TITRE : Fan de grosses poitrines, j'ai été comblé
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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La première fois que je l'ai croisée dans couloir de l'Université j'ai eu un terrible coup de foudre. C'était il y a plus de 8 mois. Ce jour là j'ai tout oublié, mon cours et le reste et je l'ai suivie partout à la fac. J'ai attendu tout l'après midi devant la salle où elle avait cours, je ne la quittais pas des yeux. Rien que de la regarder me faisait bander. Elle devait avoir 24 ans, elle était brune avec des cheveux mi longs et un corps mince et ferme. Mais ce qui m'a surtout tapé dans l'œil c'était sa poitrine énorme. La taille surprenante de ses seins contrastait avec le reste de son corps. Elle était en mini jupe et tee-shirt avec un foulard autour du cou.

     Ce jour là j'ai pris le bus avec elle et me suis arrangé pour m'asseoir à un endroit où je pouvais la regarder. Le bus n'était pas plein et il n'y avait personne autour de moi. Tout en la matant je me suis mis à me branler à travers mon pantalon. De temps en temps un sourire imperceptible ornait ses lèvres charnues lorsque mes regards insistants croisaient le sien.

     Huit mois sont passés depuis ce jour là. Durant huit mois, infatigablement je l'ai suivi partout, et bien plus d'une fois j'ai du aller me branler dans les toilettes de la fac pour me calmer. J'ai appris son emploi du temps par cœur et je m'arrangeais toujours pour la croiser dans les couloirs ou à la sortie de son cours. Jusqu'à ce mardi de la semaine dernière où l'occasion naturelle de l'approcher et de lui parler s'est présentée. C'était au pot organisé par une association d'étudiants. J'ai engagé la conversation avec elle, et elle m'a répondu avec beaucoup de bienveillance. Nous avons bu et discuté de longues minutes. J'ai su qu'elle était d'origine portugaise et qu'elle vivait seule à Lyon.

     L'alcool aidant je devenais de plus en plus entreprenant dans la conversation, je lui faisais des compliments de plus en plus osés et je lui avouais l'intérêt particulier que je lui portais depuis quelques mois. Elle m'a dit qu'elle s'en était rendue compte. A chacun de mes compliments elle souriait malicieusement et baissait les yeux. Sa timidité m'encourageait et je lui ai pris la main. Ce contact m'a mis dans un état second, je bandais et mon cœur s'est mis à battre à deux cent à l'heure.

     Nous nous serrions très fort la main et c'est ainsi que je l'ai tirée doucement vers la sortie. L'heure était tardive et dans les couloirs de la fac il n'y avait personne. Je l'ai amenée dans une salle de cours vide et j'ai refermé la porte. Et là nos lèvres se sont soudées dans un baiser fougueux. Je tenais sa tête entre mes deux mains et tout en l'embrassant frénétiquement j'appuyais mes coudes sur sa poitrine. C'était à la fois doux, chaud moelleux et ferme. Elle se pressait de plus en plus fortement contre moi, son ventre se frottait contre mon sexe. Tout en tenant son visage entre mes deux mains je bougeais mes coudes sur ses seins et je sentais les pointes de ses seins durcis. Nos lèvres ne se quittaient pas une seule seconde nos langues se mêlaient, on se léchait partout le visage. Elle a commencé à gémir et à se tortiller de plus en plus, ses mains posées sur mes fesses me serraient avec une force inouïe contre son corps.

     Relevant sa jupe, elle a pratiquement monté sur ma cuisse et s'est mise à y frotter son sexe chaud ; en même temps elle renfermait dans la paume de sa main droite la bosse de ma braguette pour la malaxer sans ménagement. J'ai relevé son pull sur ses seins et dégrafé son soutien gorge qu'elle a quitté aussitôt. Sous son pull relevé je découvrais le spectacle le plus excitant de ma vie : deux seins magnifiques, dont la fermeté me surprenait. Comme deux gros obus, ils se tenaient presque horizontalement malgré leur volume hors du commun. Mes mains avaient bien du mal à les contenir. Je les pétrissais, je les massais, je les tournais et retournais dans tous les sens. Mes doigts tremblants ne rataient pas un seul millimètre de cette masse de chair que je trouvais incroyablement ferme, douce, et chaude.

     Chauffés tous les deux à blanc, nos gémissements de plus en plus fort et incontrôlés se mêlaient. Nous étions au paroxysme de l'union de nos corps et de nos sens. Je n'aurais jamais pensé que cette fille pourrait être aussi chaude et sensuelle. Tout en chevauchant ma cuisse, Elle a fini par ouvrir ma braguette et entrepris à me masturber. Moi de mon côté je n'arrêtais pas de peloter et lécher ses seins et tout ça pratiquement sans que nos lèvres et nos langues avides se quittent un seul instant. Elle s'est baissée lentement pour me prendre dans sa bouche et lorsque, dans son mouvement, la peau douce et brûlante de sa poitrine a frôlé ma queue j'ai faillit jouir. Elle m'a sucé et léché le sexe avec gourmandise. La voir si gourmande et assoiffée de bite a décuplé mon plaisir et mon excitation. Ensuite je l'ai fait coucher sur une table pour la lécher à mon tour. Ma langue allait de son anus jusqu'à son clitoris dressé que je titillais par de petits mouvements de langue. Je la pénétrais avec ma langue jusqu'à lui arracher des râles de plaisir à n'en plus finir.

     Heureusement qu'il n'y avait personne dans le coin pour nous entendre et surtout pour l'entendre gémir comme une bête. Je l'ai pénétrée couchée sur la table. Sous mes coups de reins ses énormes seins se ballottaient et tournaient dans tous les sens. Elle a fini par les tenir dans ses mains tout en en pinçant le bout entre l'index et le majeur. Elle a eu plusieurs orgasmes (à en juger par ses cris très caractérisés) avant que je ne sente le flot de sperme monter dans mon sexe. Mais je voulais jouir sur sa peau et pas en elle. Je me suis retiré rapidement et je suis monté sur la table pour lâcher mes jets de sperme sur ses seins. Elle en a eu plein et partout sur les nichons.

     Je n'avais jamais pris autant de plaisir avec une fille. Avec le bout de mon sexe encore à moitié dressé j'ai étalé le sperme sur ses seins. Ensuite nous nous sommes rhabiller pour retourner dans la salle. Elle a voulu se nettoyer la poitrine gluante de foutre mais je l'ai empêché de faire en lui expliquant que c'est un de mes fantasmes. Sur ma demande pressante aussi elle n'a pas remis ni sa culotte ni son soutien gorge. Elle a enfilé juste son pull et sa mini-jupe et nous sommes retournés à la fête.

     Personne apparemment ne s'était rendu compte de notre absence et le pot continuait. Nous avons bu et discuté. Elle m'a avoué qu'elle est très complexée à cause de ses seins et que, vivant seule à Lyon, elle n'avait pas fait l'amour depuis deux ans et qu'elle était terriblement en manque. Je lui ai raconté comment je la guettais depuis plusieurs mois et qu'auparavant aucune fille ne m'avait excitée à ce point. Un slow s'annonçait et je l'ai invitée. Et ce n'est pas difficile de deviner que notre slow s'est vite transformé en un frottement très serré et sensuel de nos corps. Ses seins pointant sous le pull s'écrasaient contre ma poitrine et elle me murmurait à l'oreille : " Ca colle ton jus, j'en ai partout. Ca coule entre mes seins. "
     Et moi je l'encourageais : "Continue à me parler comme ça tu peux pas t'imaginer l'effet que tu peux me faire". Elle se serrait le ventre contre ma braguette et me lançait : "Oh si ! Non seulement je devine mais je le sens". Et elle continuait à me murmurer au creux de l'oreille : "Tu sens l'odeur de ton foutre, ça sens fort, hein !. Tu m'en as mis tellement que ça glisse." Et tout en frottant fortement ses seins contre mon torse elle a continué à m'enivrer avec ses paroles : "Tiens ! Tu sens mes seins comme ils glissent ? C'est ton foutre. Ah que tu m'as excitée salaud ! Je t'aime". Et par un baiser fougueux et mouillé elle s'est abandonnée dans mes bras. Je n'en pouvais plus, mon cœur battait à nouveau la chamade et je bandais très fort.

     Quelques minutes après, nous voilà enfermés dans une cabine dans les toilettes de la fac. Elle a relevé sa jupe et s'est assise sur la cuvette de WC pour pisser et j'ai profité de sa position pour frotter ma queue sur ses seins. Lorsqu'elle s'est mise à pisser je n'ai pas pu me retenir de passer une main entre ses cuisses. Elle continuait à pisser sur mes doigts. Avec mes doigts dégoulinants d'urine j'ai barbouillé ses cuisses et le reste de son corps avant d'en mettre sur mes lèvres et de lécher son pipi sur mes doigts.
     L'excitation nous rendait presque inconscients. On s'est déshabillés tous les deux et on a frotté nos corps mouillés d'urine l'un contre l'autre. J'ai léché tout son corps. Mes doigts glissaient sur la peau de sa poitrine qui sentait fort le sperme et l'urine. Elle, les yeux mi-ouverts, gémissait et se laissait faire. Avant de la prendre elle m'a léché puis elle m'a laissé pisser sur ses seins, ses cuisses et ses jambes. C'est tout trempé que nous avons joui.

     Aujourd'hui moi et Isabelle nous vivons ensembles et comblés

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