TITRE : Harcèlement sexuel
Catégorie : 
Histoire au bureau

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Je suis nouvellement nommée dans votre entreprise et mon travail me plaît.Je ne suis encore que stagiaire à l'essai mais j'essaie de faire tout mon possible pour prouver ma compétence. jusqu'à ce fichu coup de fil mal aiguillé qui de fil en aiguille entraîna de fâcheuses conséquences.
Et ce matin, je suis convoquée dans le bureau de Monsieur le Directeur, tôt le matin, je me retrouve dans l'ascenseur qui mène à votre bureau. Le coeur battant, les mains moites, l'affrontement me semble inévitable, que dis-je l'affrontement, la mise à mort, j'espère simplement que ce sera bref. Je ne me fais plus d'illusion quant à l'issue de cet entretien malgré cela , je me sens prête à me battre. même pour un combat perdu d'avance.

Je reste en suspens devant la porte de votre bureau, prenant une longue inspiration et rassemblant mon courage.
Et puis je toque.Un bref « Entrez » me répond et je pousse la porte.
Vous êtes penché sur un dossier dont vous ne daignez même pas lever les yeux à mon entrée, je reste debout devant votre bureau, n'osant m'asseoir sans votre autorisation, les minutes s'égrènent et me paraissent des heures.

Je jette un bref coup d'oeil à votre bureau, les tableaux aux murs, les dossiers classés sur une étagère, le fax, le pc, la plante verte luxuriante, votre bureau déchargé de tout objet inutile hormis un cadre photo dont je ne vois pas le contenu et puis je vous détaille, costume sombre, chemise blanche, cravate impeccable. Votre voix dangereusement douce résonne dans le bureau :
« Il est très mal poli de dévisager les gens qui sont en face de vous, mademoiselle ! »
Prise en flagrant délit, je rougis et bredouille vaguement quelques excuses.

Vous vous adossez dans votre fauteuil, et me dévisagez à votre tour, je porte une paire d'escarpins à talons hauts, noirs , une jupe en voile rouge et noir qui flotte autour de mes jambes gainées de soie noire, un chemisier noir à manches légères, une paire de boucles d'oreilles en or, et un collier assorti dont la dernière perle vient se nicher au creux de mon décolleté.
Mes cheveux sont sobrement noués en un chignon serré sur ma nuque mais malgré cela une mèche rebelle vient s'en échapper et balaie mon visage.Je suis légèrement maquillée.
« Mademoiselle, avez-vous conscience des répercussions de votre incompétence ? »
« Je vous prie de croire, monsieur que ce n'était qu'une maladresse. »
« Une maladresse ! » Vous haussez un sourcil et d'un seul mouvement, vous vous levez, contournez votre bureau et venez vers moi.

J'ai l'impression d'être une proie devant un félin affamé qui se retrousse les babines d'avance devant ce repas facile.Je résiste à l'envie de m'excuser car après tout l'erreur est humaine.
Vous passez derrière moi et je sens votre présence dans mon dos, et tout à coup vous effleurez le galbe de mon sein d'une main légère, je sursaute surprise de la tournure que prend notre entretien.
Je voudrai protester mais les mots restent coincés dans ma gorge.je ne sais que dire.

Vous allez vous rasseoir dans votre fauteuil, vous croisez vos mains devant vous et me dites d'une voix douce :
« Déshabillez-vous ! »
Mon regard se fait incrédule, je fronce les sourcils pas sûre d'avoir bien entendu votre requête !
« Non, je refuse ! »
Un lent sourire vient étirer vos lèvres et vous vous mettez en devoir de m'exposer le plan de carrière désastreux qui m'est destiné si je refuse, renvoi, discrédit, impossibilité de retrouver du travail dans la même branche, chômage etc.
Je suis désespérée, vos mots résonnent à mes oreilles comme sonne le glas.

Vos yeux se font très froids et votre sourire carnassier s'élargit encore, vous me demandez d'être raisonnable et de reconsidérer votre proposition.
Et je me rends compte que je n'ai pas vraiment le choix, et ma décision est prise.
Doucement je défais les boutons de mon chemisier, prenant conscience du désir que j'éveille en vous.cela me dégoûte mais je dois m'y plier. Le chemisier ouvert, je marque une pause, vous discernez un soutien gorge pigeonnant en dentelle noire, j'hésite.
« Continue ! »
Je glisse mon chemisier sur mes épaules et celui-ci vient tomber à mes pieds vous dévoilant le galbe parfait de mes seins enserrés dans un morceau d'étoffe noire ciselée et tranchant sensuellement sur la blancheur de ma peau.cela vous excite terriblement.
Je viens défaire la fermeture éclair de ma jupe qui vient elle aussi glisser sur mes jambes et tomber dans un bruissement d'étoffe à mes pieds.
Vous découvrez une minuscule culotte assortie au soutien gorge et surtout une paire de bas de soie noire bordés de dentelle.Vos yeux s'allument d'un désir violent et irrépressible que vous contenez pourtant.
« Approche ! »

Je recule d'un pas, consciente de devoir aller plus en loin encore.
Votre voix claque dans le bureau :
« Allons tu n'as plus le choix, tu dois aller jusqu'au bout de ce que je te demanderai, viens, approche ! »
Je m'avance vers vous, contourne le bureau, vous vous tournez vers moi et me présentez votre pantalon déformé par la barre oblique de votre sexe en érection témoin de votre désir.
« A genou, suce-moi ! »
Vous dégagez votre sexe de toute ses entraves, il se dresse maintenant fièrement devant moi, dur, tendu, terriblement raide.Et je m'agenouille devant vous.Et au moment où ma langue entre en contact avec votre belle queue, vous poussez un soupir de plaisir, défaites mes cheveux qui tombent en cascade sur mes épaules, venez y fourrager vos mains pour me donner le rythme de votre plaisir.Je prends votre braquemart tendu dans la douceur soyeuse de ma bouche.

Je me surprends à prendre du plaisir à engloutir votre belle queue dans ma bouche, chaude, douce, humide, à enrouler ma langue autour de votre sexe érigé, à vous aspirer et à tirer une gloire toute particulière du plaisir que je vous donne, vous sentant à ma merci.J'agace votre gland d'une langue taquine et pointue, pour mieux l'abandonner et vous donner de grands coups de langue.
Je viens mordiller votre superbe bite sur toute sa longueur, tout en caressant vos bourses délicatement. Vous posez votre main sur la mienne et m'ordonnez de vous malaxer les couilles, de les presser, ce que je m'empresse de faire tout en engloutissant à nouveau votre queue dans ma bouche.
Je vous suce, je vous lime avec ma bouche, je vous aspire, vous baisez ma bouche, elle vient cogner le fond de ma gorge avec délice, et je vous avale jusqu'à la garde en vous branlant d'une main et en pressant vos couilles de l'autre.
Je prends maintenant mon propre rythme vous sentant sur la brèche, votre queue est luisante de salive et tout en vous suçant, je vous branle de mon autre main, vos soupirs confirment mes désirs.J'accélère.glissant et coulissant sur votre tige raide et dure.
Puis je l'abandonne pour venir prendre vos couilles dans ma bouche, d'abord les lécher comme une chienne puis les gober pour mieux les aspirer tandis que ma main garde le rythme sur votre magnifique pine.
Et il me prend l'envie de vous faire gicler dans ma bouche, de vous avaler, de vous déguster, de vous sucer jusqu'à la moelle avec gourmandise, goulûment.
Un ultime gémissement suivi d'un soubresaut vient me donner le goût de votre sperme dans ma bouche que j'avale sans perdre une goutte ravie et comblée.Ma langue vient récupérer la semence de votre belle queue et je nettoie votre tige avec ma langue, consciencieusement, délicieusement et mon regard complice vient croiser le vôtre et un lent sourire étire vos lèvres.
Je crois que je suis pardonnée.mais il n'est pas dit qu'il me reprenne l'envie de refaire une bêtise pour être à nouveau convoquée dans votre bureau.

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