|
Bonjour, je suis Ange et c'est moi qui vous
raconterai la suite de cette histoire commencé par mon mec.
Le fait d'avoir sucé mon voisin Joshua (que je ne connaissais
pas du tout), dans notre salon pendant que sa copine téléphonait
à quelques mètres, je me sentis différente, transformé !
En effet je n'avais alors jamais posé ma bouche sur un autre
sexe que celui de mon homme et qui me satisfaisait très
bien vu sa taille raisonnable ! Cette expérience avait donc
changé ma vie sexuelle. Lors de nos ébats maintenant, mon
mari ne manquait plus de me rappeler mon acte et me faisait
m'imaginer toutes les autres cochonneries que je pourrais
faire avec Joshua, ce qui m'excitait énormément.
Depuis cet après-midi où j'avais commencer à le sucer, un
jeu s'installa entre Joshua et moi. La matin nous partions
à la même heure... Les cloisons étant très fines, j'entendais
le bruit de ses clés dans la serrure, indiquant son départ.
J'attendais quelques secondes avant de sortir de chez-moi
pour rejoindre l'ascenceur en même temps que lui. Pour moi
c'était un jeu érotique, un jeu d'excitation, lequel au
départ, ne devait pas aller très loin. La première fois
où nous partîmes en même
temps le matin, je ne sais lequel de nous deux fut le plus
mal à l'aise. Il était là, habillé très correctement avec
un pantalon et une veste assortie ainsi qu'une chemise bleu
foncé, se tenant droit face à l'ascenceur qui n'arrivait
pas. Moi je portais un jean moulant noir, une veste en coton
bien serrée avec des boutons pressions. Je lui fis un sourire,
les joues rouges, j'étais un peu crispée mais j'essayai
de me détendre, me tortillant d'embarras. Je me disais qu'on
ne pouvait nier ce qui c'était passé le jour d'avant.
Je me dirigeai alors vers lui pour attendre l'ascenceur.
Je sentis l'intérieur de mes cuisses humide. Je me demandai
alors ce qui m'excitait le plus : la situation dans laquelle
je me trouvais (c'est-à-dire seule avec l'homme que j'avais
dégusté sans le connaître) ou le mec lui-même avec son corps
d'athlète. Je penchai pour la première hypothèse. Arrivée
à son niveau, aucun de nous ne parla jusqu'au moment où
l'asenceur se pointa. Comme un gentleman, il me laissa passer.
Une fois dans le tout petit espace, face à face, je me rendis
compte que ma veste n'était pas boutonnée jusqu'en haut.
Il avait une vue plongeant entre mes seins et ne s'en privait
pas ! Que faire ? Reboutonner ma veste ? Ou onduler du buste
pour l'aider dans son exercice ? Étrangement, je le laissai
faire et cela me fit mouiller encore plus ! Sa main entra
en contact avec ma cuisse mais ce fut tout à fait involontaire,
je me contractai d'un coup en me redressant et je me cambrai.
Il enleva sa main et rougit. Les portes s'ouvrirent...
Les matins suivant, je ne le vis plus. J'estimai que lui
et sa copine devaient être en vacances. J'y repensais souvent
mais je n'en ai que vaguement parlé à mon mari. Non pas
que je craignis sa réaction mais je voulais savoir si le
jeu avait une chance de se poursuivre à son retour. Quand
enfin, quelque jours après, je me retrouvai de nouveau en
face de Joshua dans
l'ascenceur, je ne pus m'empêcher de mouiller encore plus
! Tous les jours, j'attendais le moment où je me retrouverais
enfin collée à Joshua, même si nous ne nous touchions pas,
c'était bien plus fort que ça... Pouvoir le désirer très
fort sans passer à l'acte, c'était le pied ! Il était mon
fantasme vivant ! J'éprouvais juste de l'attirance sexuel,
rien de plus. Mon mari
m'excitait et nous baisions toujours autant avec beaucoup
de passion et même plus ! Mais il n'était pas au courant
de mon petit jeu, il s'en doutait seulement car il me demandait
souvent si Joshua m'excitait. Je lui répondais que oui mais
sans plus.
Un jour je me demandai combien de temps je pourrais tenir
sans pouvoir toucher, carresser, sucer et branler mon fantasme
vivant. Je décidai alors de prendre les choses en mains.
Ce matin d'avril, il faisait chaud comme rarement en ce
mois, je me sentai si bien, si chaude et si entreprenante,
comme très rarement cela m'arrivait. Je décidai de m'habiller
de façon provoquante, pour ne laisser aucun doute sur mes
intentions. Je me vêtis alors de la même façon que lorsque
je l'avais dégusté, pour voir si cela lui rappelerait des
souvenirs. En effet, lorsqu'il me vit sortir de chez-moi
il me lança un regard étonné, je lui répondis par un regard
torride et sensuel. L'ascenceur était là, nous montâmes
et sans perdre une seconde, je me collai à lui, posant mes
mains directement sur son sexe ; j'avais envie de lui depuis
si longtemps ! Il le savait et je sentis avec ma main que
lui aussi ! Il appuya sur le bouton arrêt et nous restâmes
entre deux étages. Je sortis sa bite de son pantalon et
commençai à le caresser, à le branler. Il ne resta pas passif
et glissa sa main sous ma jupe. ll caressa mon clitoris
à travers mon string, puis l'écarta. Lorsqu'il sentit tout
le jus qui coulait, sa bite grossit encore plus. Je le branlai
encore plus fort, mais j'eus une envie : je l'attrapai par
les cheveux pour lui poser la tête sur ma chatte trempée,
il n'eut pas le choix et commença à me lécher avec sa langue.
Pour m'écarter encore plus, je posai ma jambe sur les barrières
qui entourent cette petite pièce. ll avait une vue entière
sur mon sexe, cela me mis hors de moi.
Je lui demandai de se relever. Ce qu'il fit. Je pus voir
sa queue trempée qui coulait, je m'empressai de la boire
et de la fourrer dans ma bouche, j'en fermai les yeux de
plaisir ! Il donna des coups de reins pour s'enfoncer davantage
dans ma gorge. Puis il attrapa mes épaules, me releva tandis
que je m'aggripais à lui. Il me pénétra d'un coup sec, un
cri s'échappa
de ma bouche, puis un deuxième. Je n'en pouvais plus, il
me ramonait la chatte au plus profond, en se retenant à
mes hanches. Un de mes seins sortit de ma robe très décolletée
sous les chocs du plaisir. Il le prit dans sa bouche et
le goba, y mettant sa salive. J'aurais voulu que ce moment
dure encore et encore mais Joshua ne put s'empêcher de déverser
sa semence en moi, poussant des cris de plaisir. La sonnerie
de l'ascenceur nous fit atterir de ce vol si bon et si désiré.
Avec nos va-et-vient, nous avions déclanché l'alarme. J'appuyai
sur la touche de notre étage, on ne pouvait aller travailler
dans cet état. Nous ne parlions plus et nous rentrâmes chacun
chez-soi, tout les deux heureux de ce qui venait de se passer.
Une fois chez-moi, j'allai m'écrouler sur mon lit avec un
sourire jusqu'aux oreilles. À peine allongée, mon homme
marmonna (il somnolait encore) en me demandant ce que je
faisais là. Je n'eus pas le temps de répondre qu'il glissa
sa main entre mes jambes en me caressant tout doucement
le sexe. Il dormait à moitié et moi je me laissai faire,
je ne pouvais de tout façon plus bouger. Lorsqu'il retira
ses doigts pour les
porter à sa bouche (car il aime me goûter très souvent),
il me dit :
- Mais c'est du sperme !
Je ne pouvais nier alors je le regardai, attendant sa réaction.
Il me regarda en souriant :
- Alors ca yé, tu l'as fais ma cochonne, tu l'as eu ton
Joshua !
Il était très content et même très excité (le drap faisait
une bosse au niveau de son engin de plaisir.) La façon dont
il réagissait m'excita beaucoup, je m'allongeai sur lui,
l'embrassai tendrement avant d'enfourner sa queue en moi,
nous faisions l'amour tendrement, avec passion et sensualité
; comme on aime. Cela dura assez longtemps et j'eus le temps
de jouir à trois reprises avant qu'il n'éjacule dans mon
corps. J'avais à présent deux foutres d'hommes différents
dans ma chatte, ça coulait. C'était bon et très agréable.
Je m'endormis.
Quelques jours plus tard, j'appris au dernier moment que
mon mari avait téléphoné à Céline pour les inviter à manger
le soir. Lorsque nos deux voisins sonnèrent à la porte,
je fus étonnée de les voir avec un bouquet de fleurs à la
main, je me tournai vers mon mari qui me fit un clin d'oeil,
je compris tout de suite. Je leur dis d'entrer et de s'asseoir
sur le canapé.
Pendant ce temps, j'allai voir mon mec dans la cuisine et
lui demandai quel plan il avait derrière la tête.
Je n'avais pas revu Joshua depuis nos ébats dans l'ascenseur.
Bizarrement, il n'était pas trop mal à l'aise et moi non
plus. Nous avions commencé l'apéritif. Le fait que Céline
ne soit sans doute pas au courant que son mari m'avait baisé
dans l'ascenseur m'excitait énormément, j'en mouillais de
plaisir. Vêtue d'une robe courte, je commençai un jeu de
croisements
de jambes sous le nez de mon voisin. Je me penchai en me
frottant à lui de très près pour attraper mon verre sur
la table. Il
bandait et avait du mal à le cacher vu l'énorme bosse sous
son pantalon serré. Lorsque mon mari entra dans la pièce,
il me vit exagérément penchée sur Joshua, attrapant mon
verre, et ne put s'empêcher de se racler la gorge avec un
sourire
complice. Joshua fit tomber des biscuits apéritifs sur le
tapis, je m'empressai alors d'aller chercher de quoi nettoyer.
Munie d'une balayette, je m'accroupis entre les jambes écartées
de mon voisin. Tout en nettoyant par terre, je le regardai
droit dans les yeux, j'avais mon nez quasiment sur son sexe.
Céline commença à peine à remarquer ce petit jeu mais ne
bougea
pas. Elle se tortilla sur le canapé dans son tailleur BCBG
qui la faisait passer pour une fille prude et quelque peu
coincée. Elle regarda d'un peu plus près la scène. En étant
accroupie, ma jupe découvrait mes fesses nues, mon mari
ne manqua pas d'attraper mon cul à pleine mains, je me cambrai
et écartai mes jambes pliées presque sans faire exprès.
Nos deux voisins
eurent une vue sur ma chatte épilée des plus plongeantes.
Céline se leva brusquement et alla se mettre derrière mon
mari, lui touchant l'épaule en lui faisant signe de se lever,
moi je ne bougeais pas.
Mon mec s'exécuta, et sans perdre une seconde, elle se mit
à genoux, défit sa braguette, sortit la bite de mon homme
avant de la mettre tout au fond de sa gorge. Cela surprit
tout le monde, à commencer par Joshua. Elle avalait la queue
de mon mari à pleine bouche, déposant sa salive tout autour,
elle donnait des coups de langue trop agiles. Mon mari,
debout, poussait des soupirs de plaisir. Joshua attrapa
mon bras et me proposa de m'asseoir à côté de lui pour mieux
mater la scène. C'est installée dans le fond du canapé que
je commençai à masturber la bite qu'il avait sorti de son
pantalon, Je pris sa main pour la glisser sous ma robe.
Je mis mes pieds sur la table basse, écartant encore plus
les jambes. Voir mon mari se faire sucer par une autre femme
devant moi m'excitait terriblement... Et lui aussi ! Son
jus coulait sur la joue de Céline qui tentait d'en avaler
le plus possible, elle prenait son pied, elle se caressait
le clito en même temps. Puis elle demanda à mon mec de la
prendre. Elle s'allongea sur la table basse, sur le dos,
la tête entre mes jambes, et se fit prendre pendant que
je me masturbais (Joshua voulu changer de fauteuil pour
avoir une meilleur vue de la chatte de sa copine). J'avais
donc les doigts sur mon clitoris et je me branlais, c'était
bon ! À ma grande surprise, Céline releva la tête pour me
lécher le sexe ! Je me laissai faire, aucune femme ne m'avait
encore léché. La situation me rendait folle de désir et
je jouis dans la bouche de cette femme, allongée sur la
table de mon salon avec mon homme qui la prenait devant
mes yeux. Tout le monde y trouvait son compte, même Joshua
qui matait sa copine se faire baiser comme une garce. Il
jouit en silence puis vint se faire nettoyer la queue en
la mettant dans la bouche de sa femme, qui s'empressa de
l'enfourner tout en se faisant trouer de plus en plus fort.
Mon mari y mettait beaucoup d'ardeur puis il poussa un long
cri sourd avant de venir s'écrouler à côté de moi, sur le
canapé. Je l'embrassai à pleine bouche alors qu'il reprenait
son souffle. Céline ne bougeait plus, Joshua regardait sa
femme, on aurait dit qu'il était fier d'elle. Peut-être
était-elle très réservée et n'avait jamais osé faire ce
genre de chose ? Mon homme, je l'avoue, m'étonna aussi.
La soirée se termina à ce moment là et tout le monde rentra
chez-soi sans trop rien dire... Nous planions ! Cette nuit
là, les murs tremblèrent dans les deux appartements...
Auteur
|