Cadre commercial dans une entreprise, j'étais
amené à me déplacer dans la région sur mes journées de travail.
Parfois, un rendez-vous impromptu m'obligeais à changer
mon planning et notamment à rentrer plus tard que prévu.
J'en informais alors mon épouse afin qu'elle ne m'attende
pas en vain.
Un jour, je devais absolument être à dix-huit heures à une
centaine de kilomètres de mon domicile et je ne serais pas
rentré avant 21h30. Comme d'habitude, je pris le portable,
sagement garé sur le bas-côté de la route et je composai
mon numéro à domicile. Après une bonne dizaine de sonneries,
mon épouse décrocha :
-"Allô ?"
-"Allô, c'est moi, je ne vais pas passer."
J'entendis alors une voix masculine, lointaine, mais parfaitement
audible, dire : "J'adore ta chatte !" puis rien pendant
deux secondes.
-"Allô, chérie ?"
D'un ton dégagé, elle me dit :
-"Excuse-moi, chéri, mais j'ai fait tomber le téléphone."
Le radio-réveil était allumé et on entendait une émission
de radio, la même que celle que j'écoutais sur mon autoradio
!
-"Tu n'es pas seule ?"
-"Si, si, c'est la radio."
Elle me prenait pour un con, visiblement, car l'émission
de radio ne parlait ni d'érotisme, ni d'animaux. J'étais
assommé mais je décidai de temporiser pour réfléchir.
-"Écoute, j'ai un rendez-vous à six heures et demi et je
ne serai pas rentré avant neuf heures, voire dix heures."
-"D'accord, gros bisous et à ce soir."
-"Bisous."
Je raccrochai. J'étais à la fois abattu et excité. Abattu
d'imaginer qu'un autre que moi pouvait admirer les charmes
les plus intimes de mon épouse. C'est une belle brune pas
très grande, avec des seins magnifiques et assez opulents.
Elle n'est pas grosse mais a des formes généreuses très
excitante ! Excité aussi de l'imaginer prendre des positions
pour un autre que moi : une érection commença à poindre.
Je pris alors rapidement une décision : un coup de téléphone
pour repousser
d'une semaine mon rendez-vous suivant et retour au domicile
à toute vapeur pour casser la figure de l'intrus. Mais durant
les 50 km qui me séparaient de mon domicile, je me calmai
et imaginai un tout autre plan, qui me permettait de garder
mon épouse durablement, de profiter du côté excitant de
la situation et de prendre ma revanche.
À peine 40 minutes plus tard, j'empruntais le chemin qui
menait à ma maison, en rase campagne. Sur le côté, à mi-chemin
dans le petit bois, un 4x4 Rover garé. Cela faisait plusieurs
semaines qu'en partant le matin, je le voyais régulièrement
garé là : je l'avais pris pour le véhicule d'un garde-chasse
ou d'un exploitant forestier, mais c'était visiblement un
exploitant d'un autre type. Ce salaud attendait mon passage
avant d'aller lutiner mon épouse. Je me garai juste à côté
du 4x4, notai le numéro d'immatriculation. Un petit coup
de fil à mon pote de la préfecture et j'eus son nom et son
adresse. J'appris même qu'il était secrétaire de mairie
d'un village voisin d'une vingtaine de kilomètres. Je quittai
mon véhicule et continuai à pied jusque dans la ferme que
j'avais retapée. Au lieu d'entrer par la porte principale,
j'entrai par la porte du jardin.
À pas feutrés, je m'avançai jusqu'à la porte de la chambre
que j'ouvris brusquement : je trouvai mon épouse et son
amant nus côte à côte, visiblement épuisés après une partie
de jambe en l'air intense. Ils sursautèrent : leur réaction
fut ensuite fort différente. Mon épouse se glissa dans les
draps et se mit à sangloter. Le gars, honnêtement ni plus
beau garçon que moi, ni mieux membré, devint tout blanc
puis se mit à transpirer, visiblement conscient de ma fureur.
Il fit mine de se lever en disant :
-"Je suis... euh... désolé... je vais vous laisser discuter...
Anne, je te rappellerai ..."
Je me mis à hurler :
-"Toi, tu ne bouges pas ou j'appelle tout de suite la mairie
d'E. et je leur explique comment tu envisages tes fonctions
de secrétaire de Mairie."
Je décidai alors de demander des explications à mon épouse
:
-"Maintenant, à toi de m'expliquer, Anne !"
Elle sortit doucement de ses draps, visiblement émue, honteuse,
les yeux mouillés. En sanglotant, elle commença à se justifier
:
-"Écoute... tu sais, tu es un bon amant, doux, attentionné...
mais j'ai besoin d'un homme qui est un peu plus brutal,
direct... qui me dit des choses crues... qui me fait me
sentir... un peu chienne, tu comprends ?"
-"Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé ?"
-"Tu sais bien que tu n'oses jamais parler de ces choses-là.
Même pour une levrette, c'est moi qui prends l'initiative
!"
-"Tu veux divorcer ?"
-"Non, je t'aime, mais je recherchais du sexe différemment."
Je compris qu'effectivement, je ne devais pas être l'amant
idéal, pour elle : mais j'allais changer çà !
-"Bon, écoutez, tous les deux, on va sortir de cette situation
embarrassante pour tout le monde à ma façon, sinon, ça va
faire très mal pour tout le monde. Vous allez faire ce que
je vous dis et on en restera là. Je reviens tout de suite."
Dans le meuble du séjour, je pris l'appareil photo, un tube
vaseline et des gants de latex dans la salle de bain. Tout
cela trouva sa place dans mon veston. De retour dans la
chambre, je retrouvai les deux amants inquiets.
-"Tu veux des choses crues, Anne ! Tu vas en avoir. Mets-toi
à quatre pattes et écarte tes cuisses salope !"
-"Mais qu'est-ce ?"
-"Ne discute pas !"
Elle s'exécuta, offrant sa croupe à nos regards. Elle était
bandante et nous bandions tous les deux.
-"Toi, Ducon, tu lui lèches l'intérieur des cuisses, mais
pas sa chatte : je veux voir sa mouille perler le long des
poils de sa chatte."
Il s'exécuta. Je pris l'appareil photo et pris un cliché.
À la lueur du flash, les deux s'interrompirent et se retournèrent.
-"Qu'est-ce que tu vas en faire", me demanda Anne.
-"Je les placarderai à E. s'il revient te voir."
-"Mais , c'est..."
-"C'est moi qui décide vous vous souvenez !"
Il reprirent la position. Je bandais très dur, surtout quand
je constatai qu'elle commençait à ressentir du plaisir,
ne pouvant s'empêcher d'onduler. Elle voulut même se toucher,
ce que je lui interdis. Sa chatte était trempée de mouille.
Quelques perles de cyprine commençaient à paraître le long
de ses poils.J'avais déjà fait une bonne dizaine de photos,
toutes plus bandantes les unes que les autres, sous différents
angles.
-"Maintenant, retourne-toi et écarte.", dis-je à Anne.
-"Toi, abruti, pousse-toi."
-"Oui, chéri, prends-moi toute !", me dit Anne.
-"Pas question, ma salope !"
Je sorti mon gant de latex de la poche, l'enfilai et lui
enfonçai le majeur et l'index dans le vagin. Elle était
pleine de mouille et très dilatée. J'étalai tout ce lubrifiant
naturel entre ses seins aux tétons durcis. Je recommençai
plusieurs fois jusqu'à ce que l'espace entre les seins soit
parfaitement lubrifié.
-"Dis moi, enfoiré, elle a déjà avalé quand elle t'a pompé
? Moi, elle n'a jamais voulu !"
-"Non."
-"Et bien tu vas te branler entre ses seins et quand tu
sentiras que ça vient, tu déchargeras dans sa bouche."
Excité comme il était, un dizaine de va-et-vient entre les
seins resserrés par mon épouse autour de verge et il la
plongea dans la bouche de celle-ci puis déchargea. Je vis
mon épouse déglutir au bord du vomissement. Quatre clichés
immortalisèrent l’événement.
-"Je peux aller boire, s'il te plaît ?", me demanda Anne.
-"Pas question, sale chienne, lui répondis-je. Maintenant,
tu vas le nettoyer et le refaire bander."
Elle le nettoya mais Monsieur commençait à être fatigué
et il eut du mal à bander.
-"Lèche-lui les couilles, tu fais ça très bien.", dis-je
à Anne.
L'effet attendu se produisit : il repartit avec une belle
érection.
-"Dis-moi, femelle, il t'a sodomisée ?"
-"Non tu sais que l'idée me fait horreur !"
-"Eh bien cela va être ton baptême."
-"Oh non !!!"
-"C'est comme çà ! Mets-toi en position."
De nouveau en levrette, son visage traduisait une vive inquiétude.
Je sortis mon tube de vaseline et un gant : le reste du
tube passa sur sa fleur et dans son anus. Après avoir franchi
une résistance due à la crispation d'Anne, R. réussit à
la pénétrer et éjacula bientôt. De cette matinée mouvementée,
il resta une série de photos que j'ai caché quelque part.
Il fallut une semaine à Anne pour accepter que je la baise,
mais nos rapports sont devenus très excitants. Quant à R.
je n'ai pas fini de régler mes comptes avec lui. J'ai repris
contact avec lui, qui n'a jamais revu Anne, et j'ai imaginé
une humiliation que je vous raconterai prochainement !
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