Je m'appelle mickaelle, micka pour les intimes, j'ai 39 ans mariee 2 enfants, nous tenons mon mari et moi 1 bar, je n'avais jamais trompé mon mari jusqu'à....

Voila mon hitoire : l'equipe de foot, ayant fini 1er de son championnat, une fête avait lieu à la salle communale. Après être venu au bar boire plusieur aperos, Karim 18 ans que je trouvais plutôt mignon, tombeur de demoiselle d'apres ses copains de foot, m'offras 1 verre puis 2,3... Le president nous invita à venir les rejoindre a la salle, je ne voulais pas, mon mari insista ainsi que karim. Arrivés à la salle, mon mari rejoignit nos client et me laissa seule, karim m'invita a danser et boire quelques verres.


Je suis brune, bien en chair avec une bonne poitrine ; vers 1h 30 je voulu rentrer mais pas mon mari qui etait fin saoul. Karim qui partait rejoindre des amis en discothèque me proposa de me ramener, j'acceptais. Durant le trajet il me fit plein de compliment, je rougis. Arrivés devant la maison il passa son bras autour de mon cou et m'embrassa je voulu le repousser, il etait plus fort que moi. Nos langues s'enlassaient, sa main qui avait deboutonné mon chemisier pelotait mes gros seins par dessus mon soutien-gorge blanc, ma main carressa son sexe par dessus son jean, puis il me dit : Tu aimes ça ma salope.

Je ne sais pourquoi ces mots que je n'aurait pas voulu entendre de la bouche de mon homme m'excitèrent enormement :
- oui karim, suce moi les seins
- branle moi la queue cochonne, suce ma pine tu aimes sa..
- oh oui karim elle est grosse, baise moi j'ai tres envie.

Il souleva ma jupe retira mon sting et enfonça son sexe en moi, je jouis

Encore oh oui lime moi.

Puis il se redressa sortit sa bite et me dit : prend la vite suce, ce que je fit sans rechigner je ne me reconnaissait plus. J'avala son foutre, puis nettoya son sexe, je partis rapidement de la voiture, honteuse, mon mari rentra un peu plus tard. Le lendemain quand karim est arrivé au bar,je ne savais plus où me mettre. Si ça vous a plu je vous raconterai la suite ou plutot les suites.


nonda.