa bouche, et j'étais incapable
de faire autre chose que la baiser. Mes coups de reins étaient
tels que je sentais son nez rentrer dans mon anus, et son
menton cogner contre mon pubis. Il me semblait entendre
que Marine avait du mal à absorber ce que j'envoyais dans
sa gorge, mais j'étais incapable de faire autre chose que
de continuer à me répandre en elle...
Quand l'éruption fut terminée,
j'eus juste la force de libérer sa bouche lui permettant
de respirer plus facilement.
Je restais longtemps allongé
à moitié sur elle car ma main était toujours enchâssée dans
son vagin.
Marine fut la première à
être capable de parler. "Bon sang, qu'est ce que tu
m'as mis. J'ai cru mourir étouffée. Je ne pouvais plus respirer,
je ne pouvais plus avaler... Mais quel pied. Quel pied tu
m'as donné..."
Elle garda le silence un
long moment, qu'elle mit à profit pour caresser ma verge
encore grosse, mais moins raide.
Elle se serra contre moi
en me faisant de petites bises sur les joues et le front.
Sentir son corps tout contre le mien était un vrai plaisir.
Ma montre indiquait deux heures et demie. Partir maintenant
ne me permettrait plus de faire une autre intervention dans
la journée. Il était donc inutile que je parte maintenant.
Et puis je me sentais si bien avec Marine...
"Tu ne devais pas partir
?" Me demanda-t-elle.
Je lui citais mes arguments.
"Donc tu restes avec
moi pour le reste de l'après-midi ?"
"Oui."
Toute heureuse à cette perspective,
Marine se leva d’un bond et me proposa de nous habiller
pour aller faire une promenade.
Pendant les deux heures qui
suivirent elle me fit découvrir la forêt qui se trouvait
au dessus de son usine.
Elle m’énerva un tantinet
en me racontant ses exploits amoureux en pleine nature au
fur et à mesure que nous arrivions dans des lieux particuliers
de la forêt.
Arrivés à la crête d’un petit
vallon, elle avisa un arbre dont la ramure dominait nettement
tous les autres.
"As-tu déjà fait l’amour
au sommet d’un arbre ?"
Je lui avouais que non.
Elle me proposa alors de
faire cette expérience.
"Tu sais, je ne sais
pas si j'en serai encore capable... après ce que nous avons
fait." Marine me traita de pessimiste.
Puis elle commença l'ascension
de l'arbre. Les branches bien disposées formaient un escalier
ce qui facilitait l'escalade.
Comme Marine portait une
jupe ample, elle pu arriver facilement jusqu'à un groupe
de branches qui formaient une sorte de fauteuil naturel.
Elle s'y installa et me dit de la rejoindre.
Cette escalade me fis revenir
en mémoire celles de ma jeunesse, quand j'allais chaparder
des pommes... Cette fois c'est un tout autre genre de fruits
que j'allais consommer !
Marine profita de ce temps
mort pour enlever sa culotte qu'elle jeta dans ma direction.
Je la reçu en pleine figure et la prit pour la mettre dans
une de mes poches.
Une fois arrivé à la hauteur
de Marine, elle me céda sa place et s'assis sur mes genoux.
Marine mit sa tête contre mon épaule et ferma les yeux.
Elle resta silencieuse un
long moment. Je l'enlaçais, plaçant mes bras sur les seins
et prenant ses mains dans les miennes.
"Je suis souvent venue
ici avec des hommes, mais jamais aucun d'eux ne m'a accordé
un tel moment de tendresse..."
Je lui fis une bise dans
le cou et Marine soupira d'aise.
Puis Marine s'écarta et se
tourna vers moi en demandant : "Tu es toujours aussi
tendre avec les femmes ?"
"Je ne suis pas tendre."
Dis-je avec un peu de forfanterie. "Je suis reconnaissant."
"Disons alors que tu
as la reconnaissance tendre !" Répondit Marine en riant.
Elle reprit sa place et pit
mes mains pour les poser sur ses seins.
Comme par instinct je me
mis à lui lutiner la corbeille. Comme pratiquement tous
les hommes, j'aime beaucoup les seins. Petits, moyens, gros,
plats ou pointus, peu importe j'aime les seins. Caresser
une paire de seins me fait toujours le même effet. Marine
ne pu ne pas le remarquer.
Sans dire un seul mot elle
se leva pour me permettre de retirer mon pantalon et libérer
ma queue par le coté de mon slip.
Marine attendit un instant
que ma verge soit bien raide, avant de s'asseoir en la faisant
pénétrer dans son vagin. Elle termina sa manœuvre en étalant
sa jupe pour ne pas la froisser outre mesure. Ceci fait
elle remit sa tête sur mon épaule et soupira d'aise.
Dans notre position je ne
pouvais faire aucun mouvement sans risquer de me retrouver
avec elle une dizaine de mètres plus bas. Consciente de
cela Marine se mit à faire le travail. Pendant que je continuais
à caresser sa poitrine, elle contractait et relâchait ses
muscles pubiens.
"Ma pauvre Marine, il
t'en faudra du temps... avec tout ce que tu m'as pris !"
Elle me répondit que je ne
devais pas me faire du soucis, elle avait l'habitude. Elle
ajouta : "De plus je veux te rendre le plaisir que
tu m'as donné..."
Elle m'administra ce traitement
pendant cinq bonnes minutes, sans se plaindre, sans faire
le moindre commentaire. C'était un vrai délice pour moi,
mais étant donné le temps passé cela devait commencer à
la fatiguer. Marine continua bravement ces massages jusqu'à
ce qu'elle annonce : "Je sens que tu ne vas pas tarder..."
Elle se dégagea et d'un savant
mouvement d'équilibriste elle se retourna pour me faire
face et s'agenouiller.
"Je t'ai dit ce que
j'aime... Laisse-toi faire."
Elle se pencha et prit ma
verge dans sa bouche.
Sa fellation fut aussi agréable
que les précédentes. Elle ne fatigua pas trop longtemps
ses zygomatiques, la séance de casse-noisettes m'avait amené
au point de non retour.
Malgré la situation un peu
délicate je ne pus m'empêcher de remuer mon bassin pour
faire entre ma verge au plus profond possible de sa bouche.
Sa tête suivait fidèlement mes mouvements et elle m'excitait
en léchant mon gland tout en aspirant fortement.
Au premier jet elle poussa
un grognement. Pour les jets suivants elle poussa son nez
au contact de mon pubis.
Je ne sais pas combien de
temps dura mon plaisir. C'est sa voix qui me fit revenir
sur terre. Elle me regardait avec des yeux rieurs et un
grand sourire illuminait son visage.
"Et alors ? Que t'arrives-t-il
?"
Sa tête étant à quelques
centimètres de la mienne, je ne pus rien faire d'autre que
de poser mes lèvres sur les siennes pour la remercier.
Elle se dégagea très vite
pour me dire que nous ferions mieux de descendre.
Je descendis en premier,
elle me suivit d'assez près.
Les branches les plus basses
de l'arbre étaient à bonne hauteur pour que, Marine ayant
les pieds sur elles, son entrejambe soit à la hauteur de
ma bouche. Je demandais à Marine de s'arrêter et je mis
ma tête sous sa jupe.
"A moi maintenant de
te faire un dernier plaisir."
"NON !" Cria Marine.
"Pas le dernier !"
Sans répondre je pris possession
de son clitoris et me mis à le travailler. Elle réagit très
vite à mes sollicitations. Quand sa respiration devint haletante,
je sentis qu'elle s'élevait un peu. je pensais qu'elle devait
se suspendre à des branches. Ce fut confirmé quand elle
manifesta l'envie de lever ses jambes. Je l'aidais de mon
mieux et elle se retrouva bien vite les cuisses sur mes
épaules.
Quand son orgasme se déclencha
elle cria qu'elle allait lâcher. J'eus tout juste le temps
de saisir sa taille et de laisser fléchir mes jambes. Je
la portais maintenant d'une façon des plus inconfortables.
Elle avait trouvé le moyen de serrer ma tête entre ses cuisses
et de l'agripper avec ses mains. Je passais rapidement de
la position accroupie à la position assise. Marine comprenant
ou je voulais en arriver desserra un peu son étreinte et
je réussis à m'allonger, Marine m'aidant en se retenant
sur ses pieds.
Je pus reprendre mes actions
sur sa moule, après avoir dégagé sa jupe pour avoir un peu
d'air. Marine était assise sur le haut de ma poitrine. J'avais
la possibilité de respirer et j'étais dans une position
assez confortable.
Je ne sais pas combien d'orgasme
elle eut dans cette position. Je me rappelle juste que tout
soudain elle se laissa tomber sur le côté en disant : "Je
suis morte..."
Remettant un peu d'ordre
dans l'agencement de sa jupe, je l'aidais à s'allonger sur
le tapis d'herbe et de mousses qui couvrait le sol. Je m'allongeais
à mon tour et passais un bras autour de sa taille.
Elle se réveilla la première,
en sursaut. Je lui demandais ce qui lui arrivait.
"J'ai rêvé que tu étais
parti sans me dire au revoir..."
Marine se serra contre moi
en se plaignant d'avoir un peu froid. Il se faisait tard
et le soleil était maintenant derrière les montagnes.
"Au fait" Dit-elle,
"C'est vendredi, tu es obligé de partir ?"
Je réfléchis un peu avant
de répondre bêtement : "Oui, pourquoi ?"
"Parce que j'aimerais
bien que tu restes ce week-end avec moi."
"Je n'ai rien pour me
changer, et pas d'affaires de toilette..."
"On peut passer en ville
et chercher ce dont tu as besoin..."
La proposition était tentante
bien que je me sente un peu fatigué, sexuellement parlant.
Je me demandais si je pourrais utiliser cet argument avec
Marine.
A mon grand étonnement c'est
elle qui en parla.
"Tu sais, je ne crois
pas que je pourrai encore faire l'amour cette nuit. Tu m'as
comblée, il y a longtemps que je n'ai pas eu une telle ration..."
Par jeu je lui répondis :
"Dans ce cas tu peux parfaitement rester seule !"
"Justement je ne souhaite
pas rester seule..."
Cet argument me suffit et
je lui dit que j'étais d'accord pour rester.
Marine me fit une bise sur
la joue et souffla juste : "Merci."
En redescendant vers la vallée
Marine ne semblait pas aussi joyeuse qu'à la montée.
Après avoir fait quelques
emplettes, nous rentrâmes chez elle. Marine me proposa quelque
chose à boire, mais je déclinais son invitation, suggérant
de prendre une douche ou un bain qui la réchaufferait. Elle
accepta et dix minutes plus tard nous étions tous deux dans
la baignoire, vautrés dans une eau bien chaude.
Tous deux évitions le moindre
attouchement volontaire. Mais cela ne m'empêchait pas de
regarder, admirer son joli corps. Marine avait les yeux
fermés et semblait dormir. Quand je lui posais la question
elle répondit simplement : "Je suis épuisée..."
Notre bain dura une bonne
demi-heure, et je dus la houspiller pour la décider à se
laisser savonner et rincer avant de sortir.
Marine me laissa l'aider
à préparer notre repas et c'est vers 20 heures que nous
allâmes nous coucher. Marine tint absolument à ce que je
vienne dans son lit, refusant catégoriquement que je fasse
usage du canapé du salon. Aussitôt couchée, Marine me tourna
le dos et accepta quand même que je la prenne dans mes bras.
Elle s'endormit très vite, et je pus l'entendre commencer
à ronfler avant de sombrer moi aussi dans les bras de Morphée.
Il faisait déjà jour quand
j'ouvris un œil. Marine dormait paisiblement et, pour ne
pas la réveiller, je me levais le plus lentement possible.
J'investis la salle de bain pour une rapide toilette avant
d'aller à la cuisine.
Le petit déjeuner que je
préparais eut le temps de refroidir avant que Marine ne
me rejoigne.
Elle était radieuse, reposée.
"J'ai rarement aussi
bien dormi." Dit-elle après m'avoir embrasser et souhaité
le bonjour.
Elle fit honneur à ce que
j'avais préparé, bien que ce doit froid...
Puis elle fila à la salle
de bain faire sa toilette. En l'attendant je regardais les
informations télévisées.
Marine ressortit de la salle
de bain plus rapidement que je l'aurais parié. Elle vint
s'asseoir à côté de moi pour regarder la fin des infos.
Après les infos elle se leva
pour aller faire le lit. Elle parut étonnée que j'aille
l'aider. Une fois le lit fait, Marine s'y assit et me tendis
les bras. Elle m'enlaça en mettant ses bras autour de ma
taille et serra sa tête contre mon ventre.
"Tu sais, c'est la première
fois qu'un homme couche dans mon lit pendant toute une nuit
sans me faire l'amour."
"Tu te moques de moi
?"
Elle leva la tête et en me
regardant elle affirma : "Je te jure que c'est vrai...
D'habitude je veux tout prendre de celui qui est dans mon
lit, et quand c'est fini j'aime qu'il parte vite... Avec
toi c'est tout différent..."
Elle se serra à nouveau contre
moi. J'éprouvais soudain beaucoup de tendresse pour cette
jeune femme qui s'était donnée à moi sans retenue la veille
et pour laquelle il ne me venait pas à l'esprit de vouloir
recommencer séance tenante. Ce n'est pas le désir qui me
manquait, juste l'envie de lui faire l'amour qui faisait
défaut. J'avais envie d'autre chose d'elle...
La matinée passa très vite,
trop vite. Marine me parla beaucoup, de ce qu'elle aimait,
de ce qu'elle détestait, de ce qu'elle attendait de la vie.
Jamais elle ne parla de sa vie passée, de ses conquêtes,
comme elle l'avait fait la veille...
Alors que midi approchait
elle me dit soudain qu'elle avait envie de m'inviter au
restaurant. Et elle ajouta qu'elle voulait ne rechercher
un nouveau pour elle, un dans lequel elle n'avait jamais
mis les pieds avec qui que ce soit.
Le restaurant qu'elle me
fit découvrir était une vraie catastrophe. La pitance servie
était presque immangeable, froide et sans goût. Le décor
macabre et la serveuse aimable comme une porte de prison.
En sortant Marine me demanda comment elle pourrait se faire
pardonner. "En me donnant quelque chose à manger."
Lui répondis-je en riant.
Marine se contenta de m'offrir
ses lèvres pour un baiser dont la tendresse n'avait d'égal
que sa brièveté...
De retour chez elle, Marine
mit un bon disque et s'installa sur le canapé en me demandant
de l'y rejoindre. C'est enlacés que nous attendîmes la fin
du disque.
La musique terminée Marine
me dit : "J'aimerais te présenter à mes parents..."
Je ne répondis rien.
Elle poursuivit : "Nous
pourrions y aller tout à l'heure ?"
Devant mon silence persistant,
Marine continua : "Mais non, je suis folle, nous ne
nous connaissons pas depuis assez longtemps... Pourtant
j'ai l'impression que c'est toi que j'attendais... Je ne
sais rien de toi, mais tu es le premier a avoir manifesté
tant de tendresse pour moi après que nous ayons fait l'amour
ensemble..."
Elle interrompit un court
instant son discours, me passa une main sur le front, et
reprit.
"Cela me gêne de te
le dire, mais aucun des amants que j'ai eu ne m'a jamais
traité avec la considération dont tu as fait montre... Surtout
après que je leur aie fait des fellations ou que je leur
ai offert une sodomie..."
Son monologue commençait
à me gêner... A beaucoup me gêner. Je ne savais pas comment
y couper court sans la choquer ou la vexer. Je décidais
de la laisser parler sans lui répondre ni faire d'objections.
Je parvins à la faire taire
en la serrant un peu plus dans mon bras, pendant que ma
main libre emprisonnait la sienne.
Je finis par m'endormir et
je présume qu'elle en fit autant. C'est la chaleur de ses
lèvres sur les miennes qui me réveilla. Me sentant éveillé
Marine se leva et m'invita à aller faire une promenade.
Marine m'emmena dans une
longue promenade, racontant des souvenirs de sa jeunesse
chaque fois que l'on arrivait dans un lieu qui les réveillaient.
Curieusement aucun de ces souvenirs n'avait de connotation
sexuelle.
En arrivant au fond d'une
vallée notre progression fut arrêtée par une cascade. Marine
regretta de ne pas avoir mis de maillot de bain... Elle
suggéra que nous pourrions nous en passer, mais très rapidement
elle décréta que cela ne serait pas sérieux... Décidément
son comportement avait changé, par rapport à celui de la
veille.
Elle décida alors de rentrer.
Nous arrivâmes dans sa maison vers dix-huit heures et elle
se mit aussitôt à la préparation d'un repas. La vaisselle
fut expédiée et après les infos télévisées la salle de bain
fut investie.
La douche prise en commun
ne fut pas un prétexte à des attouchements autres que purement
fonctionnels. Je lavais Marine en la savonnant partout,
elle en fit autant pour moi. Elle retroussa le prépuce de
ma verge pour qu'elle soit parfaitement propre, mais elle
n'insista pas particulièrement. Le séchage fut aussi mutuel
que le fut le lavage...
Une fois au lit, dans son
lit, Marine sembla avoir perdu sa gaîté qui m'avait semblé
être perpétuelle... Elle était allongée sur le dos, fixant
le plafond. M'appuyant sur un bras, je la contemplait. Elle
fini par se tourner vers moi
et me regarda, l'air sérieux.
Sortant un bras de dessous la couverture, elle mit sa main
sur mon cou et m'attira à elle, m'invitant à l'embrasser.
Ce fut un baiser très chaste,
mais qui se prolongea.
Je ne pus résister à l'envie
de caresser ses seins. Elle me laissa faire. Puis tout en
continuant notre baiser, je caressais tout son corps. Au
travers du tissu de sa nuisette d'abord, en glissant ma
main dessous ensuite.
Marine s'enhardit à me caresser
à son tour. Nos caresses durèrent bien vingt minutes. J'étais
nu, mais elle avait sa nuisette et un slip. Je commençais
à m'attaquer à son slip et le lui enlevais. Puis ce fut
le tour de sa nuisette.
Quand elle fut nue, je lui
embrassais les seins, l'un après l'autre.
Marine me demanda de monter
sur elle. Il était temps, je commençais à être sérieusement
excité. Elle écarta à peine les jambes, me laissant un passage
assez étroit vers sa vulve.
Marine ne m'aida pas pour
l'intromission. Mais quand ma verge fut entièrement insérée
elle poussa un profond soupir. Elle me serra très fort dans
ses bras et écarta un peu plus ses jambes. Je pus m'enfoncer
un peu plus en elle. Elle soupira encore.
Je me mis à la besogner lentement
avec de grandes amplitudes. Je ne pouvais pas la caresser,
Marine me serrait toujours dans ses bras. Je l'embrassais
à nouveau. Elle me rendit mon baiser et ce fut une vraie
bataille.
Progressivement Marine se
mit à feuler. Puis elle se mit a parler. Elle finit par
hurler des mots sans suite quand son orgasme lui fit écarter
les jambes et replier ses genoux. J'étais encore assez loin
de l'apogée de mon plaisir. Je continuais mes allées et
venues et juste avant mon éjaculation elle recommença à
jouir.
Je me répandis en elle au
moment ou elle cria une nouvelle fois sa jouissance.
Marine me garda longtemps
dans ses bras après que j'aie terminé. Chaque fois que j'esquissais
un mouvement pour me retirer, elle me serrait dans ses bras.
Ce n'est qu'une fois que ma verge fut a nouveau flacide
et qu'elle sortit seule du vagin de Marine, que je pus me
recoucher sur le dos.
Marine s'approcha et mit
sa tête contre mon épaule. En pliant mon bras je posais
une main sur un sein, mon avant bras en contact avec sa
joue. Nous étions calmes, repus.
Soudain je sentis de l'humidité
sur mon bras.
"Tu pleures ?"
Demandais-je à Marine.
A ce moment elle éclata en
sanglots.
Je ne comprenais pas, mais
la laissais pleurer...
Quand elle fut un peu calmée
elle m'expliqua qu'elle se sentait trop heureuse. Heureuse
et honteuse aussi. Elle s'accusa d'aimer le sexe, de se
comporter toujours comme la plus dévoyée des salopes. Elle
employa pour elle même les mots les plus vils et les plus
orduriers dont on peut qualifier une femme.
Plus je tentais de la convaincre
que ces mots ne s'appliquaient à elle, plus elle continuait.
"Hier je t'ai pratiquement
imposé de me prendre. Je te voulais partout. Tu as accepté
de te plier à mes quatre volontés. Ensuite tu m'as traité
comme on traite une épouse. Tu as été tendre, tu as recherché
mon plaisir, pas seulement le tient... J'ai honte, tu ne
peux pas savoir..."
Elle recommença à pleurer,
et finit par s'endormir.
Le lendemain matin, en prenant
son petit-déjeuner, Marine m'expliqua pourquoi elle ne voulait
plus me revoir.
Je partis dans l'heure qui
suivit, et ne revins jamais faire d'interventions chez elle.
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"Bonjour Marine",
Dis-je d'un ton le plus neutre possible.
La femme, la cinquantaine
comme moi, se tourna et me regarda incrédule. Elle finit
par accepter de me reconnaître et nous engageâmes la conversation.
Très vite j'appris que nous
n'allions pas dans la même direction.
Peu de temps après notre
aventure elle s'était mariée à un américain. Ils avaient
monté une société aux USA, elle était veuve depuis deux
ans, elle avait trois enfants, une fille ainée et deux garçons.
Elle venait de passer quelques jours en France pour ses
affaires et était assez fatiguée. "La direction de
mon entreprise me prend beaucoup de temps..."
Pendant qu'elle parlait je
la regardais avec attention. Elle était toujours belle,
son corps ne semblait pas avoir subi les outrages du temps...
De façon incongrue je me dis que j'aimerais encore lui faire
l'amour.
Je fus interrompu dans mes
pensées en l'entendant dire presque à voix basse : "Dommage
que nous n'ayons pas le temps, j'aimerais que tu me fasses
l'amour."
"C'est justement ce
à quoi je pensais..."
Marine éclata de rire.
L'annonce de l'embarquement
imminent de son vol nous rendit silencieux tous les deux.
Marine se leva pour prendre
son bagage à main. Puis elle me tendit sa main libre. Je
me levais d'un bond et lui serrais la main.
"Ah, au fait, les garçons
sont de lui, la fille est de toi."
Elle se retourna et alla
vite se fondre dans le file des voyageurs en partance pour
les USA.
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