J’ai découvert, il y a peu, un plaisir très intense qui
se passe dans la tête avant de se concrétiser sexuellement.
Voir sa femme se faire baiser par d’autres hommes.
Pas la surprendre avec un
amant, non, la voir se faire prendre devant soi par un autre,
sans l’avoir voulu, comme ça, par jeux pervers, au cours
d’une banale petite soirée entre amis. Pas de l’échangisme
non plus, elle était la seule femme pour nous trois, un
concours de circonstances, un hasard.
Ma sensation la plus forte
a été quand j’ai vu, pour la première fois, le sexe de mon
ami Jean s’enfoncer dans le con de Céline, ma femme. J’en
bande encore en y pensant et en me remémorant les images.
Ce qui est extraordinairement bandant, c’est de s’apercevoir
qu’il faut très peu de choses pour qu’une " honnête
" femme, vertueuse mère de famille, nous avons deux
enfants, un peu timide et réservée se transforme en une
véritable salope qui se donne sans retenues à plusieurs
hommes à la fois devant un mari complaisant quand la première
barrière des conventions est franchie. Je me suis demandé
s’il ne s’agissait pas de sa véritable nature. C’est sa
véritable nature, c’est une salope.
Céline me dit m’avoir toujours
été fidèle. Je n’ai pas de raisons de ne pas la croire.
Nous sommes mariés depuis quinze ans et je l’ai connue vierge.
Elle est blonde, yeux bleus, assez grande, mince, bien foutue,
jolie, très mignonne. J’aime qu’elle s’habille de façon
sexy, robes courtes, minijupes, jamais de soutien gorge,
des bas en hiver, pas de collants et elle aime le faire.
Comme tous les hommes, je
suis voyeur et comme la plupart des jolies femmes, elle
est un peu exhibitionniste. J’ai souvent constaté que des
hommes la lorgnaient quand elle s’asseyait quelque part
ou montait un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs
fois je lui ai demandé d’écarter les cuisses pour le plus
grand plaisir des voyeurs qui la mataient. †a m’excite et
elle aussi, d’ailleurs, elle n’est pas très pudique et laisse
voir sa petite culotte très souvent, par inadvertance, bien
sûr.
Il m’est arrivé de pousser
ce jeu un plus loin. Nous nous étions installés dans un
jardin public, les enfants jouaient autour de nous et j’avais
remarqué que deux ou trois hommes nous observaient. Céline
était vêtue d’une minijupe vraiment très courte et elle
s’asseyait, se relevait, croisait les jambes, les décroisaient,
se baissait, se courbait, s’accroupissait pour s’occuper
des enfants. Elle montrait sa petite culotte blanche à chaque
instant et ils se régalaient. Je le lui faisais remarquer
et elle m’a dit :
" Si cela leur plaît,
moi ça ne me gène pas, au contraire, ça m’amuse. Tu es jaloux
? "
Un peu surpris par sa réaction,
j’ai voulu me rendre compte si cela l’excitait autant que
moi et puisque ces regards l’amusaient, je lui ai demandé
de leur en montrer un peu plus en enlevant tout simplement
sa culotte. Elle me regarda avec un sourire malicieux, se
tourna vers moi et se débarrassa du slip. Quand ils s’aperçurent
qu’elle était maintenant nue sous sa jupe, manifestement
pour eux, les voyeurs nous firent des petits signes de remerciements.
Céline s’est alors exhibée vraiment, en écartant les cuisses
et les types se sont branlés en la regardant, ils avaient
sorti leur queue et nous les avions vus éjaculer devant
eux.
Nous avions fait l’amour
très fort, tout de suite en rentrant à la maison. Elle m’avoua
qu’elle aimait beaucoup que des hommes la regarde et aient
envies d’elles et que ce n’était pas la première fois que
des voyeurs se masturbaient devant elle en la matant quand
elle faisait jouer les enfants dans le parc.
" Et tu ne m’as jamais
rien dit ! " " Pourquoi faire, ils ne me touchent
pas, ils ne sont pas dangereux ! Et moi ça ‘’m’amuse !’’
" Dis plutôt que ça
t’excite ! "
Elle ne répondit pas mais
je savais que c’était vrai.
Jean et Paul sont mes amis
d’enfance. Ils sont mariés tous les deux et nous devions
tous nous retrouver ce soir là pour dîner ensemble. Paul
était arrivé le premier, seul, sa femme a été obligée d’aller
voir ses parents et elle restera chez eux jusqu’à demain.
Il n’avait pas pu nous prévenir. Jean suivit, lui aussi
seul. Son épouse restait au chevet de son fils, malade et
il était quand même venu. Nous serions donc trois hommes
et une femme.
Céline était particulièrement
jolie, habillée comme d’habitude, très court et comme d’habitude,
elle montrait sa petite culotte, toujours blanche et transparente
aujourd’hui, à tous bouts de champs. Mes amis en avaient
l’habitude mais ils ne se privaient pas de la mater quand
même et je surprenais souvent leurs regards dirigés dans
l’entrecuisse de Céline.
C’est ce qui m’a provoqué
le déclic. J’ai eu envie qu’elle s’exhibe devant eux et
peut-être même un peu plus. Je faisais en sorte que le verre
de Céline ne fut jamais vide. Un peu d’alcool la libère
de ses réserves et je remplissais aussi les verres de Jean
et de Paul. Puis j’ai mis de la musique, j’ai commencé par
danser avec elle en lui pelotant carrément les fesses, elle
se laissait faire mais m’a murmurée, pas dupe :
" Qu’est-ce que tu fais
? Tu veux me saouler ? "
" J’ai envie de m’amuser
avec toi et eux… "
" C’est quoi, ‘’t’amuser
avec eux et moi ?’’
"Tu pourrais te montrer
sexy, par exemple, les émoustiller un peu, flirter avec
eux, les exciter quoi ! "
" Mais pourquoi ? …
" Me dit-elle en frissonnant, alors qu’elle se doutait
où je voulais l’amener
" Tu veux, … Tu aimerais
qu’ils… qu’ils me… qu’ils me fassent des choses ? … C’est
ça ? "
Alors que je la retroussais
et que je lui mettais la main sous sa culotte, je lui répondais
en bandant très fort :
" Oui, c’est ça, qu’ils
te fassent plein de choses, j’ai envie qu’ils te baisent,
devant moi, tous les deux. "
J’avais mes doigts qui lui
rentraient dans le vagin en lui disant cela, elle a serré
les cuisses dessus, elle était trempée.
Silencieux, ils assistaient
au spectacle que nous leur offrions, Céline troussée très
haut, sa culotte à moitié baissée sur les cuisses, la chatte
à l’air et mes doigts qui s’activaient dedans. J’avais parlé
normalement et ils avaient entendu. Ils se sont levés pour
s’approcher de nous et ils ont commencé par caresser les
seins de ma femme qu’ils ont dénudés. Je me suis éloigné
pour venir m’asseoir dans un fauteuil en spectateur et les
laisser libre de faire ce qu’ils voulaient d’elle. Elle
se laissait faire en me regardant de temps en temps. Paul
lui avait rentrer des doigts dans la vulve et dans le cul,
Jean lui palpait les seins et les fesses. Ils se sont installés
tous les trois dans un divan en face de moi et ils se relayaient
pour lui enfoncer leurs doigts dans la chatte et dans le
cul ou les lui mettaient en même temps. Elle avait leur
queue dressée dans chaque main.
J’avais sorti mon sexe et
je me masturbais. Je n’en revenais pas de la facilité avec
laquelle elle acceptait ce jeu pervers. Cela me faisais
un effet curieux de la voir ainsi offerte avec ces mains
qui la touchaient et elle, avec des sexes d’homme dans les
siennes. Elle me regardait toujours de temps en temps mais
je m’aperçu qu’elle tremblait.
C’est Jean qui ne put attendre
plus longtemps. Sans plus s’occuper de moi, il enleva son
pantalon et son slip, il la prit dans ses bras et la porta
jusqu’au petit lit qui nous sert de canapé la queue dressée.
Il la déposa, il lui remonta sa jupe à la taille, il la
débarrassa de sa culotte, il lui écarta les cuisses. Nous
la contemplions tous les trois, elle s’offrait sans pudeurs
consciente que nos deux amis allaient la prendre et de la
perversité de la situation. Jean se pencha sur elle et il
pointa son nœud en face de l’entrée du vagin.
Céline couvrit alors sa vulve
d’une main et prit la verge de Jean de l’autre, lui chuchota
quelque chose et me regarda en disant :
" C’est ce que tu veux,
Claude, c’est ce que tu veux vraiment ? … Tu veux qu’ils
me baisent, tu veux que Jean et Paul me baisent ? … C’est
ça que tu veux ? Dis-le ! "
Je ne répondis pas et elle
retira sa main en libérant le sexe de Jean qui, impatient,
la pénétra de toute sa longueur. J’ai vu la vulve de ma
femme s’ouvrir sous la poussée et la queue de Jean s’enfoncer
entièrement. Elle a frémi en poussant un " ah ! "
Elle ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la pénétrait
et moi, j’étais fasciné par cette bite qui la violait. Maintenant,
il allait et venait en elle, je voyais sa verge entrer et
presque sortir du vagin et les lèvres du con de Céline l’entourer,
la sucer, la retenir et s’étirer en l’accompagnant. Je voyais
son clitoris gonflé qu’il limait à chaque va et vient. Il
baisait ma femme et il allait jouir d’elle.
Je n’arrivais pas à croire
que c’était elle qui était là, le sexe d’un autre homme
que moi fiché en elle et qui se faisait ramoner sous mes
yeux. Ce ne pouvait être ma femme étendue sur ce lit avec
les cuisses écartelées dans une posture obscène qui se faisait
besogner, qui gémissait de plaisir sous les coups de butoir
de Jean et qui allait en jouir. Il la bourrait ardemment
il lui fouillait le con que je connaissais si bien. Elle
ne pouvait pas aimer se donner aussi totalement à un autre
homme et pourtant, j’éprouvais un plaisir extraordinaire
à la voir ainsi, possédée devant moi. Elle me cocufiait
et cela m’excitait.
Elle cria pendant que son
orgasme l’emportait, elle haletait :
" Claude, il me fait
jouir ! … Je jouis, Claude, tu me vois ! Il me fait jouir,
… oh, c’est bon ! … Tu aimes qu’il me baise, Claude ? …
Tu le vois ? … Je sens sa queue qui cogne tout au fond…Il
me défonce…J’aime… Tu vois comme il me baise bien à fond
? … Tu aimes quand il me fait jouir ? … Paul aussi va me
baiser, … tu veux bien Claude ? … J’en ai envie… Tous les
hommes que tu voudras, Claude, … tous, … je suis une salope,
… j’aime qu’on me baise devant toi, … donne-moi, … je suis
une pute, … c’est trop bon, … il me fait jouir. "
Paul s’impatientait et il
m’observait, un peu inquiet. Il s’approcha de Jean pour
lui dire :
" Dépêche-toi, Jean,
merde ! J’ai envie de la baiser moi aussi ! Je n’en peux
plus ! "
Je le regardais et lui dis
: " T’inquiète pas tu pourras te la farcir aussi !
"
Et je bandais toujours comme
jamais, à avoir mal.
Jean la besognait de plus
en plus vite, elle râlait. Il poussa un grognement en jouissant,
il lui déchargeais tout son sperme dans le con et j’ai vu
Céline aller au devant en criant :
" Vas-y, donne moi tout
! Je le sens qui décharge, il se vide dans mon ventre !
Oh ! , que c’est bon… "
Après avoir longuement juté
au fond d’elle, il s’est retiré. Les yeux rivés sur la chatte
béante de ma femme pleine du foutre crémeux, j’y ai plongé
mes doigts, elle me regardait en se tortillant et m’a dit
tout en souriant :
" Jean m’a fait jouir
très fort, tu sais ! … Qu’est-ce qu’il m’a mis ! … C’est
bon de se laisser aller… C’est au tour de Paul maintenant,
tu ne crois pas qu’il a assez attendu ? … Tu veux bien ?
… "
Et s’adressant directement
à lui : " Paul, prends-moi, viens me baiser, j’ai encore
envie… Tu vois, Claude aime voir sa femme se faire baiser,
mon mari aime me voir me faire sauter par ses amis alors
vas-y, profite, ne te gêne pas, j’ai toujours eu envie de
coucher avec toi, tu ne le savais pas ? Tu vois Claude n’est
pas jaloux, il aime me donner. Baise-moi, j’en ai envie…
C’est toujours ce que tu veux, n’est-ce pas Claude ? … "
Paul a voulu la prendre de
la même manière que Jean, elle étendue sur le dos et lui
par-dessus en " missionnaire " Mais Céline l’a
fait se coucher, lui, sur le dos, elle est monté sur lui
a califourchon, elle a pris sa bite dans la main droite
et l’a introduite elle-même en elle. Elle s’est assise sur
elle, elle s’est penchée en avant et en présentant ses fesses
qu’elle écartait, elle dit :
" Encule-moi, encule-moi
pendant qu’il me baise, j’en ai rêvé, me faire prendre par
deux hommes à la fois, Vas-y, Claude, encule-moi pendant
que Paul m’enfile par-devant… "
Je voyais la bite de Paul
enfoncée dan son con dégoulinait du foutre de Jean et la
rosette qui palpitait. Je le graissais du foutre de Jean
qui lui barbouillait les cuisses pendant que Paul, planté
au fond d’elle, la limait doucement. Je me plaçait entre
les jambes de Céline et de Paul, je pointais ma verge sur
l’anus et j’ai poussé. Je l’enculais et je sentais la queue
de Paul bien enfoncée près de la mienne. Fou de désir, je
l’ai bourrée à fond, nous lui arrachions des cris de douleurs
et de plaisirs, je l’ai défoncée brutalement dans un rythme
frénétique et Paul suivait le mouvement, elle hurlait de
jouissances. Je la traitais de tous les noms et Paul en
rajoutait. J’ai vu Jean s’approcher et lui présenter sa
pine, qui rebandait, devant la bouche. Elle l’a happée goulûment
et je voyais ses joues se déformer quand la verge de Jean
s’enfournait, il s’en servait comme d’un vagin en la tenant
par la tête. Il lui baisait carrément la bouche.
Secouée de partout, empalée
par trois bites qui la défonçaient, elle s’abandonnait entièrement,
je l’entendais grogner et gémir. Je l’enculais violemment,
sans retenues, Jean ne tenait plus aucun compte de mes mouvements,
il la baisait comme un fou et sa bite lui sortait du vagin
pour y rentrer à nouveau en heurtant mes couilles, Paul
s’enfonçait dans sa gorge à toute vitesse. Je sentais le
sperme monter le long de ma queue mais je me suis retenu
le plus longtemps possible pour finalement exploser en une
succession d’éjaculations dans ses intestins. J’ai vu Céline
manquer de s’étouffer quand Jean s’est vidé dans sa gorge
et du foutre lui coulait de la bouche, j’ai entendu Paul
gueuler qu’il lui foutait toute la sauce au fond du con
en la traitant de putain de salope. Elle n’était plus qu’une
femelle prise de partout dont on jouissait en se vidant
les couilles dans tous ses orifices.
Nous l’avons bourrée dans
tous les sens, en alternant les positions, jusqu’à trois
heures du matin, jusqu’à ce que nous n’en puissions plus.
Jean et Paul partis, Céline
et moi nous nous sommes écroulés de fatigue et de plaisir
et nous avons dormi jusqu’à midi. C’est ma femme qui m’a
réveillé. Elle était en pleine forme et de très bonne humeur.
La seule allusion à notre nuit de débauche a été de dire
malicieusement : " Qu’est-ce que j’ai mal… aux fesses
!
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