TITRE : Fin d'un conte
Catégorie : 
Histoire Trans et Travesti

Accueil Histoire érotique Histoires Travestis

Pierre voulait être le premier à me faire l'amour avec mon nouveau sexe. Il voyait cela comme une sorte de droit de cuissage, vu que c'était lui qui avait payé l'opération. Comme il aimait les femmes sophistiquées, je m'étais habillée avec un body balconnet string en dentelle noire et rouge et des bas noirs. À peine était-il entré dans ma chambre qu'il m'embrassa fougueusement. Il me poussa ensuite sur le lit et commença à balader ses mains sur tout mon corps. Cela me rappela notre première fois, sauf que Pierre ne rencontra aucune verge lorsqu'il ouvrit les pressions qui fermaient l'entrejambe du body. Il me titilla ensuite les seins qui pointaient déjà depuis un moment en pinçant gentiment le téton et le faisant rouler entre pouce et index. C'était exquis, je ne pus m'empêcher de lâcher quelques gémissements de satisfaction. Pierre glissa ensuite vers le bas du lit et positionna sa tête entre mes jambes. Il approcha sa langue de ma chatte et en donnant quelques coups de langue, commença à la lécher. J'appréciai fortement son traitement tout en douceur et sentis le plaisir m'envahir petit à petit. Je l'encourageai à aller plus loin. Pierre se redressa et présenta sa queue à l'entrée de ma fente. J'étais anxieuse et excitée à la fois. Il me pénétra rapidement et sans beaucoup forcer. Je l'enserrai de mes cuisses pour qu'il entre facilement dans mon ventre. Il s'activa, ses mains enserrèrent mes fesses, me caressèrent les flancs. Il prit ma bouche et aspira ma langue comme pour la boire. À chacune de ses poussées je ressentis son chibre brûlant envahir mon ventre, l'irradiant de plus en plus loin, traversant mes reins, jusqu'au fin fond de mes entrailles. Je me mis à gémir de plaisir. Il m'embrassa avec plus de passion encore, ce qui amplifia encore ma jouissance. Il continuait à aller et venir en accélérant sa cadence.

- Remonte tes jambes sur mes épaules, je pourrai ainsi te prendre plus profondément, me demanda- t-il.

Je me faisais maintenant littéralement labourer. Je poussais de longs râles et mon corps se mit à trembler de contentement. Je n'avais plus aucune crainte, au contraire. Je découvris avec avidité les plaisirs inédits que me procurait ce nouveau sexe. Je lâchai sans aucune retenue des insanités pour encourager mon amant et pour exprimer la folie que me procurait tout ce bonheur.

- Bourre moi salaud... prends-moi comme la chienne que je suis...Ah!...Ah! ...Aaahh, je vais jouir... continue... c'est bon. Je pars, Oooooh !

Il m'acheva par quelques coups de reins puissants. La jouissance me submergea et j'hurlai comme une folle. Au même moment, je sentis sa verge se tendre, puis sa semence m'inonder le vagin. Pierre poussa un grognement de satisfaction lorsqu'il éjacula, puis il s'étala lentement sur mon ventre. Nous restâmes ainsi quelques instants sans bouger. J'étais encore sur mon nuage. Que c'était bon ! Pierre se retira délicatement de moi. En se relevant, il me dit :

- Bien, je constate que mon investissement commence à rapporter des intérêts. On va bien s'amuser tous les deux au bureau, dit-il en rigolant...N'oublie pas que dès lundi tu travailles à la boîte. Habille-toi en conséquence...

Il sortit de ma chambre en riant et me laissa inerte sur le lit. J'étais si heureuse que je ne voulais pas gâcher l'instant présent, malgré ma posture impudique, les jambes écartées. Même lorsque mon vagin brûlant laissa s'écouler le trop-plein de semence chaude, je n'eus pas le courage, ni la volonté de remonter le drap sur mon corps... Les jours passèrent et prirent un rythme routinier. Je baisais avec Alain la nuit, lorsqu'il me rejoignait dans ma chambre, Hélène ne nous permettant toujours pas de faire chambre commune. Je baisais le jour, au bureau, avec Pierre. Ce dernier n'avait pas besoin d'une responsable marketing, mais plutôt d'une secrétaire qui se plie à ses nombreux fantasmes sexuels. Je jouais d'ailleurs le jeu avec un certain entrain. Pierre avait le chic de me prendre dans des lieux qui nous mettaient toujours face au risque d'être découverts. Parking, ascenseur, bureau, salle de réunion, toilettes... Il fallait que je m'attende à être baisée à tout moment.

C'est sur ce rythme que nous approchâmes de la date fixée pour notre mariage... Et oui, Alain voulait faire le grand saut et ses parents étaient d'accord. Hélène voulait absolument faire les choses en grand et passait la majeure partie de son temps à tout préparer et organiser. De mon côté, je me sentais de plus en plus mal. Je me faisais tringler à longueur de temps par le père d'Alain et cela commençait à me peser. Plus on me parlait mariage, plus je ressentais le poids de la trahison envers mon futur mari. Je décidais de prendre mon courage à deux mains et d'en parler à Pierre. À peine arrivée, je le coinçai dans son bureau pour une petite discussion.

- Écoute Pierre, on s'est bien amusés tous les deux, mais je me marie avec ton fils dans deux semaines. Il faudrait penser à arrêter nos galipettes ou, du moins, ralentir le rythme. Il en va de ta famille et de mon mariage. Tu ne veux tout de même pas tout gâcher ?...

Comme d'habitude, Pierre ne répondit pas tout de suite. Il réfléchit silencieusement. Enfin, il se leva de son fauteuil, vérifia quelque chose dans son agenda et me dit :

- Je suis tout à fait d'accord avec toi, et c'est tout à ton honneur de penser à la famille...

Je n'en croyais pas mes oreilles !!! ...

- Par contre, nous avons terminé un gros chantier et je dois organiser un pot avec les investisseurs ainsi que l'équipe d'ouvriers pour les remercier comme le veut la tradition. J'aurais besoin de ton aide pour l'organisation de cette petite fête. Et peut-être pourrions-nous par la même fêter par la suite la fin de nos galipettes ? Qu'est ce que tu en penses ?

- Cela me semble correct.

- Bon. Alors champagne, petits-fours et amuse-gueules ! Organise cela pour vendredi prochain dans la grande salle de réunions sous forme d'un buffet, ce sera parfait. Les ouvriers devront arriver au moins une demi-heure après les investisseurs. J'ai besoin de m'entretenir avec eux avant. Tu as tout compris ?

- Pas de problème, tout sera organisé tel que tu le désires.

- Bien, maintenant laisse-moi travailler...

Je refermai la porte derrière moi, quelque peu perplexe, mais heureuse qu'il comprenne et accepte mon point de vue. Je passai donc une partie de la semaine à organiser le buffet dans la salle de réunions. Je fis installer quelques fauteuils en cuir et des tables furent mises sur le côté pour servir de buffet. Enfin, je disposai d'un réfrigérateur pour conserver le champagne au frais. Pierre passa de temps en temps pour voir ce que je faisais. Par contre, à mon grand étonnement, il ne me parla quasiment pas et surtout, n'essaya pas de me baiser. J'en étais presque inquiet. Pierre m'avait imposé une sorte d'uniforme de travail : je devais toujours être habillé au minimum de bas, d'une jupe et de talons hauts. Aussi, je fis de même lorsque vint le vendredi. J'optai pour une guêpière blanche en satin et dentelle (pour une dernière avec Pierre, il fallait bien cela). Le reste était on ne peut plus classique : des bas noirs, une jupe fendue ras du genou noire, des bottes à talons aiguilles et pour le haut, un chemisier blanc. Histoire de marquer le coup, je mis pour la première fois un string dont la ficelle était constituée de perles d'imitation sur le devant et au niveau du fessier.

En l'enfilant, je ressentis immédiatement une gêne. Il me sciait littéralement les fesses et s'immisçait entre les lèvres de mon sexe. En marchant, les sensations se faisaient encore plus fortes. Avec le mouvement de mon corps, les perles glissaient et caressaient mes deux orifices. Finalement, la gêne devint plaisir. Je profitai d'un passage aux toilettes pour tirer plus fort dessus et faire pénétrer les perles plus profondément. Dans la voiture, j'eus l'impression d'être assise sur une corde. Les frottements m'échauffèrent tellement, qu'une envie incontrôlable de me caresser m'envahit. Je commençai à onduler du bassin pour frotter mon sexe sur le siège.

Puis, arrêtée par un bouchon, j'en profitai pour relever ma jupe et écarter les jambes. Mes lèvres étaient largement irritées et gonflées. Je commençai par me caresser les cuisses à la lisière de la dentelle de mes bas afin d'augmenter mon désir. Ensuite ma main glissa doucement vers mon entrejambe. Je jouai d'abord avec les perles du string, effectuant des mouvements de frottements puis, impatiente, j'écartai avec deux doigts les lèvres et enfonçai doucement mon index dans le vagin. C'était la première fois que je me masturbais et je trouvai la sensation des plus divines. Mon doigt accrocha ce qui me servait de clitoris. Le plaisir commençait à envahir mon bassin, puis tout mon corps. Je me cambrai en gémissant. Mon doigt décrivit des cercles de plus en plus rapides. Je ne pouvais plus m'empêcher de pousser des petits cris tout en haletant. Le plaisir devint incontrôlable.

Je m'aperçus à peine qu'un routier, arrêté sur la file de droite, ne perdait pas une miette du spectacle. Apparemment, lui aussi s'était mis à se masturber. Qu'importe, je n'allais pas m'arrêter pour si peu, d'autant que je ne pouvais toujours pas avancer. Plus rien n'existait autour de moi, seul mon plaisir comptait. Je ne mis pas longtemps à atteindre l'orgasme. Une vague de chaleur me submergea et je laissai échapper un cri de plaisir qui ne fut entendu de personne. Incroyable comme ce fût bon. J'en étais à la fois toute chamboulée et toute surprise. C'était divin. Le routier leva le pouce dans ma direction pour me signifier que cela lui avait bien plu. Je remis immédiatement ma jupe en place, un peu honteuse de m'être exhibée de la sorte. Enfin la route se dégagea, et je pus arriver sans trop de retard au boulot. Heureusement, sinon j'aurais bien aimé renouveler l'expérience une seconde fois !

Le reste de la matinée fut consacré aux préparatifs de la fête. Vers midi, les investisseurs arrivèrent. C'étaient deux hommes de l'âge de Pierre (sans mauvais jeu de mot) habillés, comme tout homme important, de l'éternel costard cravate sombre. Je les acheminai directement dans la salle de réunion où Pierre vint les rejoindre rapidement. Je les laissai ensemble et retournai à mon bureau. Au bout d'un quart d'heure, mon téléphone sonna. Pierre me demandait de les rejoindre. J'accourus. Les trois hommes étaient regroupés autour du buffet, les mains dans les plateaux du traiteur. Apparemment la réunion était déjà terminée.

- Julie, viens par ici que je te présente mes deux compères. Voici Etienne Després, PDG de M... et Karl Dick administrateur de T...

- Enchantée Messieurs, dis-je en leur serrant la main.

- Voici Julie, ma bonne à tout faire ici. Non, je plaisante. Elle est essentielle au bon fonctionnement de la société et ne rechigne pas au travail.

Karl me déshabilla des yeux et ajouta d'un air entendu :

- Nous n'en doutons pas une seconde...

- Bien ! Julie, apporte-nous du champagne et viens trinquer avec nous.

Bon, me dis-je. Me voilà reléguée au niveau potiche. Tout en servant le champagne, je me consolai en me disant qu'après cette petite sauterie, j'en ferais une sûrement plus physique avec Pierre. Je me demandai d'ailleurs ce qu'il me réservait. Nous discutâmes boulot une dizaine de minutes, avant que la conversation devienne plus légère. Avec l'alcool, elle vira rapidement au graveleux. Pierre semblait le premier à encourager ses partenaires sur ce terrain. Mon verre semblait un puits sans fond. À peine était-il terminé qu'il se retrouvait plein à nouveau. Des bouffées de chaleur commencèrent à m'envahir... L'épisode de ce matin me revint à l'esprit et j'en mouillai rien que d'y repenser. Aussi, je me pris au jeu et devins très mielleuse dans la conversation. En fait, je me mis à les allumer sans retenue. L'ivresse et l'envie de chacun nous firent complètement déraper...

- Vous avez remarqué comme elle est bonne, ma Julie.

Pierre m'attrapa et me retourna.

- Regardez ce cul !

Puis en me faisant tournoyer :

- Et cette paire de nibards ?

Karl, Etienne et moi fûmes tout d'abord extrêmement surpris par son attitude. J'envisageai de protester lorsqu'Etienne lança :

- Elle est effectivement bonne de l'extérieur, mais faudrait qu'on teste pour te dire si elle en vaut vraiment le coup. Et puis, pour nos futures affaires, ce serait un gros plus. Surtout si elle était TRÈS, TRÈS gentille avec nous. Qu'est ce que tu en penses, Karl ?

- Tout à fait d'accord avec toi Etienne...

- Bon, j'étais sûr qu'une gâterie comme Julie vous plairait, renchérit Pierre.

Puis se retournant vers moi :

- Tu vas les gâter ? N'est-ce pas ma chérie ? Ça m'aiderait beaucoup pour mes affaires et puis tu me dois bien cela, non ?

Complètement abasourdie je n'arrivai pas à articuler une réponse. Tout s'embrouillait dans ma tête. Ces hommes étaient, ma foi, séduisants. Si j'aidais Pierre dans ses affaires, je ne lui serais plus redevable de quoi que ce soit. Je choisis par un petit signe de tête de me soumettre à la volonté de mon futur beau père...

Satisfait de mon choix, Pierre prit les choses en main. Il installa une petite table ronde au milieu de la salle et me demanda d'y prendre position à quatre pattes. Me voyant m'exécuter, Karl m'arrêta et, se tournant vers Pierre lui demanda :

- Tu permets qu'on dirige la manoeuvre ?

- Pas de problème, elle est à vous.

Karl et Etienne me demandèrent alors d'enlever ma jupe et mon chemisier. Ils applaudirent et sifflèrent lorsqu'ils virent ma guêpière et surtout mon string qui ne cachait rien. Puis, très prévenant, Etienne m'aida à monter sur la table. Je me plaçai tant bien que mal à quatre pattes sur cet espace des plus restreints. Exposée ainsi devant ces trois mâles, je ne faisais pas la fière. Pierre resta un peu en arrière. Vraisemblablement, il se donnait un rôle de voyeur. Les deux autres tournèrent autour de moi, me regardant sous toutes les coutures, puis Karl me demanda de sortir mes seins des bonnets et d'écarter au maximum les jambes. Je m'exécutai. Etienne s'éloigna et récupéra dans sa mallette des morceaux de tissu. En revenant vers moi, je m'aperçus que c'était des cravates. Il s'en servit pour m'attacher les chevilles et les poignets aux pieds de la table. La dernière cravate fut utilisée pour me bander les yeux.

J'étais maintenant à leur merci. Mon ouïe tenta désespérément de capter le moindre son, mais c'était le silence complet. Que manigançaient-ils ? J'attendis avec une certaine angoisse le moment où ils me sauteraient dessus, quand je ressentis une sorte d'effleurement au niveau de mon téton droit. Était-ce un courant d'air ou bien quelqu'un m'avait-il véritablement touché ? Ça y est, ça recommençait. Non, c'est sûr, me dis-je, quelqu'un me caressait le sein, mais avec une délicatesse toute particulière. Je ressentis rapidement des picotements dans tout le corps. Ce fut maintenant au tour du sein gauche. Aaaah ! Que c'était bon. J'avais envie de me les toucher moi aussi, mais j'avais les mains liées. Je frissonnai de plaisir. Les caresses lentes et douces firent peu à peu place à quelques surprises. Un petit coup de langue par-ci, un ongle qui griffa par là, un pincement. Ce fut exceptionnel. Et moi qui m'attendais à subir des outrages beaucoup plus agressifs ! On me lécha alors du plat de la langue, depuis le bas du sein jusqu'à la pointe, puis les tétons furent mordillés, aspirés. Ne pouvant plus me contrôler, je me contorsionnai, soupirai, gémis de plaisir.

Tout à coup, tout s'arrêta. Je reconnus le bruit du frigo qu'on ouvrait et qu'on refermait, puis plus rien jusqu'à ce qu'un contact glacé sur ma poitrine me fasse sursauter. L'un d'entre eux s'appliquait à caresser mes seins avec un glaçon. Il resta quelques instants sur le téton, histoire de bien le refroidir, puis il me le mit dans la bouche. La sensation était énorme et, si j'avais eu les mains libres, je me serais précipitée pour me masturber, comme ce matin. Mais bon dieu ! Qu'est ce qu'ils attendaient pour me prendre ? Je décidai de les inciter un peu. J'effectuai des mouvements sans équivoque de mon bassin et je balançai des mots crus, demandant qu'ils me prennent immédiatement. Ma vulgarité ne paya pas. Personne ne me sauta dessus. Les caresses et les léchouilles continuèrent, me rendant complètement folle de bonheur. Enfin, je sentis un contact en haut de mes cuisses. J'écartai au maximum attendant avec envie, la pénétration.

Mais là encore, je dus déchanter. Ils avaient dû partager le travail. Le premier continuait de m'exciter la poitrine alors que le second était chargé de mon sexe. Comme pour les seins, cela commença par une phase très douce de caresses légères et vaporeuses, sans jamais toucher mon sexe, mais en s'y approchant toujours plus près. Puis cela devint de véritables chatouilles, avant qu'enfin, un doigt ne touche mes lèvres. Il ne chercha pas à s'introduire, mais parcourut les moindres replis, les moindres contours à l'entrée de l'orifice. J'hurlai maintenant qu'on me prenne sur place. Je n'en pouvais plus, il fallait qu'on me satisfasse. Par des mouvements brusques de mon fessier, j'essayai de m'empaler sur ce doigt si proche de l'entrée de ma chatte. Mais l'homme était habile et ne se laissa pas avoir. Une fois de plus les caresses s'arrêtèrent et le bruit de la porte du frigo se fit entendre. Depuis que mon "supplice" avait commencé, personne n'avait ouvert la bouche. Je n'entendais que mes propres gémissements et les insanités que je proférais. J'avais honte d'être aussi vulgaire, de donner l'image d'une chienne en chaleur, mais, en même temps, ils m'avaient mise dans un tel état d'excitation que je ne pouvais m'en empêcher. Les caresses reprirent de plus belle. Celui de derrière fit glisser mon string le long de mes cuisses.

Enfin, les chemins pour me pénétrer étaient libres de toute entrave. J'hurlai et bondis autant que mes liens me le permettaient, lorsque je sentis une brûlure glacée à l'entrée de ma chatte. Je demandai ce qu'ils étaient en train de me faire, mais la question resta sans réponse. J'étais affolée. La personne renouvela l'opération. Je sursautai une nouvelle fois, mais ce quelque chose très froid garda cette fois le contact avec mes lèvres. Lentement l'objet se mit à se déplacer sur l'ensemble de mon entrejambe, allant parfois faire un tour vers mon anus. Ce traitement accentua encore la grande excitation qui irradiait l'ensemble de mon corps.

- Allez, bande de salauds, prenez-moi, VITE !!! Hurlai-je désespérée de me faire baiser.

À ce moment-là, celui de derrière me planta d'un coup sec l'objet glacé dans l'anus. J'étais tellement ouverte qu'il pénétra très profondément dans mes entrailles sans aucune opposition. Sans me laisser le temps de comprendre que je m'étais fait enculer, l'objet se retira aussi rapidement qu'il était entré, ne laissant dans mon anus béant, qu'une sensation fugace de grande fraîcheur. La manœuvre fut réitérée plusieurs fois : dès que le pieu glacé s'enfonçait profondément, il en était retiré entièrement quasi immédiatement. À chaque pénétration, une sensation douce amère m'envahissait, mélange de douleur et de bonheur. Enfin, après une énième introduction, l'objet resta fiché en moi. La sensation de froid était intense, mais je m'y habituai peu à peu.

Mon plus petit trou étant occupé, on s'occupa alors de ma chatte. Quelqu'un me tartina une sorte de pommade ou de gel sur les lèvres et à l'entrée de mon sexe. Au bout de cinq minutes d'application méthodique, une sensation de chaleur envahit la zone traitée. Apparemment, c'était un gel chauffant et il m'incendiait littéralement la chatte. J'avais une envie folle de me masturber. Quelqu'un s'approcha de moi et m'enleva mon bandeau. C'était Etienne. Il me susurra à l'oreille :" Je crois que tu es prête." Il me demanda d'ouvrir la bouche et me demanda de sucer un glaçon en forme de phallus. Il y en avait tout un stock dans le frigo. C'étaient des préservatifs remplis d'eau qu'ils avaient congelés. C'était sûrement ce qui occupait mon fondement.

Pierre était toujours en retrait et ne perdait pas une miette du spectacle. Karl devait être toujours derrière moi, mais, suçant le bout de glace, je ne pus tourner la tête pour voir ce qu'il faisait. Etienne ouvrit enfin sa braguette, sortit son chibre et remplaça dans ma bouche la bite de glace par son sexe. J'eus l'impression que sa queue faisait 100° ! Mais mes surprises ne firent que débuter. Pendant que je pompai assidûment ce véritable tison, Karl, derrière moi, sortit de mon anus le bout de glace. Il en introduisit un nouveau dans ma chatte et me pénétra l'anus avec son propre sexe. Je ne compris plus mon corps. Tout s'emmêlait dans ma tête : chaud ou froid ? , froid ou chaud ? C'était une sensation délicieuse et je fis tout pour remercier mes deux amants.

Pendant que ces derniers m'embrochaient sur la table, Pierre se masturbait tout en matant. Là voilà donc sa surprise pour notre "fin de contrat" ! Karl me besognait vraiment très fort et éjacula assez vite. La chaleur de son sperme fut démultipliée par mon anus réfrigéré. Le liquide brûlant se répandit dans mon ventre et accompagna mon premier orgasme. Mon corps frissonna et se crispa tandis que des petits cris d'animal blessé tentèrent de sortir de ma gorge. Ils furent étouffés par la bite d'Étienne. Ce dernier était increvable. J'avais beau le sucer comme une folle, il ne voulait rien lâcher. Je fus heureuse d'entendre Karl lui proposer d'échanger les positions. Je pris ainsi la tige de Karl dans la bouche pendant qu'Etienne choisissait de m'honorer le vagin. Après m'avoir limée pendant plusieurs minutes, il éjacula puissamment, tapissant de sa semence brûlante l'ensemble des parois de mon organe. Avec synchronisme parfait, Karl se répandit dans ma bouche dans un jet d'une telle violence que j'eus de la peine à contrôler un réflexe vomitif. Leur affaire terminée, les deux hommes se rhabillèrent et rejoignirent Pierre. Ils se désaltérèrent au champagne et discutèrent de leurs "exploits". Le petit groupe me rejoignit ensuite et Pierre me lança :

- C'est très bien ma grande, tu as satisfait mes amis au-delà de leurs espérances...N'est-ce pas messieurs ?

Etienne me libéra de mes liens et Karl m'aida à descendre de la table. J'étais heureuse. Finalement, cela avait été plus qu'agréable et cela n'avait pas été très long. Je restai un moment allongée par terre, épuisée. Pierre vint m'aider à me relever. Quand je fus debout, je sentis un flot de sperme ruisseler le long de mes fesses et de mes cuisses. J'avais l'impression de faire sur moi, mais je ne pouvais rien faire pour stopper le flux, tant mes orifices étaient dilatés. Mon string perle avait disparu. De toute manière, il n'aurait pas empêché grand-chose de couler...

- Dis-moi tu as aimé au moins ? Me lança Pierre. En tous les cas, j'ai pensé que cela te ferait plaisir avant que tu deviennes la femme sage et fidèle de mon fils. Nous nous sommes bien amusés, mais mon fils se doit d'avoir une bonne épouse. Je te laisserai donc tranquille et te considérerai comme ma belle-fille et non plus ma maîtresse. Allez viens, je te ramène à la maison. Tu pourras prendre une douche et te reposer avant qu'Alain ne rentre.

Je suivis Pierre comme un automate, les jambes tremblantes, dégoulinante de sperme...

Ainsi, comme toute bonne fin de conte de fées, nous nous mariâmes Alain et moi, deux semaines plus tard. Nous n'eûmes pas d'enfants, mais par contre, nous vécûmes heureux...

Auteur

 

Accueil Histoire érotique Histoires Travestis




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet