TITRE :  J'ai eu une relation torride avec ma belle Tante Sylvia
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale
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J' ai aujourd'hui 30 ans et a vécu une expérience torride à l'âge de 22 ans avec ma tante par alliance . Nous fûmes amants, et j'avais une forte emprise sur cette belle femme.
Aussi je n'ai pas des relations du genre tata ou tatie avec elle.

Elle se prénomme Sylvia, une belle blonde- châtain aux cheveux à mi-hauteur, très sensuelle mariée avec mon oncle, René, qui a + 10 ans d'écart qui la déconsidère en permanence, et j'en suis sûr la délaisse sexuellement, voire la trompe en fréquentant des call-girl.

Vers 13 ans, j'ai été faire du baby-sitting chez elle ds le seul objectif de me faire de l'argent de poche.
Alors que j'étais sage au salon, elle m'appela ds sa cuisine pour me montrer les consignes à respecter.
Je fus complètement surpris en découvrant la tenue de Sylvia
Elle était en peignoir à moitié ouvert laissant apparaître une belle partie de son sein droit,
Un sein ferme, une belle peau bronzée, pieds nus, de belles jambes nues.
je priais pour ne pas bander et ne pas lui montrer l'effet qu'elle me faisait.
Je salivais par derrière elle en la voyant gambader pour arrêter son bain à l'étage supérieur

Car à cette époque, elle était assez sèche, autoritaire, mais devant cette attitude, mon regard changeait sur elle : je la désirai et elle fut l'objet de mes rêves érotiques, passant devant toutes les femmes.
Je devenais à l'instar de mes potes qui flashaient sur femmes mûres, des profs, l'obsédé de
Ma tante qui a 10 ou 12 ans de plus que moi.
Et donc tt au long des années, Sylvia s'approcha de moi trop près, accentuant encore + le désir de tenter qq chose sur elle, de répondre à ses et à mes envies peu avouables .

Elle profitait de son « statut » de tante, d'adulte pour avoir une assise sur le jeune, soi-disant apportant de la tendresse ou de l'affection mais elle frottait plusieurs fois son corps contre moi lors de salutations familiales et cela me faisait de l'effet et j'en voulais +, j'étais conquis par cette Vénus tant excitante, qui avait des désirs à vendre.
D'ailleurs, je n'étais pas le seul à ressentir cela, un oncle par alliance la mate + directement que moi, mais elle est fixée sur ma personne.

Le moment arriva en vacance d'été.

Mes parents avaient loué un petit pavillon de charme ds la même ville que mon oncle René.
Je me trouve ds ma chambre en début d'après-midi, en train de préparer l'entrée ds une prépa.
J'étais ds un état assez tendu, et voulais décompresser cette atmosphère trop étouffante.

J'entendis ma mère accueillir quelqu'un sans savoir qui c'était, et la personne montait l'étage puis ouvrit la porte de ma chambre.
Ma tante Sylvia (l'objet de mes désirs) entrait en refermant la porte.
Elle portait une robe légère couleur braise, et des espadrilles aux pieds, elle avait une tenue excitante. Je la saluais et me rassit.
Sylvia inspectait du regard ma chambre, soi-disant pour découvrir le charme de l'intérieur de ce pavillon loué, mais je sentais qu'elle me matait ds mon dos.
Elle vint se poster près de moi, en posant sa main sur le dos de ma chaise, et me lance »tu bosses ? », j'avais très envie qu'elle fasse un lapsus : »tu baises » ?
Bon sang mon stress m'envoyait des envies de sexe assez fortes :
je voyais ses bras à découvert, son visage détendu, sa voix douce, je la sentais tellement près de moi.
Elle se résigna à sortir et descendit à la cave chercher le linge, car sa machine était en panne.
C'est alors, que je me leva, ôtait rapidement mon jean et me mit en maillot.
Je profitais que ma mère sorte emmener le chien chez le vétérinaire pour tenter qq chose.

Je descendis les escaliers de la cave, qui donna sur un petit couloir, faisant monter l'envie, le suspens.
Les 2 machines à laver fonctionnaient très bruyamment, et j'eus le temps de mater Sylvia ds son dos et de préparer mon entrée. C'est une femme qui donne vraiment envie
Elle avait heureusement pour moi, ses 2 mains plongées au dessus d'elle en train de chercher qq chose sur l'étagère.
Je me demandais comme même quelle sera sa réaction car Sylvia est assez impulsive.
Mais je ne me dégonflais pas, je sentais fortement le 14 Juillet ds mon slip et à la vue de cette belle femelle. ..

Je me colla contre elle précipitamment et commença à beugler d'envie qd je soulevais sa robe, caressais avec insistance ses jambes et faisais frotter mes jambes contre les siennes, mon membre en érection frottait contre sa culotte. Elle retourna la tête mais se laissa caresser tt en « contrôlant » mes mouvements, elle tentait de dégager ses mains mais n'y arrivait pas.
Je n'en peux plus, je craignais de rater l'occasion de ma vie.
Je baissais fougueusement mon maillot, et je coinçais bien Sylvia entre mes jambes, déstabilisée par mes caresses, ma force j'abaissais de rage sa culotte ds ce brouhaha et la pénétra par derrière.
Ds mes rêves, je me voyais lui faire l'amour tendrement, avec attention !
Mais là, je fus très pressant avec de gds mouvements de bassins intenses.
Sylvia rougissait, et moi aussi. J'avais ma vue qui se troublait, complètement pris ds un plaisir indescriptible : il faisait chaud, je me réalisais en cachette avec la femme tant désirée , qui ne me rejetait pas, faisait même preuve de tolérance en subissant mes premiers coups de bite un peu violents et irréguliers.
Je me retirais d'elle, libérait ses mains, et l'allongeait sur le ventre une fois que la machine s'arrêtait.
Tout en s'exclamant » oh Sylvia « , j'abaissais plus sa culotte sous ses genoux, je dégrafais tel un voyou, le devant de sa robe et pelotait voire touchait très fortement sa poitrine que je ne voyais pas mais délicieuse au toucher, et recommença à la pénétrer :une lueur jaune m'envahit le corps, Sylvia gémissait sincèrement des petits « oui, oui » timides arrivaient ds sa bouche. Mais je commençais légèrement à éjaculer, et à pressentir l'arrivée d'une vague tt en éclatant de plaisir contre l'oreille gauche de Sylvia.
Je me désengagea d'elle et dû égoïstement, déverser de grosses salves de sperme en me frottant contre son postérieur, ses cuisses, j'aurais voulu, qu'elle me finisse à la main, et à mon étonnement, Sylvia se laissait aspergée, pelotée, je tripotais encore son postérieur, en lui déclarant qu'elle était très excitante. Je m'enfuis sans me retourner, sans la regarder et je pensais à la punition du lendemain.
Il n'en n'eut rien, et ds la semaine, au cours d'un goûter entre cousins ds la baraque de mon oncle, elle m'attira ds la chambre d'amis, 2 étages au dessus, et nous fîmes l'amour, assez rapidement, mais ce fut bon de la voir toute nue, et de me voir nu en train de la baiser.

Une forte complicité s'instaura entre nous dura près de 2 ans.

Elle revint vers moi, qd je bossais pour mon oncle. Un samedi, nous étions seuls, et je voulais m'offrir à elle. Je pris vraiment le temps de découvrir son corps, sa belle chair, reniflait et caressait longuement l'intérieur de ses jambes, avant de débuter de beaux baisers génitaux, qui la faisait frémir, et nous fîmes l'amour l o n g u e m e n t.

Quelques moments qui me restent en mémoires : lors de fêtes familiales, je me rends ds sa cuisine pour l'aider à porter les plats, et j'en profite pour la caresser, échanger des baisers à n'en plus finir et à nous fixer des rdv coquins, à son école de danse classique.

Ou toujours lors de ces rencontres nous nous retirons aux toilettes.
Sylvia assise sur moi, n u e, jambes écartées, ses jolis bras autour de ma nuque, je démarre des allers-retours électriques, qui nous emmènent au paradis sexuel, Sylvia habilement plonge ses lèvres ds les miennes pour couvrir nos cris de ces ébats chauds chaud.
> Je sentais lors de ces rencontres qu'elle voulait se venger de mon oncle qui ne la regarde même pas, et était flatté qu'un homme (peut-être + jeune qu'elle) la désirait si fortement.

J'eus même le privilège d'avoir dépuceler son cul, je reconnais avoir eu beaucoup de mal à l'enculer mais elle ressentit après de nouvelles sensations qu'elle appréciait, ressentant une bite bien lourde coulissante ds son petit trou, oh je sentais un cul bien agréable, moelleux, et pissait du sperme de plaisir.

A 2 reprises, seulement Sylvia « me finissait » à la bouche, je n'aime pas le terme « sucer ».
Elle ne le faisait pas spontanément, mais pour satisfaire mes envies à cause de son emploi du temps, ou de l'endroit qui pouvait nous dévoiler.
Nos corps s'emboîtaient parfaitement, nos touchers nous réjouissaient réciproquement, l'acte sexuel m'apportait de beaux orgasmes, et elle aussi laissait éclater des cris stridents, son visage respirait le plaisir, mais j'avais de + grosses envies qu'elle

Ainsi, lors des rares fois où elle est venue ds mon studio, et à l'approche des 16 heures, Sylvia m'annonça soudainement, « oh je vais rater la sortie des enfants ».
Et je ne sais pas ce qu'il m' a prit, je pris conscience que je me tapais une jeune mère de famille, une belle femme mariée, je tâtais grossièrement ses seins fermes en les étirant, en voulant qu'ils pissent du lait, faisait de l'effet à ma tante (très sensible au toucher de sa poitrine vraiment féminine). Soudain, tel un ogre je me lève en tenant mon long pénis gluant face au visage de Sylvia, émoussée.
En femme obéissante, elle saisi mon membre avec de belles mains collantes, coulissant le long de mon tronc. Ma tante était assez mal à l'aise, et je prenais mon pied !
Sylvia ouvrait sa bouche et avec une rare application, (elle m'avouait n'avoir jamais sucé mon oncle !), me fit une prestation que je n'oublierais jamais.
Je voyais et sentais m a g n i f i q u e m e n t ses belles lèvres passer sur le long de ma verge, je commençais à rugir, elle revint vers l'extérieur, en appuyant avec ses lèvres sur le bout avec sa langue qui me lécha, j'eu une poussée terrible, et elle se mit à me goûter à l'aide de grands mvts de langue lents autour de mon gland, avec ses belles dents rasant mon pénis.
Ensuite je lui saisi sa tête et elle se soumit à recevoir mon pénis ds sa bouche, et j'entamais des allers retours rapides en criant de plaisir et éjaculer de bonheur. Mais je savais qu'elle n'aimait pas cela et je jouissais.

Puis enfin des plaisirs des ces moments c'est quand Sylvia se rhabillait, surtout ds les endroits « civils » où à moitié habillé nous baisions, j'étais fier de la voir remonter sa culotte ordinaire, se recoiffer avec ses mains, chasser les plis sur ses vêtements.en me disant que je l'avais saillit, et pris mon pied à la barbe du monde qui nous entourait..

Depuis, nous avons cessé, mais je pense toujours à elle !

 

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