J’avais rencontré Frank, sur un chat, sur Internet, et
après quelques mois d’échanges électroniques, nous avions
décidé de franchir le pas et de nous rencontrer. Il est
vrai qu’au début de notre histoire, les dialogues étaient
très soft et doux, mais au fil des jours et des semaines,
Frank m’avait posé des questions très intimes sur mes relations
avec mon mari, sur la teneur de mes fantasmes. Nous avions
même eu plusieurs fois des chats très intimes, après lesquels
je dois avouer, je m’étais masturbée. Frank avait une personnalité
très forte et avait trouvé le moyen de me chauffer par ses
textes et ses messages parfois doux ou parfois vulgaires,
sachant systématiquement m’emmener à son objectif. Nous
avions décidé d’une rencontre dans un lieu public, prétextant
auprès de mon mari une visite chez mes parents qui habitaient
loin de notre domicile. Frank fut surpris de s’apercevoir
que mon physique correspondait en tout point à ma description,
grande rousse, bien faite, habillé bourgeoisement. Il me
scruta pendant plusieurs minutes avec beaucoup de gourmandise.
Lui, était d’un physique assez banal, mais quelque chose
dans ses yeux le rendait terriblement envoûtant. Nous parlâmes
longuement de la façon dont nous nous étions rencontrés,
et de la gêne et surprise que cela occasionnait. Au bout,
d’une heure, Frank me demanda si nos échanges sur Internet
ne m’avaient pas choquée. Je craignais la question, mais
redoutais encore plus ma réponse, sachant que j’allais ouvrir
la boîte de Pandore.
- Au début, si, je trouvais cela très gênant, mais après
cela m’a excitée.
- Excitée, à quel point ? Jusqu'à te toucher ?
- Oui parfois, je dois avouer que me suis touchée pendant
nos dialogues.
- As-tu éprouvé du plaisir ?
- Oui, c’était surprenant, mais très bon
Je me sentais partir à nouveau, inondée de questions indiscrètes
et rouge de honte, de peur de découvrir que notre discussion
pouvait être écoutée par une table voisine.
- Frank, partons j’ai l’impression que tout le monde nous
écoute !
- Viens, je t’emmène chez moi, c’est juste à 10 minutes
de voiture, où es-tu garé ?
- Ah non ! Pas chez toi, ce ne serait pas décent !
Malgré mes faibles protestations. J'acceptai finalement
de le suivre en voiture jusqu'à chez lui. Je m’engageais
alors dans le parking au-dessous de son immeuble, et me
garais sur un emplacement libre.
Quand je sortis de mon véhicule, il se tenait près de moi,
se rapprochant jusqu'à sentir son corps effleurer mon corps.
Il me plaqua contre ma voiture, et m’embrassa avec passion.
Sa langue força l’entrée de ma bouche, et nous échangâmes
un baiser vigoureux Ses mains avaient remonté le long de
mes cuisses, redressant ma jupe, afin de divulguer mes porte-jarretelles.
D’autorité il baissa ma culotte, écarta mes cuisses et me
pénétra de son sexe libéré. Il me souleva du sol maintenant
mes cuisses au-dessus de sa taille, tout en gardant ses
mains posées sur mes fesses. Sa langue toujours occupée
à fouiller ma bouche, je ne pouvais émettre aucune protestation.
Il me laboura méthodiquement, ne me laissant pas reprendre
mon souffle. Son sexe était immense et d’une raideur peu
commune, je me sentais remplie, par quelque chose d’irréel.
Quand enfin je pus reprendre mon souffle, je lui dis :
- Frank non pas ici on va nous surprendre, emmène-moi chez
toi vite !
Il me prit par la main, et me traîna vers l’ascenseur.
Une fois dans l’ascenseur. Il appuya sur le 4ème étage,
mais arrivé au second il appuya sur le bouton stop. «Suce-moi
maintenant ». Il me prit par les cheveux et dirigea ma bouche
vers son sexe, qu’il me força à avaler. « Vas-y, applique-toi,
suce-moi comme on suce une bonne glace ». Je passai ma langue
autour de son bâton de chair, compressant mes lèvres contre
sa hampe, ou mordillant son gland. « C’est bien, tu es une
bonne petite butineuse, les bourgeoises comme toi adorent
sucer des grosses queues comme les miennes » . La vulgarité
de ses commentaires ne faisait que renforcer mon excitation.
Il enfonça son sexe entièrement dans ma bouche, dont il
se servit comme d’un sexe, me baisant la bouche tout en
me maintenant par les cheveux, afin que je ne puisse refuser
cette fellation. Pendant que je le suçais, il découvrit
ma généreuse poitrine, devant laquelle il s’exclama admiratif.
«Tes seins sont comme je les avais rêvées, gros et tellement
appétissants, je veux que tu me branles la bite avec. Je
lui pris son sexe entre mes seins, et m’appliquai à le masturber.
Au bout d’un certain temps, il me releva et me dit «arrête
on va finir chez moi ». Il relança l’ascenseur. Arrivés
à l’appartement, je fus entraînée dans le salon, et couchée
sur le canapé. Sans aucune attente et préliminaire Frank
me pénétra. Ma chatte était tellement humide, que je me
retrouvais empalée sous mon nouvel amant sans aucune résistance.
Il enchaîna des va-et-vient rapides et lents, m’emmenant
au bord de l’épuisement tellement ma jouissance était rapide
et intense. Quel amant magnifique ! Il n’avait même pas
besoin de me caresser pour éveiller mes sens, son énorme
pieu dur comme de la pierre qui me labourait la chatte suffisait
à me faire atteindre le septième ciel. J’étais couchée sous
lui yeux fermés, l’imaginant me fixant du regard, de ses
yeux troublants.
- T’as jamais était prise comme ça hein ?
- Ohhhh mon dieu c’est trop, tu me rends folle !
- Regarde-moi, je veux te voir jouir, et le lire dans tes
yeux
Il continua, remonta entièrement mes jambes au-dessus de
ses épaules afin de mieux me pénétrer, tout en me maintenant
par les hanches pour mieux coulisser au plus profond de
mes entrailles. Mon souffle et mes cris s’accentuant, il
sortit de sa poche ma culotte, dont il m’avait promptement
débarrassé dans le parking, pour me l’enfoncer dans la bouche.
Il jouit une première fois au fond de moi. Ivre de désir
et de fatigue, je pensais que c’était la fin, mais sans
aucune pose, il me retourna et pénétra à nouveau sa queue
dans mon sexe, me prenant en levrette. Son sexe était toujours
aussi raide et me besognait toujours aussi fort. Une fois
de plus, il alterna les mouvements lents et les accélérations,
comme un exercice physique bien préparé. Il continua encore
et encore, pour enfin sortir son sexe et se soulager en
éjaculant sur mes fesses, répandant son sperme sur ma croupe.
Avec son sexe il étala les traînées de sperme, tapotant
sa verge sur mon cul, peut être pour me faire sentir la
dureté de son appareil.
Je m’effondrai sur le canapé, épuisée, je sentais Frank
couché derrière moi me caressant tendrement le corps. Quelques
minutes passèrent sans bruit simplement nos souffles haletants.
Je pris l’initiative, étant très en retard, je devais repartir
immédiatement avant que mon mari ne s’inquiète.
- Tu sais, je ne veux pas que tu penses que me donner au
premier inconnu est une habitude chez moi.
- Je pense que j’ai vécu un moment merveilleux avec toi
et que pour rien au monde je voudrais que cela change.
- Merci, tu es si gentil. Tu sais, même s’il n’y a pas
de lendemain à notre aventure tu m’as donné beaucoup de
plaisir.
Je me relevais du lit, et me rhabillai rapidement, remettant
de l’ordre à mes affaires qui étaient froissées des caresses
et nombreux attouchements de mon amant. Une fois habillée
entièrement, et prête à partir, je regardais Frank encore
nu sur le canapé qui était pensif. Je m’approchais de lui
pour l’embrasser en guise d’adieu.
- Nous nous reverrons vraisemblablement pas avant longtemps…
dis-je.
- Oui, je me doute, quel dommage, tu m’as procuré tellement
de plaisir. Es-tu sûre de ne pas vouloir me laisser ton
téléphone ?
- Non, ce n’est pas possible, je refuse de vivre une histoire
adultère avec mon mari. Au-delà de mes fantasmes, je l’aime
et le respecte trop pour lui infliger cela.
Je me relevais et sortis, non sans m’apercevoir de la vigueur
de son sexe. Frank me suivit, et une fois dans l’entrée,
il m’attrapa par derrière et passa ses mais sur mes seins
tout en m’embrassant dans le cou. Il me maintenait fermement
contre lui, me laissant sentir la raideur de son sexe. Il
semblait infatigable.
- eEh bien, puisque nous ne devons pas nous revoir, tu
vas te donner à moi une dernière fois, et alors tu pourras
partir.
- Non, Frank ce n’est pas possible, je suis attendue et
mon mari va s’inquiéter.
- Bien, alors je te laisse lui téléphoner pour lui dire
que tu seras en retard.
- Frank, tu n’es pas raisonnable.
Cependant la pression de ses mains de nouveau parcourant
mon corps, et sa langue fouraillant mes oreilles ou me léchant
le cou, m’excitait de nouveau, me remémorant tout le plaisir
reçu, quand il m’avait, 10 minutes auparavant pris de son
sexe gluant.
- Allez, prends ton téléphone et appelle ton mari, maintenant,
! Dis-lui que tu es prise dans un bouchon, ou invente ce
que tu veux, mais donne-moi encore 1 heure de ton temps,
et après tu me reverras plus jamais.
Ne pouvant résister à ses caresses, j’empoignais mon téléphone
et composais le numéro de mon mari.
- Allo chéri, c’est moi, écoute je suis bloquée sur l’autoroute,
dans un gigantesque bouchon, toutes les voitures sont à
l’arrêt, et je pense ne pas être à la maison avant 21 heures
- Mais à quelle heure es-tu partie ?
- Plus tard que prévu, j’ai rencontré une vieille copine
quand j’ai fait le plein d’essence près de chez mes parents,
et cela m’a mise terriblement en retard !
Tout en discutant, Frank avait relevé ma jupe et me malaxait
avec sa main le sexe, rendant la conversation très difficile.
De son autre, main il me caressait à nouveau mes seins,
me glissant à l’oreille:
- T’aime que je te tripote tes gros seins, hein ?
- Mais que se passe-t-il chérie, tu sembles essoufflée
?
- Non rien, c’est juste que l’attente est longue, et je
me languis d’être à la maison
- Oui, dis lui que tu veux qu’il te baise se soir quand
tu rentreras.
- Moi aussi je me languis de toi, fais attention sur la
route, mon cœur.
- Allez dis-lui que tu as envie qu’il te baise ce soir
- As-tu eu une bonne journée chéri ?
- Oui, épuisante, j’ai hâte que tu rentres !
Frank m’avait pénétré de ses doigts et me dit :
- Dis que tu veux qu’il te baise ce soir, et raconte-lui
ce que je te fais !
- Mon chéri, j’espère que tu n’es pas trop fatigué, j’aurais
peut être envie d’un câlin ce soir !
- Mon amour, pour te faire plaisir, je ferais n’importe
quoi, sexy comme tu étais ce matin, ce sera un plaisir !
Mais tu ne sembles pas dans ton état normal, ce souffle
rauque ! Que se passe- t-il chérie ?
- L’idée que tu me fasses l’amour ce soir m’excite, et
je suis en train de me caresser dans la voiture
- Ohh ! Mais t’es une vraie cochonne, toi ! Vas-y, je veux
t’entendre jouir, passe ta main dans ta culotte et masturbe-toi
- Ohh oui ! Chéri, vas-y, continue, parles moi, ça m’excite,
je me suis mis un doigt, c’est trop bon !
- Vas-y salope, branle-toi la chatte, je suis en train
de me branler aussi !
- Oui chéri, c’est si bon ! J’imagine que tu es derrière
moi, tes grosses mains sur mes seins que tu as découvert,
ta queue est en train de coulisser entre mes fesses, prête
à me pénétrer !
- Oui, cochonne ! Continue, c’est bon ! Tu vas me faire
jouir !
- Tu as enfoncé ton gros dard dans ma chatte, et tu me
laboures les reins ! Ohhh !! J’en peux plus ! C’est trop
bon !!
- Ouiiiii, ca y est ! Tu m’as fait jouir ! Ohh ! C’est
bon !! A ce soir et prépare-toi à en prendre plein la culotte
!
Frank continua à me prendre par derrière debout dans l’entrée,
c’était irréel et si bon, je me faisais prendre par mon
amant et avais fait jouir mon mari au téléphone, je devenais
folle de plaisir. Sentant sa jouissance proche, Frank me
retourna et se masturba sous mes seins, avant de libérer
une fois de plus des quantités de liquide incroyables, qu’il
s’efforça de diriger vers ma bouche afin que j’avale sa
semence.
Comme promis, je partis promettant de garder le contact
par Internet, ce qui me laissait l’initiative de nos rencontres,
et comme promis une fois à la maison je retrouvais mon mari
qui, pour ce soir là avait fait preuve de beaucoup d’imagination.
Auteur
|