Après que Marc, mon chef d'agence et amant m'ait
imposé, sans que je le regrette d'ailleurs (bien au contraire),
la sodomie, il utilisa assez souvent cette voie…en plus
des autres…J'y avais droit presque à chaque rencontre et
je dois l'avouer à ma grande satisfaction tous les lundis,
jour de fermeture de l'agence, et même parfois dans celle-ci,
les jours ou c'était mon tour d'en assurer la fermeture.
Il me sodomisa même une fois au beau milieu de l'agence,
toutes lumières éteintes. Si quelqu'un avait eu la mauvaise
(ou la bonne) idée de s'approcher de la vitre à ce moment
là, il aurait eu la même vision que me renvoyait la glace
: celle d'une employée, uniquement vêtue de ses bas en train
de recevoir un hommage postérieur conséquent…De tout cela,
j'avais honte bien sûr…honte qu'il me demande parfois de
ne pas porter de culotte au bureau (ce à quoi je m'accoutumais),
honte qu'il me demande de m'habiller plus sexy et de me
maquiller plus que la normale (ce que j'avais accepté),
honte qu'il me demande de venir chez lui nue sous un manteau
(finalement, je m'y étais faite), honte qu'il me prenne
et me reprenne dans toutes les pièces (y compris les WC)
de mon pavillon ou de son appartement et ce, par toutes
les issues (que je lui offrais avec jubilation), honte encore
des mots crus qu'il employait à desseins (et qui m'électrisaient
étonnamment) ou qu'il me forçait (pas trop d'ailleurs) à
proférer. Mais j'avais surtout honte de deux choses : la
première était de tromper mon mari, toujours aussi gentils
et qui ne s'apercevait de rien, malgré mon changement de
style et à qui j'avais même offert mes reins le soir de
sa fête et l'autre d'avoir un amant plus jeune que moi et
qui m'asservissait, je le sentais bien…. Mais toute cette
honte était contre-balancée par un plaisir trouble mêlé
d'une excitation infinie qui me faisait perdre toute retenue,
et qui me menait tout droit vers un monde de luxure que
je n'essayais même pas de fuir. J'avais l'impression d'être
tombée sous sa coupe et j'arrivais même à oublier les quelques
années qui nous séparaient…surtout lorsqu'il me disait qu'un
de ses fantasmes les plus cher était de dévergonder une
femme mure, un peu coincé pour en faire une…une salope…et
je crois qu'il était en train de bien y réussir….Il devenait
aussi un peu plus exigeant, sur mes tenues par exemple,
il me demanda de porter des jupes plus courtes ou plus fendues,
des décolletées plus larges, des chemisiers plus ouverts,
parfois même de ne pas porter de soutien gorge, ce qui avec
ma poitrine ne passait bien évidemment pas inaperçue…Plusieurs
fois également il avait eu des propos que j'avais jugé singuliers.
Lorsque je me rendais chez lui, il avait l'habitude pendant
(avant et après également) nos ébats de mettre des films
pornographiques. Une fois, après m'avoir fait superbement
jouir, nous visionnions une de ses casettes et il me dit
:
"J'aimerais bien te filmer
entrain de baiser"
Comme je lui faisais remarquer
qu'il me paraissait difficile de filmer et de faire l'amour
en même temps, il répondit sans ambiguïtés :
"Tu n'as pas compris, j'aimerais
te filmer entrain de baiser avec quelqu'un d'autre…"
Surprise, je pris le parti
d'en rire et il n'insista qu'en modifiant sa proposition
ainsi :
"Et si quelqu'un d'autre
nous filmait tous les deux, tu pourrais te voir pendant
que tu me suces ou te contempler entrain de jouir quand
tu te fais enfiler par-devant ou par derrière, qu'en penses-tu"
Sans refuser radicalement
je lui dis que j'y penserai…Avoir à faire cela devant un
tiers…cela ne me paraissait pas évident…Une autre fois,
voyant deux femmes ensembles, il me demanda si j'avais déjà
fait l'amour avec une autre femme… assurément non ! Même
si lorsque j'étais étudiante, certaine de mes copines étaient
bi et m'avaient fait des propositions. Là, par contre, il
avait un peu insisté en me disant "qu'il aimerait bien me
voir gouiner". Là encore, je n'avais pas opposé un refus
formel…après tout, pourquoi pas…Bref, il prenait un plaisir
pervers à me pousser dans mes derniers retranchements, j'en
étais consciente ainsi que du fait, qu'enfin de compte,
un jour ou l'autre, je finirais par céder à ces sollicitations
dépravées.
Un jour, il me dit :
"Ecoutes, j'en ai assez,
je ne t'ai pas assez à moi, je te voudrais une nuit entière
avec moi…que nous fassions l'amour, que nous nous endormions
dans les bras l'un de l'autre, qu'au milieu de la nuit,
je te réveille pour recommencer et qu'au matin je te saute
encore, j'en ai trop envie… "
Je l'assurai que moi aussi
je raffolerai beaucoup de cela, mais que passer la nuit
en dehors de chez moi était impossible. Il me dit alors
:
"Ecoutes, j'ai réfléchi,
voilà ce nous pourrions faire : Fait croire à ton mari que
tu fais un stage de deux jours à Paris mardi et mercredi
prochain. Le premier nous travaillons, nous passons la soirée
et la nuit ensemble, puis, je t'accorde une journée le lendemain
pour que nous restions ensemble, qu'en penses-tu, tu es
partante ?"
Oh que oui j'étais partante
! Je m'imaginais déjà toute la nuit dans ses bras…Hummm
!
Annoncer cela à mon mari,
ne fut pas trop difficile, surtout qu'il ne posa pas trop
de questions embarrassantes sur le programme de ce stage
imaginaire ni sur les horaires. Le jour venu après avoir
embrassé mon mari qui plaisanta en me demandant "d'être
sage", (s'il avait su)…, je pris non, le chemin de la gare,
mais celui du domicile de Marc ou je laissa ma voiture en
stationnement et me rendis à l'agence par les transports
en commun. La journée fut interminable et le regard les
clients sur mon buste n'avait rien arrangé…Enfin le soir
! Je fermais vite l'agence, et me jetais dans les bras de
Marc qui m'embrassa voracement.
"Enfin tu es à moi…"
"Oui toute à toi" promis-je
Nous ne perdîmes pas de temps
pour rentrer à son domicile, au passage je récupérais mes
affaires dans ma voiture et vite, je fus nue dans son appartement.
Il se déshabilla à son tour et nous jouîmes dans un merveilleux
soixante-neuf qui nous laissa la bouche pleine de nos sécrétions
que nous échangeâmes dans de longs baisers passionnés.
Il me dit ensuite :
"Va te faire belle, nous
sortons, j'ai réservé au restaurant et ce soir, c'est moi
qui t'habille"
"Au restaurant ? Tu n'as
pas peur que je sois reconnue par quelqu'un ? Et puis, tu
m'habilles ? Il me semble de d'habitude tu fais le contraire
non ?" le provoquais-je
"Ne soit pas inquiète, je
suis sûr que tu n'y connais personne, et pour reste pas
d'inquiétude non plus, tous tes orifices vont servir ce
soir…"
Chic…chic, chic, chic ! J'allais
me faire outrageusement sauter…et sans réfléchir, j'ajoutais
:
"Je suis ta chose…"
Douche, coiffure, maquillage
soutenu de soirée…je soignais particulièrement le contour
de ma bouche espérant lui donner une fois encore l'envie
d'enfourner sa pine entre mes lèvres et de m'inonder le
gosier. J'allais dans sa chambre voir la tenue qu'il m'avait
choisie, qui serait à coup sûr sexy… pourvu qu'elle ne le
soit pas trop tout de même…M'attendais sur le lit : un porte-jarretelles
noir, des bas fumés, un string minimum noir transparent,
décidément le noir était la couleur de ce soir, car il y
avait également une jupe de même couleur qui me sembla assez
courte (je l'aurais parié) et un très beau chemisier, noir
toujours, de dentelles très ajourées. Je passais les sous-vêtements,
tiens, pas de soutien gorge, cela ne faisait rien j'allais
mettre le mien. Immédiatement je regrettais le choix que
j'avais fait. Si sous des vêtements "normaux" mon soutien
gorge à balconnets me faisait pigeonner les seins agressivement,
l'effet sous la dentelle était assez étonnant, sans compter
qu'il me les dévoilait jusqu'aux aréoles…Pour la jupe, je
ne m'étais pas trompée, c'était une jupe portefeuille qui
s'arrêtait à environ dix centimètres au-dessus du genou
et qui, une fois assise, devait bien découvrir la cuisse
jusqu'à la limite du bas et peut être plus haut… j'en frissonnais…En
me regardant, je ne me trouvais pas mal… oui, pas mal, sexy,
oui…salope, sûrement…vulgaire, non ! J'allais rejoindre
Marc au salon, qui se leva à mon approche les yeux brillants.
"Tu es superbe, oui vraiment…magnifique,
nous allons passer une soirée d'enfer" dit-il en me tendant
une veste trois-quarts en (imitation) fourrure blanche et
gris clairs qui m'enveloppa.
Un peu plus longue que ma
jupe, elle découvrait le bas de ma cuisse, je pouvais passer
pour nue sous cette veste, sans compter que le contraste
de la fourrure avec mes cheveux et mes bas faisait bien
ressortir cet aspect des choses..
Ascenseur, voiture, trajet,
restaurant qui m'était inconnu, ouf ! Nous entrâmes, table
réservée, ambiance intime, beaucoup de jolies femmes ou
du moins assez sexy. Tiens, pas d'enfants, assez peu de
personnes seules. Je regardais autour de moi…personne de
connu…je respirais…Pendant l'apéritif Marc me dit :
"Tu es vraiment splendide,
mais dis-moi, je ne t'avais pas prévu de soutien gorge pour
ce soir ?"
"J'ai pensé que tu avais
oublié…alors j'ai mis celui que je portais aujourd'hui…"
répondis-je un peu mal assurée, prise d'une inquiétude subite...
"Là n'est pas la question,
je ne souhaitais pas que tu en mettes du tout"
"Avec la dentelle ce n'est
guère possible, on verrait tout"
"Justement, c'est bien ce
que je voulais, que tu fasses voir tes gros lolos, à moi
d'abord, ainsi qu'à tout le monde…Va l'enlever maintenant,
que tout le monde en profite"
Douche glacée, comme j'hésitais,
il reprit :
"C'est bien toi qui as dit
que tu étais ma chose ? Alors donc obéis, ne te fais pas
prier, tu va avoir les nibards à l'air ça va m'exciter…et
toi aussi…"
Un peu éperdue, je me levais
comme un automate et me dirigeais vers les toilettes ou
je m'enfermais pour "alléger" ma tenue. L'allé avec la salle
à traverser sous les regards que je provoquais, cela avait
été à peu près mais le retour…avec ma poitrine nue sous
la dentelle et le balancement de mes seins…c'était une autre
histoire, de plus il aurait été ridicule que je croise les
bras…Enfin ma table, je tentais de m'y asseoir discrètement…raté…mes
seins oscillèrent de plus belle attirant les regards de
Marc, des serveurs, ravis et de quelques personnes aux tables
proches. Sous ces regards, je sentis mes seins se durcir
et les mamelons s'ériger, il fallait que je me calme. Un
serveur pris la commande. Marc s'adressa à moi :
"Tu mouille ? Je suis sûr
que oui ! Ce n'est pas fini, comme tu t'es fait prier, tu
à un gage …A chaque plat du dégrafe un bouton…"
Je fis vite le calcul, à
la fin du repas mon chemisier serait ouvert sous les seins…Me
devinant Marc reprit :
"Je vois que tu as fait tes
comptes…Tu vas voir, laisse toi faire, tu seras encore plus
excitée ma chère Florence de les dénuder devant tout le
monde, et pour te récompenser, je t'enculerais jusqu'à ce
que tu hurle de plaisir…Allez, premier bouton… "
Docilement, soumise par avance
j'obéis…(un était déjà ouvert, il y en eut deux)
Serveurs, entrée, délicieuse…serveur,
changement de couverts, regard en biais…Aie, aie, aie, le
plat principal avançait, regard amusé de Marc…serveurs,
service…Sans mot dire, le cœur battant le défis le troisième
bouton, libérant intégralement le sillon entre mes rondeurs…Regard
admiratif de Marc…qui me dit :
"Tu es parfaite, tu es très
belle, j'ai très envie de te les lécher…pour le dessert,
veux-tu me faire plaisir ?"
"Oui, je veux bien…" répondis-je
d'une petite voix, et bêtement, j'ajoutais, le regrettant
aussitôt :
"Je suis là pour cela"
"Excellent ! Alors quand
tu auras fini ton plat, retire ton string !"
J'eus vraiment du mal à avaler
ma salive tellement je ne m'attendais pas à une telle demande.
Je crus même avoir mal compris et je reformulais le propos.
"Tu veux que j'aille ôter
mon string maintenant ?"
"Non, non ne fais pas semblant
d'avoir mal compris, tu as très bien saisi, Florence, je
veux que tu retire ton string ici et maintenant…".
Je lui jetais un regard éperdu,
et ne rencontrais en échange dans ses yeux qu'une lueur
teintée d'ironie lubrique. Cela n'allait pas être évident.
Mentalement, je fis le parcours…je compris, maintenant,
le pourquoi de la jupe portefeuille…j'étais convaincue qu'il
avait pensé à tout…le salaud…. Le plus subrepticement possible,
j'écartais les pans de ma jupe…zut ! Ce n'était pas suffisant,
il me fallait aussi la retrousser un peu…Je passais rapidement
ma main droite vers mon aine gauche, réussis à accrocher
le cordon du string…Tirant dessus et me soulevant légèrement
d'un coté, je réussis à dégager une fesse. Coup d'œil circulaire…Ouf
! Personne ne semblait n'avoir rien remarqué. Opération
inverse pour l'autre coté. Moment délicat…j'avais la jupe
un peu retroussée, les pans écarté…et le string en haut
des cuisses. Du coin de l'œil, je vis le garçon venir débarrasser,
je rabattis prestement ma jupe.
Comprenant bien ou j'en étais
Marc me susurra cyniquement :
"Il va nous amener, le dessert,
il ne faut pas que tes activités te fassent oublier ton
chemisier…Commences donc par cela !"
Quel vicieux !…Mais je dois
reconnaître que je commençais à adorer cela…considérant
toutes ses exigences comme un prélude à tout ce qu'il comptait
me faire…Hummmm !
Je défis un quatrième bouton…Le
chemisier était désormais déboutonné jusque sous ma poitrine,
et mes seins hyper gonflés étaient dégagés quasiment jusqu'aux
pointes. Amenant les assiettes, le serveur ne se priva pas
pour les guigner ouvertement…Avant qu'il n'amène le dessert,
j'eus juste le temps de me soulever pour faire glisser mon
string vers mes genoux, en prenant soin de ne pas accrocher
une jarretelle, puis vers mes chevilles, je le ramassais.
Bien inévitablement, les mouvements brusques que j'avais
fait firent osciller mes seins sous le regard amusé et égrillard
de Marc qui me demanda, désignant mon poing fermé :
"Donne !"
J'obéis, il pris, sans trop
de précaution, le flaira et…le posa sur la table en disant
:
"A l'odeur, je me rends compte
que tu es à point…"
Le garçon apporta le dessert
et ses yeux écarquillés et narquois allèrent de mon string
noir posé en évidence sur la nappe blanche à mon buste découvert…et
prit bien son temps pour le lorgner…et, il ne fut pas le
seul car Marc, me disant qu'il avait bien intercepté le
manège du serveur, me précisa qu'il avait hâte que je le
branle entre mes seins…Moi aussi…et je fit part à Marc de
mon désir de rentrer le plus vite possible et de mon désir
tout court…
Il se produisit alors une
chose, qui m'étonna…Le serveur revint et s'adressant à Marc
lui dit en désignant un e table proche :
"Le Monsieur, là, souhaiterait
vous offrir le champagne"
"Oui, c'est fort aimable,
dites-lui que nous acceptons" répondit-il à mon grand étonnement
"En cas, désirez-vous le
prendre à table ou dans un salon" proposa-t-il en me regardant
d'un air bizarre.
"Dans un salon, se sera parfait
!"
"Si vous voulez bien me suive"
Nous nous levâmes, et me
prenant par la taille Marc me dit devant mon air interrogateur
et déçu :
"Ne te tracasse pas, nous
buvons une coupe et nous partons…"
Salon : fauteuils confortables,
sofa, éclairage tamisé, petite table où trônait un saut
à champagne et sa bouteille, en résumé intime. Nous prîmes
place sur le sofa, l'inconnu arriva, nous nous levâmes.
Présentations : Pierre-enchanté-Marc-moi-de-même-je-vous-présente-Florence-ravi…Pierre
: pas mal de sa personne mais bon…j'avais hâte de boire
cette coupe et me retrouver soumise aux désirs de mon amant…S'asseyant
au bout du sofa, Pierre déboucha la bouteille, servit et
proposa :
"Si nous portions un toast
? Je propose que nous buvions à la beauté de Florence "
Confuse ! Je me sentis rougir
"Bonne idée " répliqua Marc
"Alors, a votre beauté Florence
" repris Pierre avec un regard à la fois enveloppant et
(plutôt) libertin. J'aurais parié que je lui faisais de
l'effet…S'adressant à Marc, mais convoitant ouvertement
l'échancrure impudique de mon chemisier, il poursuivit :
"Vous avez bien fait de lui
faire retirer son soutien gorge, Florence à des seins magnifiques…"
Estomaquée, je dus rester
bouche bée, et encore plus d'entendre la réponse de Marc,
qui au lieu de le remettre en place lui dit
"Effectivement, ils sont
très beaux…et très lourd, je vous en prie, voyez vous-même"
Et joignant le geste à la
parole, il avait glissé une main sous mon sein droit. Pierre
avant même que je puisse articuler un mot, s'était empressé
de faire la même chose au gauche et je me retrouvais assise
entre les deux hommes qui soupesait chacun un de mes seins.
Pierre complimenta…
"Ah oui ! très bien, ils
sont décidément remarquables"
"C'est très vrai, et de plus
ils sont très doux et très sensible, testez vous-même" continua
Marc en écartant carrément un pan de mon chemisier pour
mieux me caresser mon sein maintenant dénudé. Évidemment,
l'autre ne se fit pas prier…Il repoussa la fine dentelle
pour s'emparer de mon sein gauche…Que vous dire sur l'état
dans lequel je me trouvais…dans ce salon un miroir me réfléchissait
l'image d'une femme entrain de se faire peloter les seins
par deux hommes entreprenant, ça y était…mon ventre était
en fusion…surtout que Pierre, à l'égal de Marc savaient
y faire…Mes seins étaient palpés, soupesés, caressés, pendant
que l'un de deux hommes en pressait un, l'autre agaçait
du pousse le mamelon durci du second, puis ils changeaient
d'activité et pendant que l'un était pétris par une main
impérieuse, la pointe de l'autre était étirée par des doigts
qui la faisait rouler entre pouce et index puis pincée subtilement.
Je commençais à perdre un peu pied…forcément…lorsque j'entendis
comme dans un rêve Marc dire :
"Au dessert, je lui ai également
demandé de retirer son string, vous pouvez vérifier par
vous-même, d'ailleurs, elle n'attend que cela, par vrai
Florence ?"
Je m'entendis répondre un
"oui" étranglé…
"Ah ! c'était cela…Il m'avait
bien semblé…Vous auriez dû ensuite la faire asseoir directement
sur ses fesses nues…tout le monde en aurait profité…" commenta
Pierre et il posa sa main sur le haut de mon genou pour
entamer une caressante progression. Lorsqu'elle atteignit
la mi-cuisse que la jupe découvrait Marc m'enlaça et me
demanda :
"Florence chérie, facilite-lui
la tâche…Ouvres-toi …Allez ! En grand !…"
Soumise, j'écartais lentement
les jambes permettant à la main de remonter à l'intérieur
de ma cuisse. Il caressa quelques instant la peau nue au-dessus
de mes bas et je sentis ses doigts entrer en contact avec
ma toison intime…un doigt insistant glissa le long de ma
fente trempée et sans la moindre hésitation glissa merveilleusement
dans mon vagin. Pendant ce temps Marc, tout en malaxant
mes nichons devenus incroyablement durs, m'embrassait goulûment,
tendis que pendant ce temps Pierre avait introduit deux
doigts dans la chatte, et me pelotant les cuisses de son
autre main. Je me laissais aller offrant à l'un mes seins,
mes lèvres qu'il écrasait, ma langue qu'il suçait, ma bouche
qu'il emplissait de sa langue et à l'autre mes cuisses ouvertes
et mon sexe avide…j'étais à eux…
Marc l'avait bien comprit
et dit à Pierre :
"Vas-y prend-la !"
Il ne se le fit pas dire
deux fois, il se leva, ouvrit son pantalon. J'eus le temps
d'apercevoir une belle tige un peu moins longue que celle
de Marc (pas sûr…) mais plus large. Il s'agenouilla m'écarta
les jambes, s'avança entre elles, sa verge se positionna
à l'entrée de mon doux étui et…m'embrocha…à fond…Que se
fut bon ! En même temps qu'il me pistonnait, il m'embrassa,
lui aussi avec avidité, je fermais les yeux… Je senti Marc
bouger à coté de moi et quand je ré-ouvrit les yeux, ce
fut pour me trouver face à face avec …sa queue tendue, pointée
vers ma bouche. Oh mon dieu ! Je comprenais fort bien ce
qu'il souhaitait…Comment me défiler maintenant…d'ailleurs,
je n'en avais aucune envie…Je m'en saisis et l'embouchais
profondément. Quelle horreur ! Non seulement, je trompais
outrageusement mon mari, mais ce soir, perdant tout repères,
je m'offrais sans pudeur (je vous prie de me croire) à un
inconnu et en même temps, il fallais que je pratique une
fellation à mon amant…quelle déchéance, mais quelle excitation…M'occuper
de deux hommes en même temps, je n'aurais jamais cru que
cela puisse m'arriver, je sentis mes dernière remparts de
mesure d'effondrer, je me déchaînais…l'orgasme fut prodigieux…je
crus que mon cœur allait lâcher…Ils eurent l'air satisfait
car la preuve de leur plaisir me rempli le chatte et la
bouche lorsqu'ils se libérèrent en râlant. J'étais pantelante,
je m'assis, ils m'offrirent à boire, nous triquâmes en nous
embrassant et Marc prit la parole :
"Pierre va venir boire un
verre à la maison, je suis absolument certain qu'il a très
envie de te voir nue, je sens que nous allons bien nous
amuser avec toi, refaits-toi une beauté que nous partions…"
Alors là non ! Prise (si
l'on peut dire) au dépourvu passe encore, mais être le jouet
de ses deux dépravés…Il n'en était pas question? J'allais
refuser…C'est cela j'allais…dire… Oui. Oui, oui…oui, tout
ce qu'ils voulaient j'avais tellement joui avec leur deux
pines que, comme à l'accoutumée, j'allais me laisser faire…avec
bonheur…
Le plus rapidement possible,
je me recoiffais et me remaquillais (j'en avais bien besoin).
Ils m'interdirent de refermer mon chemisier (qu'ils avaient,
de plus, déboutonné davantage pour mieux s'activer sur mes
globes) et c'est donc dépoitraillée que je traversais la
salle du restaurant…sous les regards intéressés des autres
clients…que trop honteuse, je tentais d'éviter…Il faudrait
quand même que je pense à demander à Pierre quel était ce
genre d'établissement…car du coin de l'œil, il me sembla
que quelques tenues s'étaient allégées (comme moi tout à
l'heure) et que quelques mains semblaient s'égarer…pour
le moins...
Nous regagnâmes la voiture
de Marc ou je pris place à l'arrière…en compagnie de Pierre,
qui empressé me fit asseoir selon ses désirs, c'est à dire
après avoir relevé complètement ma jupe. Ses mains, pendant
le trajet, fourragèrent méticuleusement dans mon entre-jambe
tant et si bien que Pierre m'arracha un orgasme avant que
nous arrivions…Comme Marc l'avait pronostiqué, moi aussi
je me dis que la soirée allait être chaude…et je songeais
en moi même que je n'allais pas le regretter (comme j'avais
raison…).
Dans l'ascenseur, quatre
mains commencèrent à me déshabiller et c'est presque dévêtue
que je rentrais dans l'appartement de Marc. Tout en m'étreignant,
ils achevèrent leur travail, ne me laissant que mon porte-jarretelles
et mes bas.
"Pendant que je vais chercher
à boire, fais une pipe à Pierre" ordonna Marc
"Bonne idée" répliqua ce
dernier en se mettant nu en un tour de main. Il était pas
mal bâti également et sa verge n'avait que peu de chose
à envier à celle de Marc, du moins au point de vue longueur,
car comme je l'avais bien vu et sentit précédemment elle
s'avérait plus large et allait bien me remplir la bouche.
Il s'assit confortablement et comme une invite muette, écarta
les cuisses sur une semi-érection me laissant l'initiative.
Faisant balancer sensuellement mes seins, je m'approchais,
m'agenouillais et pris son membre entre mes mains pour lui
redonner de la vigueur, ce qui ne prit vraiment que peu
de temps : Il était prêt…Lentement j'abaissais mon visage
et commençais à lui lécher voluptueusement le gland, puis
le fixant droit dans les yeux, très très lentement je le
fit pénétrer dans ma bouche gourmande pour entamer une succion
la plus exquise possible. Derrière moi j'entendis Marc,
nu également :
"Appliques-toi hein ! fais
cela bien"
Pierre le rassura – j'étais
irréprochable. Je sentis Marc se mettre derrière moi, me
faire écarter les jambes, me faire cambrer un peu et ouvrir
ma fente, il allait me prendre…Il me l'annonça :
"Je vais te mettre, tu n'as
rien contre…j'ai l'impression que tu aimes ça deux hommes
pour s'occuper de toi, tu vois que c'est agréable de faire
deux choses en même temps…continue pompe le bien, oui à
fond…j'adore te voir sucer une queue…tu verras, je te ferais
sucer tous mes amis…"
Huuumpf ! ne parvins-je qu'à
émettre, bâillonnée que j'étais par le mandrin de Pierre,
quelle exagération tout de suite, TOUS ses amis…et pourquoi
pas… oui pourquoi pas …En attendant et pour mon plus grand
plaisir, il m'avait investi et chacun de ses coups de reins
me projetait au devant de la bite de Pierre qui s'enfonçait
loin dans ma bouche. C'était vraiment une situation nouvelle
et d'une sensualité torride pour moi, rendez-vous compte,
deux hommes…l'un dans ma bouche et l'autre dans mon sexe…sans
compter que leurs mains ne restaient pas inactives…posant
sa main à plat sur mes reins, Marc me glissa même un pouce
dans l'anus. Ils me besognèrent ainsi un moment jusqu'à
ce que Pierre demande :
"C'est tout ce que tu lui
mets un pouce ?"
"Non, non, pas du tout, ça
prépare un peu le terrain, c'est ma queue, que je vais lui
mettre, elle adore cela…".
Et, ce disant, il se retira
de ma chatte, il récolta un peu de mouille, l'étala sur
l'entrée de mes reins et y abuta son pieu et débuta l'inexorable
pénétration. Il avait décidé de ne rien m'épargner, voilà
à présent qu'il allait me sodomiser devant cet inconnu…Etre
prise de ce coté, m'excitait toujours (culpabilité et plaisir
mélangé sans doute) mais là, devant un inconnu, c'était
encore pire et je compris que j'avais également des tendances
(marquées) à l'exhibitionnisme. Voilà ! Maintenant j'étais
sod…enculée (n'ayons pas peur des mots) solidement et je
pompais avidement un autre partenaire. Marc me tenait fermement
par les hanches pour mieux me limer le rectum et Pierre
m'appuyait sur la tête pour m'enfoncer sa bite le plus loin
possible ou passant ses mains sous moi rythmait ma fellation
en me triturant les seins…je perdais pied…Il me fallut me
concentrer car Pierre annonça son plaisir en gémissant :
"Je vais balancer la sauce,
avale tout, salope…"
Je reçus le premier jet directement
dans la gorge et les deux autres m'emplirent la bouche de
cette sève chaude et épaisse. Marc qui avait interrompu
ses va et viens les repris puissamment pendant que Pierre
finissait d'essuyer sa verge sur mes joues et mes lèvres.
Le plaisir me prit brutalement et je criais…encourageant
Marc :
"Vas-y!! Encore!!! Encore!!!
Jouis, toi aussi!! Vide, toi en moi!!!"
Sa verge gonfla, gonflée
puis, je sentis dans ses sucs brûlants se répandre mon boyau
culier accompagnant mes derniers spasmes de jouissance.
Quel bonheur j'avais eu…!
Quand sa verge se rétracta
un peu, il se retira précautionneusement, laissant un grand
vide entre mes reins. Les deux hommes me firent relever,
puis nous trinquâmes tout en continuant de nous caresser
et de nous embrasser.
"Dis-moi, Pierre, tu n'es
pas trop pressé de partir" demanda Marc et devant la réponse
négative de ce dernier, il enchaîna :
"Bien ! Si nous profitions
encore un peu de Florence ? Tu es partant"
"Bien entendu si elle n'est
pas trop fatiguée…je ne voudrais pas abuser" répondit-il
ironique
"Penses-tu, elle a de la
ressource…et puis, elle adore que l'on abuse d'elle, pas
vrai ? "
Même si mes jambes étaient
un peu en coton, et que la fatigue commençait à se faire
sentir, je concède bien volontiers que la perspective qu'ils
abusent de moi aiguillonna mon désir…Marc décida que nous
irions dans la chambre. Je m'allongeais sur le dos, avec
mes amants de part et d'autre qui m'entreprirent rapidement
de leur bouches, leurs langues, leurs mains, leurs doigts…Je
répondis à ses avances en m'offrant littéralement, et; moi
aussi je les embrassais, les léchais, les caressais. Ce
fut un moment exquis…sauf quand Marc faillit s'étrangler
avec un poil de mon pubis collé dans la gorge…Ce qui fit
faire cette remarque à Pierre :
"Fait-la épiler complètement,
tu n'auras plus ces problèmes"
Marc trouva l'idée excellente,
le contraire m'eut étonnée, et me contraignit à accepter
de le faire. Il faut dire que je ne repoussais mollement
cette demande surtout qu'à cet instant Pierre avait introduit
trois doigts dans ma chatte et me branlait résolument. Ils
se mirent ensuite à genoux de part et d'autre de mon visage
et m'ayant placé un coussin sous la tête me exigèrent que
je leur fasse une pipe. Je m'emparais de ses mandrins, un
dans chaque main pour les sucer alternativement pendant
qu'ils malmenaient les bouts de mes nichons gonflés. Voyant
les ondulations involontaires de mon bassin, il jugèrent
que j'étais "à point"…Marc s'allongea sur le dos et de demanda
de venir le chevaucher. Je m'installais dans la position
souhaitée et me laissais glisser sur son dard. Lorsque je
me fus bien mise en place, il m'attira pour m'embrasser,
ma poitrine s'écrasa sur son torse, et je lui offrit ma
bouche pendant que ses mains glissaient sur mon dos et que
ses bras ses refermaient autour de ma taille me faisant
cambrer impudiquement. Pendant qu'une main (appartenant
à Pierre) se posait sur mon derrière, Marc me dit :
"Tu sais Pierre m'a dit qu'il
avait très envie de t'enculer". (Tiens ! je ne pensais pas
l'avoir entendu dire cela…) et il reprit :
"Il en a tellement envie,
qu'il va te le faire maintenant"
Je ne compris ce qui allait
ce passer qu'en sentant Pierre monter sur lit et s'installer
derrière moi. Prise de panique, j'essayais de m'échapper…Peine
perdue, les bras de mon amant me retenaient solidement plaquée
contre lui….Ayant peur d'être déchirée, je les suppliais
de m'épargner, ce qui n'eut pour effet que de les faire
ricaner.
"Ne fait pas ta mijaurée,
tu es comme les autres…tu va aimer, c'est certain…cochonne
comme tu es…"
Que vouliez-vous que je fasse
contre deux hommes qui me tenaient solidement et qui s'apprêtaient
fermement à m'investir des deux cotés en même temps…consentante
ou non…Résignée, une fois encore je décidais de ma laisser
faire et j'offris ma capitulation…
"Je veux bien, mais faites
très doucement, je vous en prie…"
"Ha tu vois que tu deviens
raisonnable ! Donnes ton cul se sera meilleur…"
Mortifiée, je tendis mes
fesses vers Pierre qui commença à les écarter, puis à écarter
les bords de ma rondelle de son pouce et son index.
"Pierre, veux-tu que je lui
écarte les miches ? Tu vas bien te laisser faire, hein Florence
"
Pierre acquiesça et me prenant
une fesse dans chaque main Marc m'écarta …les miches…mettant
en évidence mon petit trou, qui entraîna de la part de Pierre
des commentaires sur le fait qu'il n'était pas encore refermé
et que le sperme de Marc encore présent allait servir de
lubrifiant. Je sentis le gland brûlant buter sur ma rondelle
et pousser pour se frayer un passage…je redoutais…Et puis,…sous
la poussée qui ne faiblissait pas je sentis mes chairs s'ouvrir
et mon sphincter céder tout doucement…ensuite…lorsque la
tête fut passée, le reste suivi…longuement, lentement, amplement…
Hallucinant, véritablement inouï fut cette sensation nouvelle
prise par devant et par derrière j'étais remplie, comblée,
envahie, farcie…Mon dieu, ainsi doublement enfilée l'image
sulfureuse que j'avais visionnée dans film X chez Marc,
s'appliquait à moi…Pendant que MES amants me laissaient
m'habituer un peu à cette double dilatation, j'eu conscience
que les dernières barrières de ma modération étaient pulvérisée…et
que j'allais m'offrir comme une chienne à tous leur caprices…Oh
oui !..Oui ! Ouiiii !... Ils eurent également cette conviction…et
commencèrent à bouger…lentement…l'un après l'autre…accompagnant
leurs mouvements de caresses et de commentaires graveleux…qui
m'excitaient de nouveau. Lorsque j'étais profondément emmanchée
par l'un, l'autre se retirait jusqu'au gland…et refaisait
le chemin en sens inverse, bien à fond…Humm ! Puis c'était
le tour du second qui me soumettait au même traitement exquis.
Etreinte par leurs mains puissantes, embrassée par leurs
bouches suaves, écrasée par leurs bassins volontaires en
sueur je m'abandonnais à l'étrange sensation de ces deux
queues glissant et comprimant la fine paroi qui séparait
mes deux conduits envahis. Mon orgasme allait être prodigieux,
je le savais…alors, je me lâchais et, allant au devant de
leurs coups de bélier qui résonnaient au plus profond de
moi. J'étais trempée et je me faisais labourer par ces queues
impérieuses…consciente de ma dégradation, je les exhortais
à me baiser encore et encore …
- "C'est bon ! Baisez moi
encore…Ouiiii… plus fort, plus loin…comme cela ! Oh oui
… Défoncez-moi !Pierre baise mon cul ! Ah, oui… c'est trop
bon… je vais… je vais… ahhhh !!!"
Un orgasme d'une puissance
inouïe me ravagea littéralement et encouragés qu'ils étaient
Marc et Pierre ne ménagèrent pas mes orifices…Oh non !...et
ils les remplirent de leur sperme brûlant en ahanant.
Dans une semi inconscience,
je les entendis commenter ce qu'ils venaient de me faire
subir, mes talents "de baiseuse", d'autres séances qu'ils
se promettaient aussi chaudes, et même Marc confier à Pierre
qu'il allait me transformer en une "folle du cul"…moi, la
femme (hier encore) si prude et coincée. Je n'étais, à l'évidence,
pas au bout de ma dépravation, ni de ma chute peut être
risquée, mais si excitante dans le vice…Pierre me m'embrassa
une dernière fois en me câlinant la croupe et je l'entendis
partir. Marc revint, dégrafa mon porte-jarretelles, roula
mes bas, en me félicitant sur mon comportement de la soirée
et me remerciant sur le plaisir que je lui avais procuré,
aussi bien, ajouta-il physique que cérébral…je sombrais
dans un sommeil profond d'où je fut tirée que tard dans
la matinée par une odeur de café et…une main qui me caressait
les fesses…
Après un reconstituant petit
déjeuner, je remarquais que Marc bandait progressivement.
Suivant mon regard il me dit :
"Elle te fais envie ?"
"…"
"Répond, elle te fait envie,
tu la veux ?"
"Bien évidemment que je la
veux, elle me fait tellement de bien"
"Suces-la…"
Oh oui, j'allas la sucer…la
lécher, m'en régaler…Je l'embouchais avidement…
Entre mes lèvres la tige
prit toute sa raideur et voyant que j'ondulais Marc me dit
:
"Tu as l'air en condition
ma petite Florence, viens sur moi"
Il se mit sur le dos et je
me mis à le chevaucher longuement (et pour nous exciter
tous les deux parfois en me caressant les seins, qu' il
m'ordonna de lécher) jusqu'à ce que nous prîmes "notre pied"
tous les deux.
Douche…(j'en avais bien besoin,
tout mon entre jambes et mon entre fesses étaient souillée
des mes ébats) je me coiffais ensuite et me maquillait comme
il aimait (genre salope…) et sortit en quête de mes vêtements…sans
résultat… Narquois, il me demanda :
"Tu cherche quelque chose.?"
"Oui, mes habits…"
"Aujourd'hui, tu t'en passe
…je ne te tolère que le porte-jarretelles…"
"Si tu veux…mais mes bas
sont filés…"
A ma grande surprise, il
se dirigea vers un tiroir d’où il en ressortit en paire
neuve…Quel homme prévoyant…et aussi quel obsédé…mais ça,
j'adorais et dons, j'allais passer toute la journée dans
cette tenue…je m'y étais habituée…et je dois confesser que
j'aimais maintenant l'allumer dans par des poses suggestives
et provocantes…Il me demanda pendant le repas, ce que j'avais
pensé de notre soirée. Bien évidemment je ne dis que la
vérité, toute la vérité et rien que la vérité en lui affirmant
que jamais je n'avais autant jouis, qu'il m'avait réduit
à l'état de femelle insatiable et docile et que j'avais
adoré…Il me demanda ensuite si j'aimerai qu'il y ait d'autres
séance de ce type ou avec Pierre et/ou d'autres où je subirais
d'ardents plaisirs, où je serais comblée (dans tous les
sens du terme) ou je comblerais les participants Les phrases
"subir des plaisirs", "être comblée" me stimulèrent terriblement
et en l'embrassant je lui donnait mon accord sans réserve
Il en profita pour me dire que Pierre n'était pas un inconnu
de rencontre, mais qu'il avait voulu tester mes réactions
avec un amis… Je lui en voulu un peu (oh ! très peu…) de
m'avoir menti, de m'avoir manipulé de la sorte, mais mon
plaisir avait été si intense que je lui pardonnais immédiatement…Il
en profita et comme pousse café, à quatre pattes, il me
sodomisa longuement, très longuement…très très longuement…sortant
complètement sa queue de mon cul pour mieux me l'y enfoncer
à nouveau parfois même sans égard… Il me fit éprouver trois
orgasmes épuisants avant d'éjaculer longuement dans mon
anus béant…Puis, il m'imposa de "lui sucer la pine" et devant
mes réticences il ajouta, ironique, "que si elle n'était
pas immaculé, c'étais bien de ma faute, après tout !". J'obéis,
de toute façon, il se rendait bien compte que petit à petit
je cédais à tous ses caprices…donc surmontant ma (très relative)
répugnance je fis la toilette demandée…avec…délectation…et
me préparais pour reprendre le chemin du foyer conjugal
(si malmené)…Avant de nous séparer il me rappela ma promesse
(en ce qui me concerne j'avais oublié…) de me faire épiler
intégralement…Je…promis, bien entendu…Je rentrais donc chez
moi, avec (un peu) d'inquiétude, ou mon mari, gentiment,
devant mes traits tirés par les fatigues de mon stage me
conseilla de me coucher de bonne heure, ce que je fis…en
pensant encore, avec (beaucoup) de convoitise, à ces deux
colonnes de chairs qui m'avaient pourfendues…et je m'endormis
pas si facilement que cela, n'osant pas imaginer, mais enfiévrée
de pensées perverses, ce que j'allais devoir subir comme
Marc l'avais promis.
Si cela vous intéresse et
si vous le souhaitez, je vous raconterai la suite…
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