C'est une relation coquine bien curieuse que
j'ai eu l'occasion de vivre récemment.
Ces événements se sont produits
dans la société qui m'avait engagé pour une mission d'audit.
Cette entreprise était dirigée
par une femme, Geneviève de M..., une très jolie femme de
42 ans, blonde, impeccablement coiffée, certes un peu ronde,
mais dotée de formes très intéressantes, toujours vêtue
d'un chic tailleur strict et d'escarpins. Des lunettes discrètes
lui donnaient un air intellectuel. A chaque fois, je me
demandais si elle portait des bas ou des collants. Bien
souvent, lorsque mes pensées vagabondaient vers elle, j'espérais
qu'elle fut une adepte des bas, et ohh, volupté suprême,
du porte-jarretelles. Elle en avait le style, bourgeoise
bgbg raffinée, et cela d'autant qu'un jour je remarquais
les coutures lui striant ses mollets.
J'avais pour mission de concevoir
une nouvelle organisation fonctionnelle de l'entreprise,
tâche qui devait me prendre deux ou trois mois d'étude interne
ajoutées au temps de rédiger un rapport. Durant cette mission,
je n'avais pas de contact particulier avec ma patronne,
celle-ci voulant précisément me laisser toute liberté dans
mes analyses et dans les propositions de solution et de
changement que je préconiserai dans mon rapport final.
Certes, j'aperçus Geneviève
à plusieurs reprises dans les locaux de la société, surtout
que mes travaux m'amenaient à rencontrer le personnel de
la boite, cadres et salariés.
A ce propos, j'eus quelques
contacts intimes avec Chantal, une accorte comptable, qui
me consentit assez facilement des faveurs furtives, mais
toujours bien venues. Elle se révéla une championne de la
fellation et je lui permis d'exercer ses talents, que son
époux, pour une raison mystérieuse ne lui permettait pas
de pratiquer. Quelques rapides mais intenses pénétrations
variées, ajoutées aux aspirations buccales de cette gourmande,
agrémentèrent mon séjour studieux.
Lorsque mon rapport fut prêt,
je le remis à la secrétaire particulière de la patronne
pour qu'elle le dépose sur son bureau, ajoutant un petit
mot indiquant que je demeurais à sa disposition pour commenter
mes travaux et répondre à toutes ses questions.
J'attendais avec impatience
(toute professionnelle pour le moment) une telle convocation
qui me permettait de recevoir son appréciation sur trois
mois de travail intensif.
Deux jours plus tard, alors
que j'arrivai le matin à mon travail, un message laconique
sur mon écran par le réseau interne me précisait que j'étais
attendu dans le bureau directorial à 18.00 heures ce même
jour.
Lorsque je rentrai dans son
bureau, très vaste, avec une belle vue, couvert d'une luxueuse
moquette, et artistiquement décoré, je vis ma patronne assise
près d'une table ronde de travail en verre, les jambes croisées
sous la table, terminées par de fines chaussures à haut
talon.
Elle portait comme chaque
jour, un tailleur chic, sans doute Chanel (je m'y connais
peu), un joli chemisier de soie blanche, avec deux boutons
ouverts de telle sorte que je pouvais apercevoir la naissance
de ces deux seins lourds.
Elle lisait mon rapport,
et avec un surligneur, elle marquait des passages...
- Asseyez-vous, Chris, me
dit-elle, continuant sa lecture... Elle changea de posture,
décroisant et recroisant ses jambes, ce qui me fis voir
immédiatement par le verre transparent de la table qu'elle
portait des bas de qualité avec une large lisière...
Je sentais son parfum et
elle dégageait une sensualité féminine à laquelle je suis
particulièrement sensible, surtout envers une femme de son
âge, catégorie qui m'attire et je dois l'avouer, m'excite.
Une telle situation était
de nature à me déconcentrer de l'essentiel, à savoir le
contenu de mon rapport, et malgré moi, je commençai à ressentir
un sentiment étrange devant cette belle femme qui m'électrisait
comme un aimant et de laquelle émanait une dimension érotique
que je trouvai irrésistible.
Elle poursuivait sa lecture
et moi-même je ne pouvais m'empêcher de lorgner sur son
décolleté et le sillon de sa poitrine, entretenant ainsi
une certaine tension, au sens propre comme au sens figuré.
Soudain, elle leva la tête
vers moi et surprit mon regard indiscret sur son buste.
Elle interrompit sa lecture
et me regarda, un sourire furtif aux lèvres.
- Votre rapport est très
intéressant, Chris, vous avez fait de l'excellent travail.
Il fourmille d'idées intéressantes et je dois dire, novatrices.
Je pense que nous en mettrons certaines en application...
Elle feuilletait le mémento,
mais je crus percevoir qu'elle gonflait légèrement sa poitrine.
Elle leva de nouveau les
yeux vers moi, et dut y lire toute la vigueur de mon désir.
- Dites-moi, Chris, demanda-t-elle
brutalement, que faites-vous donc, ce sont mes seins qui
vous intéressent ou quoi ... ?
- Euh, madame, excusez-moi,
mais je... je restais interdit devant elle, intimidé...
je vous trouve excitante voilà... je l'ai dit.
- Voyez-vous çà...répondit-elle...
Elle me regarda une nouvelle
fois, s'agitant un peu sur son siège.
- Ne me dites pas qu'un jeune
homme comme vous s'intéresse à une femme de mon âge ?
- Euh, bien justement Madame,
au contraire, je dois dire que je préfère de loin une femme
comme vous.
- Et pourquoi donc ? répondit-elle
en décroisant et croisant de nouveau ses jambes ce qui encore
remonta sa jupe, laissant maintenant apparaître un bout
de la lisière des bas.
- Il y a plein de raisons,
je dis...
- Lesquelles ?
Je me penchais vers elle,
et posai ma main sur son genou, la caressant, faisant crisser
son bas.
- Elles sont souvent plus
expérimentées dans l'amour et plus coquines...mais, je,
euh, préférerais vous montrer...
- Ah, vous croyez ?
- Oui, c'est pas votre cas,
Madame ?
- Ohh, vous êtes un impertinent.
Je souris.
- C'est de votre faute...
- De ma faute...
- Vous êtes une femme très
attirante et même sexy... Je voudrais bien voir vos seins...
Elle se figea, me regarda
derrière ses lunettes aux verres blancs sans montures. Je
risquai le tout pour le tout.
- Je suis sur qu'ils sont
superbes, rajoutai-je, je vous en prie...
Contre toute attente, après
quelques secondes d'hésitation, elle ouvrit davantage sa
veste de tailleur, dégrafa deux boutons supplémentaires
de son chemisier et me laissa découvrir un soutien gorge
à demi balconnet, mettant en valeur ses deux globes charnus.
La dentelle ajourée me permettait d'apercevoir ses mamelons
bien formés.
J'avançai la main et la posai
sur ses seins, les caressant l'un après l'autre, passant
sur la peau douce de cette poitrine envoûtante. Elle ne
bougeait pas regardant ma main sur sa poitrine.
Je glissais ma main dans
un des bonnets du soutien gorge, le baissa pour libérer
son sein au téton durci. Je fis la même chose pour l'autre
sein. Je commençai à les caresser, les palper doucement,
exciter les mamelons dont je pinçai légèrement les bouts.
Ses seins bandaient et moi aussi.
D'ailleurs, ma patronne s'en
aperçut et se rapprochant de moi, me dit :
- Effectivement, on dirait
que çà vous fait de l'effet...
- Oh, Patronne, vous avez
des seins superbes...
Elle me laissait les tripoter
de plus en plus. Complètement sortis du soutien gorge, se
tenant encore très bien pour une femme de son âge, je continuai
de les exciter...
Je posai une autre main sur
sa cuisse...
- Vous portez des bas aussi,
je crois, Madame...
- Oui, dit-elle dans un souffle,
vous aimez cela ?
- C'est très bandant oui,
Patronne.
Elle écarta un peu les jambes
pour me permettre de voir ses cuisses sous sa jupe remontée.
- J'ai envie de vous patronne,
vous êtes trop excitante comme çà...
- C'est vrai ? petit coquin.
Tu caches bien ton jeu dit-elle en passant au tutoiement.
Tu fais jeune homme bien élevé, bien sage et je m'aperçois
que tu un cochon qui bande devant sa patronne.
Sans rien lui demander cette
fois, prenant ses propos pour une invitation libidineuse,
je me penchai vers sa poitrine pour embrasser, lécher, téter
ses gros seins. Elle posa sa main sur ma tête pour bien
attirer ma bouche. La coquine apprécie, je me disais.
Tandis que je poursuivais
ma tétée, je sentis sa main se poser sur le haut de ma cuisse
et très rapidement sur la bosse de mon pantalon. Sa main
massait mon sexe sur le tissu.
- Oh, mais dis donc Chris,
çà me semble bien gros ce que tu as là.
Sa main défit le zip de ma
braguette et s'engouffra dedans. Je sentais ses doigts impatients
sur ma hampe dure dans mon slip.
- C'est vrai que tu bandes
dur me dit-elle. Ohh tu me donnes envie. Laisse moi voir...
Je me mis debout pour lui
laisser le plaisir d'ouvrir mon pantalon baisser mon slip
et faire jaillir ma queue tendue devant son visage.
- Ohh, oui... Elle est énorme.
Chris, tu sais que tu as une belle queue...
- Oui patronne, Elle est toute
à vous.
Elle se pencha un peu pour
poser un bisou sur le gland, puis, rapidement ouvrit grand
la bouche et l'avala. Elle commença une fellation experte,
tout en se touchant ses tétons excités.
Elle arrêta soudain, d'ailleurs
bien à propos car la coquine suçait bien et la situation
excitante combinée à sa gourmandise buccale eurent rapidement
abouti à une explosion prématurée.
- Viens, mets-toi à quatre
pattes me dit-elle en écartant les jambes. Viens me donner
ta bouche aussi.
Je m'exécutai immédiatement
et à genoux sur la moquette, je me mis entre les cuisses
écartées de ma patronne pour lui lécher le haut de ses cuisses.
Je voyais les jarretelles retenant ses bas, que je tripotais,
en plaquant ma bouche contre son string de dentelle noire
ajourée assortie à son soutien gorge. La coquine se caressait
ses seins à pleines mains tandis que je commençai à la lécher.
- Oh oui, çà m'excite de
voir un homme dans cette position, moi la patronne. D'habitude,
c'est l'inverse, la secrétaire dévouée qui passe sous le
bureau pour sucer son patron. Humm... oui, continue, tu
lèches bien. J'aime ta bouche sur ma chatte Chris, vas-y
doigtes moi aussi.
Je mis toute ma science du
cunnilingus pour laper la belle moule de ma patronne, qui
se révélait bien chaude et jouisseuse.
- Quel bon petit cochon,
vas-y ne cessait-elle de m'encourager et se pelotant ses
beaux nibards. Vas-y suce bien fais jouir ta patronne...tu
vas me faire jouir, oui... c'est bon.
J'activais ma langue dans
son joli con, tout en caressant ses cuisses en jouant avec
ses jarretelles. Elle était vraiment bandante ainsi.
Elle ne tarda pas à jouir
sous ma bouche, exhalant son plaisir.
Pour ma part, je ne tenais
plus et voulais la sauter.
- Venez, Madame, mettez-vous
sur la table, j'ai envie de vous baiser...
- Oh, oui tu vas me mettre
ta grosse bite entre les cuisses...
Elle m'excitait avec son
vocabulaire vulgaire, dans sa bouche de bourgeoise bcbg,
mais finalement très portée sur le cul.
Ecartant les cuisses et son
string, elle m'invitai à la pénétrer, ce que je m'empressai
de faire.
- Ohh oui, vas-y mets moi
ta belle pine dans la chatte, Chris.
- Avec plaisir, Patronne...
C'est ainsi que je limai
et ramonai la chatte de cette femme si distinguée mais qui
se révélait une belle cochonne.
Je continuai de la fourrer
avec délices, ma queue transperçant sa chatte offerte. Elle
était particulièrement impudique ainsi, avec cuisses relevées
gainées de ses bas noirs excitants et de son porte-jarretelles,
son string de dentelle noire écarté pour permettre de passage
du gros engin qu'elle appréciait pleinement.
Elle gémissait, feulait de
plaisir, écartée, ouverte, abandonnée.
- Hoo oui, oui vas-y, petit
coquin, défonces moi encore, plus fort. J'aime tellement
çà si tu savais, une grosse queue comme la tienne entre
les cuisses, Que c'est bon, vas-y transperces moi...
Il ne fallut pas très longtemps
pour sentir monter ma sève explosive, je me dégageai de
son minou pour gicler sur son ventre dénudé et ses seins.
Elle attrapa ma queue d'une main, la serrant en pressant
la hampe et obtenant ainsi une livraison complémentaire
de ma purée blanche sur ses seins souillés, qu'elle se pétrissait
de son autre main.
- Ohh, mon dieu, quelle séance.
Tu m'as bien baisée petit salaud avec ta belle queue...
- J'espère que tu as aimé
Geneviève lui répondis-je.
Elle me roula un patin très
mouillé, retirant avec un kleenex les traces de foutre sur
sa poitrine, avant de se rajuster...
Elle me sourit et, à ma grande
surprise, m'invita à passer chez elle le lendemain, samedi,
dans l'après-midi avec un sourire coquin et prometteur.
- Tu viendras n'est-ce pas
? Il y aura une surprise me dit-elle...pour toi.
- Bien sur, Geneviève, je
serai là lui répondis-je en la quittant d'un baiser sur
ses lèvres...
Je sortis de son bureau,
pas mécontent de mon aventure. La boîte était déserte ce
vendredi soir et je rentrai chez moi en attendant le lendemain,
et me demandant ce que pouvait être cette surprise.
Ponctuel à l'heure dite,
je me présentai ce samedi après-midi à la grille d'une belle
propriété.
Geneviève vint m'ouvrir,
toujours vêtue d'un tailleur. Elle posa ses lèvres sur ma
bouche, me confirmant par ce geste ses intentions. Je lui
mis la main aux fesses, sentant sous le tissu de la jupe
les jarretelles excitantes de cette coquine.
Elle me fit entrer dans la
maison, et le hall franchi, pénétrant dans le salon, j'aperçus,
de dos, assise un grand canapé de cuir crème, la longue
chevelure d'une femme blonde.
Elancée, 30 ans environ,
des lèvres pulpeuses, elle était vêtue d'une robe rose et
blanche boutonnée devant, au décolleté pigeonnant, laissant
apparaître le sillon de ses seins respectables. La robe
s'arrêtait à mi-cuisse, dévoilant de jolis bas blancs.
- Chris, je te présente Domi...
Domi, Chris, le jeune stagiaire dont je t'ai parlé...j'ai
pensé Chris que vous apprécieriez de faire la connaissance
de mon amie Domi.
- Bien sur, enchanté de vous
connaître, Domi.
- Moi de même, répondit-elle,
avec une voix posée.
Geneviève avait déjà préparé
le champagne et nous servit une coupe. Nous bûmes à notre
santé respective et Geneviève ajouta : à nos plaisirs.
Assis près de cette dernière
sur le canapé, je posai ma main sur sa cuisse tandis que
nous devisions de choses et d'autres. La voix de Domi était
vraiment chaude et sensuelle.
Geneviève se tourna bientôt
vers moi pour m'embrasser sur la bouche et en quelque sorte,
cela déclencha les hostilités. Je défis son chemisier pour
libérer ses seins et me penchai pour les embrasser et les
lécher, devant Domi qui matait, ses jambes croisées, voilées
de blanc, apparaissant par la fente non boutonnée de sa
robe.
Geneviève écartait ses jambes
montrant ainsi les dessous de sa jupe à Domi. Bientôt ma
patronne se laisse tomber sur le canapé et allongée se laissait
caresser et lécher les seins. Je retirai sa jupe et elle
apparut en sous-vêtements sexy, string rouge aujourd'hui
avec bas gris fumés et porte jarretelles violet.
Devant l'œil intéressé de
Domi, je tripotais ma patronne. Au bout de quelques minutes,
je me retrouvai à lécher sa chatte écartant son string arachnéen.
C'est alors que je vis Domi arriver et se mettre à lécher
et caresser les seins de Geneviève.
La partie s'annonce chaude
me dis-je alors, intérieurement ravi de pouvoir réaliser
un de mes fantasmes, faire l'amour avec deux femmes en même
temps.
Je continuais de lécher le
minou de ma patronne lorsque d'une main aventureuse, je
vins soupeser la poitrine de Domi. Elle me sourit, ce qui
m'encourageant, tout en doigtant la fente de Geneviève,
à défaire les premiers boutons de la robe de Domi, libérant
ses seins enfermés dans un soutien gorge blanc wonderbra.
Elle appréciait visiblement
et ma main ne tarda pas à rentrer dans ce soutien-gorge
excitant pour lui caresser ses mamelons excités que je roulais
entre mes doigts. Ils étaient durs et bandés.
C'est alors qu'elle laissa
Geneviève profiter de ma bouche à nouveau, alors que j'étais
assis sur la moquette devant le canapé sur lequel, cuisses
bien écartées, ma patronne appréciait de se faire dévorer
l'abricot, tout en s'excitant les seins.
Les mains de Domi s'attaquèrent
à ma braguette et ne tardèrent pas à extirper mon chibre
bien bandé et turgescent.
- Oh, qu'elle est belle,
dit Domi, écartant ses longs cheveux, avant d'enfoncer ma
queue dans sa bouche pour commencer une pipe experte...
Je continuai de lécher Geneviève
qui eut son premier orgasme en matant sa copine avaler ma
grosse queue et peloter mes couilles.
- Ohh ce qu'elle suce bien
la coquine...Oui vas-y Domi c'est bon... Elle est super
ta copine, Geneviève... oh deux belles cochonnes pour moi
tout seul... c'est divin...
Nous changeâmes de position
et cette fois ci, Domi, seins nus, mais sa robe encore aux
hanches, vint s'allonger sur le canapé. Je lui présentai
ma queue de nouveau dans sa bouche tandis que Geneviève
continuait de déboutonner la robe, tout en la troussant,
dévoilant ses longues cuisses fuselées gainées de bas blancs
bien excitants.
Je vins à genoux sur le canapé,
enjambant le visage de Domi, qui pouvait me lécher les couilles
et me branler. Sa langue coquine remontait de plus en plus
loin sur mon périnée.
Je regardais Geneviève défaire
lentement la robe. Finalement, le dernier bouton fut défait
et la robe s'écarta, nous laissant découvrir une culotte
tendue sur une ...grosse bosse.
Geneviève baissa le slip
et apparut une superbe bite bien dure...
- Ohhh, je dis regardant,
éberlué, cette queue entre les cuisses de Domi qui continuait
à me lécher les couilles et me masturber.
Légèrement goguenarde, avec
un petit sourire vicieux, Geneviève me regardait, posant
sa main sur cette belle tige qu'elle commença à branler.
- Oui Domi est un transsexuel,
me dit-elle... un she-male... tu aimes ?
- Je ne sais pas dis-je un
peu abasourdi...
- Regarde comme elle est belle
sa bite, pas aussi grosse que la tienne mais une belle queue
quand même, continuait Geneviève la mettant dans sa bouche
et me fixant dans les yeux en la suçant.
Ce faisant, je sentis la
main de Domi dans la raie de mes fesses et la coquine (le
coquin) m'excitant la rosette, caressant mes globes fessiers
musclés...
Elle appuya sur mes fesses
pour m'inviter à me pencher, de telle sorte que je me trouvais
sur elle en 69, mon visage tout proche de sa queue qu'aspirait
consciencieusement Geneviève.
- Tiens, m'invita-t-elle
en tournant cette bite vers moi, aide-moi à la sucer...
Ahuri devant l'évolution
imprévue de la situation, je regardai cette queue palpitante,
enduite de la salive de ma patronne, à 5 cm de ma bouche...
Je fermai les yeux un instant
puis fis le petit mouvement nécessaire pour poser mes lèvres
sur la queue de Domi, qui maintenant léchait mon anus.
Nous fîmes alors une pipe
à deux avec Geneviève, une fois passée la période d'acclimatation
car c'était pour moi la première fois que je suçais une
bite et a fortiori celle d'un she-male.
Je ne me reconnaissais plus,
moi qui croyais en apprendre à ma patronne question cul,
c'est elle qui me surprenait en m'invitant à partouzer avec
un trans.
Geneviève vint bientôt s'empaler
sur la queue rigide de Domi, prenant la mienne de sa main
pour me branler et Domi continuant de lécher mon cul.
Nous prîmes diverses positions
et je ne tardai pas à baiser Geneviève qui apprécia la visite
en levrette à quatre pattes sur le canapé tout en suçant
la queue de Domi, debout sur la moquette.
Vint naturellement le tour
de Domi et me retrouvai bientôt, muni d'un préservatif qu'elle
m'enfila habilement, à sodomiser Domi, qui appréciait grandement
cette intromission vigoureuse. Il est vrai que pour moi
la sensation était divine.
Domi en même temps se faisait
sucer la pine par Geneviève, déchaînée dans le stupre qui
commentait nos cochonneries avec force obscénités.
- Vas-y Chris encules cette
pétasse, elle aime çà la garce se faire mettre le cul par
une grosse queue et se faire sucer la bite en même temps.
Vas-y défonce la cette gouinasse. Ohh mes cochons,
Naturellement, Geneviève
souhaita aussi se faire enculer, service que je m'empressai
de lui rendre, allonge sur le dos sur la moquette, le cul
de ma patronne empalé sur ma bite dure, alors que Domi lui
prit en même temps la chatte. Doublement prise, baisée et
enculée, Geneviève défilait les orgasmes.
Je ne tardais pas à gicler
mon foutre dans le beau postérieur accueillant de ma patronne
alors que Domi se branlait sur ses seins.
Je me fais prier ensuite
pour me faire moi-même sodomiser. Découvrant aussi cet exercice,
je l'appréhendais, mais en même temps je sentais que j'avais
envie d'essayer avec ces deux vicieuses.
Geneviève fit en sorte de
lubrifier de mouille et de salive mon petit trou, me le
lécha, me doigta et progressivement il faut juger que j'étais
en état de supporter l'assaut de la queue de Domi, qui se
présenta la bite raide, le gland appuyé sur mon anus qui
bientôt céda sous cette pression.
A quatre pattes sur la moquette
je sentis la queue de Domi me transpercer et plus petit
à petit, la coquine (le coquin) se mit à pistonner doucement
plus de plus en plus rapidement.
Ma Patronne vint se glisser
sur moi pour me sucer et me branler. J'avoue que je ne résistais
pas à un tel traitement et je jouis de nouveau dans la bouche
de Geneviève qui n'en perdait pas une goutte, en même temps
que je sentis l'éjaculation de Domi au fond de mon cul défoncé.
Ce trio trisexuel si j'ose
dire, dépassa en volupté, plaisir, découverte et coquineries,
tout ce je pouvais alors imaginer. Nous reçûmes et donnâmes
moultes plaisirs au cours de cet après midi, la première
séance fut suivie d'une autre en début de soirée où les
même turpitudes buccales, anales, bisexuelles, lesbiennes
? se reproduisirent avec la même fureur érotique.
J'avais beaucoup appris ce
jour là... et c'est fourbu que je pris congé de ces deux
coquines avec le sentiment d'une journée bien... remplie.
Je terminai la semaine suivante
dans la boîte, mais Geneviève fut sans doute occupée car
elle ne me contacta pas, ni même ne m'adressa un message...sauf
le vendredi après midi, où je fus convié à passer le week-end
avec elle et une autre des "amies"...
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