Je m'appelle Hervé. Cette histoire m'est arrivée
dans une grande surface d'habillement. C'était en milieu
de semaine, il n'y avait pas beaucoup de monde dans les
magasins. Après avoir choisi plusieurs pantalons, je suis
allé les mettre dans une cabine d'essayage. Une jeune femme
était en train d'essayer des robes plutôt habillées. Elle
était assez jolie : blonde plutôt grande. Mais, dans l'instant,
je n'ai pas porté attention à elle, tellement préoccupé
par mes essayages que je trouve toujours rébarbatifs.
Après avoir choisi ce qu'il me fallait, je suis sorti de
ma cabine. La jeune femme était en train de se regarder
dans les glaces en faisant une moue dubitative. Elle portait
une robe bustier bien moulante. Cela lui allait très bien,
à part qu'elle avait gardé ses sous-vêtements. Les bretelles
et le haut de son soutien-gorge dépassait de la robe. Celle-ci
moulait si bien ses fesses (fort jolies) que cela faisait
deviner un peu trop fortement sa culotte. Nos regards se
sont croisés et elle m'a demandé ce que j'en pensais. Je
n'ai pu m'empêcher d'être franc :
- La robe vous va très bien mais ce qu'il y a dessous gâche
le tout.
- Oh ! S'il n'y a que ça !
Elle m'a répondu en souriant et, sans pudeur, elle est rentrée
dans sa cabine sans fermer le rideau. Devant moi, elle a
ouvert le haut de la robe, ôter son soutien-gorge et remis
la fermeture éclair. J'avais pu apercevoir dans la glace,
de beaux seins bien ronds. Puis elle a remonté sa robe et
enlevé sa culotte.
- Et maintenant c'est mieux ?
Je n'ai eu aucun mal à lui répondre par l'affirmative. La
robe lui allait parfaitement et, de la savoir nue dessous,
me la rendait encore plus sexy. Je sentais un certain émoi
poindre au niveau de mon entrejambe. J'allais m'en aller
à regret quand elle m'a proposée de lui donner mon avis
sur les autres robes qu'elle pensait essayer.
- Pas de problème, je ne suis pas pressé, lui ai-je répondu.
De la même façon que la première fois, elle n'a pas refermé
le rideau de la cabine. Je n'en croyais pas mes yeux : elle
a ôté sa robe et s'est mise nue devant moi. Une silhouette
superbe ! Comme si de rien n'était, elle a enfilé la nouvelle
robe. Celle-ci était moins moulante et lui allait moins
bien que la première. Je le lui ai dit et elle l'a enlevée
pour en mettre une autre, fendue jusqu'au haut des cuisses.
Cela laissait deviner l'absence de sous-vêtements. Par contre,
la robe la serrait un peu trop au niveau de la poitrine.
En enlevant cette dernière robe, elle m'a demandé laquelle
lui allait le mieux. Je lui ai répondu :
- Vous êtes très belle dans la première, mais... Heu, vous
êtes aussi très jolie comme cela, nue !
- Oh merci ! Mais je ne vais pas aller nue à une soirée
! Vraiment vous me trouvez jolie ?
En prononçant ces mots, elle se regardait dans la glace.
Elle a commencé à soupeser ses seins, à jouer avec eux,
à pincer ses tétons. Je la regardais, médusé, se masser
la poitrine, laisser une main descendre le long de son ventre
et se glisser dans son entrejambe. Elle se caressait devant
moi ! Je jetais des coups d'oeil inquiets autour de moi
pour voir si quelqu'un venait. Mais mes yeux étaient, de
nouveau, attirés par la belle en train de se donner du plaisir.
Le monde ne semblait plus exister pour elle. Les yeux fermés,
elle se caressait. Elle avait écarté les cuisses et son
index s'activait sur son clito. Dans la glace, je voyais
sa petite toison blonde qui semblait bien humide. Ses mouvements
devinrent plus rapide et tout d'un coup,
elle s'immobilisa en laissant échapper un gémissement de
plaisir. Elle serrait les cuisses sur sa main. Elle jouissait.
Comme elle était belle !
Après avoir repris ses esprits, elle s'est retournée vers
moi et a souri en regardant mon bas-ventre qui, comme on
peut le deviner, n'était pas resté insensible. Elle a fait
un pas vers moi et m'a entraîné dans la cabine en refermant
le rideau, cette fois. Elle m'a embrassé doucement pendant
que ses mains ouvraient et baissaient mon pantalon ainsi
que mon caleçon. Elle a fouillé rapidement dans son sac
et en a sorti un préservatif qu'elle m'a rapidement mis.
Debout, un pied sur le banc de la cabine, elle m'a attiré
vers elle et a dirigé mon sexe vers le sien. Je suis entré
en elle, sans forcer, doucement, à fond. Nos
va-et-vient ont commencé, lentement d'abord puis plus rapidement.
Elle m'embrassait fougueusement pendant que je lui massais
les seins. Elle se caressait de nouveau le clito. Je n'ai
pas pu me retenir longtemps. J'ai explosé en elle. Elle
a joui tout de suite après, comme si elle s'était retenue
pour attendre mon plaisir. Nous sommes restés quelques secondes
comme cela, collés l'un à l'autre sans bouger. Elle m'en
ensuite embrassé tendrement, m'a souri et s'est détachée
de mon étreinte. Elle m'a demandé l'heure. Je la lui ai
donnée.
- Oh déjà ! Mon mari doit m'attendre.
J'en suis resté coi. J'ai remonté rapidement mon pantalon
pendant qu'elle se rhabillait en vitesse et qu'elle ramassait
ses affaires et ses robes. Elle m'a déposé un baiser sur
les lèvres et elle est partie, toujours en souriant. Je
l'ai suivie du regard. Elle est allée à la caisse, a payé
sa robe (la première qu'elle avait essayée bien sûr) et
est sortie dans la galerie marchande. Je suis allé également
payer mes emplettes. Je l'ai aperçu dans la galerie. Elle
était au bras d'un homme. Je suis passé à côté d'eux. Elle
m'a souri et m'a fait un clin d'oeil en me montant le sachet
qui contenait la robe.
Je ne l'ai jamais revu !
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