Il n'était que 9 heures du matin mais il faisait
déjà plein soleil sur la Croisette. De retour dans notre
chambre d'hôtel après le petit déjeuner, quel ne fut pas
notre étonnement de surprendre la femme de chambre en train
de fouiner dans notre armoire à vêtements... tenant déjà
à la main quelques dessous particulièrement affriolants
dont Martine (ma femme) aime tellement se parer pour sortir.
Très confuse d'avoir été prise ainsi "la main dans
le sac ", la soubrette se défendit d'avoir voulu nous
voler quoi que ce soit et nous assura en balbutiant n'avoir
agi que par attrait pour cette belle lingerie dont elle
rêvait tant et qu'elle aussi aurait bien aimé pouvoir porter...
En outre, rouge de honte, elle nous supplia de ne pas avertir
la direction de l'hôtel ; craignant à juste titre d'avoir
des ennuis et de perdre son emploi. Une lueur coquine naquit
immédiatement dans les yeux de Martine qui déclara tout
de go à l'indélicate employée : " Et bien soit, nous
ne dirons rien... mais en échange de notre silence, nous
vous imposons de revenir demain matin revêtu de ce splendide
body de dentelle largement ouvert à l'entrejambes... "
Et de joindre le geste à la parole, Martine lui remit le
délicieux dessous particulièrement transparent. " Vous
serez certainement très sexy avec cela ; Michel et moi nous
occuperons de vous et vous ne le regretterez pas... "
ajouta-t-elle en faisant un petit clin d'œil et en sortant
vicieusement la langue qu'elle se passa sur les lèvres.
Notre visiteuse se confondit encore en plates excuses puis,
prit le body et s'enfuit aussitôt sans demander son reste.
Rien ne nous assurait que
la jeune femme (au demeurant plutôt mignonne) accepterait
les termes de notre tacite contrat mais nous espérions tout
de même bien qu'elle revienne... " Si elle est aussi
sensuelle qu'elle ne le paraît et qu'elle n'est pas trop
farouche entre nos mains, je te garantis que nous passerons
un excellent moment " m'assura Martine déjà visiblement
tout excitée à l'idée du parfait trio que nous pourrions
former. Martine est, il faut le préciser, tout à fait bisexuelle
et prend, de ce fait, autant de plaisir que moi à introduire
(sans mauvais jeu de mots !) Une jolie personne très ouverte
dans nos ébats amoureux. Le fait, qu'elle est aussi voyeuse
et exhibitionniste ajoute encore au caractère torride de
nos rencontres et relations...
Ce soir-là, Martine et moi
firent l'amour intensément en pensant déjà à ce que pourrait
être notre excitante rencontre du lendemain...
A l'heure convenue, on frappa
à la porte. Notre coquine de la veille entra et dit doucement
: " Bonjour, je m'appelle Léa et je me livre à vous
pour que vous me baisiez tous les deux ! " Avançant
dans la chambre, elle défit en un tour de mains sa micro
- jupe en coton noir et retira son chemisier transparent
qu'elle laissa tomber à ses pieds. Comme convenu, elle portait
bien le body que Martine lui avait offert... et imposé de
mettre. Ses formes ainsi révélées, elle était particulièrement
émoustillante et franchement désirable... La blancheur de
la dentelle contrastait avec son teint de méditerranéenne
: une belle peau mate et splendidement bronzée mettait en
valeur un corps bien proportionné : pas très grande mais
avec des formes pleines et des courbes splendides qui lui
donnaient une silhouette épanouie. Ses beaux seins lourds
et voluptueux se dressaient fièrement ; en leur centre,
les mamelons foncés étaient déjà tous érigés sur de larges
aréoles brunes... Un ventre parfaitement plat et, plus bas,
une toison pubienne abondante et très sombre rappelait ses
cheveux noirs de jais qui lui tombaient harmonieusement
sur les épaules. Un cul resplendissant mais parfaitement
rond et bien ferme ; attirant comme une belle pomme à croquer
: très appétissante ! Elle portait à la cheville gauche
une chaînette en or qui donnait à sa fine cheville un air
absolument féminin. Lentement, elle se retourna et nous
exhiba, sous la fesse gauche, un petit tatouage représentant
un cornet de crème glacée. " C'est parce que, moi aussi,
j'adore que l'on me lèche et me suce " nous révéla-t-elle
avec un petit air coquin qui nous faisait déjà fondre...
Gardant ses petits mocassins
vernis qui terminaient si gracieusement de splendides jambes
visiblement très douces, elle fit quelques pas, arriva au
lit, se coucha lascivement sur le dos et écarta largement
ses cuisses déjà relevées pour nous révéler impudiquement
son intimité : sa fente ténébreuse semblait déjà s'humecter
de désir... Elle dit alors calmement : " Venez maintenant,
j'ai très envie de vous ! "
Martine était subjuguée...
Cette fille s'était offerte à nous au-delà de toutes espérances.
De plus, elle représentait un contraste saisissant avec
Martine : grande, mince, blonde, peau laiteuse et le sexe
complètement épilé alors que Léa était plus petite, brune,
avec des formes généreuse et bien fournies partout... Sans
plus attendre, Martine se débarrassa de son peignoir de
bain. Entièrement nue-t-elle aussi, elle s'approcha doucement
de Léa et lui chuchota tendrement à l'oreille : " Tu
es belle et tu sens bon, ma chérie. J'ai très envie de toi
car tu m'excites beaucoup : on va passer bon moment ensemble
! ! " Alors qu'elle prononçait ces paroles, Martine
entreprit de retirer à Léa son body devenu encombrant. Elle
fit d'abord glisser les fines bretelles sur ses épaules
pour découvrir ses seins magnifiques. Elle saisit ceux-ci
délicatement, les caressa et les malaxa avec amour. Sans
plus attendre, elle embrassa les deux magnifiques globes
de chair, en emprisonna les pointes dressées entre ses lèvres
brûlantes de désir et les suça si intensément qu'elle y
laissa l'empreinte de ses dents. Lorsqu'elle se retira après
de longues et intenses minutes, je pus les voir toute mouillés
de salive ; cela commençait à devenir excitant ! ! Moi qui
brûlais d'impatience d'intervenir au plutôt, je n'eus pas
le cœur d'interrompre cette délicieuse montée de plaisir
saphique et fus contraint de rester un simple spectateur
passif de cette scène en me masturbant doucement sur le
fauteuil... Martine m'avait fait un signe discret qui signifiait
"reste en dehors de cela pour le moment ! ".
Elle progressait rapidement
et avait déjà atteint le bas - ventre de notre nouvelle
amie, roulant le mince vêtement pour dévêtir Léa plus promptement
et commença à la masturber furieusement. " Ta chatte
est déjà toute mouillée, Léa. Laisse moi goûter à ton nectar
de salope en chaleur... " dit-elle en lui passant la
main sous les fesses pour saisir sa croupe et approcher
davantage le mont de Vénus de sa désirable partenaire. Comme
mu par un aimant, son visage s'approcha encore du sexe de
Léa et vient s'y colle r de telle sorte que sa bouche put
aspirer goulûment le petit clitoris quelle venait de dégager
délicatement avec deux doigts. Bientôt, je ne distinguai
plus que la langue de Martine pénétrant profondément dans
la fente trempée de Léa ; celle ci soufflait, gémissait
et donnait à son bassin le rythme envoûtant de la possession...
Ce ne fut plus alors que de ravissants bruits de léchage
et de suçon qu'interrompaient seulement les soupirs d'une
exquise jouissance qui ne tarderait pas à éclater... Martine
s'activait sur le petit bouton rose de Léa qu'elle dévorait
comme un enfant savoure une friandise. Apparemment, celle-ci
éprouvait beaucoup de plaisir aux caresses buccales de ma
femme et ne manquait pas de le faire savoir : " Oh
! , Je t'en prie Martine, pompe - moi à fond mais n'oublie
pas mon petit trou de derrière ". Martine ne se fit
pas prier...
Sans arrêter un seul instant
de lécher avec délice les entrecuisses de Léa, elle glissa
un doigt entre les fesses de sa compagne... D'une langue
habile, elle humecta parfaitement ce passage serré et y
présenta son majeur pour constater avec ravissement que
Léa approchait d'elle-même son anus du doigt dressé... si
bien qu'elle vint littéralement s'empaler sur celui-ci...
Martine la pénétra sans ménagement et apprécia le fait que
son petit trou se dilate tout naturellement au fur et à
mesure qu'elle s'y enfonçait ! Très vite, tout le doigt
de Martine qui disparu dans l'étroit canal... Martine décida
alors de prolonger ce délicieux supplice en essayant d'y
introduire un deuxième doigt de nature à remplir davantage
encore ce précieux endroit... en attendant qu'il soit occupé
par un visiteur de plus gros calibre ! Cette manœuvre sembla
décupler le plaisir de Léa car l'effet fut immédiat : elle
se cabra et, poussant tout son corps en avant, dit avec
passion : " Tu es géniale Martine, laisse-moi te branler
à mon tour ! " " Oh ! Oui Léa, bouffe - moi vite
le minou " répondit - elle impatiente.
S'étant immédiatement renversées,
les deux lubriques entamèrent alors un délirant 69... Jambes
entremêlées, saisissant à pleines mains les formes de leur
égale, ces deux félines avaient le visage vissé au sexe
de leur partenaire et les deux corps ne firent bientôt plus
qu'un seul amas de chair mu par le plaisir. Je distinguais
des doigts qui, sortant d'une chatte pour rentrer aussitôt
dans un cul, étaient immédiatement happés par des bouches
gourmandes... " J'aime le goût de ton précieux nectar
sur ma langue" déclara Léa. " Et moi j'adore celui
du mien mêlé à ta salive " ajouta aussitôt Martine.
Le rythme de leurs ébats s'accélérait : les deux amies étaient
au bord de l'orgasme... Aucun tabou, elles changeaient tour
à tour de position et ne reculaient devant aucune audace
sexuelle... Elles semblaient se procurer tellement de plaisir
l'une à l'autre que j'aurais fini par me croire inutile
si Martine n'avait soudainement pensé à souffler entre deux
râles de satisfaction : " Léa, je crois que tu es suffisamment
chaude, C'est Michel qui va te baiser maintenant ! "
Je n'y croyais presque plus...
Pour tout dire, j'aurais déjà joui plusieurs fois devant
un spectacle si émouvant si je ne m'étais pas retenu...
Voilà déjà près d'une heure que ces deux chattes en chaleur
se caressaient, se léchaient, se broutait le minou et se
doigtaient le vagin et le cul sans retenue. Je ne me fis
pas prier plus longtemps et pus apprécier la tendre complicité
qui m'unit à Martine : ma compagne avait déjà préparé notre
invitée de telle sorte que celle - ci était "mise en
position " pour me recevoir. Espérant sans doute commencer
par une traditionnelle fellation en bonne et due forme,
Léa fut un peu surprise que Martine lui demande de rester
couchée sur le ventre, de se rapprocher du bord du lit,
de poser les pieds par terre pour se présenter ainsi, les
fesses largement écartées, entièrement offerte à mes désirs...
Et de fait, j'arrivai aussitôt, le sexe fièrement dressé
et entreprit de la sodomiser sans autre forme de procès.
" Léa, je vais t'enculer
et tu vas en mouiller de plaisir ! " Lui dis-je avec
fermeté. Tandis que Martine tenait le derrière de Léa largement
ouvert pour dégager son petit orifice froncé et faciliter
mon introduction, je dirigeai d'une main habile mon sexe
dur comme du béton entre les reins de Léa. Ainsi prise par
derrière, elle ne tarda pas à laisser exploser sa joie en
criant de plus belle : " Ah mes amis, quel pied, quel
pied ! " Je m'enfonçais donc d'un seul coup entre ses
fesses et appréciai le fait qu'elle soit déjà parfaitement
lubrifiée par la salive de Martine. Celle - ci s'était baissée
pour lécher la partie de mon sexe qui ne rentrait pas dans
les fesses de Léa et en profita pour faire coulisser deux
doigts dans son vagin tout en pressant ses seins de son
autre main. Léa était aux anges. De fait, Martine se déplaça
alors pour offrir sa chatte gluante à la bouche avide de
Léa ; celle - ci s'empressant d'y enfouir sa langue au plus
profond ! La suite fut plus excitante encore... Mes va et
vient dans l'arrière-train de Léa s'accélérant à une vitesse
démentielle, j'arrivai assez rapidement au bout de mon plaisir
: " Mes amies, je vais jouir... " dis-je promptement.
" Retire - toi vite et éjacule - moi en pleine figure
! " me supplia Léa... Aussitôt dit, aussitôt fait :
je ressortis mon mandrin de son cul, le dirigeai vers son
visage, me concentré brièvement et me libérais soudainement
en crachant ma chaude semence à la face de Léa... Celle
- ci happa littéralement ma queue pour se l'enfoncer au
plus profond de la gorge alors que Martine essayait vainement
de pouvoir avaler quelques gouttes de ma précieuse liqueur.
Ayant pris un peu de repos,
ces deux femelles dépravées décidèrent de s'entendre de
concert pour m'offrir un spectacle pour le moins réjouissant.
Côte à côte sur le lit, elles se mirent à quatre pattes
pour me présenter leur croupe généreusement offerte. Etant
revenu à un état de turgescence tout à fait respectable,
je pris un plaisir fou à les pénétrer successivement en
levrette ; mon sexe passant de l'une à l'autre sans la moindre
difficulté...
Adorable différence supplémentaire
entre mes deux proies ; alors que je connaissais Martine
comme large et spacieuse, le conduit vaginal de Léa était
plutôt étroit et enserrait parfaitement mon sexe. De plus,
elle se servait diablement bien de ses muscles internes
pour contracter divinement son tunnel d'amour. C'était vraiment
magnifique de pouvoir ainsi labourer deux femmes si complices.
Les deux compères riaient comme des folles alors que je
les limais de plus belles. Léa eut alors l'idée de se "superposer
" à Martine pour m'offrir deux sexes d'autant plus
accueillants qu'ils étaient placés juste l'un au-dessus
de l'autre... Visage contre visage, seins contre seins et
chatte contre chatte. Ces deux splendides corps féminins
m'étaient offerts et je pouvais me glisser dans l'un et
l'autre avec le plus complet ravissement. Curieusement,
elles eurent un violent orgasme en même temps... au moment
précis ou j'explosais moi-même et me répandais abondamment
sur leurs fesses rebondies...
Assez fatigués - mais jamais
repus - nous pensions en rester là lorsque, visiblement
insatiable, Léa souffla encore pleine de désir : "
Mes amis, je n'avais jamais joui aussi fort ! Faites - moi
encore des tas de choses très cochonnes... Et puis, vous
savez, vous pouvez me soumettre à tous vos caprices, je
serai très obéissante... " " Quoi, on ne t'a pas
suffisamment défoncé la chatte et le cul ? ! Tu en veux
encore, hein ! ! " Interrogea Martine. " Mais
tu es une vrai nympho délurée. Bon, très bien, on va te
faire grimper au plafond !"
Martine s'empara aussitôt
d'une paire de bas avec laquelle elle attacha les poignets
de Léa qui se laissa faire docilement. L'obligeant à s'agenouiller
devant moi, elle lui introduisit mon sexe dans la bouche
avec pour mission de lui faire retrouver toute sa vigueur
dans les plus brefs délais... Entravée de la sorte, Léa
ne put se servir de ses mains pour m'amener au plaisir ;
mais je dois avouer qu'elle y parvient tout de même très
bien. Visiblement très habituée à cet exercice, elle n'hésita
pas, après s'être un peu attardée à mouiller tout le contour
du gland avec le bout de sa langue, à remonter tout le long
de mon membre excité. Après quoi, elle s'empara de mes couilles
qu'elle goba comme de délicats oeufs de chair... Lorsqu'elle
poussa la tête pour tenter de se frayer un chemin vers mon
anus qu'elle renifla d'abord voluptueusement, je ne savais
déjà plus trop à quoi m'attendre... Mais au moment où je
sentis sa petite langue mouillée s'insinuer entre mes fesses,
je ne me tins plus et lui dis en éjaculant de toutes mes
forces sur la bouche et le menton : " Tiens, voilà
pour toi, grosse salope ! " Lui lançai-je en pleine
figure. A l'inverse de tout à l'heure et alors que c'est
Léa qui entrouvrit les lèvres pour pouvoir me boire, c'est
Martine qui se précipita pour avaler goulûment mes longs
jets de sperme... Décontenancée, Léa sembla un peu frustrée
mais se réjouit bien vite lorsque Martine lui retransmis
l'exquis liquide qu'elle avait jalousement gardé en bouche...
Ce baiser passionné d'où dégoulinait mon foutre mélangé
à leur salive était des plus émoustillant... Et leur langue
qui s'entrelaçait comme deux serpents me donnait envie de
remettre cela au plutôt... Martine grognait de plaisir.
Tenir ainsi Léa, totalement
soumise et très docile, à sa merci, semblait la stimuler
au plus haut point. Elle la détacha quelques instants mais
ce ne fut que pour mieux la lier à nouveau ; aux barreaux
du lit cette fois ! Martine ouvrit un tiroir de la commode
et en sortit un splendide god-ceinture d'un élégant latex
rose qu'elle attacha aussitôt à sa taille. Entre-temps,
elle avait aussi chaussé de fines chaussures de cuir à très
haut talons. Ses seins étaient maintenant emprisonnés dans
un brillant soutien de Skaï aux bouts ouverts sur les mamelons.
Je dois encore préciser qu'elle fréquente parfois quelques
chaudes lesbiennes dans de fines parties de S/M dont je
suis irrémédiablement exclu. Et, à cette fin, Martine dispose
de quelques ustensiles spécifiques à ce genre de pratiques
dont elle comptait bien faire profiter Léa également. "
Je vais t'embrocher comme une sale gouine ! " hurla
Martine en infligeant une retentissante fessée à Léa...
Un peu dépassée par les événements et ne s'attendant peut
- être pas à pareil traitement, elle supporta assez mal
ce premier contact plutôt violent et se plaint d'avoir eu
mal... " Encore quelques bonnes claques sur ton gros
cul et tu sauras apprécier la douleur " lui répondit
Martine qu'on ne tenait plus...
C'est alors qu'elle décida
de pénétrer sans plus attendre Léa avec son volumineux engin...
Un coup dans le vagin, un coup dans l'anus... le god allait
et venait comme un véritable phallus. Et Martine possédait
Léa comme un homme eut put défoncer une faible femme sans
défense. Chevauchant sa victime à quatre pattes sur la moquette
de la chambre, Martine palpait violemment les seins de Léa
qu'elle malmenait avec un plaisir évident. Après avoir obligé
Léa à lui baiser les pieds et les chaussures, à lui lécher
le bout des seins à travers le Skaï de son soutien ouvert,
Martine, au comble du plaisir, obligea même sa soumise à
sucer le gros pénis artificiel avec lequel elle venait de
l'enculer... Suprême humiliation, la pauvre fille avait
ainsi à recueillir au plus profond de la gorge le goût âcre
de ses propres sécrétions... Fort secouée, Léa subissait
donc les assauts répétés de Martine entre ses jambes et
l'exquise douleur de ses fessées qui lui rougissaient le
postérieur. Moi, de mon côté, je me disais que je ne tarderais
pas à intervenir. Pour que le bonheur fut complet, Martine
décida d'utiliser aussi un splendide chapelet de boules
chinoises en inox. Reliées entre elles par un gros fil nylon,
le jeu consiste à les introduire d'abord progressivement
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