Mercredi après midi, je rentrai de mon boulot à 15 heures
30. Je me demandais si je devais me rendre chez Virginie
ou pas. J’allais tout d’abord prendre une bonne douche,
puis j’allai dans ma chambre et je mis de la musique. Je
cherchai rapidement de quoi grignoter dans la cuisine et
quand je revins dans ma chambre, j’entendis quelqu’un qui
m’appelait. C’était trop tôt pour être mes parents. Je me
levai et j’allais à la fenêtre. Je vis Virginie qui était
debout dans son jardin. Elle portait un petit short en jeans
et un t-shirt à fines bretelles qui permettait d’admirer
sa belle silhouette et ses beaux nénés ronds et généreux.
- Salut Thomas, tu aurais un moment pour passer me voir
cet après-midi ?
- Pas de problème, j’arrive dans un quart d’heure, le temps
de finir mon goûter et de laisser un mot à mes parents.
Tu parles que j’avais envie de la voir et de finir notre
petit slow débuté hier soir
- OK, je t’attendrai dans la salle de bains, car j’ai l’impression
d’avoir un problème de fuite et de tuyauterie. Tu sais où
elle se trouve ?
- Oui je m’en souviens. Il faut que je ramène des outils
pour réparer ?
- Non, j’ai tout ce qu’il faut pour réparer, à part qu’il
faudrait que tu me donnes un coup de main.
Pas de problème, j’étais toujours prêt à rendre service
à ma jolie voisine et j’espérais bien un remerciement en
nature de la part de Virginie comme lundi lorsque j’avais
réparé la tondeuse. Maintenant que j’avais laissé de côté
mes principes, je n’attendais que ça. Je finis donc mon
petit encas tout en récupérant 2 capotes dans ma table de
nuit, puis j’écrivis un petit mot à mes parents disant que
je faisais un tour en vélo. Je pris le vélo que je mis dans
le garage de Virginie et j’allai la rejoindre dans la salle
de bain. Et là, quelle ne fut pas ma surprise, elle s’était
changée et portait une robe de chambre longue qui s’arrêtait
à ses chevilles. La robe de chambre était boutonnée à l’avant
et je voyais juste au niveau de ses pieds qu’elle portait
des collants blancs.
Virginie s’approcha de moi et mit sa main au niveau de
mon sexe. Elle me regarda et me dit :
- Thomas, depuis hier soir j’ai un problème de fuite entre
mes jambes et ta tuyauterie semble en mauvais état. Si je
voulais que tu viennes, c’est pour terminer notre petite
danse torride débutée hier soir.
- Mais il n’y a pas de problème Virginie, ça c’est de la
plomberie comme je l’aime !
- Suis-moi, nous allons dans ma chambre. J’ai une petite
surprise pour toi, sous ma robe de chambre, mais il va falloir
que tu la mérites.
Je la suivis dans sa chambre en me demandant ce que j’allais
découvrir sous sa robe de chambre. Elle entra dans la chambre
qui était bien spacieuse et elle alla fermer les volets
afin de préserver notre intimité. Puis elle alluma les lampes
de chevets afin d’éclairer la pièce, mais pas de trop. C’était
une ambiance très romantique. Le lit était au milieu de
la chambre et il était bien grand. Je n’avais plus aucun
problème par rapport à mes principes que j’avais définitivement
enterrés. A peine avait-elle terminé d’allumer les lampes
que j’allai à sa rencontre. J’étais impatient de découvrir
ce qui se cachait sous cette gênante robe de chambre. Ma
main alla vers le bouton du haut de sa robe de chambre pour
l’ouvrir, mais Virginie me tapa sur la main en me disant
:
- Pas si vite, il va falloir que tu mérites ton cadeau.
- Pas de problème, je vois que tu as envie d’approfondir
notre cours de danse d’hier soir. Et je m’approchai de Virginie
pour la serrer contre moi et commencer une danse langoureuse.
Mes mains se promenaient dans son dos et je lui murmurais
des mots doux à l’oreille. Je lui faisais de petits bisous
timides dans la nuque pendant qu’elle me caressait les cheveux.
Pendant cette danse, j’essayais de lui monter son peignoir
qui cachait l’objet de tous mes désirs mais encore une fois,
elle écarta mes mains en me disant de lui prouver que je
méritais réellement son cadeau.
Je mourrais d’envie de savoir ce qu’elle me cachait. Peut
être était-elle nue sous cet horrible peignoir ? Je sentais
déjà que ma verge était bien tendue dans mon slip et le
fit comprendre à Virginie en mettant mes mains sur son cul
et en la plaquant contre moi. Elle me regarda et me dit
en souriant :
- Tiens, la tuyauterie est déjà en meilleur état qu’avant.
Par contre, ma fuite est loin d’être réparée.
Cette petite coquine, la situation la mettait dans un tel
état qu’elle devait être trempée entre ses cuisses. Je regardai
Virginie bien dans les yeux et je rapprochais lentement
mon visage du sien. Je pouvais sentir son souffle chaud
et l’odeur fraîche et parfumée de son eau de toilette. Soudain
ma bouche frôla la sienne et là, n’en pouvant plus et désirant
cette femme qui depuis des jours hantait ma tête et était
l’objet de mes fantasmes, je l’embrassai sur la bouche pour
la première fois. Ce premier baiser avait un goût particulier.
Il était tendre et retenu. Je profitais de chaque seconde.
Ma bouche contre la sienne, je mettais ma main dans ces
cheveux bruns, brillants et soyeux, je fermais les yeux
et je sentais que j’étais transporté ailleurs. Après ce
premier baiser, un second bien plus fougueux suivait. Je
lui mangeais littéralement les lèvres, puis ma langue forçait
un peu afin d’entrer dans sa bouche et je me mis à jouer
avec sa langue. Mes mains redescendaient le long de cette
horrible robe de chambre toujours fermée tandis que les
siennes s’étaient déjà perdues au niveau de mon short. Je
sentais sa main sur mon sexe dur et tendu. J’arrêtais de
l’embrasser et je la regardais dans les yeux en lui disant
:
- Virginie, j’ai vraiment envie de toi, tu m’excites de
plus en plus depuis quelques jours et je n’en peux plus.
Je ne souhaite qu’une chose, c’est te donner du plaisir
et parcourir le moindre recoin de ton corps.
- Moi aussi tu m’excites et j’ai envie de toi depuis notre
sortie à la piscine. Ton corps bien musclé, ton sexe tendu
et prêt à exploser, j’ai envie que tu me fasses grimper
au 7ème ciel. J’ai envie que tu me donnes du plaisir et
que tu t’occupes de moi comme mon mari ne le fait plus.
Après ces paroles, elle se tourna pour aller vers le lit
mais je la retins par les bras et me plaquai derrière elle
pour l’embrasser goulûment dans sa nuque tout en lui disant
que j’avais vraiment envie d’elle. Mon sexe, plus tendu
que jamais, était plaqué contre son cul rebondi et ferme
et elle le cambrait pour qu’il soit bien en contact. Elle
pivota légèrement sa tête vers moi et je l’embrassai immédiatement
sur la bouche, alors que mes bras l’enlaçaient au niveau
de la taille. Ma main droite remontait pendant notre fougueux
baiser et commença à déboutonner l'un après l’autre les
boutons de cette horrible robe de chambre. Tout en déboutonnant,
ma main effleurait sa peau douce. Quand je m’approchai de
ses seins, je sentis un tissu. Elle n’était donc pas nue.
Je pris un sein dans chacune de mes mains tout en continuant
d’embrasser Virginie dans le cou et elle, pendant ce temps,
descendait mon short et tripotait mes fesses. Je sentis
les tétons durcir sous le fin tissu, grâce à l’action du
massage que je réalisais et Virginie me demanda de poursuivre
tout en se contorsionnant légèrement. Ce frottement de son
cul sur mon sexe ne faisait que raidir et durcir ma verge.
Je pétris ses seins fermes bien chauds encore un petit instant.
Je décidai de continuer mon effeuillage et j’ouvris les
boutons suivants. Je sentais encore le tissu sur le haut
du ventre de Virginie. Elle devait porter un body. Je n’arrivai
plus à descendre plus bas avec mes mains et je décidai donc
de tirer sur chacun des pans du peignoir pour défaire les
derniers boutons pression qui étaient encore fermés. Ensuite,
je fis glisser lentement la robe de chambre le long des
épaules de Virginie tout en couvrant chaque parcelle de
sa peau de petits bisous humides et chauds. Je sentis Virginie
frissonner sous chacun des contacts de ma bouche avec sa
peau. Je découvris lentement ses épaules puis, je lâchai
la robe de chambre qui tomba à ses pieds. Et là, je pus
enfin découvrir le cadeau que Virginie m’avait préparé.
- Ca te plait ? Me demanda-elle en se retournant.
Si ça me plaisait. Jamais je n’avais vu une si jolie femme,
tellement sexy et vêtue d’une lingerie si affriolante. Quelle
merveille ! Elle était à croquer. Elle portait un ravissant
ensemble blanc composé d’une guêpière en tulle brodée, avec
de fines bretelles. Cette guêpière était ravissante, raffinée
et transparente ce qui me permettait de deviner les aréoles
et les tétons des seins de Virginie. La guêpière avait la
forme d’un bustier et était fermée par des agrafes dans
le dos. De la guêpière partaient les élastiques de la jarretière
qui passaient sur une ravissante culotte assortie au haut
et largement échancrée. Ces élastiques continuaient sur
les belles cuisses dorées et rondes de Virginie et rejoignaient
des bas blanc unis qui habillaient les magnifiques jambes
de ma voisine, soulignant leur joli galbe et tranchant avec
leur teint mat.
Elle était sexy et terriblement sensuelle et je n’avais
plus qu’une envie qui était de connaître le plaisir avec
Virginie.
- Alors qu’est ce que tu en dis ? Ma surprise te plaît-elle
?
- Oui, tu es magnifique. Jamais je n’ai vu une femme si
sexy et si désirable. J’ai envie de toi et tu m’excites.
- Toi aussi, Thomas tu m’excites. J’ai très envie que tu
me déshabilles et de te sentir tout contre moi. Enlève tes
chaussures et viens.
J’exécutai immédiatement son ordre, enlevant mes chaussures
et mes chaussettes. Virginie était là, devant moi et vint
de s’allonger sur le lit. Je m’approchai d’elle et commençai
par dérouler lentement un premier bas puis le second. Ces
jambes étaient lisses et douces. Une fois le second bas
enlevé, ma bouche se posa sur son pied et je remontai lentement,
la couvrant de petits bisous.
Je ne voulais pas aller trop vite même si je désirais ardemment
Virginie. Arrivé à sa petite culotte, je devinai qu’elle
avait déjà sa petite chatte bien humide. Je glissai donc
un doigt sous la culotte pour aller fouiller son intimité.
Sa foufoune était trempée, mais mon doigt s’attarda sur
son clitoris. Lorsque je commençai à le toucher, elle lâcha
un cri de plaisir et se cambra vers moi. Je le titillai
et je sentis que Virginie réagissait au quart de tour au
moindre contact. Avant de lui enlever sa culotte je décidai
de m’attaquer à la guêpière. Mes bras passaient de sa culotte
dans son dos et lorsque j’atteignis les agrafes, je les
ouvris lentement, une après l’autre. Virginie semblait vouloir
accélérer un peu les événements. Pendant que je dégrafais
la guêpière, elle plaça les mains sur mes fesses et me descendit
mon short et mon slip en une seule fois. Je venais d’ouvrir
la guêpière dans sa totalité. Je me relevai donc pour faire
glisser mon short et mon slip le long de mes jambes et Virginie
se mit à genoux sur le lit. Je la rejoignis et m’installai
dans la même position qu’elle, juste en face. Elle me leva
les mains, puis m’ôta mon t-shirt. A mon tour, je fis glisser
les bretelles de la guêpière le long de ses épaules et Virginie
l’aida à tomber entièrement et à dévoiler ses magnifiques
nichons. Elle était superbe et lorsque je vis ses seins,
je n’eus qu’une envie, c’était de les embrasser. Ma main
prit donc un sein et j’approchai ma bouche pour le léchouiller.
Ma langue titilla son téton, puis, je le mordillai légèrement
et Virginie se tortillait déjà de plaisir pinçant sa lèvre
inférieure pour retenir un gémissement de plaisir. Après
le sein droit, je réservais le même traitement au sein gauche,
pendant que Virginie avait ma bite en érection dans une
main et l’autre main qui se promenait dans mon dos. Elle
me griffait légèrement et j’adorais. Quelle tigresse !
Cependant, j’en voulais plus et je descendis donc mes mains
jusqu’à atteindre sa culotte. Je passai un pouce de chaque
côté et je descendis lentement le dernier bout de tissu
qui habillait Virginie, laissant enfin découvrir ce petit
coin de paradis que je convoitais tant depuis quelques jours.
Sa chatte était bien humide et était recouverte d’une petite
touffe de poils taillée en triangle juste au-dessus. Cet
endroit humide semblait bien chaud et accueillant.
Virginie me demanda de m’allonger. Elle se leva et enleva
entièrement sa culotte ce qui me permit de voir ses belles
fesses rondes et fermes en totalité. Quel beau cul elle
avait ! Avant de m’allonger sur le lit j’en profitai pour
sortir les 2 préservatifs que j’avais emmenés pour les poser
sur la table de chevet la plus proche.
- C’est bien, tu es prévoyant me dit Virginie en me souriant.
J’espère qu’il y en aura assez de 2. Mais rassure-toi j’ai
fais des emplettes ce matin pour acheter ma petite tenue
sexy et j’en ai profité pour acheter quelques capotes.
- Tu as acheté cette tenue juste pour moi ? J’en suis flatté
et ça me touche beaucoup. J’ai vraiment envie de toi. Viens
vite, ton problème de fuite à l’entrejambe n’est pas résolu.
Je m’allongeai sur le lit et Virginie s’agenouilla à côté
de moi. Elle prit mon sexe dans une main et approcha sa
bouche. Ma main, quant à elle ne restait pas inactive et
se dirigea vers son beau cul pour caresser ses fesses. Je
fis avancer mes doigts pour trouver l’entrée de sa grotte
bien chaude. C’est alors que Virginie passa une jambe au-dessus
de moi et s’allongea sur moi mettant son cul juste devant
mon nez. Je la sentis qui léchait mon gland décalotté. Je
décidai donc d’en faire autant et j’écartais ses fesses
avec mes deux mains. Je voyais sa belle chatte rasée et
trempée. Je commençai à léchouiller sa chatte trempée de
désir. C’était bon, l’odeur de son jus m’enivrait. A la
fois sucré et légèrement acidulé. Après avoir lécher son
sexe, ma langue alla titiller son clitoris et elle lâcha
un râle de plaisir. Ensuite elle mit ma verge dans sa bouche
le plus profond possible tout en caressant mes couilles
remplies de ce sperme que je voulais déverser dans le sexe
humide et bouillant de désir de Virginie.
Cependant avant de passer à cette étape, je commençai à
fouiller l’intimité de Virginie à l’aide de mes doigts.
Je mis d’abord un premier doigt à l’entrée de son vagin.
Il glissa tout seul tellement son sexe était lubrifié. J’en
glissai donc un deuxième et entrepris un lent va-et-vient
en touchant les parois interne de son vagin. Virginie se
tortillait sur mes 2 doigts. Elle ne voulait plus retenir
son plaisir.
- Viens Thomas, je n’en peux plus, j’ai envie que tu me
baises et que tu me fasses jouir.
Elle se redressa et je lui tendis un préservatif. Elle
l’ouvrit et le plaça sur ma verge tendue, puis elle le déroula
lentement jusqu’à la base de ma hampe bien grosse et bien
dure.
- Moi aussi, j’ai envie de te baiser, car tu m’excites
tellement depuis quelques jours. Je veux te faire jouir
en mettant ma grosse bite dans ton sexe bien chaud et humide.
- Vas-y, j’attends ça depuis si longtemps. Donne moi du
plaisir. Je veux sentir ta queue dans mon sexe brûlant de
désir. Ton gros mandrin est prêt à venir, il a mis sa tenue
de travail.
Virginie était toujours sur moi et je voyais son dos. Elle
se leva et se retourna. Je voyais au-dessus de moi son beau
sexe entouré des 2 grandes lèvres. Je pris mon sexe en main
pour le mettre bien droit et Virginie descendait lentement
sur moi pour venir s’empaler sur mon mandrin. Le moment
que j’attendais tant était enfin arrivé….
Mais quel était ce bruit ? C’était le téléphone qui était
sur la table de chevet qui venait de sonner.
- Ne décroche pas Virginie, j’ai tellement envie de toi.
Si c’est urgent la personne rappellera.
- Non, je décroche. Cette sonnerie est celle qui est programmée
pour le portable de mon mari. Il est 18h et je suis toujours
à la maison à cet heure-là. Si je ne décroche pas, il se
posera peut être des questions. Ce n’est que l’histoire
de quelques minutes et je suis de nouveau toute à toi mon
amour.
Elle se leva et s’assit sur le lit. Le temps de reprendre
un peu son souffle et elle décrocha. C’était effectivement
son mari. Après une discussion de 5 petites minutes, elle
raccrocha le combiné et se tourna vers moi.
- Je suis désolé Thomas, il va falloir qu’on remette ça
à plus tard. Mon mari m’a appelé pour me dire que sa sœur
qui habite à une vingtaine de kilomètres de là venait de
le contacter et comme elle avait appris que j’étais seule
à la maison, elle lui a dit qu’elle passait me voir. Il
ne faudrait pas qu’elle nous prenne la main dans le sac.
J’étais déçu et dépité. Si près du but.. Elle me regarda
et me dit alors :
- C’est demain que tu ne travailles pas ? On aura toute
la journée pour nous deux, je te le promets. Tu viendras
dès que tes parents seront partis et on fera ce qu’on meurt
d’envie de faire tous les deux et qu’on n’a pas pu terminer
maintenant. Et elle s’approcha de moi pour m’embrasser fougueusement
sur la bouche en caressant une dernière fois mon sexe en
train de retomber.
- Pas de problème, je serais là demain matin Virginie et
on prendra du plaisir ensemble. Vivement demain, je suis
impatient.
Nous rangeâmes la chambre et chacun se rhabilla et je dis
à Virginie que j’étais vraiment pressé d’être demain matin
et que l’attente serait longue. Je redescendis à la cave
avec Virginie pour chercher mon vélo et nous nous embrassâmes
encore une dernière fois. Je n’avais pas envie de la laisser
et j’étais frustré de ne pas avoir été jusqu’au bout. Elle
m’accompagna au portail et je venais à peine d’enfourcher
mon vélo qu’une voiture arriva en klaxonnant. C’était la
belle-sœur de Virginie que je haïssais à cet instant précis.
Merci pour vos commentaires et à bientôt pour la suite.
Auteur
|