Je m'appelle Marie, presque la quarantaine, deux enfants
et un mari, se prénommant Jean, adorable que je n'avais
jamais trompé jusqu'au début de l'été dernier et de surcroît
par son meilleur ami. On me dit jolie sans être un canon,
une brune d'1,65m avec des seins bonnets B et la nature
m'a donnée de gros tétons que je sais difficilement dissimulés
sous mes vêtements. Jean et moi aimons les dessous sexy,
à très sexy.
Nos amis, depuis longtemps, Sophie et Luc ont également
deux enfants du même âge que les nôtres. Sophie est une
belle femme au foyer avec des seins lourds et Luc un mec
bien, assez grand et de bonne corpulence.
Sophie a des doigts de fée et manipule très bien les aiguilles
à coudre ou à tricoter.
Lorsque j'ai des pantalons ou robes à raccourcir, c'est
à elle que je demande de le faire.
Venons en aux faits, un soir alors que l'on étaient ensemble,
je demandais à Sophie si je pouvais passer le lendemain
pour qu'elle puisse raccourcir le bord de ma petite robe
que j'avais achetée et oublier de prendre en venant chez
eux.. Elle ne répondait qu'elle est partie toute la journée
chez sa maman, quant à Luc, il réplique avec un petit air
vantard, qu'il sait également utiliser l'ustensile pour
faire le marquage des bords.
Luc ne me laisse pas indifférente, mais il ne s'est jamais
rien passer entre nous. Nous avons bien à quelques reprises
parler de sexe ensemble en rigolant et Sophie sait que je
porte souvent des dessous sexy.
La nuit suivante, j'ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil
et je me suis mise à fantasmer sur le fait que Luc était
en train d'arrondir le bord de ma robe.
Au matin, le temps était splendide, cette idée me trottait
encore toujours en tête, je me suis mise devant ma garde
robe et j'ai sorti de l'armoire un string et un soutien
gorge qui ne cache pas grand-chose, un t-shirt moulant au
travers duquel on pouvais bien distingués mes tétons et
une jupe courte comme d'habitude. J'ai emballée ma petite
robe dans un sac et en voiture je suis partie chez Luc mais
en me disant que si la voiture de Sophie était encore là,
je ne serai pas entré.
Au plus je m'approchais de la maison, au plus je sentais
ma chatte mouillé le tout petit tissu qui la cache. Heureusement
pour moi, la voiture était partie et c'était avec une petite
nervosité que j'ai sonnée à la porte.
Luc m'a ouvert, j'ai vu ses yeux river ma poitrine, lui
était en short et sur les épaules un singlet.
Je ne lui ai pas laissé le temps de dire quoique ce soit.
-puisque hier tu disais que tu savais également arrondir
un bord de robe, je suis là avec ma robe et montre-moi que
tu sais le faire !
Lui, qui habituellement avait le langage facile, a bafoué
quelques mots pas très cohérents en acceptant de le faire.
Je suis entrée dans la pièce ou les essayages ont toujours
lieu en lui disant que j'allais enfiler ma robe. Je me suis
présentée devant lui avec cette robe en lui demandant de
fermer la tirette dans le dos.
Sans dire un mot il a prit l'appareil, s'est mis à genoux
devant moi et l'a réglé en fonction de la hauteur que je
voulais. Voulant tracer avec cette poudre de craie, il constatait
que le petit récipient était vide. En prenant la recharge
de poudre, j'ai vu qu'une grosse bosse s'est faite dans
son short. Cette vision m'avait inondée et je sentais le
tissu entrer de plus en plus dans ma chatte.
Ayant fini le marquage, je lui ai demandé d'ouvrir la tirette
de ma robe et j'ai fais tomber ma robe à terre. Je me suis
retournée et le seul mot qu'il a pu dire c'est ho ! En dirigeant
ma main vers sa queue, je lui fais remarquer qu'il a une
grosse bosse dans son short.
En même temps nous avons fait un pas en avant et sauvagement
on s'est embrassé.
Je sentais son sexe s'écraser contre moi, ses mains caressent
mon corps. Il m'a repoussé un peu pour pouvoir pétrir mes
seins. Mes tétons étaient tellement durs qu'ils me faisaient
mal.
Il a tiré sur le tissu de mon soutien pour pouvoir les prendre
en pleines mains, il les faisait rouler entre ses doigts.
Sa bouche a remplacé une main, ses lèvres, sa langue et
ses dents se sont acharnées sur mes tétons et lorsque de
l'autre main il a touché ma chatte, j'ai joui pour la première
fois.
Je me suis laisser glisser car je voulais savoir ce qui
se cachait derrière ce short. D'abords au travers du tissu,
je me suis mise à le serrer entre les mains mais très vite
je devais découvrir ce que je considérais comme un monstre
car je ne pouvais en faire le tour avec la main.
La diamètre de sa queue m'a effrayé, c'est à peine que je
pouvais la mettre en bouche quant à sa longueur je fus surpris
car il dépassait à peine ma main. Bref je me retrouvais
avec une queue totalement à l'opposé de celle que j'avais
d'habitude car celle de mon Jean fait 20 cm et n'est pas
plus grosse que mon pouce.
Son gland était complètement décalotté et très large. Je
ne savais pas mettre plus que son gland dans la bouche.
Je l'ai sucé, léché, pompé et de l'autre main je lui caressais
ses grosses couilles bien remplies. Sa queue se fessait
de plus en plus grosse et dans un grand râle, il a vidé
son jus dans ma bouche en plusieurs jets très puissant.
Comme j'adore le goût du sperme j'étais ravie d'avoir eu
une telle dose. Son gland était devenu violacé, la queue
un peu ramollie mais son diamètre n'avait pas changé.
De ses mains il m'a redressée et on s'est encore embrassé.
Je sentais sa queue se raidir de plus en plus et je n'avais
plus qu'une seule envie s'est qu'il me laboure la chatte.
Il m'a fait asseoir sur la table et je me suis allongée,
j'ai placé mes genoux sur ma poitrine et ainsi il avait
une vue imprenable sur ma chatte gonflée de désire et toute
dégoulinante.
D'une langue experte il a fouillé ma grotte et mon clito
devenu très sensible. Cinq secondes après avoir introduit
un doigts dans la chatte qu'il avait déjà repéré mon point
G. Le frisson que cela m'a donné était tel que je n'ai pas
su faire autrement que de serrer sa tête violemment entre
mes cuisses. Mais mon étau ne l'a pas empêché à continuer
ses manouvres et ne sachant plus me retenir, j'ai tout lâché
et inhabituellement, j'ai crié comme je ne l'avais encore
jamais fait. Quant Luc s'est redressé, il avait la bouche
toute mouillée et sans me laisser le temps de récupérer,
il a mis mes jambes sur ses épaules et d'un coup a rentré
sa grosse queue dans ma chatte dilatée à l'extrême vu son
diamètre.
Tantôt il donnait des coups de reins rapides et puissants
et je sentais ses couilles taper mes fesses, tantôt il sortait
sa queue totalement et la frottait sur mes lèvres et mon
clito.
Et pour la troisième fois il m'a fait jouir. Ma chatte était
devenue tellement sensible que je le suppliais d'arrêter
mais il continuait. J'ai senti son sexe se gonflé dans ma
chatte et j'ai vu dans son regard qu'il allait décharger.
C'est dans un râle et tête en arrière qu'il a éjecté son
sperme hors de ma chatte. J'ai eu droit à un jet blanchâtre
jusqu'en dessous du menton et à terminé son éjaculation
en frottant sa queue sur ma chatte.
C'est ainsi que j'ai eu ma première aventure extraconjugale.
Au soir avec mon Jean j'ai recommencé et il m'a demandé
comment cela se fessait que ma chatte était tellement (encore)
mouillée et bien ouverte.
Je lui ai dit que j'avais eu envie cet après-midi et que
j'avais utilisé mon vibro..à suivre
Auteur
|