TITRE : Les fantasmes de Caroline
Catégorie : 
Plaisir Solitaire

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Caroline est une fille superbe : elle possède un corps de rêve. Elle rayonne en quelque sorte, et il émane du moindre de ses gestes une troublante sensualité. Elle dégage un érotisme torride. C'est une grande blonde sculpturale avec des yeux très pâles, d'un bleu presque transparent. Elle est mince, mais est nantie d'une superbe poitrine ferme et souple, plutôt volumineuse. Elle a une peau satinée, agréablement bronzée, des cuisses musclées couvertes d'un fin duvet doré qui, sous la lumière indirecte du soleil, rend le cuivré de sa peau plus soyeux, plus velouté. Tout son corps pulpeux respire la santé, la joie de vivre. Caroline sait à quel point elle est belle et n'est que trop consciente de l'effet qu'elle produit sur les hommes… et sur les femmes. En réalité, elle est folle de son corps. Elle a juste vingt ans et, un peu narcissique, ne peut se voir dans un miroir sans ressentir aussitôt un trouble étrange.

Ce jour là, il a fait mauvais, il a plu, et Caroline rentre chez elle toute mouillée, la pauvre biche. Elle se débarrasse de son ciré tout dégoulinant, enlève ses bottillons boueux, et se rend aussitôt dans sa chambre. D'un geste vif, elle fait passer son gros pull à col roulé par dessus ses épaules et le jette négligemment sur le lit. Elle enlève de même son tee-shirt moulant puis pénètre dans la salle de bains où elle entreprend de se sécher les cheveux avec un essuie éponge. Elle se redresse après un moment et s'immobilise en s'apercevant dans la glace au-dessus du lavabo : sa longue chevelure toute ébouriffée, en soutien, l'air un rien paumé, le visage encore tout ruisselant. Elle se voit, la bouche entrouverte, une goutte de pluie au coin de la lèvre. Elle passe machinalement sa langue sur sa lèvre charnue pour recueillir la gouttelette. Elle sent soudain sa gorge s'assécher à la vue de son opulente poitrine qui déborde du soutien ne la contenant qu'à grand peine. Sa respiration s'accélère, se fait haletante.

Elle s'admire, fière de sa beauté resplendissante et de ses formes pulpeuses, elle, pivote légèrement à droite puis à gauche pour se présenter sous différents angles. Elle se cambre, rentre son ventre et pointe ses seins vers le miroir. Elle dispose ses mains de part et d'autre de sa poitrine et appuie pour faire ressortir encore davantage les globes rebondis. Elle sent la chaleur lui monter au visage et voit ses joues s'empourprer, ce qui accroît encore son trouble Elle voit ses ailes de nez qui se mettent à frémir. Elle sent qu'elle commence à mouiller et est prise soudain d'une envie impérieuse, irrésistible, de se caresser, là, tout de suite.

Elle décide pourtant de ne pas se toucher immédiatement, elle sait à quel point l'attente fait monter son excitation. Elle entreprend donc d'enlever sa jupe, mais s'oblige à le faire très lentement. Elle fait glisser le vêtement le long de ses hanches, centimètre par centimètre, tout en se délectant du spectacle de ses superbes cuisses qui se révèlent à son regard avide.

La jupe finit par choir à ses pieds, elle enjambe alors le vêtement et regagne sa chambre, vêtue seulement d'un string et de son soutien.

Un grand miroir, situé juste en face de la porte de la salle de bains, saisit son image. Caroline s'arrête net : fascinée, bouleversée par l'image de cette superbe blonde provocante, quasi nue, les cheveux ébouriffés, haletante, le visage rouge d'excitation.

Elle s'approche lentement du miroir et se mordille les lèvres. Elle sent ses seins ne gonfler et les bouts se durcir. Ses hanches se mettent à ondoyer, une chaleur suave se répand en elle à partir de son bas ventre, elle réprime un petit cri.

Elle passe ses mains derrière son buste pour dégrafer son soutien-gorge, et ce mouvement fait saillir encore sa poitrine Elle interrompt un instant son mouvement afin de se délecter du spectacle de ses deux gros seins attendant impatiemment d'être libérés.

Elle relâche la fermeture du vêtement, et les deux globes bondissent vers l'avant, se dandinant légèrement. Les deux aréoles bistres, très larges, dardent vers Caroline qui manque jouir sur place. Les yeux chavirés, elle contemple son corps superbe, émue, bouleversée, haletante.

Elle s'étire de tout son long, faisant jouer tous ses muscles, ondoyant sous l'effet d'une excitation majeure. Sa main gauche se plaque soudain sur son ventre, pendant que sa main droite enferme brutalement un sein qu'elle se met à pétrir frénétiquement en gémissant de plaisir. Déjà, elle est au bord de l'orgasme. Ses doigts effleurent sa chatte détrempée, son pubis pointe vers l'avant, en un appel sauvage.

Éperdue, elle se laisse tomber sur le lit tout proche et aussitôt se roule sur le couvre-lit telle une chatte en chaleur.

N'y tenant plus, elle fait prestement glisser son string sur ses cuisses qu'elle caresse lentement et longuement au retour du mouvement. Elle reprend alors l'exploration de sa chatte, elle passe un doigt habile sur son clitoris turgescent. Elle sent le liquide ruisseler entre ses fesses. Elle contient son orgasme à grand peine.

Redressant la tête un instant, elle aperçoit, renvoyée par le miroir, l'image de son corps alangui. Elle rentre brusquement son ventre, en proie à un spasme violent, écrase ses seins et se met à les peloter vigoureusement en décrivant de grands mouvements circulaires. Soudain, elle sent son ventre exploser, elle pousse un cri sauvage et se met à jouir éperdument, longuement tout en enfonçant ses doigts sur les bouts de ses seins. Tout son corps reste ainsi cabré, suspendu, pendant un temps indéfini.

Encore toute frissonnante, Caroline, loin d'être calmée, imagine à présent un phallus tout gonflé de désir, brandi, rigide et frémissant de désir, au bord de l'éjaculation, qui parcourt son ventre, qui flagelle sa poitrine, qui s'enfonce dans la tiédeur de ses seins, qui se présente devant ses lèvres avides de sucer et de mordre, puis qui, se refusant, redescend vers son ventre.

Caroline sait qu'en rapprochant ses épaules, ses seins emprisonneront la verge et la coinceront, et, le mouvement accompagnant l'idée, elle écrase ses seins entre ses bras, puis elle se met à malaxer son opulente poitrine, la triturant dans tous les sens en poussant des petits cris de plaisir.

Elle « voit » véritablement le phallus écarlate qui va et vient entre ses seins, elle fixe le bout turgescent qui s'approche et s'éloigne de son visage. Elle éprouve une envie folle de lécher le méat qui la vise, de faire disparaître le membre entier dans sa bouche grande ouverte. Sa langue s'affole dans sa bouche, elle sent monter à nouveau l'orgasme, plus fort plus vite que la première fois ; elle va jouir, elle pétrit sa volumineuse poitrine à grands mouvements tournants, elle imagine une bouche avide qui lui lèche les seins, tendrement, puis fermement, jusqu'à lui faire mal. Elle imagine le regard enfiévré d'un homme qui la verrait dans l'état où elle est à présent.

Eh oui : Caroline est folle de son corps, elle adore ses seins plantureux – à qui elle accorde les soins les plus attentifs – , son corps superbe, musclé et souple, aux formes parfaites. Elle imagine un homme, fou de désir, qui la regarderait ainsi pétrir ses seins. Elle sent son ventre exploser à nouveau en une jouissance sismique : elle se met à hurler et se roule sur le lit tandis que sa main pénètre toujours plus loin dans sa tendre grotte bouillante et ruisselante. Elle s'apaise enfin et demeure pantelante, les yeux révulsés, s'abandonnant à une douce et voluptueuse rêverie.

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