Je m'appelle Chloé, j'ai 29 ans et suis mariée
à Arnaud depuis 4 ans. Nous avons toujours eu une vie de
couple parfaite, tant sexuellement que sentimentalement.
Nos pratiques n'allaient pas très loin. J'aurais aimé qu'Arnaud
prenne plus d'initiatives mais il semblait préférer nos
jeux sages et finalement, je m'en contentais très bien.
Mais cela changea radicalement l'année dernière...
C'était en septembre. Depuis
plusieurs semaines, je suspectais la femme de ménage de
voler de l'argent dans le tiroir de ma commode. J'avais
donc installé le caméscope en partant le matin au travail.
Toute la journée, j'étais impatiente de voir la bande. En
rentrant du travail, je trouvais la maison impeccable comme
à chaque fois qu'elle venait. Je me dirigeais vers la chambre
pour prendre le caméscope et le brancher sur la télévision.
Il fallut passer en accéléré pendant une heure pour enfin
voir la femme de ménage, Anne, se diriger vers la commode.
Je la vis ouvrir le premier tiroir, celui où l'argent était
caché et prendre deux billets de 100 F. Furieuse et contente
de l'avoir piégée, je m'apprêtais à arrêter la cassette
lorsque je la vis ouvrir le tiroir suivant, celui de ma
lingerie. Elle dépliait mes culottes et soutien-gorges,
mimait de les enfiler. Bref rien de très grave, elle pouvait
voir ma lingerie à sa guise depuis longtemps lorsqu'elle
lavait la lessive. La bande continuait et j'entendis alors
la voix d'Arnaud qui la prenait la main dans le sac. Comment
pouvait-il être là, je ne le savais pas, mais cependant,
il était là, à lui demander des explications et commençant
à s'énerver. J'entendis alors Anne lui demander pardon,
qu'elle ferait tout ce qu'il voudrait. A ces mots, je vis
qu'Arnaud se calmait, et comme dans mon pire cauchemar,
il lui répéta : " tout ? ". Elle leva alors les
yeux vers lui et lui dit : " Oui, TOUT ce que vous
voudrez. ".
Je n'en croyais pas mes yeux
et je sentais mon cœur battre de plus en plus vite. Il lui
demanda alors de relever sa jupe. Sans une hésitation, elle
glissa ses doigts sous sa blouse et troussa sa jupe, dévoilant
de belles jambes nues. En continuant à la remonter, elle
arriva à sa culotte qu'elle caressa au passage. Arnaud la
regardait d'un air gourmand et bien que je ne puisse pas
le voir complètement, je me doutais qu'il adorait ce qu'il
voyait. Il lui demanda alors d'enlever sa blouse et son
chemisier. Il lui donnait des ordres fermement. Elle s'exécutait
lentement. En quelques instants, elle était là, devant Arnaud,
mon mari, en jupe et soutien-gorge, a sa merci. Il lui désigna
alors la commode du doigt et lui intima de prendre un ensemble
de mes sous-vêtements. Elle choisit un ensemble en dentelle
alors qu'il souriait. Avant même qu'il ait dit quoique ce
soit, elle avait ôté ses propres dessous et enfilait les
miens. Je ne savais plus quoi penser, mon cœur battait la
chamade. Il lui demanda alors de retirer sa jupe, et une
fois nue, il lui dit qu'il la trouvait très excitante. Il
est vrai qu'elle était très belle dans cet ensemble. Elle
lui dit alors : "
- Plus excitante que ta femme
?
- Oh oui. Toi, tu es une salope
!
- Oui, et c'est de ça dont
tu as besoin.
- Ca, c'est sûr. "
Je ne savais plus quoi penser,
je m'affolais. Pendant ce temps, les choses s'accéléraient
sur l'écran et je voyais alors Arnaud en train de caresser
les seins d'Anne à pleines mains. Il la fit mettre à genoux.
Elle compris tout de suite et ouvrit sa braguette. Elle
plongea la main dans son pantalon et ressortit son sexe
en forte érection. J'étais jalouse, mais aussi excitée,
comme à chaque fois que je le voyais dans cet état. Elle
le branlait maintenant doucement et vint poser sa langue
sur le gland. Il fermait les yeux et je pouvais voir tout
son corps se tendre. Elle le léchait sur toute la longueur,
descendait sur ses couilles et je voyais sa langue jouer
avec le bout. Il lui tenait la tête et lui posa la bite
sur les lèvres. Elle les ouvrit aussitôt. Il s'enfonça alors
complètement dans la bouche d'Anne. N'en tenant plus, tout
excitée par le spectacle, je commençais doucement à me caresser
le minou à travers mon pantalon. Il allait et venait dans
sa bouche et elle le regardait dans les yeux. Il la traitait
de pute et de salope et en retour, elle lui souriait. Jamais
je n'avais vu Arnaud comme ça, mais je dois avouer que cela
m'excitait au plus au point. Il la repoussa alors et lui
demanda de le déshabiller. Elle le mit nu et il lui retira
sa jupe, ne lui laissant que mes sous-vêtements. Il la retourna
alors et lui ordonna de se pencher sur la commode. Elle
s'exécutât, et je le vis écarter ma culotte. Il la léchait
alors quelques minutes. Puis, il sortit du champ de la caméra
et revint avec un préservatif. Je n'en revenais pas ! Il
avait des préservatifs sur lui ! Il enfila le préservatif
et s'enfonça dans le sexe d'Anne. Je la vis se cambrer alors
qu'Arnaud la pénétra d'une seule poussée, faisant claquer
son ventre sur ses fesses. Je pouvais voir qu'Arnaud était
très excité car tous ses muscles saillaient et il grimaçait
de plaisir.
Ne tenant plus, j'ai déboutonné
mon pantalon et ai commencé à jouer avec mon clitoris, tout
en faisant glisser mes doigts sur ma fente. Sur l'écran,
Arnaud limait Anne. Il accélérait, s'immobilisait et puis
repartait. Les mains d'Anne s'agrippaient aux bords la commode
et je pouvais voir ses doigts lâcher prise à chaque assaut.
Maintenant, Arnaud jouait avec Anne; il s'enfonçait dans
sa chatte, puis ressortait doucement et complètement. Il
faisait glisser sa bite dans sa raie, jusqu'à ce qu'elle
le supplie de la reprendre. Il la traitait alors de pute,
lui demandant de confirmer et d'un seul coup rapide et puissant
reprenait place dans son sexe. Jamais Arnaud ne s'était
montré aussi sauvage avec moi, et pourtant cela me faisait
maintenant très envie. Je pouvais entendre qu'Anne appréciait
ce traitement à ses soupirs et gémissements. Il accéléra
alors jusqu'à la pilonner. Elle criait maintenant. Puis,
il s'immobilisa, complètement fiché en elle. Il fit descendre
ses mains sur ses seins et jouait avec, les malmenant. Le
bassin d'Anne ondulait et essayer de reprendre les va-et-vient,
mais Arnaud la tenait immobile. Il sortit son sexe totalement
et lui ordonna d'aller sur le lit. Du coup, elle était sortie
du champ de la caméra. Je vis alors Arnaud, nu, en érection,
se diriger vers le lit. Je l'entendis alors lui dire qu'il
allait la l'enculer. Je n'en croyais pas mes oreilles. Arnaud
ne m'avait jamais sodomisée. J'en mourrais d'envie, mais
n'osais pas lui en parler de peur qu'il trouve ça dégoûtant.
J'avais maintenant les yeux fermés, deux doigts qui s'agitaient
dans la chatte et j'essayais d'imaginer qu'Arnaud me parlait
alors à moi, m'ordonnant de me placer en levrette, de tenir
mes fesses écartées. Seule dans le salon, j'obéissais à
la voix enregistrée, j'étais à quatre pattes sur le canapé,
une main sur le sexe et une ouvrant mes fesses. Je glissais
un doigt dans mon anus quand j'entendis Anne crier sous
la pénétration d'Arnaud. J'augmentais le rythme en même
temps qu'eux et j'ai joui lorsque j'ai entendu le râle caractéristique
d'Arnaud. J'ai rouvert les yeux et en regardant à la télé,
j'ai vu Arnaud quitter la pièce vers la salle de bains.
Anne se rajustait et puis tout est redevenu silencieux.
En passant la suite en accéléré, j'ai vu Anne finir le ménage.
J'arrêtais la bande, la rembobinais
et la cachais dans un endroit sûr.
Le soir Arnaud rentra du
boulot très tard. J'étais très troublée, ne sachant comment
réagir. J'étais évidemment très jalouse et furieuse, mais
j'avais compris que notre sexualité s'en trouverait grandie
(je comptais bien lui demander de me sodomiser un de ces
jours...) et aussi j'avais trouvé très excitant de le voir
baiser quelqu'un d'autre. Je décidais donc de voir d'abord
comment il se comporterait et d'agir ensuite. Il arriva
et fut très affectueux et câlin. J'avais du mal à le lui
rendre mais ses caresses eurent vite raison de ma jalousie.
Il était déchaîné et d'un coté, cela me faisait plaisir.
Il me déshabilla en quelques secondes et me fit jouir avec
sa bouche, sa langue et ses doigts en quelques secondes.
Ses doigts jouaient avec mes tétons pendant que sa langue
me pénétrait et que son souffle caressait mon clitoris.
Je me dégageais tant bien que mal de son étreinte et lui
ordonne de s'allonger nu sur le lit. Il était sur le dos
et je m'approchais. Je lui écartais les jambes et vint me
placer entre, le visage à hauteur de son sexe. Il bandait
déjà très dur et je décidais de prendre mon temps. Je fis
glisser ma langue sur ses couilles, remontant sur sa bite,
mais ne touchant pas le gland. A chaque remontée, il me
suppliait de m'en occuper, mais je lui refusais toujours.
Lécher ce sexe qui avait connu le matin même le sexe et
le cul d'une autre femme m'excitait au plus haut point.
Je pouvais presque sentir l'odeur d'Anne. Le gland d'Arnaud
devenait luisant alors que je ne l'avais pas encore touché.
Il avait une couleur violacée et se tendait à chacun de
mes contacts. Puis, je fis descendre ma langue et mes doigts.
Je jouais à la base de ses couilles et finalement, je léchais
son anus. Jamais je ne lui avais fait ça et à en juger pas
ses râles, il adorait. Je suçais mon index et le posais
sur son petit trou. Je vis ses muscles se tendre à ce contact
et je le sentais à ma merci. Je poussais un peu et je sentis
son anus s'ouvrir doucement. Son sexe n'avait jamais été
aussi gros et je le caressais doucement en même temps. Voulant
moi aussi prendre du plaisir, je plaçais alors une jambe
de chaque coté de sa tête et lui demandais de me faire la
même chose. Il jouait de sa langue sur mon anus, je le sentais
partout et ses doigts s'inséraient dans ma chatte complètement
trempée. J'avais placé sa bite entre mes seins et la sentais
palpiter contre mon cœur à chaque fois que mon doigt entrait
complètement dans son cul. Le sentant sur le point de jouir,
j'arrêtais mes caresses, mais lui continuait. Son index
était maintenant fiché dans mon cul, et son pouce dans ma
chatte. Sa langue lapait mon clitoris. Il rentra alors un
autre doigt dans mon cul, me remplissant complètement. Des
ondes de plaisir parcouraient mon corps et je jouissais
plusieurs fois d'affilée.
Ne tenant plus, je me suis
dégagée, je l'ai regardé dans les yeux en souriant et je
lui ai dit : " Encule-moi maintenant ". Il se
releva, m'allongea sur le dos, cuisses grandes ouvertes
et vint se placer entre elles. Il enfonça sa bite dans ma
chatte et je crus mourir de plaisir. Il me lima quelques
secondes, puis sortit son sexe et plaça son gland sur ma
rondelle. Il me regardait tendrement puis me demanda si
je voulais vraiment. Je ne pouvais parler et en gémissant,
j'ai fait oui de la tête. Il cracha sur son sexe et il commença
à pousser sur mon cul. Je sentais que je m'ouvrais. Nous
nous regardions dans les yeux et je le sentais m'aimer.
Il poussait un peu plus et son gland était maintenant en
moi. Pour l'instant, la douleur était supportable et de
loin surclassée par le plaisir. Je lui fit signe de continuer
et il poussa doucement. Je sentais chaque millimètre de
son sexe entrer en moi et frotter sur mes parois rectales.
Mon anus me faisait maintenant très mal et je voyais encore
que plus de la moitié de son sexe était encore dehors. Voyant
mes craintes, il se mit à caresser ma chatte et mon clitoris.
Il ne bougeait plus sa bite, m'habituant à sa présence,
mais me faisait plaisir avec ses doigts. De temps en temps,
il en rentrait un dans mon sexe et caressait sa bite par-dedans.
Tout cela était très bon et je me mit à onduler doucement
du bassin. Il reprit alors sa poussée et je jouis alors
que je sentis ses poils sur ma chatte, annonçant que sa
bite entière était en moi, dans mon cul. Il m'enculait.
Il s'arrêtait, me souriant. Il m'embrassa fougueusement,
sa bite dans mon cul et ses doigts dans ma chatte. Je savais
que nous venions de franchir une étape dans notre vie sexuelle
et j'étais la plus heureuse des femmes. Il allait et venait
dans mon cul et le plaisir fut divin. Je criais de plaisir
et après quelques allers retours, il explosa dans mon anus.
Je sentais les giclées de sperme brûlant cogner contre mes
parois anales. J'avais l'impression que ça ne s'arrêterait
pas et je voyais sur son visage qu'il appréciait autant
que moi.
Puis, il se retira et j'eus
l'impression que mon anus était énorme et ouvert. Je sentais
le sperme couler doucement entre mes cuisses. Arnaud reprenait
son souffle à coté de moi et je passais ma main sur son
corps et son sexe, le remerciant de ce plaisir. Il me remercia
aussi puis me demanda pourquoi j'avais tout fait pour me
faire sodomiser ce soir là. Devant une telle opportunité,
je lui dis qu'il n'y avait pas de raison que seule la femme
de ménage en profite. Il me regarda surpris et je lui expliquais
ma journée. Confus et ne sachant quoi dire, il me regardait
l'air penaud. J'ai cherché la cassette et lui ai montré.
Nous avons refait l'amour en imitant la cassette, et il
m'a enculée à nouveau.
Plus tard, sous la douche,
il m'a demandé : "
- Tu es jalouse ?
- Oui, bien sûr, mais si à
chaque fois que tu me trompes, on passe une soirée comme
celle ci, je pense que l'on peut l'envisager, et puis peut
être qu'on pourrait prendre un homme de ménage...
- Je crois que ce serait très
excitant en effet... "
Et nous avons refait l'amour.
Cette dernière discussion nous à conduits à beaucoup de
nouvelles expériences que je vous raconterai une autre fois...
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