Je m'appelle Agnès, j'ai 55 ans et je tiens
un magasin de tabac-presse à Lyon. Avec mon mari nous habitons
dans un appartement situé en haut de mon bureau de tabac.
Mon mari, Georges, a 62 ans. Il y a 12 ans il s'est mis
à boire et depuis il est devenu impuissant. En retraite,
il passe ses journées à jouer aux cartes avec ses amis et
à boire. Je ne l'intéresse plus et il me dégoûte de plus
en plus. Pourtant je souffre de cette situation car j'aime
beaucoup séduire.
Malgré mon âge, je suis très
bien conservée. J'ai un corps mince et ferme, dont je prends
beaucoup de soins en fréquentant un club de gym et des séances
d'U.V. pour rester toujours bronzée, et j'ai surtout une
poitrine opulente que j'aime mettre en valeur. Etant en
contact avec le public toute la journée je ne cesse pas
de séduire. Les regards avides des hommes qui louchent sur
mon décolleté très échancré m'émoustillent et me rassurent.
Je dois avouer que je suis surtout attirée par les jeunes
hommes d'une vingtaine d'années. Quand j'en vois un mignon,
je fais tout pour l'allumer et ça m'excite beaucoup de voir
le désir dans ses yeux (et parfois dans la bosse de sa braguette
!). Mon arme principale pour séduire ce sont mes gros seins
que je découvre au maximum par une robe décolletée ou un
corsage dont le haut est négligemment déboutonné. Je porte
souvent des bas noirs et un soutien gorge à balconnet en
dentelle noir. Il y a parfois des petits jeunes qui reviennent
quatre ou cinq fois dans la journée et à chaque fois ils
partent plus excités qu'avant. Je mouille rien qu'en les
imaginant en train de se branler en pensant à moi et à mon
corps. Pourtant je dois avouer que jusqu'à l'été dernier
je n'avais jamais trompé mon mari.
Au mois de juillet de l'année
dernière j'ai goûté pour la première fois aux délices de
l'adultère et, croyez-moi, je ne suis pas prête à m'arrêter.
Mes aventures extraconjugales m'ont fait découvrir à moi-même
sous un jour différent : aujourd'hui, je dois reconnaître
que je ne me suis vraiment épanouie qu'à 55 ans mais, comme
on dit, vaut mieux tard que jamais ! Depuis, mes tabous
sont cassés et je suis devenue, sous mes apparences respectables
de femmes mûres, mariée et honnête commerçante, une affamée
de sexe. Jusqu'à l'année dernière j'étais une simple allumeuse
qui n'avait jamais osé aller plus loin, maintenant je suis
une vraie salope qui adore sucer son jeune amant et se faire
jouir dessus, une salope perverse qui s'est découvert, à
55 ans, un goût insolite pour les jeux d'urine. S'il m'arrive
encore d'avoir parfois d'insupportables crises de culpabilité
je dois avouer qu'en lisant votre revue et surtout en vous
écrivant sans retenue je me sens libérée de tout sentiment
de culpabilité et de toute contrainte morale et capable
d'assumer mes désirs : je raffole de sucer une belle queue,
je ne pense plus qu'à ça, je prends mon pied avec ça et
j'en suis heureuse. Et voilà l'aventure qui m'est arrivée
l'été dernier et qui a pratiquement tout déclenché dans
ma tête et dans ma vie.
Ce jour là il faisait très
chaud à Lyon. Je portais mon tailleur beige qui est assez
échancré et j'avais pour tout sous-vêtement un slip et des
bas noirs. Ce tailleur est mon seul vêtement avec lequel
je ne porte jamais de soutien gorge car je trouve ça peu
élégant. Il est entré peu après l'ouverture du magasin et
m'a acheté un paquet de cigarettes Il était jeune, autour
de 24 ans, brun, assez petit, il avait de petits yeux qui
lui donnaient un air vicieux mais un visage très mignon.
Dès l'instant où il est entré au magasin son regard, audacieux
et timide à la fois, s'est posé sur ma poitrine opulente
qui déformait le haut de ma veste. J'étais ravie et amusée.
Pour lui rendre la monnaie je me suis penchée au maximum
sur le tiroir caisse lui offrant ainsi une vue très plongeante
sur mes seins. Il est revenu 20 minutes après sous prétexte
qu'il avait oublié d'acheter un briquet et puis, toute la
matinée je l'ai vu passer et repasser devant le magasin
; prétextant regarder les articles qui se trouvaient dans
la vitrine, il me regardait discrètement. Il est repassé
l'après-midi pour acheter encore des cigarettes et je me
suis encore sentie déshabillée par son regard insistant
et timide chargé à la fois de désir et d'une sorte de résignation.
Son regard m'intriguait de
plus en plus, on aurait dit qu'il me suppliait, qu'il m'implorait
du regard et cette sensation ne me laissait pas indifférent.
J'avais envie de le provoquer encore plus. Ce manège dura
une dizaine de jours, il passait me voir plusieurs fois
par jour sous des prétextes différents et, toujours timide,
il ne me disait pas un mot, par contre j'avais l'impression
que son regard me parlait, me conjurait me saoulait en m'avouant
son envie. Il commençait à me plaire et au bout de quelques
jours j'ai commencé à penser à lui les soirs dans mon bain.
Je l'imaginais en train de se masturber devant moi en fixant
mes seins avec son regard enfiévré. Je l'imaginais avec
un beau et gros sexe érigé qu'il frottait contre mes seins
et mon sexe et je finissais chaque soir par me masturber
dans mon bain en repassant ses images dans ma tête.
Un jour il est arrivé quelques
minutes avant midi et après avoir acheté des cigarettes
s'est dirigé vers le présentoir des journaux, et s'est mis
à feuilleter des revues érotiques qui se trouvaient sur
le rayon tout en haut. Moi j'attendais avec impatience qu'il
finisse de choisir sa revue pour pouvoir fermer la boutique
et aller manger mais le jeune homme n'était pas pressé.
Je le voyais de profil et à chaque fois qu'il se levait
sur la pointe des pieds pour prendre une revue sur le rayon
du haut je pouvais deviner son sexe bandé à travers le tissu
mince de son pantalon, il devait faire un peu exprès pour
me montrer qu'il bandait. Je distinguais tout le contour
de son sexe qui longeait en haut de sa cuisse. Son sexe
me paraissait gros et long. Regarder des revues de femmes
nues à deux pas de moi devait drôlement l'exciter. C'était
peut-être sa façon à lui de me parler de me faire part de
ses désirs. Une façon de communiquer bien maladroite qui
ne manquait pourtant pas de m'amuser car j'avais le sentiment
d'avoir un grand pouvoir sur ce garçon, pouvoir de le mener
par le bout du nez et de le dominer totalement.
La situation avait quelque
chose de piquant, de pervers qui m'attirait. Tout ça me
donnait l'envie de l'allumer, de le provoquer encore. Discrètement,
j'ai défait deux boutons du haut de ma veste. Je ne portais
pas de soutien gorge et il suffisait que je bouge un peu
pour qu'on puisse voir mes seins dans l'échancrure de ma
veste. Je bombais le torse et je lui lançais sur un ton
impatient : "Monsieur, il est midi dix, je vais fermer"
Il s'est présenté devant la caisse avec une revue de femmes
aux gros seins et deux numéros de Lettres Magazine. Je me
suis baissée pour prendre un sac en plastique pour ses revues
et je suis resté un moment comme ça, feignant chercher le
sac. Mes seins pendaient et ballottaient à chacun de mes
mouvements et à travers le haut de ma veste déboutonnée
il pouvait tout voir. Lorsque je me suis redressée il était
rouge d'émotion et son regard, m'implorant plus que jamais,
a croisé le mien. Sous le poids de son regard, si vif et
si chargé d'émotion, j'ai senti une bouffée de chaleur envahir
mon corps, je crois que j'ai rougi, je me suis sentie toute
mouillée et j'ai serré fort mes cuisses. Il est parti, j'ai
fermé le magasin et je suis allée dans le restaurant d'en
face manger comme d'habitude avec Paulette qui tient une
mercerie pas loin de chez moi.
Au retour, vers 13 heures
30, il m'attendait devant mon bureau de tabac. D'une voix
tremblante il m'a demandé d'emblée s'il pouvait m'offrir
un café. Sûre de mon pouvoir sur lui et attendrie de le
voir obligé de faire tant d'efforts pour m'aborder si maladroitement,
je lui ai répondu que j'allais me faire un café et je l'ai
invité à entrer et le prendre avec moi. Après tout je n'ouvrais
le magasin qu'à 15 heures et j'avais bien une heure et demi
devant moi pour faire marcher avec ce petit gamin. J'avais
envie de le provoquer encore et de voir ses yeux débordant
de désir m'implorer et me supplier. On est entré. J'ai refermé
la porte à clé et j'ai passé devant lui pour le diriger
vers l'arrière boutique qui me servait également de cuisine.
J'ai mis en route la cafetière et on a commencé à discuter.
Il m'a dit qu'il était étudiant et qu'il vivait dans le
quartier. Il avait 23 ans, 32 ans moins que moi ! En me
parlant son regard descendait sans cesse de mon visage vers
ma poitrine et fixait la raie entre mes deux globes de chair.
Il m'inspirait de plus en plus confiance. Il devait être
quelqu'un de très seul. Tout en continuant à le questionner
sur un ton faussement maternel je suis allée servir le café.
J'avais le dos tourné vers
lui lorsque je l'ai senti derrière moi, avant même de pouvoir
me retourner il s'est collé à moi, je sentais nettement
sa virilité arrogante qui cherchait à se caler dans la raie
de mes fesses et ses mains ont empoigné mes seins à travers
ma veste. Il se serrait contre mon dos et ses mains pelotaient
énergiquement mes gros seins qu'elles avaient du mal à contenir.
Je sentais son souffle, puis ses lèvres et sa langue sur
ma nuque. Pour la première fois depuis des années je sentais
mon corps se presser contre celui d'un homme. Il me parlait
sans cesse, il me disait qu'il me trouve sexy et sensuelle,
qu'il a toujours rêvé d'une femme comme moi, qu'il n'arrête
pas de penser à moi depuis qu'il m'a vue. Le jeune homme
timide s'était transformé en un mâle en rut.
Tout cela s'est passé en
quelques secondes et dans ma tête l'idée de le repousser
a vite cédé la place à une sensation de chaleur et de bien
être. Une forte envie me serrait le ventre et mon cœur battait
la chamade. J'ai commencé à onduler des hanches de plus
en plus vite pour mieux sentir son sexe dur se frotter contre
mes fesses. Il y avait quelque chose dans la situation qui
m'excitait énormément et que je ne sais pas expliquer. Peut-être
était-ce sa personnalité timide ou son âge ou le fait que
je trompais pour la première fois mon mari mais toujours
est-il que j'avais tout le corps en feu. J'ai retroussé
ma jupe et alors que ma main droite s'activait dans ma culotte,
j'ai passé la main gauche derrière moi et j'ai empoigné
sa queue. Quelle délicieuse sensation que de sentir ainsi
entre les doigts l'effet que peut faire une femme de mon
âge à un jeune homme de 23 ans. Quant à lui, il avait déboutonné
ma veste et, tenant mes seins des deux mains les malaxaient
vigoureusement.
Je me suis retournée et prenant
sa tête entre mes mains je l'ai embrassé à pleine bouche.
Un baiser fou et enflammé : je frottais mes lèvres contre
les siennes, je les mordais, je léchais ses lèvres et son
visage, je fouillais sa bouche avec ma langue. Il répondait
avec fougue à mon baiser, sa langue glissait frénétiquement
sur ma peau, il léchait mon cou, mes épaules, mon visage
puis nos langues et nos salives se mêlaient dans un baiser
fougueux. Je mouillais abondamment et je me frottais contre
sa cuisse. Il s'agitait comme un fou sur ma poitrine, il
suçait mes seins, les pelotait, y frottait son visage. Je
n'y tenais plus, je me suis baissée et j'ai ouvert sa braguette,
son sexe a jaillit, fièrement érigé en courbant vers le
haut, il était gros et long. C'est difficile à expliquer
mais dans l'état d'excitation où je me trouvais c'était
comme si je découvrais pour la première fois un sexe d'homme.
C'était moins l'idée d'avoir ce sexe en moi que celle de
le toucher, de le humer, de le sucer et de le découvrir
qui m'excitait. Je le branlais lentement pour bien sentir
sa chaleur et sa douceur. Sa queue palpitait sous le mouvement
de mes doigts. Comme une jeune fille qui touche pour la
première fois un sexe d'homme j'étais curieuse de connaître
les secrets cette belle colonne de chair. Je n'avais pas
assez de la toucher je la mettais en contact avec ma peau,
je la frottais contre mon cou, mes épaules, mon bras, mes
seins et mon visage. Je l'embrassais amoureusement en la
prenant entre mes lèvres et je la léchais sur toute sa longueur,
puis je la frottais encore et encore contre mon corps, contre
chaque centimètre de ma peau. Il gémissait fort et se baissait
sans cesse pour palper mes seins. Je n'avais jamais connu
un tel plaisir et un tel degré d'excitation. Tout était
cérébral, tout était dans la situation.
L'idée de lui procurer du
plaisir, de l'entendre et sentir jouir me tournait la tête
comme si j'étais ivre. Je ne pensais qu'à ça, qu'à le faire
jouir.
Il s'est baissé et s'est
mis à se branler entre mes seins. Sa queue allait et venait
entre mes deux globes de chair que je maintenais des deux
mains. Ses mouvements étaient hâtifs, on aurait dit qu'il
voulait tout essayer tout goûter avant que ça finisse. Il
a frotter sa queue contre mes seins, avec son gland violacé
et luisant il écrasait mes tétons. Ensuite je prenais sa
queue dans ma bouche et je la suçais énergiquement. Je voulais
qu'il jouisse dans ma bouche mais d'un seul coup il a sorti
sa queue et s'est mis à se branler vigoureusement sur mes
seins. Une grimace a déformé son visage et il a crié. Il
a éjaculé abondamment sur ma poitrine, j'ai reçu quelques
gouttes sur le visage. Mes yeux ne quittaient pas sa queue
qui s'agitait follement et lorsque son sperme chaud s'est
écrasé sur ma peau j'ai eu un orgasme. Des ondes de plaisir
m'ont secoué de la tête aux pieds, un feu d'artifice, des
frissons interminables, et une sensation de chaleur a traversé
tout mon dos de la nuque jusqu'aux reins. Un plaisir cérébral
que je n'avais jamais connu. Un agréable sentiment de bien
être m'enveloppait.
Il a étalé son sperme sur
ma poitrine. Le spectacle de mes seins barbouillés de son
foutre crémeux et visqueux devait lui plaire car il les
a ainsi massés un long moment. Mes seins et ses doigts dégoulinaient
de sperme, il m'en a mis partout, sur le ventre, sur les
hanches, sur le cou. Il a léché les quelques gouttes de
sperme sur mon menton et mes joues puis m'a embrassé à plein
bouche pour me les passer. J'ai avalé le mélange de salive
et de sperme qui m'emplissait la bouche. Ensuite il m'a
fait lécher et sucer ses doigts pleins de foutre. Je m'y
suis appliquée comme si chacun de ses doigts était une bite.
Le goût de son foutre et la sensation formidable de me sentir
toute barbouillée de sperme m'excitaient encore. Décidément
ce garçon était fait pour moi, pour m'exciter. Je me suis
nettoyé juste le visage et j'ai remis ma veste. Je voulais
garder son foutre sur moi, je voulais être sale, souillée,
barbouillée et ça me plaisait.
Jean-Luc (c'était son nom)
est parti et j'ai ouvert le magasin. Toute l'après-midi
l'image de sa queue se frottant à moi m'obsédait. Chaque
cellule de ma peau avait gardé le souvenir du passage de
sa queue, de sa langue et de ses mains et en redemandait.
Je ne me reconnaissais plus. Comment ce jeune homme de 23
ans avait pu me faire un tel effet et me bouleverser à ce
point ? L'odeur de son foutre séché sur mes seins qui me
remplissait les narines me rappelait instamment que je n'avais
pas rêvé. A 19 heures j'ai fermé le magasin et je suis remontée
chez moi. Après avoir dîné avec mon mari je l'ai abandonné
comme d'habitude devant sa télé pour aller prendre une douche.
Dans la salle de bain je me suis regardée nue dans la glace,
je me trouvais belle et rajeunie. J'étais bien. Je me suis
caressé les seins, j'en ai pris un dans ma main et je l'ai
remonté, puis baissant la tête je l'ai léché sur toute la
surface. Le goût du sperme de Jean-Luc s'est ravivé dans
ma bouche. Je léchais le foutre séché sur mes seins et l'envie
de sa queue devenait de plus en plus forte. Je voulais qu'elle
m'arrose encore de foutre, qu'elle me salisse le corps.
J'ai ressenti une envie de
faire pipi et soudain une idée bizarre et excitante m'a
traversé la tête. Et si j'arrosais mon corps avec mon urine
! Rien qu'en y pensant mon cœur s'est mis à battre très
fort. L'idée était salace et perverse et elle m'excitait.
Je me suis couchée sur le dos au fond du baignoire, j'ai
relevé très haut mes jambes et je me suis mise à pisser
en m'arrosant partout même sur la figure. Je dégoulinais
d'urine. Ca coulait sur mon corps, c'était chaud et son
odeur m'enivrait. En même temps je me touchais et j'ai joui
très fort. C'était merveilleux.
Le lendemain et les jours
suivants j'ai revu Jean-Luc. On se retrouvait entre midi
et 15 heures et on faisait l'amour comme des bêtes. Le reste
de la journée je ne pensais qu'à une chose : retrouver Jean-Luc,
prendre sa queue dans ma main, la toucher, la sucer et la
faire gicler. Lui, de son côté il était obsédé par ma poitrine
et il me disait attendre impatiemment tous les jours le
moment de les peloter, de les lécher et téter.
Aujourd'hui ça fait un peu
plus d'un an qu'on se connaît et on se retrouve toujours
avec la même fougue. Nous sommes devenus très proches, maintenant
il connaît mon goût secret pour les jeux de pipi et ça l'excite
terriblement. Il sait que j'aime l'amour mouillé et que
plus c'est sale plus je perds la tête et je m'excite. Un
jour quand il est arrivé, il a sorti sa queue, m'a serrée
contre lui et s'est mis à pisser. Il a du faire des efforts
car il bandait déjà et ça ne venait pas facilement. Son
pantalon et ma jupe étaient tout mouillés et son urine chaude
coulait merveilleusement sur mon ventre et mes cuisses.
Ensuite je me suis déchaînée sur sa bite, je l'ai branlé
et sucé comme une dingue et il a joui sur mes seins. Je
me rappelle que ce jour là je ne me suis pas nettoyée, j'ai
juste changé mes vêtements trempés et lavé le sol de la
cuisine et l'après-midi j'ai repris mon travail toute trempée
de pipi et de foutre de Jean-Luc. Le soir je me suis encore
branlée au fond de ma baignoire en m'arrosant de pipi.
Un autre soir alors que mon
mari dormait et moi je lisais un numéro de Lettres Magazine
dans la cuisine, j'ai été prise d'une forte envie de pisser.
Et toute excitée que j'étais par la lecture de votre revue,
je me suis laissée aller. J'ai pissé comme ça assise sur
ma chaise. L'urine coulait sur le siège puis sur le carrelage
et formait une grosse flaque par terre. J'y ai trempé mes
doigts et je les ai portés à mes seins puis à ma bouche
pour les sucer comme une bite. Ensuite, tremblante d'excitation,
je me suis déshabillée et je me suis roulée toute nue sur
le carrelage dans la flaque de pipi. Je me suis branlée
couchée par terre, toute trempée d'urine et j'ai joui alors
que l'odeur d'urine me remontait les narines.
Et enfin, je n'oublierais
pas le jour où Jean-Luc, connaissant bien mes fantasmes,
a littéralement couvert mon buste de crème chantilly et
s'est mis ensuite à se frotter à moi et me lécher. Il en
a mis aussi sur sa queue que j'ai léchée avec gourmandise.
Nous étions tous les deux barbouillés de crème chantilly
et nous n'arrêtions pas de nous caresser pour bien l'étaler,
de nous lécher partout et de nous amuser en nous frottant
l'un à l'autre. C'était très excitant. A la fin je me suis
régalée en avalant un mélange de son sperme et de crème
chantilly. C'était délicieux.
Pour terminer ma lettre je
vous avoue que depuis quelques jours j'ai un fantasme qui
me travaille de plus en plus et dont je n'ai pas encore
parlé à Jean-Luc. Je m'imagine en train de branler et sucer
trois hommes à la fois. Je m'imagine à moitié dénudée et
assise par terre entourée de trois hommes qui frotte leurs
grosses queues sur mon corps. Alors qu'un des hommes me
caresse la nuque et le dos avec sa queue, je prends les
queues des deux autres dans les mains et je les frotte l'une
contre l'autre avant de les sucer comme une hystérique.
Je finis par faire jouir deux des hommes sur ma figure et
mes seins. J'étale bien leur foutre et ma poitrine et mon
visage se trouvent ainsi couverts de sperme chaud et gluant
(rien que d'y penser j'ai le ventre serré et je mouille).
Le troisième éjacule dans ma bouche. Je garde son sperme
un instant dans la bouche pour bien le délecter puis je
l'avale. Quel délice !
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