« Grande société commerciale recherche d’urgence personne
dynamique pour gérer un centre de vacances pendant l’été
». C’est par cette annonce somme toute banale que mon aventure
a démarré.
Ce matin-là, attablé à la
terrasse d’un café, je lisais un journal de petites annonces
pour me trouver un job pour l’été qui allait arriver. Il
faut dire qu’à 24 ans, étudiant et sans grandes ressources
financières, c’était une étape obligée. Attirée par cette
annonce, je décidai de contacter la société en question.
Un entretien fut fixé pour la fin de la semaine.
Vêtu de mon plus beau (et
unique…) costume, je me présentai donc le jour venu dans
les bureaux de l’entreprise. Une secrétaire m’accueillit
et m’introduisit auprès du chef du personnel. Celui-ci parcourut
mon CV, écouta poliment mes motivations, qui n’avaient rien
de bien extraordinaires. Il m’expliqua ensuite en quoi consistait
le travail : je devrais m’occuper de la gestion d’un camping
loué par la société pour ses employés pendant les mois de
juillet et août. Cela me convenait tout à fait, mais une
question me vint à l’esprit :
- « Où se situe ce camping,
lui ai-je demandé ?
- Et bien pour tout vous dire,
c’est sur l’île de La Réunion que vous devrez vous rendre,
près de St Denis exactement. »
Je ne sais pas quelle a pu
être mon expression lorsque j’ai entendu cela, mais j’étais
follement heureux. Il me raccompagna à la sortie en me disant
qu’il me donnerait la réponse définitive en fin de semaine
suivante.
Ces moments d’attente me parurent
interminables, car j’étais très excité de pouvoir travailler,
donc gagner de l’argent, et en plus partir vers une destination
de rêve comme celle-ci.
Lorsque la réponse positive
arriva, je ne mis pas longtemps à me constituer une garde-robe
appropriée au lieu où j’allais me rendre.
Après un voyage sans encombres,
je pris mes fonctions au camping, où toute une équipe de
d’employés de la Réunion travaillait déjà. Mon rôle à moi
était de gérer la partie clientèle et financière, ce qui
me faisait un temps de travail tout à fait correct et allait
me laisser beaucoup de temps libre si je m’organisais bien.
Mon logement de fonction se trouvait à la sortie du camping.
Quelques jours s’écoulèrent ainsi. J’avais pris l’habitude,
le soir, vers 23h, d’aller faire le tour des allées du camping,
alors devenu calme.
Un soir, après mon travail,
alors qu’il faisait nuit, je prenais ma douche dans le bloc
sanitaire, lorsqu’une personne s’installa dans la cabine
d’à côté. Grâce aux sandales laissées à l’entrée que j’entrevoyais,
je pus conclure avec certitude qu’il s’agissait d’une femme.
Cela fit passer en moi un léger sentiment d’excitation de
savoir qu’une inconnue se douchait là, à quelques centimètres
de moi, nos deux corps étant seulement part une fine cloison.
Cette personne était encore sous la douche lorsque je quittai
les sanitaires pour entreprendre ma « ronde » du soir.
Au détour d’une allée, je
perçus un bruit qui m’attira. Doucement, je m’approchai
de la tente d’où cela semblait provenir. Tapi dans l’obscurité
de cette nuit sans lune, je jetai un œil à l’intérieur.
Quelle ne fut pas ma surprise ! Un couple, que j’avais inscrit
la veille sur le registre des arrivées, était en train de
faire l’amour. Ils avaient une trentaine d’années. Lui était
brun et plutôt costaud ; elle était blonde, très bronzée,
les cheveux longs. L’homme était en train de malaxer ses
seins de taille moyenne, ses fesses rebondies, tout en l’embrassant
fougueusement. Je me dis que ce n’était pas très prudent
de rester ici, car on pourrait me surprendre. Mais mon côté
voyeur était plus fort. La femme se redressa alors et entama
une divine fellation sur son compagnon agenouillé devant
elle. Sa langue parcourait ce sexe érigé fièrement, ses
lèvres enserraient le gland délicatement. Elle commença
des va-et-vient plus rapides et profonds, ce qui provoqua
chez lui des soupirs de plaisir. Pendant ce temps, la jolie
poupée se masturbait le clitoris vivement.
Ce spectacle et ces bruits
de succion m’avaient excité au plus haut point. Sous mon
short, mon sexe était complètement redressé. Ma se dirigea
vers lui, et oubliant où je me trouvais, je commençai à
me caresser à travers le tissu. La femme stoppa cette petite
gâterie buccale, et se mis à quatre pattes, présentant ses
fesses splendides à son homme. Celui-ci ne se fit pas prier
et la pénétra sans aucune difficulté. Cette-ci gémit de
bonheur. Tout à coup, alors que je contemplais et continuais
de me caresser, mon sang ne fit qu’un tour. Une main s’était
posée sur mon épaule !
Je n’osai pas me retourner,
tout honteux que j’étais. Mes yeux étaient baissés, et,
surpris, je reconnus les sandales de la douche d’à côté.
Levant les yeux, j’aperçus une jeune femme brune, métisse,
qui me souriait. Du doigt, elle me fit signe de me taire
et s’assis près de moi. Incroyable ! Elle voulait elle aussi
profiter du spectacle.
Elle était vêtue d’un simple
peignoir blanc, qui laissait deviner une poitrine opulente
et des jambes finement ciselées. Les va-et-vient de l’homme
continuaient à grande vitesse maintenant, et leurs gémissements
s’amplifiaient. Aussi excitée que moi et sans gêne aucune,
ma voisine commença à se caresser les seins. Puis sa main
descendit vers son bas-ventre, sous son peignoir. J’avais
moi-même repris ma masturbation de manière plus franche.
Quelle situation excitante c’était !
Mon sexe était maintenant
dans ma main. Ma compagne, les yeux mi-clos, soupirait doucement
sous ses caresses. Soudain, l’homme se retira, et présenta
sa bite luisante à sa femme, qui reprit une fellation rapide.
Le visage de l’homme se tordit de plaisir et, par jets saccadés,
il cracha toute sa semence sur le visage angélique et bronzé
situé devant lui. Elle semblait apprécier le contact de
ce doux nectar.
Au même instant, la métisse
ferma les yeux et jouit en silence de sa caresse clitoridienne.
Reprenant ses esprits, elle me prit par la main et m’entraîna
vers les sanitaires. Sans dire un mot, elle s’agenouilla
devant moi et engloutit mon sexe dans sa bouche. Ho bon
sang qu’elle suçait bien cette petite ! Son peignoir s’ouvrit,
laissant ballotter ses seins. Toujours en silence, elle
se tourna et me présenta son postérieur, qu’elle avait rebondi
et musclé comme seules les blacks en ont. Répondant à son
invitation équivoque, je la pénétrai rapidement. Mes coups
de rein provoquaient chez elle de petits cris étouffés.
Je n’allais pas tarder à jouir moi aussi. Sentant le paroxysme
venir, je me retirai, juste à temps pour éjaculer sur ses
fesses. Le liquide blanc et chaud se répandit sur sa peau
foncée, jusqu’à sa nuque. Après une petite minute, elle
se releva, rajusta son peignoir, me sourit, puis s’en alla
sans mot dire. Quelle soirée je venais de vivre !
Et dire que ce n’était que
le début de ce job d’été…
Le lendemain, en effet, je
recroisai la métisse dans le camping. Cette fois, elle vint
me dire bonjour, se présenta. Elle s’appelait Claire et
passait deux semaines ici, avec quelques amies. Elle me
demanda ensuite ce que je faisais ce soir là.
- « Je n’ai rien de prévu
lui répondis-je. Aurais-tu quelque chose à me proposer ?Hé
bien avec une de mes copines, nous voudrions sortir prendre
un verre puis aller en boîte de nuit ensuite.
- Pourquoi pas ? ! Je serai
libre à partir de 22h00. Vous n’avez qu’à passer frapper
à ma porte quand vous serez prêtes.
- Très bien. A ce soir alors.
»
-
Le soir venu, Claire se présenta
à ma porte. Elle était seule. Elle m’expliqua que son amie
était un peu souffrante et qu’elle ne viendrait finalement
pas.
- « Tant pis, lui dis-je.
Nous nous amuserons quand même.
- Evidemment, me répondit-elle
avec un clin d’œil. Mais je dois te prévenir que je t’emmène
dans une boîte un peu… « spéciale ». Tu t’en rendras compte
par toi-même tout à l’heure. »
Elle avait piqué ma curiosité,
et j’étais impatient de découvrir où elle me conduisait.
Nous marchions l’un à côté
de l’autre. Claire portait une petite robe mauve, avec des
boutons devant sur toute la longueur. Son décolleté était
très aguichant, mais pas vulgaire. Sous sa robe, on pouvait
deviner qu’elle portait un soutien-gorge, et probablement
un string vu l’absence de marque sur ses fesses. Elle était
tout à fait désirable.
Nous arrivâmes au bar prévu,
et commandâmes un verre au comptoir. La musique était sympa,
et de nombreuses personnes dansaient. La pièce était décorée
de rideaux rouges sur tous les côtés. Tout en discutant,
je regardais les gens sur la piste, mes yeux se portèrent
plus précisément sur une femme blonde plantureuse, qui dansait
avec deux hommes. Ceux-ci étaient très collés à elle, la
caressant d’une manière assez équivoque. Au bout de quelques
instants, elle les entraîna bras dessus bras dessous vers
un des rideaux rouges. Elle le tira, et à ma grande surprise,
ils passèrent derrière.
- « Je ne savais pas que
ces rideaux conduisaient quelque part, confiai-je à ma partenaire.
Sais-tu où cela mène ?
- Tu n’as qu’à aller voir
toi-même me répondit-elle avec un sourire jusqu’aux oreilles.
»
Guidé par ma curiosité, je
me dirigeai moi aussi vers ce rideau mystérieux, laissant
Claire au bar. Soulevant le tissu, j’aperçus les deux hommes
et la femme enlacés, sur un canapé noir, dans un petit salon
privé. La femme n’avait plus son chemisier, les hommes la
caressaient, parcourant son corps de haut en bas. La femme
sourit en me voyant mais sans me prêter attention plus que
ça. Rapidement mise à nu, elle s’agenouilla devant les hommes,
et sortit leurs sexes de leurs pantalons. La fellation qui
suivit était torride. J’étais très excité. M’en retournant,
je vis que Claire n’était plus au bar.
J’entrepris alors de faire
le tour de la pièce pour la retrouver. En passant, je tirai
chaque rideau rouge. Tous les salons étaient occupés par
des couples, des femmes entre elles, et tous ces gens semblaient
enragés de sexe… Soudain, tout surpris, je découvris derrière
un rideau Claire, qui embrassait sauvagement un homme noir.
A leurs côtés, deux autres femmes se déshabillaient mutuellement,
en se caressant. Claire me sourit et s’allongea sur le canapé.
Le black releva sa robe et lui retira son string jaune.
Se penchant vers elle, il commença à lécher son minou de
manière experte. Claire soupirait sous cette caresse buccale.
Les deux femmes, une rousse et une brune, avaient quant
à elles entrepris un 69 endiablé.
N’y tenant plus, je rejoignis
les protagonistes, et commençai à caresser les seins de
Claire. Je déboutonnai sa robe, son soutien-gorge jaune
aussi apparut, enserrant sa fière poitrine. Je fis apparaître
ses tétons, les roulant entre mes doigts, que ma bouche
remplaça bientôt. Notre première aventure avait été si rapide
que je voulais profiter plus cette fois. Le black sortit
sa queue, qu’il avait très large, et pénétra violemment
Claire, qui cria sur le coup, mais qui se mit très vite
à gémir de plaisir. Imitant cet homme, j’offris mon sexe
à la bouche de Claire, qui ne se fit pas prier pour le sucer.
D’autres hommes, noirs ou
blancs, entraient petit à petit dans ce salon pourtant exigu.
Certains se masturbaient, excités par le spectacle se déroulant
sous leurs yeux. C’était pour moi une grande première que
de me montrer ainsi. L’homme se retira, et je pris sa place.
Claire avait la chatte qui coulait abondamment. Elle avait
déjà jouis une fois, et cela s’amplifiait. Le black se mit
au-dessus de son ventre, et entama une branlette espagnole
entre ses seins. Deux autres hommes placèrent leur sexe
dans les mains de Claire. Sa bouche allait et venait, d’une
bite à l’autre. Le black tressaillit soudain, et son sexe
cracha son sperme blanc sur les seins de Claire. Les deux
autres vinrent aussi rapidement. Ils inondèrent le visage
de Claire, qui n’était plus que chienne enragée. Elle s’empara
prestement de deux autres sexes qui se présentaient, les
faisant à leur tour cracher leur foutre, alors que je la
fourrai toujours. Retirant ma bite de son vagin, je la présentai
à l’entrée de son anus. Elle était complètement offerte.
J’étais tellement lubrifié par sa mouille que ma queue rentra
sans trop de difficulté. Elle hurlai de bonheur.
Les hommes se succédaient
pour se vider sur elles. Au bout d’un moment, j’ai moi aussi
sentis que j’allais venir. Sortant mon sexe, je le présentai
face à elle, et après quelques secondes de branlette, j’éjaculai
dans sa bouche. Elle avala une grande giclée, le reste se
mêlant au sperme des autres hommes. Je ne saurais dire combien
d’hommes ont jouis sur elle ce soir là. Elle était toute
dégoulinante de ce liquide gluant, mais elle aimait ça.
La soirée se termina ainsi, mais revenant au camping, elle
promit de me faire connaître très prochainement son amie
alors malade, me disant que je ne serais pas déçu.
Mais cela est la suite de
l’histoire…
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