TITRE
: Gilbert
Catégorie : Histoire
érotique
Je n'ai jamais, sauf une fois, eu de vocation d'initiatrice. Mes fantasmes sont plus ceux d'une victime que ceux d'une femme qui prend l'initiative... Une fois pourtant, cela est arrivé et, une bonne action est souvent récompensée, je n'eus pas à le regretter.
Mais commençons par le début. J'avais 21 ans et j'étais en troisième et dernière année de mes études d'élève infirmière. Depuis trois ans à Paris, j'étais maintenant une jeune femme délurée, connue, du moins de mes copines les plus proches, pour aimer les hommes et avoir d'assez nombreuses aventures. Hélène était une de mes copines d'école. Je m'entendais très bien avec elle car je la trouvais très mûre, bien qu'elle soit un peu moins âgée que moi de quelques mois. Hélène était une fille très méritante car deux ans plus tôt, ses parents étaient tous deux décédés brutalement dans un accident
d'auto et elle s'était retrouvée seule. Enfin, pas tout à fait seule car elle avait un jeune frère, Gilbert...
Au décès des parents, Gilbert qui n'avait que 16 ans, devait être placé dans un foyer de la D.D.A.S.S., mais Hélène, bien qu'elle n'avait pas l'âge requis, puisqu'elle n'avait que 19 ans, avait bataillé pour en avoir la garde. Elle y était parvenue grâce à une tante qui avait accepté de prendre la responsabilité de la tutelle mais qui ne voulait pas le gamin ! Il y avait deux ans de cela...
Depuis quelque temps cependant, Hélène habituellement si calme et détendue, me paraissait nerveuse et facilement irritable. Elle n'habitait pas loin de l'hôpital où j'étais en stage et je décidai de passer la voir. Elle parut heureuse de me voir mais toujours aussi nerveuse. Je l'interrogeai, lui demandai ce qui n'allait pas, si elle avait des ennuis. Elle me dit d'abord que ce n'était rien, des petits problèmes sans gravité mais soudain elle craqua :
- C'est Gilbert. Je ne sais plus quoi faire ?
- Gilbert... Pourquoi ? Des ennuis ? Il a fait des conneries ? Il se drogue ?
- Oh non ! Heureusement. Rien de tout cela mais je ne sais pas quoi faire, c'est difficile à expliquer.
- Tu sais, il a 18 ans maintenant et il est dans une période critique.
- Crise d'adolescence ?
- Oui si tu veux mais lui ça lui est monté à la tête. Enfin, je devrais plutôt dire ailleurs. Tu... Tu
vois ?
J'éclatai de rire :
- Ah ! Ce n'est que cela... Mais ma chérie ce n'est pas bien grave. C'est normal ! C'est même le contraire qui devrait t'inquiéter. S'il s'intéresse aux filles, laisse le donc faire.
- J'ai pensé comme toi au début, mais ça prend des proportions ; je trouve des revues pornos partout dans la maison. Il cherche toutes les occasions de m'épier dans la salle de bain et même dans ma chambre. Je me suis même aperçue qu'il allait fouiller dans mes vêtements et dans ma lingerie lorsque je n'étais pas là.
- Mais c'est normal ! Tous les garçons font comme ça.
- Pas à ce point, je ne crois pas. Je ne sais plus quoi faire.
- Pas difficile, il faut qu'il tire sa gourme ! Dis-je en plaisantant. Hélène sourit.
- Oui mais... Avec qui ?Tu veux te dévouer ?
Aie... Je compris que j'avais dit un mot de trop. Je souris à mon tour, sans répondre à ce qu'elle venait de dire, mais Hélène, après un moment de silence, revint sur son idée.
- Après tout c'est vrai, pourquoi pas ? Toi tu as une certaine expérience.
Je ne savais pas trop comment prendre les choses. Dit d'une certaine façon, cela pouvait laisser supposer que pour elle j'étais une salope ! Ce qui était sûr en tout cas, c'est que je n'avais aucune envie de me taper le jeune Gilbert. D'abord parce que jamais jusque là je n'avais eu de rapport avec quelqu'un de plus jeune que moi. Ça ne me tentait pas, surtout si en plus il était puceau ! Mais surtout le dit Gilbert n'avait vraiment rien d'attirant. Très grand pour ses 18 ans, il était également costaud et même assez gros. Mais surtout, il était affligé d'une acné juvénile très importante qui lui envahissait totalement le visage.
J'avais beau, à 21 ans, avoir déjà pris conscience, à l'occasion de certaines aventures, du fait que ce n'était pas les hommes jeunes, beaux, séduisants, etc., qui étaient forcément les meilleurs coups, mais là vraiment cela faisait beaucoup ! La voix d'Hélène me sortit de mes pensées :
- Ça t'ennuie que je te demande ça ?
Elle avait repris son petit air fragile d'animal blessé. Je tombai dans le panneau :
- Oh Hélène, c'est quand même délicat ce que tu me demandes là...
- Oui je sais, et justement. Jamais je n'oserais parler de cela à quelqu'un d'autre, mais toi tu es mon amie. Je sais que ce que je te demande est quelque chose de vraiment très intime, mais tu es la seule à qui même j'ai osée en parler.
Je me sentais de plus en plus prisonnière de mes propres paroles.
- Oh Hélène... Tu exagères ! Dis-je dans une grimace qu'elle dut prendre pour un signe d'acceptation. Croyant que j'acceptais, elle se confondit soudain en remerciements et sans doute suis-je trop conne, je n'eus pas le courage de l'arrêter.
Je m'étais mise dans de beaux draps ! Hélène ne perdit pas de temps pour imaginer comment nous ferions mieux connaissance..Elle devait en effet s'absenter pour quelques jours et elle me demanda tout simplement d'héberger Gilbert chez moi durant cette période. À la tête que faisait celui-ci lorsqu'elle le lui annonça, cela ne devait pas précisément l'enchanter. Il n'était pas le seul !
Huit jours plus tard, Gilbert vint donc s'installer chez moi. Cela se passa mieux que prévu. Il ne faisait pas la gueule et se montrait même presque galant, il cherchait à me rendre service. Mais je ne savais pas trop comment m'y prendre, comment le séduire. Je m'étais rendu compte qu'il me regardait souvent avec une certaine convoitise, mais il ne ferait certainement pas le premier pas. C'était à moi de le faire. Pas facile pour une femme, surtout comme moi, mais il fallait me décider.
Ce jour là, je ressortis une minijupe que je n'avais plus
mise depuis l'âge de 18 ans, et je mis un corsage assez sexy,
en soie blanche. Gilbert n'y fut pas indifférent, je le sentais
excité, de plus en plus excité à mesure que la journée avançait.
Mais à 18 heures, nous n'avions encore guère progressé. J'eus
alors l'idée de prétexter mon anniversaire (c'était faux !)
et de lui proposer, à cette occasion d'ouvrir une bouteille
de Champagne. Il ne me restait plus qu'à faire semblant de
boire un peu plus que de raison. Ainsi, je pourrais toujours,
le lendemain, prétexter un moment d'égarement dû à l'alcool
s'il s'accrochait. Cela marcha à merveille, Gilbert était
charmant, câlin. Il plaisantait et lorsque je mis de la musique
douce pour que nous dansions, il ne fut pas long à commencer
à me caresser. Une de ses mains remonta dans mon dos et l'autre
descendit sur mes petites fesses bien serrées dans la minijupe
rouge. Je le laissai faire, même lorsque sa première main
se rapprocha de mes seins. À choisir, je préférais qu'il veuille
me peloter plutôt que m'embrasser. Comme de toute évidence
je me montrais consentante, il s'enhardit et sa main se glissa
sous mon corsage, me caressa le flanc puis vint effleurer
mon soutien-gorge de dentelle blanche. Ses doigts en caressèrent
délicatement les formes mais sans doute ce contact ne lui
plaisait-il guère car, très vite, sa main glissa jusque dans
mon dos s'attaquer à la fermeture du soutien-gorge. Cette
fois, je glissai quand même un:
- Gilbert, que fais-tu ?
Mais il n'écoutait même pas. Son autre main avait rejoint la première dans mon dos et elles n'étaient pas trop de deux pour venir à bout de l'attache. Il faut dire que j'avais, jusqu'à cette époque (c'est à partir de 21 ans qu'ils ont commencé à se dégrader...), des seins très fermes et très droits, presque pointus, d'une forme "en obus" comme l'on a l'habitude de dire. Je trouvais alors mes seins trop agressifs (comme quoi l'on est jamais contente !) et je choisissais presque toujours un soutien- gorge un peu plus petit qu'il n'aurait fallu, pour les écraser et les comprimer. Si bien que lorsque Gilbert réussit enfin à détacher la bride, mes seins pointèrent, se libérant soudain du soutien-gorge trop serré. En une seconde, le jeune garçon avait ramené ses deux mains sur le devant de ma poitrine et empoignait mes deux nichons à pleines mains.
- Hum... T'es vachement bien roulée ! Me glissa t-il à l'oreille. Putain ces nibards !
Ses mains les avaient empoignés et les pétrissaient avidement. En un instant, il m'ôta complètement mon corsage et je
me retrouvai torse nu dans ses bras. Il se serrait contre moi et je pouvais sentir son sexe raide contre mon ventre. Je ne m'attendais guère à un exploit de la part d'un jeune puceau, mais je me dis que peut-être la raideur de son membre suffirait à m'exciter suffisamment pour me faire jouir au moins une fois avant qu'il ne lâche tout...
Mais Gilbert, après ces premières initiatives, semblait marquer
le pas. Il me caressait, me pelotait les seins, mais c'était
à peu près tout, comme s'il n'osait pas aller plus loin. Il
allait me falloir prendre l'initiative. Ma main droite abandonna
donc le cou de Gilbert et glissa lentement jusque sur sa braguette,
où je sentis un bâton d'une raideur ! Plus tentée par ce spectacle
que par celui du visage boutonneux de Gilbert, je me dégageai
de ses bras et m'accroupis devant lui. Sans attendre, mes
mains détachèrent la ceinture de son pantalon. Celui-ci tomba
à terre, dévoilant un slip kangourou des plus rétro. Ce genre
de slip présente toujours une bosse plutôt avantageuse et
chez Gilbert, c'était même assez impressionnant. Sans attendre,
en tremblant un peu, réellement émue, mes doigts se glissèrent
dans l'élastique du slip et le baissèrent lentement. Hum !
Je me retrouvai devant un membre raide des plus honorables,
et même plus que ça ! Je ne sais pas pourquoi mais dans ma
tête, j'avais imaginé le membre de Gilbert comme une petite
queue de très jeune homme mais j'étais loin du compte. Certes,
ce n'était pas la plus grosse ni la plus longue queue qu'il
m'ait été donné de voir, mais un engin déjà impressionnant
que beaucoup d'hommes adultes auraient pu lui envier.
- Hum, tu as une belle queue, lui dis-je.
- Elle te plaît ?
- Hum oui... Elle est grosse.
- Ah oui... Et tu aimes ça ?
- Bien sûr. Toutes les femmes aiment ça.
Notre discussion l'excitait et je vis son membre se tendre
encore davantage. Je me dis dans ma tête que si je le laissais
me baiser immédiatement, excité comme il le paraissait, il
ne pourrait guère se retenir bien longtemps, aussi je me résolus
à le sucer, sachant que dans l'état où il était, j'allais
sans doute être obligée de tout prendre dans la bouche. J'entrepris
donc une fellation. D'abord timide, du bout des lèvres, de
la langue. Il se comportait bien et semblait apprécier. J'accentuai
donc la caresse de ma bouche et mes lèvres commencèrent à
aller et venir au long du membre raide. Gilbert résistait
toujours, le petit salaud cachait bien son jeu, et semblait
avoir de la ressource. Cela commençait à beaucoup m'exciter
et ma fellation était de plus en plus gourmande. Une de mes
mains avait empoigné la base du membre et l'autre caressait
ses grosses couilles mais à mon grand étonnement, il résistait
toujours. Et finalement, c'est moi qui lui dit :
- Viens dans la chambre.
Là, à croire que je commençais sérieusement à m'exciter, j'ai
retiré en un instant ma minijupe ainsi que ma culotte, et
me suis couchée les cuisses ouvertes, offerte, devant le jeune
homme. Sans hésiter, il m'a un moment promené son gros machin
très dur entre les cuisses et me l'a enfoncé d'un bon coup
de reins ! Et bien ! Le petit cochon m'étonnait et ce n'était
pas fini car après m'avoir enfilée comme un pro, il se mit
à me limer superbement, en souplesse, le rein léger et à un
rythme qui n'avait rien d'hésitant. Il me baisait avec une
efficacité que beaucoup d'hommes auraient pu lui envier. Moi,
j'avais beau me dire, que ce gros garçon boutonneux n'était
vraiment pas mon genre, son piston énergique me laissait toute
chose. Je sentais ses grosses couilles rebondir sur mes fesses
et insensiblement, il a fait "monter la mayonnaise"... Il
n'oubliait pas même de m'effleurer l'anus du bout d'un doigt
et de me caresser le clito d'un autre tout en guettant mes
réactions, le moment où j'allais prendre mon pied. Quand il
a senti que j'étais mûre, il m'a achevée de trois ou quatre
vigoureux coups de reins.
Je me suis sentie défoncée jusqu'au coeur. J'ai gémi, soupiré, glapi et j'ai joui comme une reine, à fond, tremblant des pieds à la tête puis me tendant comme un arc. Il m'a laissée prendre mon pied puis comme cela l'avait excité lui aussi, il se pencha à mon oreille et me dit :
- Je peux ? Je peux jouir dedans ? Je l'ai jamais fait !
Cet aveu me troubla et m'excita. Pour toute réponse mes bras
encerclèrent son torse pour qu'il reste collé à moi et mes
cuisses s'écartèrent encore davantage. Il poussa encore un
peu plus son sexe en moi, bien à fond, m'arrachant un nouveau
soupir et je sentis alors sa queue durcir et se tendre encore
davantage. Il se serrait contre moi, je me serrais contre
lui, nous ne bougions plus dans l'imminence de son plaisir,
comme si nous voulions tous deux en ressentir le moindre détail.
Et en effet, après cette soudaine raideur de son membre, je
sentis celui-ci se mettre à vibrer. Gilbert poussa alors un
râle et brusquement ce fut l'éclatement. Une... Deux... Trois...
Quatre giclées successives qui jaillirent au fond de mon vagin,
que je sentis réellement fuser au fond de moi, gicler contre
le col de mon utérus. Jamais je crois je n'avais aussi bien
ressenti, aussi intensément, l'éjaculation d'un homme. Ce
n'était pas seulement une question d'abondance, des types
qui sont en manque, qui n'ont pas tiré un coup depuis des
semaines et qui vous balancent du sperme à vous en inonder
le vagin et les draps, ça je connaissais. Mais un type qui
gicle comme ça, si violemment, c'est je crois, le propre de
le jeunesse.
Gilbert devait passer trois jours chez moi. Ce furent trois
jours à faire l'amour. Il me baisait quatre fois par jour.
Ah la jeunesse ! Puis il rentra chez lui. Il aurait bien aimé
continuer à me voir mais je préférai mettre un terme à notre
relation. Je me sentais devenir trop attachée à ce jeune homme,
je préférai en rester là...
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