Il y a quelques temps je parcourais les annonces
de rencontre dans un journal local. Je m'arrêtai sur l'une
d'entre elles dont le texte était plutôt évasif : "Couple
cherche H, F, CPL pour moments intimes..." sans trop y croire,
j'y répondis en me présentant : 26 ans, 1 m 75, 70 kg, mignon
et je joignis une photo. Quelques jours plus tard, j'eus
l'heureuse surprise d'avoir François au téléphone. Il avait
reçu mon courrier et avait soumis ma photo à sa petite amie
qui avait dit oui. On fixa un rendez-vous pour quelques
jours plus tard. Je peux vous assurez que je comptais les
heures et j'en devenais fébrile tant la situation était
unique.
Arriva ce fameux Mardi soir. Je découvris un quartier de
Strasbourg que je connaissais à peine, l'endroit était peu
recommandable mais tant pis. Je croisai quelques personnes
dans l'escalier en ayant l'impression délirante que tout
le monde savait où j'allais et ce que je venais y faire.
François ouvrit la porte. C'était un jeune homme souriant
et bien bâti, il m'invita à entrer. Son appartement était
minuscule et assez mal entretenu, signe qu'une femme n'y
résidait pas souvent. Je ne me trompais pas car il m'annonça
qu'Isabelle n'habitait pas ici mais qu'elle passerait dans
une demi-heure. Je mis cette attente à profit pour sympathiser
et en savoir un peu plus sur eux. Ils formaient un couple
bizarre car ils étaient simplement amant et maîtresse et
ne nourrissaient pas d'autres sentiments que la recherche
du plaisir. Lui, avait trente ans, c'était un éternel étudiant
qui avait à peu près tout raté sauf un étonnant palmarès
de conquêtes féminines. C'était un vrai drogué du sexe qui,
avec persévérance, ramenait à peu près toutes les filles
qu'il voulait dans son lit. Elle, avait vingt deux ans,
il l'a décrivit belle et intelligente. Commerciale dans
le domaine médical, elle gagnait très bien sa vie et n'était
pas originaire du coin. Bref, elle avait tous les atouts
pour vivre pleinement ses envies. Faire l'amour avec deux
garçons en même temps était un fantasme dont elle rêvait
depuis longtemps.
La demi-heure fini par passer et Isabelle arriva. Je vis
une ravissante jeune femme apparaître, elle était habillée
dans un jean moulant avec un chemisier qui lui dessinait
de très beaux seins. Elle était plus qu'intimidée et se
demanda se qu'on avait bien pu comploter pendant son absence.
Nous nous assîmes dans la cuisine et François nous servit
un verre. L'alcool nous mit à l'aise. Nous parlâmes de tout
et de rien et je me surpris à ramener régulièrement la conversation
au sexe pour éviter que la situation nous échappe. Après
un quart d'heure, Isabelle vida son verre d'un trait, se
leva puis nous invita à passer dans la chambre.
François avait tout préparé, les stores étaient baissés,
des bougies diffusaient une lueur agréable et un grand matelas
nous attendait. Il se plaça derrière elle puis commença
à l'embrasser dans le cou tout en lui caressant les seins.
Elle me tendit les bras en m'invitant à les rejoindre. Alors
s'amorça le plus doux et le plus langoureux effeuillage
de ma vie. Nos mains coururent sur son corps, passant de
temps en temps sous sa chemise pour caresser son ventre
et ses seins. Elle fermait les yeux, renversait sa tête
pour apprécier nos gestes et nous accordait de longs baisers.
De ses mains fébriles, elle déboutonnait une chemise, dégrafait
une ceinture, caressaient nos torses. Nous l'avons dévêtu
très lentement, augmentant notre excitation. Ses gémissements
emplissaient la pièce, c'était divin ! Progressivement,
nous lui avons retiré son chemisier et son jean pour découvrir
une fine lingerie qui dessinait superbement ses formes.
Cette dernière étape franchie, elle se livra à nous, offerte
à nos désirs. Tandis que François caressait ses seins aux
pointes érigés, je me mis à genoux et découvrit une toison
soyeuse et douce. Doucement, mes doigts passèrent entre
ses lèvres intimes déjà humides. De mes doigts trempés,
je remontai sur son clitoris où j'entamai une douce caresse.
Très vite, ses lèvres se gonflèrent de plaisir.
En me penchant, j'ai pointé ma langue sur son bouton d'amour
et j'ai longuement savouré ces instants où il roulait et
durcissait sous ma langue. Isabelle s'est mise à genoux,
me donnant un profond baiser pour recueillir son fluide.
François, par derrière, avait passé son sexe entre ses fesses
et commença un doux va-et-vient en caressant sa vulve de
son gland. Tout embrassant ses tétons durcis, je continuai
à la caresser en rencontrant de temps à autre le sexe érigé
de François, ce contact éveilla chez moi des sensations
indéfinissables. Isabelle s'allongea sur le dos, écartant
largement les jambes pour François. Alors qu'il la pénétrait,
je m'attardai sur ses seins et lui tendis mon sexe qu'elle
prit en bouche. Sa langue s'attardait sur mon gland alors
que sa main me masturbait. C'était agréable car j'étais
à la fois acteur et spectateur d'une scène érotique hors
du commun. François devait penser la même chose car il n'a
pas tardé à jouir tandis que mon sexe étouffait les gémissements
de ma partenaire.
Il se retira et alla l'embrasser. Elle me regarda tout en
écartant les cuisses comme une douce invitation. Sans me
faire prier, je l'ai pénétré à mon tour, son vagin était
serré, soyeux et encore humide du passage de François. Ce
détail décupla mon désir, mes mains coururent sur son corps,
attrapèrent ses hanches, revinrent sur ses seins ou descendirent
sur son clitoris. Chaque coup de rein la fit gémir et elle
s'abandonna à ce double plaisir. La tension fut vraiment
trop forte, encore quelques va-et-vient et en m'agrippant
à ses jambes, j'éjaculai puissamment en elle. Après avoir
retrouvé nos esprits, nous vîmes Isabelle radieuse d'avoir
assouvi son rêve et presque maternelle, elle nous serra
très fort dans ses bras en nous embrassant longuement...
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