TITRE : Franc Tireur
Catégorie : 
Histoire érotique

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L’histoire se passe un mardi soir, à mon stand de tir. Dans notre club, il y avait une femme entre 35 et 40 ans qui me faisait beaucoup fantasmer. Elle avait des yeux bleus et s’habillait toujours avec un pantalon en cuir noir qui lui moulait bien les fesses. À chaque fois que je lui faisais la bise, une petite bosse se formait au niveau de mon pantalon. Le jeudi avant ce fameux mardi, lorsque les responsables du club s’enfermèrent dans leur bureau, je pris mon courage à deux mains et lui dit qu’elle me plaisait beaucoup et qu’elle me faisait de l’effet.

- Si vous voyez ce que je veux dire, lui dis-je.
- Et alors, me répondit-elle, je suis mariée, je vous signale que du coté du sexe, mon mari me comble très bien.

Je retournai à ma carabine, légèrement dégoûté. Et donc arriva, ce fameux mardi soir. Comme d’habitude, j’arrivais le premier au club, puis elle se pointa. Contrairement à son habitude, elle enleva sa veste pour faire apparaître un t-shirt ayant un petit décolleté qui faisait apparaître un peu son soutien-gorge. Quand je lui fis la bise, une bosse apparue puis mes yeux ne purent se détacher de ses seins pendant une minute. Après cela, elle me fit un clin d’oeil, puis elle alla dire bonjour aux responsables. Au bout d’une demi-heure, les responsables nous dirent qu’ils devaient aller en réunion pendant une heure environ et qu’ils nous laissaient le stand puisque nous n'étions que tous les deux.


Et c’est à ce moment-là que tout commença. J’allais poser ma carabine sur une table en attendant qu’elle finisse de tirer. Je lisais une revue sur la table quand elle arriva pour poser sa carabine. Elle la transportait d’une main et quand elle la posa, elle me toucha les fesses de l’autre main. Je fus surpris mais ne dit rien. Nous allâmes ensemble ramasser les cibles. Lorsqu’elle se pencha, son pantalon en cuir laissa apparaître son tanga. À cette vue, ma queue commença à durcir. On avait presque terminé de les ramasser quand elle se pencha de nouveau. Je ne m’y attendais pas et je butai sur ses fesses et donc ma bosse les toucha aussi. Marie (nom de la femme) émit un : "hum". Nous rentrâmes et je me dirigeai vers le bureau afin de replacer discrètement ma queue. Quand je ressortis, elle était assis à la table en train de boire et de remettre son t-shirt. Je repris ma carabine et me remit à tirer. Là, elle se plaça sur le pas de tir à côté de moi, de façon à ce que je l’aie en face des yeux. Elle posa ses coudes où l’on pose les plombs et elle prit une position comme si elle m’offrait son cul. Elle commença à discuter.

- Alors, aimes-tu le sexe ?
- Oui , lui dis-je
- Et t’es encore puceau ?
- Hélas oui et j’aimerais ne plus l’être, et que cela soit une femme expérimentée, de préférence qui me dépucèle.

Elle me demanda si je voulais que ce soit elle qui le fasse. Je lui dis pourquoi pas. Elle me répondis qu’elle ne s’était jamais faite un jeune et qui plus un puceau et qu’elle voudrait bien tenter l’expérience. Elle s’assit sur le pas de tir après avoir enlevé son pantalon en cuir et souleva son t-shirt pour faire apparaître ses seins. Elle me dit d’approcher. Je me mis en face d’elle, elle posa sa main sur ma bosse.

- Hum, elle doit être à point.

Elle me déboutonna et sortit ma queue de mon slip et commença à me masturber. Elle me fit approcher, pris ma tête avec sa main de libre et me plaqua la tête sur ses seins. Je lui léchai les seins. Ses tétons se durcirent au fur et à mesure qu’elle me masturbait et que je lui léchais les seins. Après elle fit descendre ma tête au niveau de sa chatte.

- Allez, montre-moi ce dont tu est capable, me dit-elle.

Je lui mis des coups de langue, lui mordillant le clitoris. À chaque coup de langue, elle émettait de petits gémissements. Au bout de dix minutes, elle ruisselait comme une fontaine.

- Pas mal pour un débutant, même mon mari ne m’a jamais goûté aussi bien que cela.
- Maintenant, je vais te montrer ce dont moi je suis capable.

Elle me repoussa, descendit de son socle et elle se mit à genoux devant moi. Ma queue était toujours bien dressée et dure. Elle s’approcha, prit ma bite d’une main, la lécha et la mit toute entière dans sa bouche. Elle commença ses mouvements de va-et-vient et de l’autre main me malaxa les couilles. Après 5 minutes, je lui demandai si je pouvais la pénétrer. Elle me dit pourquoi pas... Comme cela, elle pourrais juger de mes possibilités. Je la retournai, lui écartai les jambes et commençai par lui lécher le cul et la chatte. Ensuite je lui fourrai deux doigts dans la chatte afin de bien la lubrifier puis je lui enfonçai ma queue. Au moment de la pénétration, je lui touchai le fond du con et elle poussa un gémissement. Puis je commençai mon va-et-vient. J’alternai avec des mouvements rapides et lents. Par ses gémissements, je devinai qu’elle adorait cela.
Elle me demanda ensuite de la sodomiser car son mari n’avait jamais voulu lui faire. Pour préparer son petit trou, j'y fourrai deux doigts puis je lui mis des petits coups de gland. Puis je la sodomisai.

- Oh oui, que c’est bon, enfonce bien ta bite au fond , je veux la sentir, me dit-elle.

Plus elle gémissait, plus j’accélérais le mouvement. Après un bon quart d’heure, sentant la jouissance venir, je sortis ma queue. Elle se retourna, s’agenouilla et me masturba. Sentant que j’allais éjaculer, elle arrêta son mouvement.

- Oh oui, donne-moi ton foutre, j’ai envie de le sentir au fond de ma bouche, me dit-elle.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je lui déversai mon foutre sur la tête et dans la bouche. Elle passa sa langue sur ses lèvres pour bien racler mon foutre puis nettoya ma bite pour terminer. Ensuite, nous nous dépêchâmes de nous rhabiller car on entendait les responsables revenir.

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