En déplacement dans cette ville de province
et n'ayant pas le temps matériel de rentrer à Paris, je
m'inquiétais auprès des gens avec qui j'étais en contact
des lieux de loisirs et de promenades du coin. :
- Oui, il n'y a pas un parc
? Un endroit pour respirer l'air frais.
- Il y a bien le parc aux
fauvettes, mais vaut mieux pas y aller, le samedi et le
dimanche matin c'est un vrai repère de pédés !
Cet imbécile venait sans le
savoir de m'indiquer un superbe but de promenade. J'avais
emmené un jogging et des baskets et c'est donc dans cette
tenue que je me rendis le samedi matin au parc en question,
celui-ci (en fait une espèce de bois) plus ou moins entretenu
se trouvait à la sortie de la ville. Ne sachant évidemment
pas où se passait ce que j'y cherchais, j'y entrais un peu
au hasard, et me mis à la recherche de quelque chose d'intéressant.
Toujours est-il qu'au bout d'une demi-heure, pas la moindre
rencontre, je commençais à me désespérer, ceux qui m'avaient
indiqué le "tuyau" étaient peut-être mal renseigné.
J'étais très déçu, car j'avais
bien l'intention d'occuper une partie de mon week-end en
réalisant mes fantasmes homo ! Je rêvais d'avoir une belle
queue dans ma bouche, une belle queue que je rendrais bien
raide avant qu'elle ne m'encule ! Une autre demi-heure passe,
je décide donc de partir quand je me rendis compte que je
me suis à moitié égaré dans ce parc impossible. Je commence
à m'énerver sérieusement, me voici sur un chemin que je
ne me souviens pas avoir emprunté dans l'autre sens, et
évidemment, aucune pancarte, je suis bel et bien perdu.
Mais voilà que j'entends
des voix, effectivement un peu plus loin, deux types arrivent
dans l'autre sens. Ils s'approchent, ils m'ont vu et pour
qu'il n'y aie aucune ambiguïté ils se tiennent par la main
- Bonjour !
- Bonjour
- Tu as l'air perdu ?
- Je suis perdu !
- Tu veux sortir du parc ?
- Non je ne suis pas pressé
- On monte à la clairière
aux noisettes ! tu veux venir avec nous ?
J'ignore qu'elle est cette
clairière, mais je ne refuse évidement pas. Les deux hommes
ne démarrent pas pour autant. Sans que j'ai le temps de
réaliser, le premier baisse son pantalon, libérant son sexe
qu'il tient à pleine main et qu'il fait maintenant grossir
en le masturbant légèrement. Cette bite est magnifique,
bien droite et terminé par un gland bien lisse d'une belle
couleur un peu mauve. Le trouble me gagne. Cette bite il
me la faut. Soudain l'homme (appelons le : Mario) cesse
de se branler, sa bite à maintenant grossi, et il me l'exhibe,
que dis-je, il me l'offre. Je la prends dans mes mains et
la masturbe à mon tour. Elle est douce, elle est chaude.
Le deuxième promeneur (Arnaud) passe alors derrière moi
et, sans me demander mon avis, baisse mon jogging et mon
slip, me voici les fesses à l'air.
- T'as un beau petit cul,
un vrai petit cul de gonzesse !
Le voilà qui maintenant me
lèche l'anus, il y a longtemps que l'on ne m'avait pas fait
cela, mais par un homme c'est la première fois, il fait
cela très bien, sa langue est douce et agile, et il n'hésite
pas à pénétrer dans mon trou aussi profondément qu'il le
peut. Il arrête soudain de me lécher, je sens maintenant
un doigt me pénétrer, il me masturbe le cul à coup de va-et-vient.
Cette position n'est pas pratique, j'écarte les jambes et
me penche en avant, j'ai donc du coup la bite de Mario à
hauteur de ma bouche, et j'entreprends donc de la sucer,
elle est délicieuse, un léger goût d'urine, mais ce n'est
pas pour me déplaire.
Derrière moi, Arnaud a retiré
son doigt, j'ignore ce qu'il fabrique ne souhaitant pas
retourner, et tout d'un coup je sens quelque chose de plus
gros qui tente de pénétrer mon anus. Il est tout bonnement
en train d'essayer de m'enculer, la pénétration n'est pas
facile, en fait, je ne suis pas habitué, ça fait un peu
mal, mais le type à du savoir-faire et continue à me pénétrer,
une fois entré, il reste un moment sans bouger, puis commence
des petits va-et-vient qui deviendront de plus en plus rapides.
Je suis aux anges, voici des années que je recherchais ce
plaisir trouble, et me voici dans ce bois de province en
train de me faire enculer tandis que je suce une bonne queue.
Le bonheur, quoi !
La bite de Mario est devenue
toute dure au contact de mes lèvres et de ma langue, j'agis
d'instinct en donnant des petits coups de langues sur le
gland, puis me sert de mes lèvres pour effectuer un mouvement
de succion. Arnaud s'est retiré de mon cul. Le voici qui
passe devant, et retire son préservatif, du coup c'est Mario
qui se positionne derrière moi et qui me prend le cul, la
pénétration est plus facile, sa bite doit être plus longue
que celle de son copain car je la sens nettement aller plus
loin. Dans le même temps je suce la bite d'Arnaud, le contact
du préservatif lui a donné un goût de plastique peu agréable,
mais ça ne dure pas.
Mais voici que j'aperçois
au bout du chemin deux types qui viennent dans notre direction,
d'instinct je cesse de sucer la pine d'Arnaud !
- V'la du monde, on va peut-être
changer de coin ?
- Pourquoi ? t'aimes pas t'exhiber
?
C'est vrai que j'en ai pas
grand chose à faire, je suis à 500 km de chez moi, et comme
si de rien n'était, je reprends ma fellation interrompue.
Les deux types se sont maintenant approchés à la hauteur
de notre groupe. Ils se contentent dans un premier temps
de regarder, puis au bout de quelques instants, ils sortent
leur bite et se masturbent en nous regardant. Moi qui adore
voir des bites, me voici servi ce matin. L'une d'elle est
à portée de ma main, je la tends, le type me laisse faire
et je le masturbe un peu, pas longtemps, parce que synchroniser
tous ces mouvements demande une habitude que je ne possède
pas. Il se place à présent juste à coté d'Arnaud, sa bite
tendue vers mon visage, je comprends l'invitation, et abandonnant
quelques instant la pine d'Arnaud, j'entreprends de sucer
cette nouvelle queue qui s'offre à ma bouche, Je passe de
l'une à l'autre, c'est trop bon ! Je suis en plein rêve,
et Mario qui continue à m'enculer ! Tout cela est trop nouveau
et trop bon.
Le quatrième comparse (Bertrand),
ne s'intéresse pas à moi, mais profite du fait que je suce
son copain, pour engloutir à ma place la bite d'Arnaud !
Je bande comme un cerf, mais personne ne pense pour l'instant
à me sucer ou à me branler,.. Mario, lui vient de jouir
dans mon cul, il repasse à nouveau devant moi, ôte sa capote
et me tend son sexe gluant de sperme. J'hésite, je n'ai
jamais fait cela, puis je me lance, je lui nettoie tout
de la langue et des lèvres, avalant tout.
Bertrand s'est aperçu que
la place était libre, et sans me demander mon avis, entreprend
de m'enculer à son tour, il n'a malheureusement pas le savoir-faire
des 2 précédents et me fait un peu mal, à moins que ce soit
mon cul qui ne supporte plus une fantaisie aussi longue
et variée. Je vais pour le lui dire, mais la douleur à tendance
à se calmer et finalement je le laisse faire. J'ai recommencé
à sucer alternativement les bites d'Arnaud et de Kévin,
ce dernier ne tarde pas à jouir dans ma bouche, et cette
fois j'avale tout sans hésiter, puis il va s'asseoir un
peu plus loin, attendant probablement que son copain cesse
de me sodomiser.
Voici de nouveau quelqu'un
qui arrive par le chemin, il s'agit d'un grand noir, seul.
Il connaît Arnaud. Ils se saluent. Le voilà devant moi,
j'ai maintenant sa braguette à la hauteur de mon visage
Bizarrement il ne fait rien,
on m'expliquera plus tard que certains mecs ne sortent pas
eux-mêmes leurs queues, trouvant beaucoup plus excitant
qu'on le fasse à leur place.. Je commence à tripoter sa
bite à travers son jean, je la sens se raidir, mais pas
assez, je continue donc. Pendant ce temps Arnaud que j'ai
arrêté de sucer s'est glissé sous moi et me suce (enfin
!) à son tour ! Lentement je descends la fermeture de la
braguette d'Alexis, je lui tripote maintenant la bite à
travers son slip, je sais que je vais découvrir un très
gros sexe, il me tarde de le voir, de le toucher, de le
sucer. Délicatement je sors l'engin du slip. Une merveille,
j'esquisse à peine quelques mouvements de masturbation et
l'englouti dans ma bouche. Ma quatrième pipe de la matinée
! Elle est très bonne, peut-être encore plus douce que les
autres, question de texture de peau sans doute.
- Je peux t'enculer ?
Au moins lui il est correct,
il demande ! J'appréhende quand même un peu. C'est quand
même pas mal gros, tout cela !
- Ok ! Mais vas-y doucement
!
Du coup Bertrand cède la
place en maugréant et se finit à la main. Je n'ai plus personne
à sucer ! Dommage ! Alexis pousse pour rentrer, seule l'introduction
sera un peu difficile, après ça glissera tout seul, mon
cul ayant été bien lubrifié par les trois autres lascars.
L'excitation est à son comble,
je sens que je vais bientôt jouir dans la bouche d'Arnaud,
tandis que le plaisir anal que me donne le grand black monte
à son paroxysme. Ca y est ! Je jouis enfin, précédant Alexis
de quelques secondes. Arnaud lui se finira à la main
- C'était bien ? demanda Alexis,
- Divin
Puis se tournant vers Mario
et Arnaud
- Vous faites quoi, maintenant
?
- On voulait aller à la clairière
!
- J'en reviens, y a personne
!
- Et bien on y va comme ça
y aura 4 personnes !
Puis Mario me demande :
- Tu aimes bien les trucs
un peu maso, sans exagération ?
- Si c'est sans exagération,
alors d'accord
On se rhabille et nous voilà
partis vers cette fameuse clairière, qui est à un quart
d'heure de marche
Arrivé sur place, il n'y a
effectivement personne et, Alexis exprime le désir de pisser
un coup.
- Tu veux que je te pisse
au cul ?
J'avoue ne pas bien comprendre
et Arnaud viens à mon secours
- Il n'est pas habitué, et
de toutes façons il aura sa part bientôt ! Tout en parlant,
il s'est déshabillé, il va très vite n'ayant qu'un jogging.
" Vas-y ! "
Je n'en crois pas mes yeux,
Alexis commence à pisser, il vise le postérieur d'Arnaud
et le lui asperge. Il s'arrête de pisser, afin d'étaler
le liquide sur ses deux fesses. Ce spectacle insolite me
fait bander à nouveau. Arnaud s'est maintenant retourné,
et Alexis lui asperge maintenant la bite, puis ce dernier
s'accroupit doucement. Alexis ne change rien à la direction
du jet qui atteint maintenant le torse d'Arnaud. puis son
visage, il ferme les yeux, mais entrouvre la bouche, avalant
une lampée de l'urine de l'autre. Je n'ai jamais vu cela,
il m'est arrivé très rarement de pratiquer des jeux uro
avec des femmes, mais là, je n'en reviens pas, et ma bite
est vraiment toute raide ! Mario intervient !
- Met toi à poil ! tu va faire
l'esclave !
- J'hésite un peu
- Ai confiance, on respectera
tes limites !
Je me déshabille
- Tu va déjà aller nettoyer
le trou du cul d'Arnaud qui est plein de pisse
J'hésite encore, il faut que
je me lance dans ce jeu, mais un je ne sais quoi m'en empêche
encore
- Bon on va te faire obéir
!
Mario va chercher quelques
branchettes, il en choisit une et la tend à Arnaud
- Vas-y essaye la sur moi
Arnaud cingle d'un violent
coup de branchette les fesses de son copain. Le coup laisse
une traînée rouge
- Super ! Viens là, toi !
Je m'approche et lui tends
mes fesses
Sans préavis un premier coup
atteint mon cul, ça fait mal mais c'est supportable
- Tu aimes cela petite salope
?
- Oui ! (ce n'est pas tout
à fait vrai mais j'ai envie d'essayer un tas de truc ce
matin)
Un deuxième coup arrive, plus
fort, puis un troisième, ça commence à faire mal
- Assez !
- Comment ça assez ?
- Assez !
- Bon alors un dernier !
Et celui là fait très très
mal
- Maintenant va lui nettoyer
le trou
J'y vais ! La pisse a séché,
mais il reste une odeur un peu forte, je lèche minutieusement
essayant de pénétrer au plus profond que je peux avec ma
langue.
Mario s'approche à nouveau
de moi
- Met toi à genoux et ouvre
la bouche, je vais te pisser dans la bouche
- Juste un peu !
- D'accord !
Mario vise ma bouche et me
balance une goutte. Ce n'est pas mauvais, son urine est
très claire, il doit boire beaucoup d'eau
- C'est tout ?
- Faudrait savoir ?
- Encore ?
Cette fois il pisse d'abondance
et j'en avale plusieurs lampées
Quand il eut terminé, il se
masturbe légèrement, faisant atteindre à sa bite une taille
convenable, il me demande maintenant de lui présenter mes
fesses, je crains une autre volée de branchette, mais non,
il m'encule à nouveau, tandis qu'un peu plus loin Alexis
se fait prendre le cul à son tour par Arnaud.
C'est complètement épuisé,
le cul défoncé que je terminais.
- Je suis invité ce soir à
une party un peu spéciale chez un bourge du coin ? Je t'emmène
?
Bien sûr ! .
Je rentre à l'hôtel, m'amusant
à l'avance de la question que me poseront mes imbéciles
de collègues lundi matin sur mes occupations du week-end.
C'est par la pensée que je leur répondrais :
- Si tu savais combien de
bites j'ai sucé, et combien de fois je me suis fait enculer
!
Mais, il n'est pas fini ce
week-end et j'espère que la soirée avec mes nouveaux amis
sera très chaude !
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