Quelques jours après mes 18 ans j'accompagnais mes parents à une soirée
chez un ami de la famille, dans une sorte de manoir impressionnant de par
sa taille et sa complexité.
Beaucoup d'invités étaient présents, autant des connaissances que des
inconnus.
Mes parents se dirigèrent vers un couple, la cinquantaine et me les
présentèrent comme carole et Christian, carole était fine et gracieuse, et
malgré les ravages du temps, j'ai pu deviner la jolie fille qu'elle devait
être a l'époque, Christian, lui été un gros bonhomme costaud et solide
mais bourré d'humour. Carole m'indiqua du doigt ses deux enfants qui été
paris au buffet et me proposa d'aller les voir, étant un des seul jeunes
présent à la soirée.
Je me dirigeais alors en direction du buffet et je trouva un jeune , seize
, dix sept ans au maximum qui mangeai des parts de gâteau au chocolat a
s'en étouffer , je le salua assez fort pour qu'il m'entende , il se
retourna la bouche pleine et bafouilla quelque chose d'incompréhensible .
J'entendis alors une voix féminine dire d'un ton blasé « arrête de te
goinfrer abruti », je me retourna brusquement et je vit a un mètre a peine
de moi une jeune femme sublime, visage fin et sans imperfection, lèvres
rose humides, de profond yeux verts mis en valeur par un maquillage très
léger, des cils et sourcils lui donnant un air enivrant et une cascade de
cheveux marron formant de légères boucles se terminant sur la peau douce
de son épaule.
Mon regard continua son voyage sur les courbes de la demoiselle, une
poitrine de taille moyenne, voire petite mais parfaitement ferme et
fièrement dressée en avant qui soutenait le décolleté du haut prune
moulant qu'elle portait.
Ce haut laissait son ventre plat à l'air libre, honorant tout le monde de
cette vision fort agréable. Venait ensuite le jean délavé taille basse,
moulant évidemment la forme incroyablement ronde de ses fesse
d'adolescente. Je compris a quel point j'était inconvenant au moment ou
elle prononça le mot « enchantée » d'un air las, malgré qu'il ne ce soit
passé qu'une seconde pendant mon examination.
Je rougi et répondis précipitamment « euh salut, je suis valentin, et toi
? », elle me répondit simplement qu'elle s'appelait Amélie et que son
frère c'était Marc
S'ensuivi alors une discussion de jeune dans les règles de l'art dans
laquelle Marc fut vite expulsé.
Apres quelque dizaines de minutes, je remarquai qu'elle ne me laissai pas
indifférent du tout, je la trouvais drôle, intelligente, belle et libérée,
j'appréciait beaucoup être avec elle.
La discussion s'orienta ensuite sur les petit(es) ami(es) que nous avions
eu, et par la suite sur le sexe, elle en parlait très librement, me disait
comment elle avait ressenti sa première fois, ce qu'elle aimerai , bref
sans complexes.
Je lui dis alors en rigolant, quand elle me demanda malicieusement mon
fantasme, que j'aimerai beaucoup la prendre, elle ria de bon cour, et, me
saisi la main. Apres un long instant d'échange de regards, elle s'approcha
et me chuchota dans l'oreille : « moi aussi », elle recula sa tête de mon
oreille, elle fit une escale au niveau de mon visage, m'embrassa
brièvement sur la lèvre, puis elle s'écarta, me regardant avec un sourire
de malice mêlé d'excitation. Cette scène se déroula sur un banc , dehors
près du manoir. L'instant d'après, nous étions en train de courir dans le
manoir pour trouver une chambre éloignée du salon où se déroulait la fête.
Elle s'arrêta , haletante , devant une porte comme les autres , j'admirai
une fois de plus son physique de rêve , « celle la est assez éloigné tu ne
crois pas ? » je lui répondis avec la même intonation malicieuse que oui
et elle rentra . La pièce était très sombre , les volets fermés , un lit
marron , des armoires en vieux bois , rien de très affolant, mais nous
étions déjà entrain de nous embrasser follement. Mon esprit était devenu
fou , je ne pensais a rien sauf elle , je faisais totalement abstraction
de tout ce qui aurai pu se passer, j'était dur comme du bois , nous nous
embrassions follement et passionnément , nos langues s'enroulaient , se
heurtaient , je lui léchais les lèvres tandis qu'elle gémissait déjà ,
nous tombions dans le lit , un bruit violent retenti , nous avions brisée
des lattes du lit, aucun de nous n'a réagi , je lui léchait le cou , je
descendait dans sa poitrine tandis qu'elle croisa se jambes autour de moi
je lui découvris les seins , lui mordilla un de ses petits tétons dur et
dressé , elle gémit de plus belle , saisissant deuxième seins de la main ,
j'enlevai ma chemise en arrachant les boutons, elle plaqua ses mains sur
mon torse, me retenant el l'air, mon cour battait la chamade, ma tête
était sur le point d'exploser je lui enfonça ma langue dans sa bouche
tandis quelle retirait son jean, découvrant ainsi une petite culotte
trempée, j'enlevai mon jean , mon boxer ne retenait mon sexe qu'a moitié ,
je le frotta contre son corps alors que nous nous embrassions elle
marmonna entre deux embrassement , son front contre le mien , « prend moi
, prend moi ,prend moiii je t'en supplie » , je lui obéissait , je
cherchait son sexe a tâtons, dirigea ma verge, je pris une inspiration, et
je l'enfonçais.
Elle se redressa et hurla un cri de plaisir absolue, je la lima de plus en
plus fort, elle criait, gémissait, je l'embrassait, j'entendais ses cris
étouffé devenir de plus en plus puissant, je la serra contre moi, et je
lui enfourna tous ce que j'avait, a la vitesse de l'éclair, nos corps
s'entrechoquaient, je sentait ses seins contre mon torse, elle hurla
littéralement.
Je senti une pression contre mon gland , un jet de cyprines inonda nos
vêtement ainsi que le bas du lit et nos jambes , je ne m'arrêtai pas pour
autant , mais elle avait fini de hurler , elle pleurait et gémissait au
rythme des coups, la respiration saccadée, j'éjacula comme je n'avait
jamais éjaculé, dans sa fleur a pressent inondée.
Le silence se fit , collé l'un a l'autre , nos reprenions notre souffle ,
j'avais la tête qui tournait, elle souriait tout en tremblant et en
essuyant ses larmes , la porte s'ouvris.
Une dizaine d'invités ainsi que les hôtes et nos parents étaient venus
voir quelle était la source de ce cri.
Elle a du prendre la pilule du lendemain et nous avons fait les test du
sida, heureusement négatif pour les deux.
C'était la deuxième fois pour moi et la troisième pour elle, elle ignorait
qu'elle était « femme fontaine ».
Aujourd'hui j'ai presque 19 ans et je n'ai jamais re-ressenti quelque
chose d'aussi fort..
Scar 5.56
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