Il est 23 heures, je suis avec ma femme dans
le restaurant dont on avait dit qu´il s´y passait souvent
des choses. Nous allons ensemble au bar, et nous assoyons
sur une banquette. C´était un dimanche de carnaval ici au
Brésil. Il faisait encore chaud, et je remarque le manége
de l´homme qui s´est installé sur la banquette à côté de
ma femme. Il regarde ses jambes d`un regard admiratif et
gourmand.
D´autant que sa courte robe laisse apercevoir
des cuisses bronzées et fermes. Il reste bouche bée car
elle lui sourie. Ma femme, blonde, 49 ans, 1m65, 65ks, cheveux
blonds, un corps parfait avec de petits seins fiers et arrogants,
ma femme est instinctive, sensuelle et très amoureuse de
moi son mari, brun 49 ans, l.68, 70ks, un homme qui aime
profondément sa femme et qui aime l´amour. Elle est vêtue
d´une petite robe courte de coton rouge avec des talons
aiguilles de même couleur.
Vu la chaleur du moment, elle ne porte rien
sous sa robe d´été, ni soutien-gorge, ni culotte. La pointe
de ses seins se dessine très nettement à travers le fin
tissu. Elle est terriblement provocante. Maintenant ma femme
croise et décroise ses jambes en faisant remonter la robe
sur ses cuisses. On distingue parfaitement la fente de sa
vulve et elle dévoile les lèvres de son sexe totalement
rasé sous le léger tissu. Je peux me rendre compte à quel
point le spectacle est sexy. Elle me dit : - Ça t´excite
aussi mon chéri ? - Oui, bien sûr, pas toi ? Elle continue
à faire son exhibitionnisme, à montrer à l'inconnu sa chatte
que j´image trempée pendant tout ce temps. L´homme, la quarantaine,
très bien habillé, sportif et un sourire craquant, se met
à nous parler.
Cela commence par des banalités, les présentations
faites, je sens à sa façon qu´il a de regarder ma femme,
de lui parler, qu´il la trouve très jolie, qu'il a envie
d´elle. Mon épouse, excitée, frissonne. Je bande à cause
du spectacle qu'elle donne. Je n´en peux plus, je sens mon
sexe prêt à exploser, j´adore voir que les mecs reluquent
ma femme. Je demande à l'inconnu s'il veut nous suivre.
Nous allons jusqu´à ma voiture garée dans le parking, ce
n´est pas loin. J´ouvre la porte de la voiture et nous entrons
tous les trois. Ma femme et l´inconnu s'assoient à l'arrière.
Ils commencent à se caresser. Il se sent alors
encouragé et il relève carrément la robe pour reprendre
ses caresses. L´homme a placé ses mains sur les hanches
de ma femme, puis les fait glisser lentement sur les fesses
qu´il malaxe avec nervosité. Je suis incroyablement excité
par cette scène, et je commence à me caresser à travers
la toile de mon pantalon. L'homme dégrafe les boutons de
sa braguette, défait la bouche son ceinturon puis fait glisser
l´ensemble jusqu´aux genoux. Il en fait de même avec son
slip, ce qui libère un formidable engin déjà en érection,
une verge longue et épaisse, nervurée au diamètre supérieur
à la mienne, une grosse paire de couilles. Il prends la
main de ma femme et la pose sur son membre. Je vois les
doigts de ma chère épouse, après un instant d´excitation,
se refermer sur l´objet de son plaisir et commence à le
branler d´abord doucement, puis de plus vite.
Les yeux fermés, elle embrasse son tourmenteur
et maintenant elle le branle à deux mains, lui massant les
couilles velues, remontant sur la hampe gonflée, excitant
le gland de ses ongles, pour redescendre et recommencer
son manége. Je vois ma femme prendre dans sa bouche le sexe
d´un autre homme que moi, elle arrondit les lèvres et les
fait coulisser sur la queue de cet homme tout en continuant
à lui masser les bourses d´une main. L´homme gémit, puis
la repousse, elle le suce pendant un temps qui me semble
très long, il doit être au bord de la jouissance. Il pointe
son gland à l´entrée de la chatte de ma femme, puis la pénètre.
Mon épouse gémit lors de la pénétration et des premiers
mouvements de la grosse queue. J´entends clairement son
ventre frapper les fesses de ma femme en cadence.
Je vois mon épouse possédée devant moi par cet
inconnu qui s´amuse à lui peloter les seins. Au bout d'un
moment, les signes que je connais apparaissent, ma femme
gémit de plus en plus fort, bouge de plus en plus vite.
Elle jouit, pendant que l´homme, bien sûr, s´ingénie à accélérer
le mouvement afin de donner des coups de bite encore plus
puissants dans la chatte de ma femme. Elle est épuisée,
mais elle continue à monter et à descendre sur le pal qui
lui transperce le ventre. - Attends, je n´ai pas jouis,
moi. Il faut me finir ! Il la fait remettre en levrette
et la pénètre. Il lime furieusement ma femme tout à coup.
Il se retire. - Ca y est... Je jouis... je jouis... prend
mon sperme...oui...tiens. Les longs jets gluant et blancs
arrivent sur les reins et les fesses de ma femme. J´ai cru
qu´il n´en finirait pas de jouir, les jets se succédant
sans pouvoir s'arrêter, mon épouse est couverte de sperme,
elle plonge de nouveau vers le sexe dressé et entreprend
de le sucer, elle l'avale le plus possible.
Elle donne de savants coups de langue, l´engloutit,
le ressort, léche toute la hampe. Ensuite il pénètre son
anus, la verge est entrée de moitié. Cramponnant ma femme
aux hanches, il donne un grand coup de reins. La bite est
maintenant entrée toute entière dans le cul étroit, il va
et vient dans sa rondelle dilatée. Mon épouse est au bord
de l´évanouissement. Elle ne peut même plus crier. Elle
supporte la sodomie à moitié affalée sur le banc de la voiture.
Au bout d´un moment, et après l'avoir faite gémir de jouissance,
il se retire. Sa queue est souillée.
Puis, je vois le gros membre forcer l´anus de
ma femme, sans relâche. Comment peut-elle recevoir entre
les fesses un sexe aussi gros ? Elle ne me quitte pas des
yeux tous en donnant des coups de croupe violents qui font
rentrer la bite au plus profond de son cul encore plus fort,
pendant que l´inconnu jouit et déverse son sperme au fond
de ses entrailles...Puis. nous rentrons chez nous.
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