Bonjour, je m'appelle Antoine. Je vais vous raconter une
histoire qui m'est arrivée il y a quelques temps.
A 15 ans, j'entrais au lycée en seconde. Comme à chaque
rentrée, je regardais rapidement les demoiselles inconnues,
mais n'osais les aborder à cause de ma timidité. Cette année
était un bon cru, il y avait entre autres une grande blonde
aux allures de mannequin, une petite brune délurée, une
blonde aux formes pleines de charme... J'avais aussi observé
mes professeurs mais il y avait peu de femmes, la plupart
d'un certain âge.
C'est au fil du temps que j'ai découvert que l'une d'elles
me faisait fantasmer. C'était ma prof d'anglais. Une femme
d'environ 45 ans, cheveux châtain clair au carré, un peu
ronde et une poitrine absolument énorme. Vu son âge, je
n'avais pas du tout fait attention à elle au début de l'année,
je ne m'intéressais qu'aux filles de ma génération. Mais,
en cours, je la voyais moulée dans son pull, je voyais ses
fesses dans un jean un peu trop petit pour elle et je me
rendis compte que je la désirais ardemment. J'étais bon
élève en anglais : je participais à ses cours et discutais
souvent avec elle.
Quand je me retrouvais seul avec elle en fin de cours,
des idées me venaient immédiatement, mais je n'ai jamais
osé : peur d'être repoussé, peur d'avoir des problèmes avec
elle, peur que d'autres le sachent. Je n'ai rien tenté de
l'année. L'année suivante, j'ai eu un autre professeur d'anglais.
En terminale je l'ai de nouveau eue, mais... rebelote. Et
plus je la voyais, plus j'avais envie d'elle...
Puis j'ai quitté le lycée, j'ai commencé des études dans
une autre ville et tiré un trait sur mon fantasme.
* * * * *
L'année dernière, j'avais 22 ans et j'étais toujours étudiant.
Je rentrais presque tous les week-end chez mes parents et
sortais le soir avec des amis, la plupart du temps dans
des pubs. Et un jour, dans un bar, je tombai sur elle !
Je n'y croyais pas. Mais elle était bien là, assise seule
près du comptoir, en tenue très élégante, toute en noir.
Elle avait l'air très abattue et triste. Je laissai mes
amis, en leur disant que je revenais, et j'allai la saluer.
Elle leva la tête vers moi , me reconnut rapidement et me
dit bonjour.
Nous commençâmes à parler pour ne rien dire, mais je voyais
qu'elle était toujours triste. Je lui demandai alors si
elle avait un problème. Elle me confia qu'elle devait passer
cette soirée avec son mari, mais qu'il avait été rappelé
en urgence à l'hôpital pour son travail. Là, je me rendis
compte qu'elle était peut-être plus en colère que déçue
et je me suis dit qu'il y avait un coup à jouer. Son mari
était parti avec leur voiture et je lui proposai donc de
la ramener chez elle.
Au début, elle refusa, mais je sentais qu'elle voulait
que j'insiste... j'insistai et elle accepta. J'allai alors
voir mes amis et leur dit de ne pas m'attendre. J'entendis
des gloussements de leur part. Il est vrai que la situation
pouvait faire sourire mais je m'en moquais totalement. Je
l'accompagnai donc à ma voiture et nous montâmes.
Sur la route, je guidai la conversation vers son mari et
leur relation. Elle me raconta qu'il était toujours absent
et je compris qu'elle s'ennuyait, même si elle ne me l'avouait
pas. Je glissai qu'elle était désirable et qu'elle pouvait
prendre un amant comme elle le souhaitait. A chaque moment
libre, je regardais discrètement sur ma droite pour observer
ses formes et je pense qu'elle s'en rendit compte, car,
à un moment, elle passa sa main sur ma cuisse et remonta
jusqu'à mon intimité, gonflée comme jamais. Elle ouvrit
même ma braguette et glissa ses doigts froids dans mon slip.
Nous étions alors près d'un bois et je sortis de la route
vers un petit chemin tranquille. Elle me regarda en souriant
et je sus que j'allais passer une bonne soirée.
Dès que nous fûmes assez loin de la route, je m'arrêtai
et coupai le contact. Je fis alors ce dont je rêvais depuis
sept ans : je me mis à tripoter sa poitrine, je glissai
ma main entre ses cuisses en l'embrassant. Pendant ce temps,
elle m'enlevait mon pantalon et mon slip. J'étais tout dressé
et humide. Elle se pencha sur moi et enfourna mon pénis
dans sa bouche. J'étais assis et je la regardais en train
de me sucer. Je lui demandai alors d'enlever son haut. Elle
s'exécuta en me souriant et je vis un soutien-gorge noir
en dentelle. Apparemment, elle s'était préparée pour la
soirée avec son mari mais c'était moi qui allais en profiter.
Elle se pencha de nouveau sur moi et remit mon sexe dans
sa bouche et se relança dans des mouvements de va-et-vient.
Elle me suça environ un quart d'heure, pendant lequel je
faisais attention de ne pas jouir, puis elle me proposa
de la prendre en levrette.
Nous sortîmes de la voiture, elle se mit à quatre pattes
et je la pénétrai. Elle poussa un cri rauque quand je lui
rentrai dedans. J'étais plus dur que jamais et je la pénétrai
comme un fou. Je voyais ses seins se balancer malgré son
soutien-gorge, ce qui m'excitait encore plus. Elle n'arrêtait
pas de hurler, au point que j'espérais que personne ne soit
dans les parages, sous peine d'être dérangés. Je n'en pouvais
plus. Mon pénis était en feu à l'intérieur de son vagin
et je ne pus me retenir plus longtemps : je lui éjaculai
dedans en poussant un cri grave et en m'affalant sur elle.
Il faisait un peu froid, même si je n'avais rien senti
dans le feu de l'action, donc nous nous rhabillâmes immédiatement.
Elle me demanda en souriant si je voulais boire un verre
chez elle. Je lui répondis que j'étais bien sûr partant,
nous sommes donc montés dans ma voiture en direction de
sa maison. Cette fois-ci, la discussion était totalement
portée sur le sexe. Elle me questionna sur mes conquêtes,
mes positions favorites, je lui demandai si elle avait déjà
trompé son mari. A ma plus grande surprise, elle me répondit
que cela avait du arriver une dizaine de fois, mais jamais
de relation suivie. J'étais apparemment le troisième de
ses élèves à succomber à ses charmes. Elle avait rencontré
le premier lorsqu'elle commençait à enseigner, et le deuxième
l'année précédente. Je n'étais donc pas le seul à avoir
un faible pour les femmes mûres un peu rondes.
Nous arrivâmes chez elle. La maison était vide. Son mari
était donc absent et sa fille, qui étudiait dans la même
ville que moi, n'était pas rentrée ce week-end. A peine
entrés, je profitai d'un moment où elle se baissait pour
me frotter contre ses fesses. J'étais bien dur et je lui
fis sentir que j'avais encore envie d'elle. Elle me demanda
de la suivre dans la cuisine où elle s'appuya contre le
plan de travail en écartant légèrement les jambes. Je baissai
alors mon pantalon et mon slip en même temps, je bandais
très très fort.
Je regardais cette femme, qui était mariée et mère, qui
avait 30 ans de plus que moi, qui avait envie de sexe, et
qui écartait les cuisses en attendant mon gland. Cette femme
délaissée était encore bourrée d'hormones et je suis sûr
que son sex-appeal n'avait jamais été aussi important. Je
pensais à son mari qui n'avait plus envie d'elle et qui
l'avait peut-être trompée avec une femme quelconque. En
tout cas, cette femme chaude comme la braise m'attendait
et je décidai de ne pas la faire attendre plus longtemps.
Je m'avançai vers elle, je frottai mon gland sur sa robe
au niveau de son ventre et la tachai. Elle prit alors mon
sexe dans sa main et me branla rapidement quelques instants.
Sa main était couverte de sperme et elle l'essuya sur sa
robe. Je lui soulevai alors le bas de sa robe, baissai son
boxer et la pénétrai. Elle s'agrippa à moi pendant que je
la pénétrai. Elle criait à chaque coup de butoir que je
lui mettais, son visage était décomposé, on aurait dit qu'elle
souffrait.
Cette position n'était pas la plus confortable que j'aie
connue. Je la portai donc par les fesses et l'installai
sur la table. Elle s'allongea alors sur le dos en écartant
les jambes et j'entrai une nouvelle fois dans son vagin,
bien dilaté. Qu'est-ce que c'était bon ! Je fourrais cette
femme qui m'avait tant fait fantasmer. Je me suis très souvent
masturbé en pensant à elle et là, j'étais vraiment en elle,
et elle prenait son pied. Pendant cette position, je regardais
sa poitrine. Elle était sur le dos mais ses seins restaient
bien droits, probablement grâce à son soutien-gorge, à un
tel point que je voyais à peine son visage.
Après quelques minutes de pur bonheur, j'avais envie de
changer de position et je sortis d'elle. Elle se redressa,
se retourna vers la table et se pencha à 90 degrés. Je posai
alors mes mains sur ses reins et trouvai rapidement son
trou avec mon pénis. Au début, je bougeais lentement mais
profondément en elle et elle poussait des tendres gémissements.
Je préférais quand même ses cris passionnés, donc j'accélérai
la cadence. Les gémissements s'arrêtèrent et je la vis fermer
les yeux et serrer les dents. Ma main caressait ses cheveux,
son visage. Elle me lécha les doigts, ce qui ne me laissa
pas insensible. Soudain, elle desserra les dents et commença
à pousser des petits cris rapides, puis un énorme qui me
fit presque peur. Elle venait de jouir. Elle me demanda
alors d'arrêter. Je bandais toujours et j'avais envie de
jouir également.
Elle m'entraîna dans sa chambre, se déshabilla totalement
cette fois. Je faillis éjaculer instantanément quand elle
enleva son soutien-gorge. J'ai toujours eu un faible pour
les fortes poitrines et là, j'étais vraiment gâté. Bien
que certaines de mes conquêtes étaient bien pourvues, je
n'avais jamais vu cela auparavant. Ses seins étaient absolument
énormes, bien ronds et fermes, légèrement tombants. Je pris
mon pénis dans ma main et touchai ses tétons avec mon gland,
ce qui sembla l'amuser.
Elle m'allongea sur son lit sur le dos, se mit à quatre
pattes en face de moi et me masturba. J'étais vraiment très
près de jouir et je la voyais avec ses seins qui pendaient
devant moi et qui s'agitaient au fur et à mesure de ses
mouvements de va-et-vient. Quand je sentis que je ne tiendrais
plus longtemps, je l'arrêtai et lui proposai de se mettre
sur le dos.
Je mis mes genoux de part et d'autres de son torse et insérai
mon pénis entre ses seins. Avec une telle poitrine, ce serait
dommage de ne pas en profiter ! Elle serra ses seins l'un
contre l'autre, tenant ainsi mon pénis prisonnier. J'étais
très excité et je frottai mon sexe contre ses seins de plus
en plus vite, j'allais bientôt jouir. Je pris alors ma queue
dans ma main et me masturbai au dessus de ses seins trempés.
Elle me dit de lui éjaculer dessus. Je ne me fis pas prier.
Du sperme sortit à toute vitesse et une première rasade,
assez fine, partit très loin et atterrit hors du lit. Une
seconde, beaucoup plus important, barbouilla son visage
en laissant un gros fil de son cou jusqu'à ses cheveux,
puis une troisième, assez grosse aussi, arriva encore dans
son cou. Je la regardai, aspergée ; elle souriait en s'essuyant
rapidement.
Je venais de jouir mais j'avais encore envie d'elle et
je décidai de la faire jouir avec mes doigts. Je trouvai
rapidement son clitoris et le titillai. Au début, elle gémissait
doucement, mais au fur et à mesure, je la sentais toute
tendue, elle se tortillait dans tous les sens. Puis je sentis
sa respiration s'accélérer jusqu'à ce qu'elle jouisse dans
un cri étouffé.
Elle alla alors s'essuyer et me dit en revenant qu'elle
ne savait pas du tout quand rentrerait son mari. Je ne savais
pas si j'avais envie de la revoir. Nous ne pouvions évidemment
pas avoir de relation traditionnelle, je me voyais mal en
effet commencer à travailler lorsque ma concubine deviendrait
retraitée. J'aurais pu être son amant et la voir de temps
en temps, mais en avait-elle vraiment envie ? Je lui demandai
si on allait se revoir. Elle me sourit et me nota son adresse
email sur un bout de papier.
Je rentrai chez moi, mes parents me demandèrent si j'avais
passé une bonne soirée. J'avais en effet passé une excellente
soirée en accomplissant mon plus grand fantasme d'adolescent.
Depuis, je l'ai revue deux fois. La première fois à la
suite d'un de ses mails me disant que son mari partait à
l'étranger, et la deuxième fois par hasard en ville alors
qu'elle se promenait avec son mari. Cela fait plusieurs
mois maintenant que je ne l'ai pas vue et j'ai toujours
envie d'elle. Je vais probablement lui écrire.
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