C'est Samedi, il fait froid. Christian est dehors
pour ranger le bois livré ce matin. Il faut que j'aille
faire les courses, mais seule c'est une corvée.
Je demande à mon époux de venir avec moi, il refuse. Alors
résignée je m'habille, des bas Dim, une jupe et un chemisier
confortable par dessus mon grand manteau et aux pieds des
botte, en passant un petit bisou et me voilà partie.
Il est onze heures, beaucoup de monde dans les rayons.
Les enfants et leur mère sont encore là. Les caisses sont
prise d'assaut, aussi je prend mon temps pour les laisser
partir.
Cela fait une bonne heure que je tourne dans les rayons
pourtant mon cadi n'est pas encore rempli, quand soudain
dans un rayon un jeune couple fait lui aussi ses courses.
Cela fait plusieurs fois que je les croise, elle une petite
brune très bien proportionnée vêtue d'une légère robe pour
la saison et lui un appareil de photo numérique qu'il venait
sûrement d'acquérir à la main la prenait dans toutes les
positions.
En les observant plus attentivement je m'aperçut que sous
sa robe elle était nue et qu'avec beaucoup de précaution
elle s'exhibait pour la joie de son compagnon. Changeant
de rayon une envie me prend. Mon sexe s'humidifie, mes seins
gonflent mais je suis seule. Si Christian avait été avec
moi je sais ce que j'aurais fait, mais seule c'est plus
dur.
Après quelques hésitations, j'ouvre mon manteau remonte
un peut ma jupe et retourne dans le rayon où je se trouvait
le jeune couple. Au moment où j'arrive prêt d'eux elle était
accroupie cuisses ouvertes en train de choisir une boite
de conserve lui devant elle la mitraillait .
Placée derrière elle, je fis la même chose les cuisses
largement écartées le manteau ne cachait rien de mon intimité.
Voyant son copain rougir et me fixer elle se retourne et
voit ce qu'il regardait. Elle me sourit et se pousse pour
qu'il puisse prendre des photos, puis elle se place à mes
cotés et fait semblant de me conseiller. Le coquin se régale,
nous on éclate de rire.
Mon téléphone sonne. C'est Christian qui vient aux nouvelles.
Je lui raconte mon aventure. Il peste de ne pas être là,
me dit de bien m'amuser mais de ne pas rentrer trop tard.
La jeune femme est toujours à mes cotés. Elle s'est relevée,
et sur la demande de son copain, elle tient sa jupe relevée.
J'ai son sexe très bien entretenu sous les yeux. On est
toujours seuls dans le rayon. J'en profite pour ouvrir mon
chemisier. Il peut maintenant prendre ma poitrine et mon
sexe en photos, d'ailleurs il ne sans prive pas. Il lui
demande de faire comme moi, mais elle ne peut pas sa robe
ne le permet pas. Je lui propose mon manteau, mais hélas
il est trop grand aussi. Elle prend le sien et à l'abri
de celui-ci elle fait glisser sa robe à ses pieds et ouvre
son manteau. Elle est maintenant nue. Ses seins sont très
beaux, aussi je ne résiste pas à poser ma main dessus et
à les caresser.
Le pauvre garçon à une bosse qui déforme son pantalon.
Il prend des photos mais je vois bien qu'il est stressé
et à peur d'être surpris.
Sa copine, elle, par contre, est plus alaise et se laisse
caresser en prenant du plaisir . Voyant du monde venir,
elle se blottit contre moi et à l'abri de son manteau me
rend les caresses. Elle est très habille. Son doigt sur
mon bouton d'amour fait des ravages. Mes jambes commencent
à flageoler. Mes seins au contact de ses lèvres durcissent.
Un picotement au creux du ventre annonce la venue prochaine
d'un orgasme libérateur. Les yeux fermés, je me laisse aller.
Je sent quelque chose entrer en moi. Mon sexe laisse échapper
ma jouissance, et enfin je jouis appuyé au rayon.
Mes esprits repris, elle se fait chatte et réclame à son
tour des caresses que je lui prodigue sans retenue. Son
copain participe tout en prenant des photos. Elle aussi
est très excitée. Sous les caresses conjuguées de nos mains,
elle vient vite. C'est en mordant le col de son manteau,
qu'elle étouffe les cris de son bonheur.
Après avoir échangé nos mails, on continue chacun de son
coté les courses. Ils m'ont promis de m'envoyer des photos
et de recommencer en présence de Christian d'autres prises
de vues.
Avant de partir, j'appelle Christian et lui raconte tout.
Excité, il ne peut attendre et me donne rendez vous sur
le chemin du retour dans un petit restaurant pour assouvir
le désir éprouvé, pour être ensemble et pour sentir les
mains de l'autre sur nous.
À l'heure ou je vous écrit cette lettre je n'ai pas reçu
de leur nouvelle. Si j'en ai, je ne manquerais pas de vous
raconter la suite.
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