Encore un rendez-vous et la journée serait achevée.
Depuis le matin, Catherine,
avocate, n'avait pas arrêté une seconde. Elle avait commencé
sa journée par assister à une expertise aussi ennuyeuse
que possible, puis s'était rendue à l'audience où son affaire
fut évoquée avec retard de telle sorte qu'elle rentra à
son cabinet vers 14 heures, au moment de l'arrivée de son
premier client.
Elle avait du ensuite prendre
un confrère pour négocier un dossier, restant près d'une
heure au téléphone. Après avoir dicté quelques lettres et
conclusions, vu le courrier avec Isabelle, sa secrétaire,
il était 18 heures lorsqu'elle entendit sonner.
Jetant un œil sur son agenda,
elle vit qu'elle avait rendez-vous avec un nouveau client,
Bernard F. qui souhaitait la voir d'urgence, semble-t-il
pour une affaire délicate.
Elle soupira, un peu lassée
de cette journée sans répit, pas même une pause pour déjeuner.
Brune aux cheveux taillés
mi longs, la bouche mutine et les yeux noirs pétillants
de malice, Catherine venait d'avoir 30 ans. De formes généreuses
et très féminine, elle portait le plus souvent un tailleur
assez strict convenant à son style BCBG. Cette féminité
s'exprimait surtout par les dessous. Catherine adorait la
lingerie fine et portait toujours de très jolies choses.
Elle avait mis ce jour-là
des bas couture ancienne mode avec un joli porte-jarretelles
noir en dentelle, un string rouge et, sous son chemisier
de soie, un soutien-gorge à balconnet assorti.
Des lunettes sans monture
lui donnait un air intello.
L'interphone grésilla et
Isabelle, sa secrétaire, confirma à Catherine que le rendez-vous
de 6 heures était arrivé.
- Bien Isabelle, faites entrer.
La porte s'ouvrit bientôt
et un homme d'environ 25 ans, jugea Catherine, s'avança
un peu intimidé dans le bureau de l'avocate.
- Asseyez-vous, euh Monsieur
Bernard F. je crois..?
- Oui, Maître, je viens vous
voir car il m'arrive une histoire extraordinaire et je crois
que je vais être accusé d'attentat à la pudeur.
Catherine leva les yeux vers
son client et le jaugea plus attentivement, un demi sourire
aux lèvres.
- Vraiment ? racontez-moi
cela…
- Eh bien, commença Bernard,
j'habite dans un grand immeuble depuis déjà longtemps et
j'ai euh acquis, auprès de certaines dames de la tour, une
réputation particulière. Vous comprenez, je leur rends visite
assez régulièrement, car je euh…
- N'hésitez pas, racontez
moi tout. Je suis tenue au secret professionnel vous savez…
- Eh bien, je suis, comment
dire, très avantagé par la nature et les dames dont je vous
parle le savent et à mon avis le disent à d'autres. Or,
un jour, une femme que je connaissais pas entre avec moi
dans l'ascenseur. Elle avait environ 45 ans et portant une
robe assez courte sous un manteau ouvert. Bonjour elle me
dit, en me regardant, vous ne seriez pas Bernard F. du 14
ème ?
- Euh si, je lui dis. Elle
me sourit et me dis qu'elle est nouvelle dans la tour, elle
vient d'aménager il y a une semaine, qu'elle a été invitée
pour un thé chez des voisines et qu'elle a entendu parler
de moi et de mes avantages dit-elle…
Je la regarde et soudain
elle commence à relever sa robe devant moi. Je vois ses
cuisses apparaître. Elle portait des bas avec un porte-jarretelles
et çà je dois vous dire que ça m'excite pas mal. Voir des
bas avec un porte-jarretelles, je ne peux pas résister et
je euh çà me fait aussitôt de l'effet…
- Ah oui ? interroge Catherine
souriante. Mais continuez…
- Soudain, elle arrête l'ascenseur
et le bloque.
- Elle me dit "Il paraît
que vous en avez une grosse et d'un geste elle attrape ma
bosse à travers mon jean serrant ma queue ho pardon mon
sexe…
- Je vous en prie dit Catherine,
employez vos mots, çà ne me gène pas.
- Eh bien, elle me tenait
comme ça par la queue et voulait ouvrir ma braguette. Montrez-la
moi votre grosse bite disait-elle je veux voir çà. Je ne
savais plus quoi faire. Elle était pas mal cette nana, j'aime
assez les femmes mures, en général elles sont drôlement
cochonnes mais j'avais justement rendez-vous avec Céline,
une coquine qui habite le 18ème étage et qui m'attendait
justement. Mais elle avait sorti ma queue et la coquine,
comme ça, dans l'ascenseur, la voilà qu'elle commence à
me branler la robe toujours relevée. Moi, bien sur je bande
et elle commence à s'extasier.
- Oh, mais c'est vrai elle
est supergrosse ta queue. Tu vas me la mettre dans l'ascenseur
là tout de suite dit elle, écartant sa culotte en dévoilant
une chatte poilue…
- Mais non je dis, vous êtes
folle vous.. J'ai pas envie de vous baiser là comme çà.
- Je ne te plais pas ?
- C'est pas çà, bien sur vous
êtes excitante comme çà, surtout avec vos bas et porte-jarretelles,
mais c'est que j'ai justement un rendez-vous maintenant
et que …
- Que quoi ?
- Je ne peux pas vous baiser
maintenant. Demain, Ok, si vous voulez prenez rendez-vous.
- Elle m'a traité de dégonflé,
de pédé même, et puis furieuse et vexée, elle a libéré l'ascenseur.
Moi, je suis allé faire son affaire à la voisine et puis
surprise ce matin, je reçois cette lettre du tribunal comme
quoi cette salope, pardon, enfin qu'elle avait porté plainte
contre moi pour attentat à la pudeur..
- Elle ne pourra pas le prouver,
dit Catherine, c'est sa parole contre la vôtre…
- Il y a un petit problème
Maître, dit Bernard…
- Ah oui, lequel ? demanda
Catherine, intriguée..
- Eh, bien, euh, j'ai un signe
distinctif, euh intime…
- Expliquez-vous.
- Eh bien Maître, j'ai un
tatouage sur le sexe, eh bien elle l'a vu forcément, surtout
quand je bande et elle va le reconnaître…
- Intéressant comme situation,
dit Catherine, lorgnant malgré elle vers la braguette de
son client…
- Qu'en pensez-vous, Maître
?
- Eh, bien, à première vue,
la situation est effectivement délicate…C'est quoi comme
tatouage ?
- Euh, une femme nue avec
deux hommes, euh vous comprenez ?
- Non, pas vraiment… Mais
il me faut quelque chose pour le dossier.. Je vais être
obligée de vous demander de me montrer et même on va prendre
une photo…Catherine appuya sur l'interphone… Isabelle !?
venez dans mon bureau, et prenez avec vous l'appareil photo
s'il vous plait.
- Bien, Maître, j'arrive de
suite.
Isabelle est une jolie blonde
aux cheveux courts, longiligne, souvent habillée assez court,
mais aujourd'hui, elle portait un jean moulant et un chemisier
blanc.
- Oui Maître, dit-elle en
entrant, voyant le client assis sur le fauteuil, et Catherine
debout appuyée sur son bureau.
- Euh Isabelle, nous avons
une affaire un peu spéciale et il faut prendre une photographie
de Monsieur.
- Bien sur, Maître, de suite…
- Isabelle, une photographie
du sexe de Monsieur. Et si j'ai bien compris, en érection…
- Ho, Maître, vous êtes sure
?
- Absolument Isabelle… Monsieur
Bernard, voulez-vous défaire votre pantalon et baisser votre
slip je vous prie pour que ma secrétaire puisse vous photographier
?
- Euh, oui Maître.
Bernard se lève et intimidé
devant ces deux femmes, commence à dégrafer sa ceinture
puis braguette, baisse son pantalon et son slip, laissant
voir un sexe de bonnes dimensions, quoique au repos.
Catherine, regarde, et les
lèvres tendues par un petit sourire, voir effectivement
quelque chose de plus sombre sur la peau du sexe de son
client.
- Alors, il est où ce tatouage
?
- Euh Maître, dit Bernard,
pour le voir il faut que je bande.. que je sois en érection
pardon, dit-il en regardant Isabelle, surprise et intriguée,
debout devant cet homme au sexe exhibé. Et devant vous,
je suis euh, intimidé…
- Voyons, Monsieur Bernard,
nous n'avons guère de temps à perdre, vous allez me payer
à l'heure vous savez.. Mais, vous ne m'avez pas dit tout
à l'heure qu'une femme avec des bas et un porte-jarretelles
vous excitait ?
- Euh si Maître.
- Alors regardez, dit Catherine.
Elle commença soulever lentement sa jupe dévoilant ses cuisses
gainées de ses superbes bas couture. Bien tôt la lisière
apparut puis les attaches des jarretières.
La jupe laissait voir maintenant
la peau nue en haut des bas. Isabelle regardait sa patronne,
tout aussi subjuguée par cette exhibition sensuelle.
Le sexe de Bernard grossissait
à vue d'œil sous le regard des deux femmes, qui voyaient
cette queue se déployer et se raidir au seul spectacle des
cuisses de Catherine et aussi le tatouage se former sur
la hampe de ce superbe braquemart.
Isabelle ne put s'empêcher
de dire : Ho qu'elle est grosse !!..
- Je vous en prie Isabelle
vous êtes au travail, prenez donc maintenant une ou deux
photos de ce tatouage…
Isabelle prit une photo puis
une autre, mais attirée comme un aimant par cet énorme sexe
tendu, elle posa l'appareil et commença à caresser, masturber
la queue bandée. Ses doigts fins avaient peine à faire le
tour du chibre.
Catherine ne pouvait s'empêcher
de regarder sa secrétaire branler son client. Ho maître,
quelle est grosse, se pâmait Isabelle, jamais je n'en ait
vu une aussi énorme.
Bientôt elle approche sa
bouche et commença à lécher, salivant sur le gland, soupesant
de sa main les couilles de Bernard,
Catherine, plus excitée qu'elle
ne l'aurait voulu, matait sa secrétaire à genoux devant
cette belle queue raide, luisante de sa salive. L'avocate,
conservant sa jupe relevée sur ses cuisses, résistait de
moins en moins à l'érotisme de la situation et bientôt glissa
sa main dans sa culotte, caressant son entrejambe, et excitant
d'un doigt son clitoris.
Elle voyait le tatouage représentant
une femme prise en levrette par un homme et en suçant un
autre... un vrai dessin pornographique quasi vivant sur
la peau de cette queue devant elle…
Maintenant, Isabelle suçait
la queue de Bernard, léchait la hampe dure, languait les
couilles velues. Puis elle se retirait légèrement, branlait
la bite d'une main, admirative devant l'engin, tout en ouvrant
de l'autre son chemisier, et s'excitant les seins, ses doigts
dans les bonnets du soutien-gorge, matant elle aussi sa
patronne en train de se masturber discrètement.
- Bon cela suffit, Monsieur
Bernard, dit-elle.., je pense que notre entretien est fini,
je reprendrai contact avec vous…
Isabelle regarda sa patronne,
se releva et entraîna Bernard vers le secrétariat, se défaisant
rapidement de son jean et de sa culotte de dentelle.
Catherine, assise devant
son bureau, cuisses ouvertes, continuait de se masturber
en écoutant les soupirs, les gémissements et les cris de
plaisir de sa secrétaire qui se faisait enfiler royalement
et très profondément sur son bureau.
Au moment où Isabelle hurla
sa jouissance, Catherine explosa à son tour, traversée par
un orgasme profond.
Quelques jours plus tard,
en robe noire, car elles étaient toutes deux entre deux
audiences, Catherine pris rendez-vous avec la juge devant
qui l'affaire serait sûrement portée si les poursuites étaient
maintenues contre son client.
Elle s'appelait Marie-Claire,
d'un abord sévère, aux cheveux blonds en chignon, mais avec
des rondeurs qui adoucissaient le personnage, elle reçut
Catherine venue lui exposer l'affaire, bien décidée poursuivre
le dossier.
Par curiosité, apprenant
que Catherine avait fait quelques photos de l'objet du délit,
elle voulut les voir. Catherine les lui montra et Marie-Claire,
surprise et interloquée, resta à contempler ces photos d'un
sexe tatoué en érection.
- Mais dites moi, Maître,
c'est impressionnant, vous avez du vous amuser pour prendre
ces photos ?
- C'est plutôt ma secrétaire
qui a été jusqu'au bout de la découverte, Madame le Juge,
dit Catherine en souriant.
- Appelez-moi Marie-Claire,
je vous en prie. Je n'en ai jamais vu d'aussi grosses et
pourtant, je vous avoue avoir quelque expérience, et vous
Catherine ?
- Euh non moi non plus Marie-Claire,
opina Catherine, c'était vraiment impressionnant.
La juge parcourut rapidement
le dossier.
- Oui j'imagine, bon alors
nous disions attentat à la pudeur, Catherine…Entre nous,
cette voisine est plutôt idiote d'avoir porté plainte. J'aurais
accepté de remettre mon projet au lendemain à sa place,
rêver toute la nuit à cette grosse queue.. hum..., c'est
vraiment excitant. Dites moi Catherine, entre femmes, çà
vous fait quelque chose à vous aussi.
Catherine regarda la juge,
surprise et lui répondit que oui, maintenant que l'occasion
lui était donnée de se remémorer la vision de cette belle
queue et ensuite de sa secrétaire qui la branlait et la
suçait, puis qui s'était fait sûrement bien baiser dans
son bureau, à entendre les râles de plaisir.
Pendant ce temps, Marie-Claire
s'était levée, était allée verrouiller la porte extérieure,
et était venue s'asseoir dans le fauteuil identique à celui
occupé par Catherine devant son bureau.
En souriant devant l'avocate,
elle releva sa robe puis sa jupe en dessous, dévoilant ses
cuisses et ses bas, encourageant de ses yeux Catherine à
faire de même.
En face l'une de l'autre,
les deux juristes, troublées par la vision et l'évocation
de cette grosse queue, se regardaient écarter les jambes,
exhiber leur culotte, un slip de dentelle pour Marie-Claire
et un string noir pour Catherine.
Les deux femmes commencèrent
à se caresser, se masturber chacune s'excitant de la vue
de l'autre, impudiques et voluptueuses, glissants leurs
doigts sous le tissu des slips, écartant les dentelles pour
se montrer leur chatte.
Marie-Claire la première
se mit à quatre pattes et approcha son visage entre les
cuisses de Catherine, huma les effluves de son excitation,
et finit par poser sa bouche sur le string moite, ses mains
caressant les cuisses de l'avocate, faisant crisser les
bas.
Ecartant le fin rempart cachant
encore les lèvres intimes palpitantes de désir, Marie-Claire
posant sa bouche sur la chatte excitée de Catherine et commença
un savant ballet, léchant, titillant, fouillant tous les
replis de l'odorante moule de l'avocate, jusqu'à la faire
jouir, tandis que Catherine se malaxait les seins, chemisier
ouvert, sortis des bonnets de son soutien gorge à balconnets.
Relevant sa jupe autour de
ses hanches et enlevant prestement sa culotte, Marie-Claire
se mis debout et les fesses appuyées sur son bureau, jambes
écartées, attendait de Catherine le même service.
L'avocate n'hésita pas et
à son tour lécha consciencieusement l'abricot bien mur et
bien juteux de la juge.
- Hoo oui, broute moi bien
petite Catherine, j'adore qu'on me bouffe ma minette de
salope, tu sais…
Soudain la porte latérale
du bureau s'ouvrit, que Marie-Claire avait omis de fermer,
et Michel, le jeune greffier fit irruption dans le bureau,
surprenant la position de sa patronne assise sur son bureau,
cuisses écartées, se faisant lécher par une avocate.
- Hoo entrez, Michel et fermez
la porte, dit Marie-Claire et approchez vous.
- Michel, approchez-vous,
vous connaissez bien sur Me Catherine H, distinguée membre
du barreau.
Michel regardait Catherine
brouter la chatte épilée de sa patronne. Il voyait la langue
exciter le clitoris tendu, lécher les lèvres intimes, s'enfoncer
dans la grotte ruisselante d'excitation de la juge.
Celle-ci lui fit signe d'approcher,
et sans plus de cérémonie, posa la main sur sa braguette,
serrant le sexe de son greffier.
- Michel, montrez-moi votre
gros crayon…
Le greffier défit rapidement
sa braguette et sortit une superbe queue toute raide que
la juge prit en main aussitôt, la branlant avec vigueur
en regardant Catherine d'un air coquin, la bouche dévorant
la chatte excitée de la juge, tandis qu'en plus Catherine
doigtait la coquine, son majeur dans le cul de Marie-Claire
et son index dans sa chatte.
- Michel, allez donc baiser
cette charmante avocate, prenez la en levrette pendant qu'elle
me mange le con…
Le jeune greffier ne se le
fit pas dire deux fois et vint enfiler gaillardement Catherine,
qui apprécia cette intrusion, alors qu'elle continuait de
brouter Marie-Claire, qui se pencha un peu pour ouvrir le
tiroir de son bureau et en sortir un vibromasseur, qu'elle
mit en route pour exciter ses tétons.
Catherine, bien ramonée par
le greffier criait de plaisir et jouissait sur cette bonne
queue qu'elle prenait au fond de son vagin, tout en excitant
de deux doigts son clitoris excité.
Puis Michel enfila sa patronne,
assise sur le bureau, alors que Catherine se mettait le
vibro dans la chatte, caressant d'une main le cul du greffier
s'excitant entre les cuisses de la juge dévergondée.
- Hoo Michel, j'aime ta queue
tu sais, mets la moi dans le cul maintenant. Tu sais bien
que j'adore me faire sodomiser.
Michel s'allongea sur la
moquette du bureau et Marie-Claire vint poser ses fesses
sur le ventre du greffier, et cuisses bien écartées, exhibant
sa chatte à Catherine, prit en main la pine dure pour se
l'enfoncer dans le cul.
Catherine vint alors en 69
sur la juge et frottant sa chatte contre le visage et la
bouche de Marie-Claire la pénétra avec le gode, pendant
que Michel l'enculait à fond. Ainsi sandwichée de deux bites,
l'une de chair et l'autre de plastique, Marie-Claire prenait
son pied divinement doublement ramonée, avalant la mouille
de Catherine, qui jouissait sous les coups de la langue
vicieuse de Marie-Claire, lapant sa chatte et la raie de
son cul.
Catherine voyait la bite
de Michel entrer et sortir de l'anus de Marie-Claire, et
elle-même actionnait le vibro dans la chatte trempée de
plaisir. Marie-Claire gémissait de bonheur, ses soupirs
étouffés par les cuisses de Catherine.
Soudain, les soubresauts
de la queue de Michel annonçant un prochain déluge, Catherine
la retira du cul de Marie-Claire, la sodomisa avec le vibro
à la place et branla la grosse pine du greffier pour le
faire gicler sur la chatte de Marie-Claire et dans sa bouche
de gourmande.
Après que les trois protagonistes
aient soufflé quelques instants, Marie-Claire appela le
procureur par téléphone.
- Bon cette affaire, me sort
par tous les trous si je puis dire, indique la juge… Je
vais appeler le procureur.
- Salut, Jacques dit-elle,
je t'appelle pour l'affaire Bernard F.. je viens de voir
le dossier, que comptes-tu faire ? La plaignante, euh Thérèse
LE C. maintient sa demande ?
- Euh figure-toi, Marie-Claire
que cette dame sort de mon bureau et, tu es toute seule?,
je ne te raconte pas, elle vient de me faire une de ces
pipes, une vraie vorace et quelle science… Elle suce encore
mieux que toi. C'est pas peu dire…Et elle aime ça la gourmande,
elle a tout avalé…Et puis nous avons un peu discuté. Au
fait, j'ai appris pour le tatouage… Très original… Mais
je vais faire traîner un peu, ça me permettra de la revoir
cette cochonne, et donc, je ne poursuis pas, tu peux classer
l'affaire…
Marie-Claire regarda Catherine
mais préféra lui dire." Je suis désolée Maître, il
y aura une sanction pour votre client, mais je vous rassure
le procureur ne tient pas trop à une audience publique.
Alors je verrai moi-même votre client. Je ne veux pas que
le tribunal se ridiculise avec une telle affaire.
Je vais me contenter de convoquer
votre client dans mon bureau, Maître et je prononcerai à
son encontre une sanction. C'est noté Maître ?
- Bien, Madame le juge.
- Vous voudrez bien demander
à votre client de se présenter à mon bureau jeudi prochain
à 18.00 heures. Bien sur, vous pouvez l'accompagner Maître…
Catherine sortit de ce rendez-vous
très professionnel, non sans surprendre dans le vestiaire
des avocats, une jeune stagiaire à la bouche pulpeuse sucer
la queue d'un ténor du barreau. Elle sourit en voyant cette
situation, et tout encore imprégnée physiquement et mentalement
de sexe, elle s'approcha, très décontractée pour regarder
la stagiaire s'affairer pour arracher le plaisir liquide
de cette queue à la belle prestance. L'avocat l'invita à
partager, mais Catherine refusa tout en remontant sa jupe,
et exhiba ses cuisses et son ventre nu.
- Merci, cher confrère, une
autre fois, je viens d'en prendre suffisamment pour cet
après-midi. Je vous laisse à la bouche de votre stagiaire
et toi, sache petite, que mon distingué ami très polisson
aime qu'on avale tout…
Laissant la fille pomper
de plus belle, Catherine rentra à son cabinet, surprenant
d'ailleurs Isabelle en train de visionner des photos d'hommes
nus à la queue bien bandée sur internet.
- Décidément, personne n'échappe
au plaisir du sexe…
La semaine suivante, Bernard
F. fut présent au rendez-vous, ne sachant pas quel serait
son sort, son avocate s'étant abstenue de lui révéler la
probable nature de l'entretien.
- Bon, Monsieur euh Bernard
F. , c'est simple, pour cette fois, vous ne passerez pas
devant le tribunal, mais je vous donne un avertissement
avec mise à l'épreuve pendant disons 6 mois. Cela signifie
que chaque semaine, vous viendrez dans ce bureau. Est-ce
bien compris ?
- Oui, Madame, dit Bernard
en regardant son avocate, assez surprise…
Et cette mise à l'épreuve
commence de suite, Monsieur, dit la juge en se levant, venant
vers Bernard qui ne savait pas trop ce qui allait se passer
et jeta un regard un peu inquiet vers son avocate.
Elle vint s'appuyer les fesses
sur son bureau devant Bernard et Catherine assis en face
et releva sa robe de magistrat en les regardant tous les
deux. Elle découvrit ses jolies jambes gainées de bas dim
up blancs avec un porte-jarretelles en dentelles de même
couleur.
Stupeur, elle en portait
rien d'autre que ses bas et exhiba sa chatte épilée.
Elle attendit que Bernard,
les yeux fixés sur le spectacle excitant de la juge impudique,
réalisa la situation puis lui dit :
- Alors, vous me la montrez
votre grosse bite tatouée ?
Bernard, ébahi, mais sentant
sa bandaison grandir dans sa braguette, par l'effet garanti
des bas et du porte-jarretelles se leva de son siège et
devant le ventre de Marie-Claire écartant les cuisses, sortit
son gros engin, libérant sa queue bandée aux dimensions
hors du commun, que la juge empoigna aussitôt dans une savante
masturbation.
- Ho, elle est jolie dit-elle,
l'attirant à elle et frottant le gland sur sa toison taillée
puis excitant son clitoris avec ce chibre énorme.
- J'adore les grosses queues
et vous Maître ? demanda-t-elle, se fourrant la pine de
Bernard dans son con humide. Oui vas-y, baise moi bien ,
fais moi jouir avec ta grosse bite, petit salaud. Vas-y…
Fourre moi. Ca t'excite pas de défoncer ta juge ?
Tandis que Bernard ramonait
le con de la juge, Catherine, excitée relevait sa jupe et
commençai, la main dans son string, à se branler, excitée
par les fesses nues et musclées de son client, allant et
venant entre les cuisses de cette garce de Marie-Claire.
S'approchant au plus près,
Catherine caressait le cul de Bernard et ses couilles par
dessous, passant un doigt dans la raie de son client, excitant
son anus brun, et grattant de ses ongles les belles couilles
poilues.
Elle retira sa jupe et son
slip, gardant ses bas avec ses jolis escarpins.
- Attends cochon, dit la
juge tu vas me prendre en levrette avec ta grosse bite de
cheval…
Marie-Claire se mit à genoux
sur la moquette, son cul rond tourné vers Bernard. Celui-ci
enfonça de nouveau sa queue entre les cuisses de la juge
pour enfiler sa chatte trempée.
- Quelle salope, sifflant
Bernard en ahanant tellement il la défonçait fort, surtout
que la juge s'était placée entre les cuisses de Catherine
pour lui manger sa chatte.
Bernard voyait ainsi, et
ça l'excitait encore plus, la juge bouffer le con de son
avocate. Ho la cochonne, elles se gouinent ces deux salopes…
Catherine, très excitée elle
aussi par cette situation, se laissa à son tour glisser
sur la moquette et se plaça en 69 sous Marie-Claire, qui
put continuer à lécher sa moule, tandis que Catherine avait
sous les yeux la bite et les couilles de son client dans
la chatte de la juge, elle léchait le tout, clitoris, couilles
et bite avec délectation, sortant même la queue pour la
mettre dans sa bouche, toute luisante du jus de la juge
et après quelques coups de langue, la remettre dans la chatte
palpitante, avide d'être remplie
A ce traitement, Bernard
ne résista pas longtemps, et tandis que Marie-Claire, criait
son plaisir, Catherine, sortant une nouvelle fois la queue
de son client, aspirant le gland, lui faisait cracher des
flots puissants de sperme, qui se répandait dans sa bouche
et sur la chatte de la juge, cette jouissance entraînant
en même temps un fulgurant orgasme de Catherine, qui pantelante,
sous la langue experte de Marie-Claire, jouissait divinement.
- Bon Bernard, dit la juge,
jeudi prochain à la même heure dans ce bureau.…
Voilà une affaire bien réglée
se dit Catherine, regrettant finalement de n'avoir pas pris
la grosse queue de son client entre les cuisses…
-J'aurais du en profiter
moi aussi.
Quelques jours plus tard,
repensant à toute cette affaire, réfléchissant quelques
secondes, hésitante, elle prit son téléphone et fit le numéro
de son client.
Après plusieurs sonneries,
celui-ci répondit enfin, un peu essoufflé.
- Euh, M. Bernard ? c'est
Me Catherine H., votre avocat, je ne vous dérange pas ?
- Ho non pas du tout, euh
justement, j'étais en train de euh. vous comprenez, avec
une femme et vous savez qui c'est ? Thérèse ! celle qui
avait porté plainte contre moi. Finalement on a prix rendez-vous
et elle adore… quelle salope on peut dire qu'elle aime çà
le cul… Au fait, vous appeliez pour quoi maître ?
- Eh bien, je me demandais
si je pouvais venir vous voir…je euh, porte des bas avec
un porte-jarretelles, je sais que vous aimez..
- Pour çà, sur, venez, Thérèse
et moi on vous attend.. Elle a aussi des bas et un porte-jarretelles…Cà
ne vous dérange pas qu'elle soit là ?
- Non, pas du tout, au contraire,
j'arrive
Auteur
|