Ca y est, je me lance, j'ai décidé d'écrire ma première
histoire. Jeune fille de 18 ans, je passe de bons moments
à me caresser devant mon écran en lisant les autres histoires,
le temps est donc venu que je vous fasse partager les miennes.
Je voudrais vous parler de
Camille, ma meilleure amie. Nous nous connaissions depuis
notre naissance lorsque que je vins passer une après midi,
comme je l'ai fait tant de fois, chez elle au moi de juillet.
Habitant toutes les deux dans l'un des plus beau quartier
résidentiel du nord de Paris, nous avions la chance de pouvoir
profiter d'un immense jardin.
Mais si nous tenions tant
à nous voir c'est que je venais d'avoir mon premier rapport
sexuel avec un mec et qu'il fallait que je lui raconte tout
en détail.. Ce dont vous aurez peut être le droit dans une
prochaine de mes histoires. Bref nous montions dans sa chambre
et je commençais mon récit. au fur et à mesure que je lui
racontais tous les détails je vis ses yeux qui commençaient
à s'émerveiller, elle qui n'était pourtant plus vierge et
quant à moi je me suis surpris à mouiller en lui parlant.
Nous étouffions dans sa chambre,
ainsi proposa-t-elle que nous allions dans son jardin. elle
prit deux serviettes et une protection solaire avec elle.
" On va faire bronzette, dit-elle ". Ainsi arrivée
dans son jardin la voici qui étend sa serviette et commence
à se déshabiller. En moins de deux elle était en petite
culotte et en soutien-gorge. Faisant un sport collectif
et connaissant donc bien les situations de vestiaires, cette
quasi-nudité n'aurais pas dû me déranger. Pourtant ce fut
tout autre. je devenais rouge comme une tomate et Camille
qui le remarquait ne manqua pas de me le signaler et de
me taquiner.
La voici donc allongée sur
sa serviette et m'invitant d'en faire de même. Ce n'était
pas tant me déshabiller devant elle qui me dérangeait que
de pouvoir être surprise par son père ou son frère qui pouvaient
revenir à tous moments (ce qui actuellement ne me dérange
plus, bien au contraire...). A cette époque je devais mesurer
1m65, peser 45 kg et faire du 85b. Camille quant à elle
était beaucoup mieux dotée : 1m68, 45 kg, 90C. Je lui avouais
donc vite mon gène devant sa poitrine généreuse, ce qui
là non plus ne manqua pas de la faire rire mais elle rajouta
l'élégance de me féliciter par l'aspect " ensorceleur
" des miens. Amen ! Et elle ajouta " Puisque nous
en sommes à nous féliciter nos seins. nous n'avons qu'à
enlever notre soutien-gorge. Le soleil aussi a bien le droit
d'en profiter ". Profiter était bien le mot. mais pour
ce qui est du soleil mon œil.
Ainsi se mit-elle seins nus
et devant ma timidité grandissante qui me surprenait moi-même,
elle me dégrafa le mien dans la foulée.
" Allonge-toi sur le
ventre que je te mette de la crème, petite timide. "
Ce que je fis avec un petit sourire complice. " J'en
profiterai pour te masser, ça te décontractera " rajouta-t-elle.
A vrai dire d'habitude celle qui masse l'autre c'est moi,
en tant que sportif. Je supposais qu'elle voulait me montrer
qu'elle avait bien retenu la leçon. Elle s'attardait toutefois
pas sur les épaules et les omoplates préférant de beaucoup
se consacrer à mes hanches et à mon bas du dos. Mes premières
inquiétudes passées je me sentis à l'aise entre ses doigts
de fée. je me laissais donc dorloter par le soleil et surtout
par ses mains qui n'hésitaient pas à devenir très intimes
tant je la sentais baisser ma petite culotte. Puis tout
à coup, elle lâcha un " Il a de la chance ton mec.
avec de si belles fesses ". Nous éclations de rire.
Elle me demanda ensuite de
me retourner, ce que je n'hésitais pas à faire tant j'étais
bien entre ses mains et sans même me demander pourquoi et
m'affoler de ce qu'elle avait bien dans la tête. D'un seul
coup elle s'écria " Mais tu mouilles ma chérie ! "
Alors je me redressais d'un seul bon, l'air affolé. En effet
ma culotte était trempée. " Tu sais c'est plutôt flatteur
pour moi " me dit-elle " et puis regarde. tu m'as
fait mouiller aussi en te caressant ". C'était vrai
sa culotte était tout aussi trempée que la mienne, si ce
n'est plus. Alors d'un ton timide, gêné mais ressentant
une envie grandissante, je lui murmurais " Nous n'avons
qu'à les retirer. "
Nos yeux se fixaient et lentement
elle s'approcha de ma bouche et m'embrassa. et je me suis
senti fondre sous ses lèvres comme n'importe quel glaçon
ne pourrait le faire même si on le jetait au feu. Jamais
je n'ai ressenti autant de plaisir à me faire embrasser.
Et là ce fut par Camille ma meilleure amie que je sentais
que je désirais et que l'homme qui venait de me dépuceler
ne comptait déjà plus pour moi. Décollant lentement nos
lèvres elle me dit " Tu as raison " et nous nous
mettions nues.
Nous venions de franchir le
point de non retour. Me rallongeant au sol. elle me ré-embrassa
mais, cette fois-ci, d'un baiser emprunt de fougue et de
tendresse. Puis lentement et minutieusement elle commença
à descendre sur tout mon corps. Elle était allongée sur
moi qui écartais les jambes et posais fermement mes mains
sur sa tête lui caressant les cheveux. Elle s 'arrêta sur
mes tétons qu'elle sentit s'endurcir à la volupté de sa
langue. Puis sur mon nombril, pour enfin s'attaquer à mon
minou presque imberbe. Je sentais des frissons me parcourir
comme des décharges électriques. puis je me cambrais lâchant
des cris de plus en plus incontrôlés de plaisir.. Je ne
sais ce qu'elle faisait avec sa langue. Mais je sais qu'elle
le faisait... Avec cette maladresse de débutante dépassée
par son désir.
En 5 minutes, son nez sa
bouche et son menton étaient couverts de ma décharge et
j'avais tout joui. J'embrassais ce visage où se mêlait sueur
et fruit de ma luxure.
Je ne pris même pas le temps
de la caresser. Mes doigts nageaient déjà dans son bas ventre.
puis en sortirent pour taquiner son clitoris. Elle jouit
en presque trente secondes tant elle était brûlante de désir,
en décochant des cris de bonheur.
Nous nous écroulâmes ainsi
l'une sur l'autre au beau milieu de son jardin. Après un
petit moment, nous décidâmes de remettre nos sous-vêtements.
Nous n'arrêtions pas de nous embrasser. Mais en entrant
dans la maison nous avons croisé son jeune frère. Il ne
semblait pas gêné de nous voir en souvet'. Une seule question
nous traversa l'esprit. En avait il vu plus ? Il m'avouera
plus tard que oui. Mais cela ne comptait pas. Nous venions
d'avoir notre première expérience homosexuelle et nous savions
où était notre plaisir. Aujourd'hui nous sommes toujours
les meilleurs amies du monde. mais en plus de ça nous sommes
maîtresses. Et nous nous offrons régulièrement nos conquêtes
respectives, qu'elles soient hommes ou femmes.
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