Ce matin-là j'étais convoqué à un entretien
d'embauche, sans me douter que celui-ci ne serait pas comme
les autres…
J'avais sorti la tenue adéquate pour ce genre de poste
: bottes, jupe fendue noire et juste un petit gilet blanc
en haut, avec mon manteau long je n'avais pas froid. Je
m'étais maquillée avec soin et mis une touche de rouge à
lèvres.
J'arrivais un peu en avance et la secrétaire me demanda
de patienter dans le hall, le directeur n'en avait pas pour
longtemps. J'étais comme d'habitude un peu stressée et je
me forçais à rester en place et à paraître détendue sur
ma chaise.
Soudain la porte du bureau s'ouvrit, et un homme en costume
cravate apparu devant moi. Il devait avoir à peine 40 ans,
un regard chaleureux et un charme provocateur… il
me fit signe de rentrer dans son bureau. Je suis passée
devant lui en répondant à son sourire, finalement la pression
commençait à retomber.
Assis derrière son bureau, il commença à m'expliquer en
quoi consistait le poste et me demanda des précisions sur
mon CV. Il paraissait accorder beaucoup d'importance à la
partie « Loisirs »… mais je me gardais bien de lui
faire la moindre allusion à mon loisir préféré : le sexe.
L'entretien touchant à sa fin, il se leva, précisa qu'il
me recontacterai dans la semaine et m'accompagna à la porte.
Et c'est là que tout à basculé. Il me plaqua contre le mur
en m'embrassant, une main sur ma nuque et l'autre sur mon
sein. Surprise, je n'essayais même pas de le repousser,
il commençait déjà à me faire de l'effet le salaud, me malaxant
la poitrine tout en m'embrassant dans le cou. Puis sa main
releva ma jupe lentement et je sentit ses doigts sur mon
string, tâtonnant à la recherche de mon clitoris. Il glissa
sa main sur mon sexe et vérifia mon degré d'excitation en
glissant un doigt dans ma fente tiède. Il déboutonna mon
gilet et sortit un sein de mon soutien-gorge pour pincer
mon téton. Je gémissais de plaisir, mouillant comme une
folle.
Il m'emmena vers son bureau et sortit son pénis de son
pantalon, une superbe bite bien épaisse et déjà toute raide.
Il me fit la sucer et je m'appliquais à la tâche, léchant
son gland avec délectation, tandis qu'il cherchait dans
un de ses tiroirs un préservatif. Il m'allongea et entrepris
de me bouffer la chatte, il s'appliquait sur mon clitoris
tout gonflé et aspirait mon nectar. Sans doute profita-t-il
de ce moment pour mettre sa capote car lorsqu'il se redressa,
il me releva les jambes et me pénétra d'un seul coup. Je
ne pu m'empêcher de pousser un petit cri de surprise. Il
ne disait toujours rien, mais je voyais le plaisir sur son
visage. Il se retira puis s'enfonça de nouveau au plus profond
de ma chatte, j'avais du mal à me retenir de crier tant
c'était bon de se faire limer ainsi. Il me fis jouir à me
défoncer comme la pute que j'étais, totalement offerte…
Il me pinçait les seins en me baisant avec force, je ne
pouvais plus retenir mes gémissements.
Il me pilonnait depuis un moment déjà quand la secrétaire
entra dans le bureau. Je ne l'avais pas entendu frapper…
Elle apportait un devis qu'elle posa sur une étagère, pas
le moins du monde choquée par la situation. Elle semblait
même quelque peu amusée et me souri gentiment. Elle enleva
sa jupe et sa veste. Elle ne portait qu'un porte-jarretelles
et des bas. Elle se mit à quatre pattes sur le bureau, sa
chatte sur ma bouche tandis qu'elle me caressait le minou
qui continuait à se faire défoncer. Je la léchais goulûment,
aspirant sa mouille et la pénétrant avec ma langue. Lui
se retira un moment, demanda à sa secrétaire si je la léchais
bien. Elle acquiesça. Alors, me traitant de belle salope,
il me dit que je méritais bien de me faire enculer.
Ce qu'il fit. Il me l'enfonça doucement pendant que sa
secrétaire crachait sur sa bite pour la lubrifier au fur
et à mesure. Je le sentis pénétrer dans mon cul et ça me
faisait du bien. Quand ses couilles touchèrent mes fesses,
que sa queue était entièrement en moi, il poussa sa secrétaire
et lui dit quelque chose que je n'entendis pas, je gémissais
de plaisir à le sentir m'enculer aussi profond. Il me sodomisait
de plus en plus violemment, comme il venait de le faire
avec ma chatte, me labourant sans ménagement.
La secrétaire sortit d'un tiroir un gode énorme et me l'introduisit
dans la chatte. Je me mis à gueuler comme une putain, c'était
trop bon d'en avoir deux grosses dans chaque trou ! Et ils
se mirent à me défoncer en rythme, tout en me traitant de
chienne bonne à se faire mettre… Je jouis comme une
folle, j'avais le cul en feu mais le plaisir était plus
intense que la douleur. Ils ralentissaient pour repartir
de plus belle, me faisant crier de plaisir. J'étais une
vraie salope, allongée là sur un bureau, à me faire mettre
les deux trous par deux inconnus…
Puis ils cessèrent de me fourrer et la secrétaire enleva
la capote du directeur. Il monta à genoux sur le bureau
à mes côtés et vint mettre sa belle queue luisante et ses
couilles épilées au-dessus de moi, mais je ne pouvais pas
les lécher. La secrétaire s'allongea sur moi et se mit à
me doigter tout en engloutissant la queue devant elle. C'était
terriblement excitant de voir cette fellation en gros plan
et cette salope me fistait maintenant la chatte avec ardeur.
Je me tordais de plaisir, je sentais sa main s'enfoncer
de plus en plus… Je mouillais à n'en plus finir, j'étais
si excitée que je lui pelotais ses seins fermes en la regardant
lécher cette bite qui s'offrait à elle. Sa main avait disparue
dans mon trou béant et elle semblait apprécier mes caresses,
sa respiration était haletante, elle gémissait aussi. Puis
j'entendis un râle, il sortit sa bite et déchargea à la
fois sur mes seins et sur le visage de sa secrétaire qui
n'en perdait pas une goutte… et qui se mit à me lécher
consciencieusement, tandis qu'il m'enfourna sa bite dans
ma bouche pour la nettoyer.
Tout en se rhabillant dans le bureau, il avoua que j'étais
une vraie salope, à la hauteur de sa secrétaire, à qui il
demanda son avis : oui, j'étais embauchée sur-le-champ !
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