La langue de Sandra se fit soudain plus insistante.
Depuis plus d'une demi heure qu'elle se contentait de parcourir
mes lèvres et de titiller mon clitoris avec une précision
de chirurgien, elle m'avait amenée progressivement au bord
de l'orgasme. Sentant ma poitrine se soulever de plus en
plus frénétiquement et mes gémissements étouffés par ma
main que je mordillais se faire plus sonores, elle écarta
doucement mais fermement ma jambe droite en appui sur son
épaule. Mon vagin s'en ouvrit davantage aux pressions incessantes
de sa langue.
Comment aurais-je imaginé
il y a seulement une journée me retrouver cette nuit dans
cet endroit incongru et légèrement glauque ? Accolée au
mur suintant d'humidité de cette entrée d'immeuble du centre
de Paris, je redoutais (et espérais ?) d'être surprise dans
cette posture si plaisante mais néanmoins fâcheuse . Le
bras droit en appui sur un semblant de boîte aux lettres,
adossée au mur, la veste de tailleur ouverte, le chemisier
déchiré et les seins bandés à m'en faire mal, je ne tenais
debout que par ma jambe gauche. Le talon de l'escarpin noir
de celle-ci tapait à intervalle régulier sur le carrelage
grossier qui habillait le sol, au rythme des coups de boutoir
de la bouche de Sandra qui maintenant, me dévorait littéralement
mon sexe. Ma jupe noir et stricte de femme active n'était
plus qu'un morceau de tissu roulé sans précaution sur mes
hanches au moment des premiers assauts. Frêle protection
qui n'avait résisté bien longtemps à Sandra, ma culotte
gisait à présent à mes pieds. Mes bas noirs étaient parcourus
de déchirures causés par ses ongles acérés que le désir
avait aiguisé au point d'en faire une arme redoutable.
A genoux entre mes cuisses
trempées de sperme, souvenir du début de soirée, de mouille
et de salive, Sandra continuait son travail de sape, sourde
à mes supplications, entièrement tournée vers son but ultime
: Boire à même mon sexe ma cyprine jusqu'à la dernière goutte.
Agrippée à mon porte-jarretelles, sa tête ondulait en cadence
sans jamais s'arrêter ou se décoller de mon sexe. La jambe
droite reposant sur son épaule, je lui labourais le dos
du talon de mon escarpin traduisant en geste l'exacte contraire
de ce que je la suppliais de faire entre deux spasmes :
Arrêter.
J'avais fait sa connaissance
quelques heures plus tôt dans une salle d'un club échangiste
de la capitale. Non que je sois une habituée de ces endroits
mais la curiosité et le désir m'y avait conduit ce soir.
A 33 ans, célibataire, rousse aux yeux verts, plutôt mignonne
si j'en crois les commentaires que j'entends parfois, ma
vie sexuelle se limitait jusqu'à présent à de longues séances
de masturbation solitaire et à quelques aventures sans lendemain.
Ce vendredi fût plus difficile que d'accoutumée au bureau.
Aussi, en regagnant mon véhicule vers 20 heures, ais-je
eu envie de compenser.. Le désir de fréquenter un club échangiste
était venu en «surfant » sur Internet. Mon appartement regagné,
une tenue sexy plus adéquate enfilée, je commandais un taxi
qui me conduisit dans un de ces endroits.
L'entrée était discrète et
le personnel plutôt accueillant. La première salle ressemblait
beaucoup à une discothèque avec son bar, sa piste de danse,
ses fauteuils profonds et ses lumières tamisées. Il n'était
que 22 heures et peu de personne se trouvaient déjà ici.
Quelques couples se trémoussaient doucement sur la piste,
quelques uns discutaient autour d'une table et quelques
solitaires occupaient le bar. Ce fût Michel qui m'offrit
le premier un verre. Plutôt grand, blond avec un regard
tendre, il m'invita bientôt à danser. La musique langoureuse
nous imposa une danse plutôt serrée ce qui n'était pas pour
me déplaire. Rapidement, ses mains se firent plus insistantes
et baladeuses. Me collant les fesses sur son bas ventre,
je sentis immédiatement son sexe déjà gonflé vibrer sous
son pantalon. N 'opposant aucune résistance à ses avances,
bien au contraire, il m'invita à le suivre dans la salle
du bas.
Cette dernière était constituée
d'une sorte de scène légèrement surélevée et capitonnée.
A notre arrivée, une quinzaine de personne étaient debout
autour de la scène à regarder deux hommes et une femme entrain
de faire l'amour. La plupart des hommes qui regardaient
en profitaient pour se masturber. Sur la scène, un des hommes
était allongé sur le dos, nu. La femme brune, plutôt mignonne
qui s'avérait être Sandra était empalée sur son sexe. Elle
montait et descendait sur cette hampe de chair tout en avalant
goulûment le sexe du second homme debout au dessus du premier.
Son pénis de belle dimension rentrait dans la gorge de Sandra
presque jusqu'aux couilles. Elle lui enserrait d'ailleurs
la base de son sexe ralentissant ainsi la montée de sa jouissance.
Quelques spectateurs fébriles en vinrent rapidement à l'éjaculation,
éclaboussant Sandra et ses partenaires de jets de foutre
chauds. A chaque fois, Sandra délaissait quelques instants
la fellation, ramassait du bout des doigts le sperme répandu
et s'en enduisait le corps et la langue. Puis elle reprenait
sa fellation, titillant le gland rouge du bout de la langue,
tournant autour, avant de glisser autour du membre turgescent
qui lui était offert.
La vision de ces ébats m'excita
rapidement. Comme d'autres femmes spectatrices, je déboutonnai
mon chemisier et me caressais les seins qui devinrent rapidement
durs. Michel fût happé par une jeune blonde presque nue
qui lui avala son sexe. Je n'en éprouvais aucune rancœur
étant moi même occupée à soulager un jeune homme d'une vingtaine
d'années, au teint blafard mais au sexe consistant.
Sur la scène, Sandra était
à présent trempée de sperme et de transpiration. Ses chaussures
à talon tendaient ses mollets gainés de soie. Ses seins
dégoulinaient du sperme des spectateurs. L'homme allongé
n'était pas loin d'exploser. Les allées et venues de Sandra
sur son sexe commençaient à avoir raison de sa volonté.
S'en apercevant, elle interrompit ses empalements, ménageant
ainsi un peu de repos à son partenaire. L'homme debout n'était
guère plus frais. La fellation de Sandra avait produit ses
effets. Là aussi, elle cessa ses caresses et l'invita à
passer derrière elle.
Michel finit par jouir dans
la bouche de la blonde qui s'efforça d'avaler le jet de
sperme. Quelques gouttes réussirent néanmoins à sortir aux
commissures de ses lèvres. Ils échangèrent un baiser et
se quittèrent.
Pour ma part, tout en contemplant
la scène, je poursuivais ma fellation sur le jeune homme
qui devait être hollandais. Le jugeant mûr, je m'interrompais.
Il me sourît et me fît signe de monter sur la scène. J'hésitais
un instant et finis par accepter. Je me retrouvais donc
à quatre pattes, jupe relevée sur les hanches, culotte retirée.
Il se positionna derrière moi, enfila un préservatif et
approcha son gland de mon sexe. La fellation pratiquée et
la vision de Sandra et ses amis m'avait mise en état de
manque. Aussi n'eut-il aucune difficulté à me pénétrer,
mon vagin étant déjà trempé. Me tenant par les épaules,
il s'enfonçait jusqu'à la garde puis ressortait pour ne
laisser que le bout du gland. Je sentais le plaisir monter
en moi. A coté de nous, Sandra s'était à nouveau empalé
sur l'homme allongé. L'autre homme était passé au dessus
d'elle et la sodomisait. Prise en sandwich, elle hurlait
de plaisir tout en maltraitant par ses coups de boutoir
le sexe de l'homme allongé.
Souhaitant changer de position,
le jeune homme qui me besognait me retourna, m'allongea
sur le dos et me repris dans une position plus conventionnelle.
Au moins ainsi pouvais-je voir parfaitement Sandra se désempaler
de l'homme allongé alors que celui qui la sodomisait avait
finit par éclater sur son dos . Elle masturba quelques instants
l'homme avant qu'un jet de foutre ne vienne lui cingler
le visage. C'est alors qu 'elle m'aperçut. Laissant ses
amants de fortune se remettre de leurs émotions, elle glissa
jusqu'à moi, embrassa la scène d'un regard.
-« Bonsoir, nouvelle venue
? »
Le hollandais semblait parfaitement
contrôler ses va et vient. Tenant chacune de mes jambes
par une main, les chevilles en appui sur ses épaules, il
appliquait à son bas ventre un mouvement alternatif et régulier.
A chaque pénétration, je sentais son gland frapper le fond
de mon ventre et ses couilles taper mon sexe. Entre deux
ahanements, je réussis à sourire à Sandra et à lui répondre.
-« Oui, nouvelle. Je me prénomme
Marie. »
-« Moi Sandra.., c'est ton
petit ami qui te baise ? »
-« Non, je ne le connais pas
» parvins-je à répondre avant qu'une poussée plus puissante
du hollandais ne m'arrache un petit cri .
Les spectateurs s'étaient
presque tous dispersés. Seuls demeuraient une femme d'une
cinquantaine d'années, bien mise qui nous regardait en se
masturbant ainsi qu'un homme plus jeune qui lui aussi finissait
de se branler en nous regardant faire. Les autres s'étaient
éloignés, d'aucuns étaient remontés au premier étage, d'autres
faisaient l'amour dans de petites alcôves collatérales à
la scène centrale où je me trouvais.
-« En tout cas, il y met
du cœur cet amour, est ce que tu le sens bien ? »
-« Ohhhh ouiii ! De te voir
avant nous a bien excité. »
-« Merci. Je te trouve très
désirable » me dit-elle en souriant. Elle approcha sa tête
de la mienne et m'embrassa à pleine bouche. Sa langue se
mélangea à la mienne. Ses seins gluant du sperme récolté
frôlèrent les miens, tandis que sa main caressait mon ventre
et fouillait mon pubis.
Le hollandais due être excité
par cette vue parce que son mouvement de marteau pilon s'accéléra
soudain. Je mouillais comme jamais. Sandra n'arrêtait pas
de m'embrasser. Son haleine sentait le foutre, résultat
de la fellation prodiguée auparavant. Elle se détacha de
ma bouche, se tourna vers le hollandais qu'elle embrassa
également puis revint vers moi :
-« Fais moi jouir » me dit-elle,
« Je te le rendrais au centuple. »
Elle se leva, passa derrière
ma tête, leva une jambe et me présenta le talon de son escarpin
devant la bouche. Instinctivement, j'ouvris les lèvres,
laissant s'introduire le talon dans ma bouche. Je le suçais
avidement excitée par cette pratique inédite pour moi. Plus
je le suçais, plus elle l'enfonçait dans ma gorge. Soudain,
elle retira le talon de son escarpin de ma bouche et face
au hollandais, s'installa à califourchon sur ma bouche.
Je fus alors couverte par son sexe, le nez dans son petit
trou.
A ma gauche, la femme qui
nous regardait poussa un cri de jouissance et s'écroula
sur la chaise. Une main à présent inerte pendait entre ses
cuisses. Le jeune homme qui se branlait en nous regardant
s'approcha d'elle quémandant sans doute une caresse apte
à le soulager. La femme le dévisagea, se lécha la main que
je devinais pleine de mouille, s'accroupit face à lui et
goba avidement son sexe tendu à l'extrême. Un sourire de
félicité éclaira alors la face du jeune homme.
Les bas de Sandra me cinglaient
les joues. Son sexe ouvert sur mes lèvres était trempé de
mouille et de sperme. Je commençais doucement à la lécher.
Le foutre de l'homme l'ayant sodomisé coulait en plaque
du bas de son dos, roulait sur ses fesses et finissait sur
mes yeux, mon nez et mon front.
-« Oui, lèche moi bien doucement,
vas y. »
L'odeur âcre de sa substance
intime et du sperme mélangé me remplissait à présent la
bouche. Le hollandais devait être dans un jour exceptionnel.
Depuis un quart d'heure qu'il me pilonnait, il n'avait pas
faibli une fois. A présent, pour tenter d'atteindre les
seins de Sandra à quelques centimètres de sa tête, il était
obligé de s'enfoncer plus profondément encore en moi. Les
jambes presque à la verticale, je sentais sa poussée dans
mon ventre, étrange mélange entre douleur et plaisir. Mes
mains étaient remontées le long du corps de Sandra. Dessinant
le périmètre de ses seins du bout des doigts, je remontais
jusqu'à ses tétons, durs comme du métal. Instinctivement,
je les pinçais lui arrachant ainsi un petit cri de douleur.
-« Hum, moi qui te croyais
innocente.. tu es une belle chienne ! »
Cette insulte me stimula
plus encore. J'accentuai ma pression sur son sexe, la pénétrant
de ma langue, mordillant son clitoris au passage. J'entendis
le jeune homme prévenir la femme plus âgée qu'il était sur
le point de jouir. Cette dernière le pria de venir sur son
visage. Quelques secondes après, un cri de mâle me fit penser
qu'il venait de recouvrir le visage de sa partenaire d'une
épaisse couche de sperme chaud.
Le sexe de Sandra était détrempé
ce qui facilitait grandement mon travail de succion. Visitant
son vagin, ma langue fouillait chaque recoin de son intimité
et en extrayait une liqueur d'exception que j'avais le plus
grand mal à avaler sans respirer. Petit à petit, mon travail
faisait son effet et je sentais Sandra qui commençait à
chanceler.
-« Oh. Oui »
Le hollandais avait réussit
à atteindre les seins de Sandra car je sentis sa langue
sur mes doigts alors que je maltraitais gentiment un de
ses tétons. Arque Bouté sur mes jambes, introduit au plus
profond de mon corps, il profitait de chaque poussée pour
lécher et sucer les seins de Sandra. Tout à coup, je sentis
que la résistance offerte par mes jambes au hollandais venait
de diminuer. C'était Sandra qui attrapant mes chevilles,
les tirait vers elle, facilitant ainsi le travail du hollandais.
Surtout, elle était à présent en mesure de sucer alternativement
les talons aiguilles de mes escarpins. Visiblement, elle
adorait cela. Quasiment pliée en deux, défoncée par ce jeune
homme au mandrin puissant, occupée à pénétrer de ma langue
le corps de Sandra, je ne prêtais plus attention aux aller
et venue. Trop concentrée sur le plaisir que je tentais
de donner à Sandra et sur le mien que j'essayai de canaliser,
j'en avais oublié le jeune homme et la femme mûre. C'était
pourtant elle qui prenait place sur la scène, à quelques
mètres de moi. Le jeune homme s'allongea sur elle tête bêche.
Je vis la femme, le visage couvert de sperme avaler une
nouvelle fois le sexe encore mou de son amant et j'imaginai
ce dernier la tête enfouie entre les cuisses de sa libératrice.
Cette vision et cette pensée me survoltèrent. Profitant
de ce que Sandra, délaissant mes talons aiguille, s'était
allongée sur moi, je la repoussais légèrement et, sans interrompre
ma pénétration linguale, j'approchai ma main droite de l'orifice
de son cul préparant ainsi une petite pénétration anale
. Comme je m'apprêtais à le faire, je ne pus retenir un
cri de plaisir au moment ou Sandra pénétra mon anus de ses
doigts.
-« Je sais que tu aimes ça
.. » me dit-elle en couvrant l'essoufflement qui la gagnait.
Pour toute réponse, vaincue par le plaisir procuré par la
double pénétration, je me cambrai pour mieux recevoir ses
doigts qui me fouillaient.
Au moment où elle s'allongeait
plus encore pour mieux me pénétrer, j'en profitais pour
lui rendre la pareille. Je lui fourrais le pouce dans l'anus,
tentant d'aller le plus profond possible. Cette manœuvre
lui arracha un spasme rauque. Se redressant en libérant
mon anus, elle s'empala plus profondément encore sur ma
langue d'une part et sur mon pouce d'autre part. Prise de
frénésie, elle balançait son buste de gauche à droite et
d'avant en arrière. Ses cuisses gainées de soie me frottaient
sur les joues. Ses mains fouillèrent mon corps, arrachant
au passage mon chemisier dans un craquement de tissu. Ses
ongles acérés se plantèrent sur mon ventre et remontèrent
lentement jusque sur mes seins. Le hollandais était à présent
au bord de la jouissance. J'entendais son souffle de plus
en plus court et je sentais son sexe en moi qui commençait
à convulsionner. La femme allongée à mes cotés commençait
elle aussi à gémir. Accélérant le mouvement de ma langue
et de mon pouce, j'attrapai Sandra par les seins et la forçais
à demeurer en contact avec ma bouche. Un long cri précéda
de quelques secondes un flot de mouille qui m'inonda la
bouche et le visage. Ne parvenant pas à avaler la totalité
de sa liqueur, je fus contrainte de me dégager légèrement
pour ne pas étouffer. La bouche, le visage et le haut du
corps trempée, je vis Sandra s'effondrer sur le coté, son
corps parcourus de quelques spasmes. A bout de force, le
hollandais ressortit une dernière fois sa queue de mon sexe
détrempé. Il arracha le préservatif, libérant ainsi son
membre turgescent et décalotté. Parcouru de convulsion,
son sexe témoignait de l'intensité de l'effort qu'il venait
d'accomplir. Les jambes pendantes, je me redressais avec
peine. Sandra se retourna vers moi, un sourire éclairant
son visage.
-« Toi alors. »
-« Soulageons ce garçon »
lui dis-je.
Elle s'agenouilla près de
moi et nous léchâmes simultanément le gland boursouflé du
jeune homme. Quelques coups de langue après, il ne put retenir
de long jets de sperme qui vinrent frappés nos visages.
Epuisé, il s'allongea sur le coté, le sexe à présent dégoulinant
de semence. J'embrassai Sandra et lui lécha le visage. Elle
me rendit la pareille.
Après avoir récupérer nos
affaires, nous nous retrouvâmes dans la rue.
-« On ne va pas se quitter
comme çà » me dit-elle, « Viens prendre un verre »
-« Pourquoi pas. »
-« Ma voiture est à quelques
rues d'ici. »
En passant dans une rue déserte,
elle me stoppa, se tourna vers moi et m'embrassa longuement.
Ses mains descendirent sur mes seins qu'elle caressa puis
glissèrent jusqu'à mes cuisses.
-« Je t'ai promis de te rendre
la pareille au centuple.. »
-« Maintenant ? »
-« Tout de suite ! »
Elle poussa la porte de l'immeuble.
L'entrée était dans le noir, hormis la lumière de la rue
qui passait quelque peu. Elle me colla au mur, m'enleva
mon imperméable, écarta ma veste, arracha ce qui restait
de mon chemisier. N'ayant pas remis mon soutien-gorge, mes
seins apparurent. Elle les flatta du bout des doigts, me
provoquant ainsi un premier spasme de plaisir. Mon ventre
était rayé de zébrures provoqués par ses ongles. Elle lécha
les plaies rouges. Elle retroussa ma jupe sur les hanches
et retira prestement ma culotte qu'elle jeta à terre. Elle
se recula légèrement, comme pour admirer un tableau puis
revint se coller à moi. Près de mon oreille, elle murmura
:
-« Tu vas prendre un pied
génial ma belle, je te le promets. »
-« Mais si on vient ? »
Elle ne répondit pas à la
question. Sa main droite descendit jusqu'à mon sexe, fouilla
dans ma toison encore humide de nos ébats. S'agenouillant
entre mes jambes, elle m'incita à mettre ma jambe gauche
sur son épaule. Elle promena sa langue sur les bas qui couvraient
mes cuisses, jouant avec mes nerfs. Puis telle une sangsue,
elle se colla à mon sexe..
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