Apres cette journée aux sources d'eau chaude, je suis plus tout à fait le
même je regarde toujours les filles, mais je ne peu m'empêcher de regarder
le bas du ventre de certains hommes.
Je remarque dans les rues le regard de certains hommes, pendants la visite
des souks des mains me caressent les fesses, dans les endroits bloqués par
la foule des doigts s'insinuent dans ma raie, certain en profitaient pour
presser leur sexe entre mes fesses ou contre ma cuisse. J'avais peur que
les personnes avec qui je voyage remarquent quelque chose.
Tous ces attouchements me troublaient, parfois me faisaient bander,
partagé par un sentiment de honte et un plaisir d'être sollicité, de faire
naître du désir.
De retour a Islamabad Rachid nous dit qu'il y a un Hamann a l'hôtel mais
que s'est mieux d'aller a ceux qui sont en ville.il va chez des amis qui
habite près d'un Hamann pour manger, qu'il peut emmener et ramener tous
les homme qu'ils veulent y aller, qu'il part vers 19heures.
Je suis le seul vouloir y aller, Rachid me dépose devant l'entré et me
donne rendez vous à 22 heures à la fermeture.
Il est très beau les murs sont recouverts de mosaïques, Je suis accueilli
par un home qui me tend une serviette et me montre une cabine quand je
sorts la serviette nouée autour de la taille, il prend mes affaires les
posent dans un casier et me temps un élastique avec un numéro et me montre
comment le mettre autour de mon poigner et me désigne un escalier. En bas
il fait très sombre l'ambiance est feutré, la douche est collective un
homme nu se lave, embarrassé j'ôte ma serviette et je me douche.
L'homme me regarde étonné sans de voire un touriste. Il se passe de
l'huile sur le corps, surtout sur ces très gros testicules, sur son sexe
long et épais me provoquant d'un clin d'oil.
Embarrassé je me dépêche et me dirige dans un couloir qui me conduit dans
une salle entourée de bancs en marbre, au milieu il y une table aussi en
marbre ou un homme en masse un autre avec un gant de crin.
Je continue l'air est plus humide je passe devant une porte vitré ou on
aperçoit des ombres noyées dans la vapeur. Je continu et j'arrive dans une
salle avec des banquettes remplies de coussins un home allongé sirote un
thé. A l'évidence je suis le seul touriste ce qui me crispe un peu. Je
retourne au haman et m'installe dans une alcôve on ne voit que des ombres,
il y a un feulement qui me fait tourner la tête, une main puissante
empoigne mon poignet, mes doigts entrent en contact avec une bite dur et
tendue, je me dégage et sort.
Se n'est pas la première fois qu'un me prenait la main et la posait sur
son sexe, ce qui ne laisse aucun doute sur ces intentions, j'ai fais une
tentative décevante, le type m'à enculé a joui rapidement et il est
parti. Je n'ai rien ressenti et pris aucun plaisir, je ne voulais pas
recommencer.
J'arrive à escalier, l'homme de la douche me barre le passage je ne
comprends pas ce qu'il dit, son corps huilé fait ressortir ces muscles.
Dominateur il dénoue sa serviette dévoilant deux énormes couilles,
surmontées d'une bite raide et noueuse avec un gland qui trône nettement
au dessus de son nombril.
Ahuri, je regarde effrayer ce sexe complètement rasé, dressée comme i. Il
profite de ma stupeur, pour me plaque fermement contre le mur, ca jambe
glisse entre mes cuisses les écartent, son index s'enfonce brutalement
dans mon anus. Sa main remonte m'obligeant à me hissé sur la pointe des
pieds, il arrache ma serviette, me pousse en grondant jusqu'à la table de
massages déserte.
Je résiste, mes mains glissent sur son corps huilé
Il me prend fermement mes couilles et les serrent pose ma main sur sa
bite, mes doigts instinctivement se referme sur ca hampe. Cela le fait
sourire. Des que mes doigts quittent sa bite, il m'écrase les couilles et
serre jusqu'à ce que mes doigts entourent de nouveaux ca bite.
Il me regarde droit dans les yeux et enfonce son pouce, me titille l'anus,
me faisant comprendre ces intentions
Je lui fais « Non » de la tète, effrayé par ce sexe énorme. il est
arrogant et vindicatif, il me plaque sur la table, paniqué je me débats
son corps huilé rend la lute inégal ces mains écrasent mes reins, écartent
mes fesses ca bite remonte dans ma raie son gland pousse sur ma pastille
et glisse dans ma raie.
« J'hurle non ! Non ! No ! No ! Non ! Tu es trop gros ! Non ! »
« Tu me fais mal ! Arrête ! Arrête ! Haaaaiiiiiiiieee ! haaaaiiieee ! »
Il recommence plusieurs.
Devant ma résistance, il me lâche soulagé, je me redresse.
Il se précipite sur moi fou de rage, me bloque contre le mur en rugissant,
relève mes cuisses je sens le gland sur ma rondelle.
Je le griffe, tambourine de mes poings son torse.
Je lui cris - « T'est trop gros ! Not ! Not ! »
Ca l'excite.
Il fait « oui »avec ca tète, relâche légèrement mes cuisses, ma rondelle
sous la pression s'élargit à l'extrême, se rompt, son gland introduit,
dans mes reins.
J'hurle, Je m'accroche à son cou, glisse sur se corps huilé, millimètre,
par millimètre je m'empale sur son mandrin jusqu'aux couilles
J'ai le souffle coupé, des larmes coulent sur mes joues. J'ai l'impression
que mes fesses vont se séparer.
Il parait satisfait, sourit
Il soulève mes fesses et me fait coulisser sur son pieu de chair avec
vigueur.
Mes bras brassent l'air Sans s'occuper de mes cris Il me trimbale jusqu'à la table, mon dos entre en contact avec le marbre
froid, il relève mes jambes les posent sur ces épaules tout en me
sodomisant de plus belle.
Je n'ai plus la force de lutter, de crier, je sui pris d'un plaisir
masochiste je bande honteux, de ne pouvoir cacher le plaisir qui monte en
moi.
Ca le fait sourire ca bite quitte mes reins il me retourne, me place en
travers de la table. Dompter je laisse ces mains écarter mes fesses, ma
pastille n'offrant plus de résistance il m'encule toute ca longueur à
grand coup de butoir bousculant tout sur son passage au plus profond de
moi. Tout mon cul se ramollit, s'ouvre à ce pieu qui me pistonne les reins
le plaisir monte en moi et je joui en longues saccades.
Satisfait il quitte mes reins me laissant le cul ouvert, et sans force, il
fait le tour de la table prend ma tête dans ces mains enfonce ca bite
entre mes lèvres, son gland empli toute ma bouche me faisant mal aux
jointures.
Un jet puissant et abondant envahie ma bouche surpris j'éructe du sperme
sort de mes narines, et aux jointures des mes lèvres distendues, il
enfonce son gland au-delà de ma glotte m'obligeant à déglutir ca liqueur
jusqu'à la dernière goutte.
Il bredouille des mots incompréhensibles, je ne peu m'empêcher de toucher
ma rondelle brulante et débridée, il claque mes fesses le sourire aux
lèvres et disparaît.
Je reste un long moment engourdi, le cul éclaté, fataliste je me dirige
vers la sortie ou Rachid m'attend.
Il me regarde en souriant, ca ta plus ?
Tu as fait la connaissance de mon cousin
Je comprends qu'il tout organisé.
Le voyage n'est pas fini.
kado
|