Nous avions un problème de chauffage, rendez-vous pris
en urgence, le plombier devait passer ce matin-là, jour
de RTT pour moi, mon époux étant parti travailler tôt.
Je l'attendais à 9h00, il arriva à 8h00. Bien sûr, je n'étais
pas prête, tout juste lavée, et c'est enveloppée de mon
peignoir et plutôt mal à l'aise que je l'ai accueilli. Je
devrais dire que je « les » ai accueillis : en effet, il
était accompagné d'un jeune arpète d'environ 18 ans.
Je guide les plombiers vers le radiateur défaillant qui
se trouvait dans ma chambre. Loïc, le jeune ouvrier a une
allure de titi métissé au look « je-m'en-foutiste ». Son
patron, lui, présente un physique rude d'homme mûr, grand
et légèrement bedonnant.
Loic est envoyé dehors par son patron chercher les outils
nécessaires dans la camionnette.
Alors que j'explique le problème à notre plombier, je constate
rougissante, que celui-ci jette des regards salaces sur
mon décolleté qui s'est ouvert, découvrant un sein impudique.
Je tente maladroitement de resserrer mon peignoir et perds
toute contenance en bredouillant une excuse. C'est alors
que goguenard, il me fait un compliment assez rustre « z'êtes
plutôt bien gaulée, faut pas avoir honte m'dame ».
Je m'échappe de la pièce avec soulagement pour patienter
dans la cuisine pendant que les plombiers opèrent, en effet
impossible de m'habiller pour l'instant, la chambre est
occupée. Feuilletant une revue, mon esprit vagabonde et
je me laisse à fantasmer sur la présence de ces 2 hommes
inconnus dans ma chambre...
C'est alors que Jean, le patron, laissant son arpète dans
la chambre, vient me demander un café et s'assit en me matant.
Électrisée par cette présence ambiguë alors que je suis
quasiment nue, la vue brouillée, je m'agite et prépare le
café en silence. Une main rugueuse et chaude s'insinue sous
mon peignoir, remonte le long de ma cuisse pour me caresser
l'entrejambe. Je ne peux m'empêcher de frissonner et d'écarter
les cuisses tout en disant « Non, arrêtez, il ne faut pas...
».
Enhardi par mon émoi, il me retourne vivement et défait
le peignoir qui chute au sol. Il me pétrit le corps, les
seins, insinue ses doigts dans ma chatte. « Mais t'es mouillée,
on dirait que t'as envie d'une bonne queue ». Ces quelques
mots et ses gros doigts impudiques trempés dans ma chatte
me font l'effet d'un incendie, je perds toute volonté. Il
me fait mettre à genoux et libère son sexe épais, déjà bien
raide : « suce-la, après elle va te faire du bien ». Me
tenant par les cheveux, il se branle carrément dans ma bouche,
je suis une marionnette follement excitée. « Tu suces comme
une salope, je vais te baiser à fond, tu vas aimer ». Joignant
la parole aux gestes, sans ménagement il me porte dans le
salon, me demande de me mettre à 4 pattes sur le canapé,
me claque fort les fesses, me demande de bien écarter et
enfonce son pieu dans ma chatte à fond d'un seul coup. Excitée,
je me cambre, mes fesses se lèvent à sa rencontre, alors
qu'il me lime comme un fou et me rougit les fesses. Je sens
cette hampe de chair me remplir le vagin, cogner au fond.
Je crie de plaisir. Le jeune arpète s'amène alors très surpris
et aussitôt émoustillé par la scène. Jean lui dit, « vas-y
profite, fais toi sucer, c'est une bonne salope ». Une bite
longue et fine se presse sur mes lèvres et je la suce avec
gourmandise. Fourrée dans ma chatte et dans ma bouche par
2 bites, je suis aux nues. L'odeur forte de mâle en rut
me rend folle. Jean a une résistance peu commune, il me
baise à fond et me balance des mots crus. Je jouis comme
jamais. Il se vide sur mes fesses par saccades abondantes.
Le jeune Loïc veut sa part, il s'allonge et me demande de
venir m'embrocher sur lui. Toujours excitée, je m'exécute.
Sa bite a maintenant triplé de volume et je m'empale avec
délice. Ses va-et-vient sont plus langoureux, il ressort
totalement pour s'enfoncer au plus profond de moi. Jean
en profite pour inspecter mon anus. Il m'écarte bien les
fesses et affirme que j'ai l'air bien serrée et que je dois
être bonne par le cul. Il me demande de le sucer à nouveau,
et se met aussitôt à rebander. « C'est bien t'es vraiment
bonne, on te recommandera à nos potes » me dit-il. Loïc
ralentit ses mouvements et me couche sur lui. Il m'écarte
bien les fesses. « Patron, on se la fait en double ? je
suis sûr qu'elle va aimer ça cette pute ». Jean badigeonne
mon oeillet du foutre, insinue un doigt comme pour élargir
ce passage étroit. Il frotte son chibre qui a retrouvé une
taille imposante sur l'orifice et force. J'ai mal, jamais
je n'ai accepté que l'on passe par là. Il me claque les
fesses très fort et me demande « ouvre ton cul ou tu vas
avoir mal ». Loïc me tient fermement pendant que l'autre
s'enfonce, je crie, mon cul cède et je suis investie morceau
par morceau. Une dernière poussée et la bite de Jean m'a
totalement défoncée. Il se met alors à bouger, imprimant
à Loïc le rythme à suivre : l'un sort quand l'autre s'enfonce,
c'est une sensation de plénitude double. Ces deux-là me
rendent folle, je ne savais pas qu'une telle jouissance
était possible, je ne m'appartiens plus. Je ne me reconnais
plus, ils font de moi ce qu'ils veulent.
Ils se vident en moi, puis me demandent de les nettoyer,
ce que je fais avec reconnaissance et application.
Ils partent alors de la maison en me disant qu'ils devront
revenir demain avec certaines pièces pour achever leur intervention
et qu'ils comptent sur ma présence...
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