Brigitte ne savait plus que faire.
Elle essaya bien de raisonner ces jeunes qui l'avaient suivi
dans son immeuble et étaient rentrés en force dans son appartement
en essayant de leur faire comprendre qu'ils n'obtiendraient
rien d'elle et qu'ils feraient mieux de partir.
Un des jeunes lui rétorqua qu'elle n'avait sûrement pas
bien compris et qu'il serait dommage qu'il arrive quelque
chose à son fils.
A ces mots Brigitte compris qu'elle était en mauvaise posture
et qu'il lui fallait gagner du temps en attendant le retour
de son mari, qui conduisait un car de la RATVM.
- Que voulez-vous de moi demanda t-elle ?
- Fais nous un strip-tease, mais avant sers nous des boissons.
Brigitte se dirigea vers le bar et leur proposa de se servir
eux-mêmes. Bouteille à la main ils s'assirent dans le canapé
attendant qu'elle commence.
C'était la première fois que Brigitte se déshabillait devant
des inconnus et qui plus est de force.
En plus, ce soir, elle s'était habillée sexy pour le retour
de Philippe ce qui n'avait pas échappé aux quatre jeunes.
Elle commença par déboutonner lentement son chemisier, laissant
apparaître une poitrine généreuse, ferme, avec deux belles
pointasses de salope, à peine contenue dans un soutif balconnet.
Devant sa réticence à continuer ils lui rappelèrent que
son fils n'était pas bien loin.
Rapidement la jupe tomba sur le sol, dévoilant des fesses
superbes, qu'un string noir avait bien du mal à cacher.
Ce cul là appelait la bite tant il était rond et bien proportionné.
Les bas, noirs eux aussi, tenaient avec des jarretelles
qui mettaient en valeur les cuisses musclées. Elle était
là, à moitié nue devant ces jeunes, qui semblaient apprécier
le spectacle compte tenu des boursouflures apparentes de
leur pantalon.
Les bas noirs retirés elle apparu, superbe, brune, à peau
blanche, ce qui eu pour effet d'exciter particulièrement
les quatre mecs.
Debout, sur ses hauts talons, elle sentait sa peau se hérisser,
sans savoir si c'était de froid ou d'excitation.
L'alcool aidant, des mains commencèrent à la toucher et
à la caresser pendant qu'elle continuait à se dévêtir. Le
soutien gorge ne tenait plus que par les pointes de ses
copieux nibards et d'une main elle le fit sauter. Se penchant
en avant elle accrocha le string pour le dégager de la raie
de sa chatte, ce qui lui provoqua une décharge électrique
dans tout le corps.
Elle n'en pouvait plus et s'effondra en larmes, ce qui fit
particulièrement rire les jeunes qui s'enhardissaient de
plus en plus.
Il ne lui restait plus que le porte jarretelles qui ne retenait
plus rien.
Elle était à leur merci et savait qu'elle ne pourrait pas
leur échapper.
Ils lui demandèrent se promener dans le salon, en tortillant
du cul. Brigitte rouge de honte s'exécuta, elle avait l'impression
d'être une chienne en chaleur offrant sa croupe aux mâles
très excités.
Ses soucis étaient que son fils n'entende rien et que son
mari rentre assez pour la sortir de ce mauvais pas.
Un des jeunes, assis sur le canapé, avait ouvert sa braguette
laissant apparaître un sexe énorme, gorgé de sang, qu'il
se mit à branler devant elle en la regardant avec un air
salace.Sa main faisait coulisser la peau de haut en bas
bien doucement pour qu'elle puisse voir le méat suinter
de plaisir. Se rapprochant d'elle il lui intima l'ordre
de venir le sucer. Brigitte se mit à genoux, prit le sexe
dans sa bouche et commença à l'embrasser, de bas en haut,
rapidement et avec dégoût.
- Hé, applique toi bien, belle salope s'exclama t-il !!!
Et vous autres rappliquez, qu'elle vous mette en forme !
Aussitôt les autres suivirent son exemple et Brigitte se
retrouva en train de sucer quatre sexes tour à tour, prenant
bien soin de les satisfaire de peur des représailles. Bientôt
elle se retrouva avec deux sexes dans la bouche et un dans
chaque mains, pratiquant fellation et masturbation à la
fois.
Les sexes lui écartelaient la bouche, mais deux mains l'obligeait
à les enfourner profondément provocant des hauts le cours
à chaque fois qu'ils touchaient le fond de sa gorge.
Ils éclatèrent presque simultanément avec des flots puissants
de sperme, l'obligeant à avaler jusqu'à la dernière goutte.
Les connards ils auraient pu mettre des capotes !
Ils furent rapidement remplacés par deux autres sexes, tout
aussi gros, qu'elle se mit à sucer à leur tour.
Pendant ce temps, un des jeunes s'était posté derrière elle
et lui caressait la vulve avec vigueur. Se rendant compte
que Brigitte, indépendamment d'elle commençait à mouiller,
il lui enfonça un doigt puis un deuxième les faisant coulisser
de plus en plus profondément.
Petit à petit, le sexe de Brigitte s'ouvrait, permettant
le passage d'un troisième doigt. Elle continuait à sucer
les deux sexes dans sa bouche, les larmes aux yeux de se
faire violer tout en étant obligée d'être consentante.
Les quolibets commençaient à pleuvoir et devenaient de plus
en plus vulgaires. Brigitte se faisait traiter de tous les
noms.la situation devenait intenable et, en même temps,
chargée d'un érotisme lourd et salace.
En plus, Philippe qui n'arrivait toujours pas. D'accord
il était pas très vaillant au lit, mais bon, faute de mieux
elle se faisait sauter tout de même par son jules pour ne
pas avoir à trop se masturber, attendant d'aller au boulot,
où là elle avait à sa disposition un queutard de première,
salaud comme ce n'était pas permis, qui lui bourrait bien
la chatte et le cul et plusieurs fois par semaine en plus.
Maintenant ils étaient deux derrière elle, un s'occupant
de sa chatte bien renflée et coulante et l'autre de son
cul.
Elle s'était toujours refusée à se faire pénétrer par derrière,
même avec un doigt, sauf par son amant qui l'avait convertie
à la sodomie par surprise, un soir ou elle était tellement
trempée que sortant de sa chatte il avait poussé sa verge
dure dans son petit trou, la défonçant avant qu'elle ait
pu réaliser que ça y était.
Là, elle n'avait pas le choix et rapidement deux doigts
s'étaient insinués dans son anus, le dilatant progressivement.
Brigitte se mit à gémir de plus belle, pensant inconsciemment
à la grosse bite de son patron de manière à mieux accepter
ce qui lui arrivait.
Cela eu pour effet d'exciter que plus les quatre jeunes
qui, ne se retenant plus, profitait d'elle de plus en plus
sans retenue.
Petit à petit Brigitte sombrait. Son cul était maintenant
pénétré et dilaté par deux doigts, alors qu'une main entière
paluchait l'entrée de son vagin et qu'elle continuait à
sucer deux sexes.
Elle se faisait pénétrer progressivement par tous les orifices
et se demandait quand cela cesserait, en même temps que
son corps commençait à vivre indépendamment d'elle et semblait
se mettre au diapason du rut ambiant qui allait crescendo.
Pour le moment, les doigts lui perforaient l'anus, dilatant
de plus en plus ce dernier, l'assouplissant, le travaillant
bien pour lui faire prendre un dimension qui permettrait
la pénétration d'une bonne grosse verge.
Elle supplia qu'ils cessent, ne voulant pas qu'ils voient
que sa joie était trop grande.
Les va et vient dans ses orifices lui provoquèrent soudain
des spasmes de jouissance qu'elle ne pu réfréner, ce qui
amusa particulièrement les salauds crapuleux qui s'occupaient
d'elle.
Après, ce fut l'orgie totale. Avant qu'elle ait pu réaliser
elle fut pénétrée en levrette, par la chatte, à grands coups
de braquemard, son assaillant se tenant bien cramponné à
ses hanches larges et rondes. Son baiseur se servait de
son corps sans s'occuper d'elle, il pistonnait le vagin
juteux et en même temps il lui rentrait deux doigts dans
la rondelle pour continuer la dilatation.. Il était insatiable,
la bourrant à grands coups de rein, puis la retournant sur
le dos pour l'enfiler encore plus, malaxant ses nibards
dont les pointes, d'habitudes assez grosses, étaient devenues
turgescentes et dures.
Elle était épuisée, dégoulinante de cyprine. Progressivement,
le refus du début devenait acceptation.elle écarta encore
plus largement les cuisses pour se faire emmancher plus
profond, tout en commençant à râler, avec sa voix de gorge,
celle qu'elle avait dans le bureau de son patron, à l'hôpital,
quand ce dernier la prenait debout contre le mur, troussée
comme une pute, dépoitraillée et le string juste écarté.
Un des jeunes appela de son portable des copains, leurs
disant qu\'ils étaient sur un super coup et que, moyennant
finance, ils pourraient tous en profiter. Sur la table basse
du salon Brigitte avait perdu toute notion du temps.son
premier tringleur avait éjaculé une quantité incroyable
de foutre dans sa chatte, laissant aussitôt la place à un
autre baiseur qui s'enfonça, sans fioriture, dans son anus
bien dilaté.Brigitte se remit à râler avec sa voix basse
et rauque.
Elle pensait à la veille.son patron était passé chez elle,
juste son mari partit à la RATVM. Il l'avait mise nue, lui
laissant bas, talons et jarretelles, puis s'était allongé
sur le lit conjugal, encore chaud de l'étreinte avec son
mari, il l'avait faite mettre à califourchon sur lui et
elle s'était empalée sur ce membre qui la faisait baver,
mouiller et jouir depuis des mois.
Elle ne se reconnaissait pas dans cette femelle en rut,
qui montait et descendait sur cette grosse bite, les cuisses
bien écartées, la vulve luisante, les nibards tendus et
la croupe offerte. Elle jouissait de cette situation très
salace.elle se faisait prendre, rentrer de la queue dans
le ventre, alors qu'elle venait juste de faire l'amour avec
son mari.elle avait gardé tout le sperme de son cocu et
en plus elle mouillait comme une salope, en imaginant la
bite de son mari remplacée par cet autre membre très différent
en grosseur et en longueur. Ca l'excitait dingue, tant sa
perversion de femelle était active.de la queue, elle prenait
de la queue, plein la chatte. Elle avait joui, salopement,
superbement, il y avait à peine dix minutes, sachant ce
qui allait se passer juste après et elle se faisait à nouveau
prendre, pour jouir encore. Elle se secouait sur le lit
pour bien se faire enfiler, se frottait la vulve à l'embase
de la queue de son patron qui lui tenait la croupe à pleine
main, pour bien lui donner la cadence.quel salaud ce type,
mais quel salaud !!! Il savait y faire.la rendre folle,
l'exciter, lui mettre la chatte en émoi et les pointes de
nibards en folie.après il fallait qu'elle se fasse remplir,
mettre, défoncer, baiser.
Parfois, son mari, le soir, la trouvant très excitée lui
mettait une bonne renflée, sans savoir qu'il devait la séance
de baise au fait que sa femelle s'était bien faite branler
et palucher, sans conclure, au boulot, dans le bureau de
son patron. Elle le faisait tirer par procuration, en fantasmant
sur une autre grosse queuetasse, pendant que lui, le mari,
pistonnait une chatte bien coulante et avide qui avait envie
de bite depuis le milieu de l'après midi.
Après, elle se souvint à peine du défilé d'individus de
toute origine, de l'argent qui s'échangeait, (cinquante
euros pour la baiser.) de s'être fait pistonner, le cul
surtout, mais la chatte pas mal aussi par une trentaine
d\'individus. A l'occasion, l'un d'eux lui avait promené
sa queue entre les nibards, s'en servant comme d'un sexe,
faisant coulisser sa grosse bite entre les deux masses de
chair, la faisant buter contre ses lèvres qui s'ouvraient
pour pomper cette colonne de chair pourvue d'un gros gland
rouge.
Son anus restait ouvert, tellement des sexes de différentes
tailles l'avaient bourré, il débordait de foutre qui coulait
sur ses cuisses et cela ne s'arrêtait pas. Sa chatte et
sa motte étaient gonflées, gorgées de jus.
Le dernier qui la sodomisa, était plus âgé, avec un sexe
si énorme et disproportionné, que malgré toutes les sodomies
subies elle ressentit une douleur lorsqu'il la défonça.
L'homme dit que c'était la première fois qu'il pouvait défoncer
une superbe brune aussi fort et la pistonner comme un malade
sans qu'elle hurle.
Après avoir joui il resta dans son cul et après quelque
instants se remettant à bander il lui rentra sa queue dans
la chatte, bien au fond, faisant remonter du sperme vers
la sortie tant sa grosse queue faisait office de piston.
Dans un état de transe elle se laissait aller sans plus
aucune retenue, se disant qu'après tout c'était sa nature.baiseuse,
salope, avide sexe.Après leur départ, Brigitte mi-plusieurs
minutes pour se relever.
Elle était couverte de sperme et se dirigea vers la salle
de bains.
Demain, elle raconterait tout ça à son patron, qui devait
passer chez elle vers 17 heures, après que son cocu de mari
soit parti conduire son bus.elle raconterait tout, avec
les détails les plus salauds et se ferait de nouveau prendre,
dans le lit conjugal, le ventre plein du sperme de son mari.elle
dirait des : ouiiiiiiiii, des : encôôôôôôôre, des : âââââââââhhhhh
salaud, des : pluuuuuuuus foooooooooort, vas-y, vas-y, vas-y,
bourre moi à fond, bien à fond..je suis une salope, je veux
de la baise...
Finalement la vie est pleine de surprise quand on aime la
queue.
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