Je suis mariée depuis 17 ans à un industriel
riche mais assez souvent absent et très jaloux. Nous
faisons régulièrement l'amour quand il est
là et je croyais que celà me suffisait.
Nous avons acheté une grande maison que nous avons
entrepris de restaurer. Ne travaillant pas, j'ai été
promue maître des travaux. Mis à part la plomberie
et la toiture qui ont été faites avant notre
emménagement, il fallait refaire toute l'installation
électrique. Les devis effectués nous engageons
une petite entreprise d'électricité au mois
de juin. Le 15 juin, arrivent un ouvrier et le patron (ce
dernier étant fort attirant et ne me laissant pas
insensible), ils travaillent une bonne partie de la journée
et me disent qu'ils reviendront le lendemain. Mon mari,
le soir était apparemment satisfait des prestations,
le travail avait bien avancé et ils comptaient me
mettre en service la moitié de la maison dès
le lendemain.
Le lendemain matin 8h, le patron arrive seul, discute avec
mon mari pas encore parti et commence à travailler.
Vers 11h, je l'entends m'appeler. Il voulait me montrer
le fonctionnement du disjoncteur qu'il venait de mettre
en service. Je me rends avec lui dans le garage (le tableau
électrique se trouvant dans un réduit), et
il m'explique ce qu'il faut faire si ça disjoncte
puis soudain il fait disjoncter volontairement.
- Donnez moi votre main, je vais vous montrer où
il faut appuyer
Je lui tends ma main qu'il serre fort dans la sienne en
l'approchant de son pantalon. Je suis tout à la fois
apeurée, en colère et excitée. Je sens
une tension à travers son pantalon et je trouve excitant
l'idée que ce soit moi qui provoque une telle réaction.
Je lui demande quand même ce qu'il fait.
- J'ai trop envie de vous, me répond-il, vous m'excitez!
et je suis sûre que je ne vous laisse pas de marbre.
Oh que non, il ne me laissait pas de marbre, je sentais
déjà une légère humidité
entre mes cuisses et le bout de mes seins devenir durs.
Avant que j'aie eu le temps de répondre, il avait
une main sur un de mes seins qui prouvait qu'il disait vrai.
Il commença à caresser ma poitrine forte et
ferme qui réagissait sous ses caresses sans que je
puisse maîtriser la situation. Il releva ma robe,
légère et fluide, pour avancer une main dans
mon entre-jambes. Il poussa d'un doigt l'élastique
de mon slip pour arriver sur une chatte mouillée,
débordante d'envie. Je ne pouvais plus le repousser,
et d'ailleurs je n'en avais pas envie.
- Tu es mouillée, tu as envie?
- oui, me surpris-je à lui murmurer.
Ma main commença à caresser ce membre dur
au travers du pantalon et tandis que je voulais le libérer,
Guy (c'est son prénom) m'incita à poser une
jambe sur un marche-pieds à côté après
avoir enlevé ma petite culotte. Ses doigts me fouillaient
littéralement. Il se baissa, mit sa tête entre
mes cuisses et entreprit de me lécher, tout d'abord
le clito, et ensuite toute la chatte. Je gémissais
de plaisir, il rentrait sa langue loin au fond de moi et
aspirait ma mouille abondante. Quand j'ai eu joui, il se
releva, il prit mes lèvres et pétrit mes seins
me poussant à l'extérieur du réduit,
je m'arrêtai contre ma voiture. Il me demanda de m'accroupir
et de le sucer, ce que je fis sans discuter, jamais je n'aurais
cru avoir autant envie de sucer une queue comme ça,
j'y ai mis tout mon cour et ça a eu l'air de le satisfaire.
J'étais en train de jouer avec son gland quand une
giclée de sperme jaillit sur ma joue, je repris son
pieu pour boire le reste. Mais il ne débanda pas,
il me releva, me coucha sur le capot.
- Tu as l'air d'aimer ça ma petite chienne.
Jamais on ne m'avait parlé comme ça. Mais
j'aimais ça!
Il me mit un doigt dans la chatte pour le lubrifier et commença
à stimuler mon petit trou en étoile. Je le
suppliais de me prendre, ce qu'il fit doucement au début,
puis il me pilonna sans tarder en me disant :
- Que tu es bonne, mon dieu que tu es bonne! Je vais te
prendre le cul.
Il se retira, pris une vieille couverture qu'il étendit
par terre, et me fit mettre à 4 pattes. Il me prit
en levrette, encore plus fort et il avait introduit un doigt
puis deux dans mon anus lubrifié par ma mouille abondante
et épaisse. Il me fit jouir comme ça et sortit
de ma chatte brûlante pour me prendre le cul, j'ai
poussé un cri de douleur au début mais il
m'a calmée en remettant ses doigts dans ma chatte
et en me titillant le clito avec son pouce.
- Jouis ma salope à moi, jouis! Tu accepteras que
je te baise quand je viendrais?
- Ouiiiii quand vous voudrez.
J'ai joui à plusieurs reprises. Jamais, je n'ai joui
autant de fois d'affilée. Il a déversé
son foutre dans mon cul.
Il s'est rhabillé et a continué son travail.
Je suis montée à la salle de bains et la sensation
de sentir du sperme couler de mon anus fut tellement forte
que j'avais envie qu'il me reprenne. Je n'osais pas le lui
dire.
Le soir, quand mon mari est rentré, il m'a trouvée
radieuse. Une subite envie de me baiser le prit à
son tour et après une petite caresse habituelle entre
mes cuisses et il dit :
- Tu m'as l'air bien chaude ce soir.
- Oui, j'ai envie de toi lui répondis-je
Je ne pouvais pas lui dire autre chose.
- Tu crois que ça va attendre que l'on monte dans
notre chambre?
- Non, je ne crois pas dis-je en enlevant ma robe
Je ne sais pas si c'est une réaction de cause à
effet mais il m'a fait l'amour comme ça faisait longtemps
qu'il ne l'avait pas fait.
Quelle journée ce 16 juin!
Quant à mon électricien, je le revois de temps
en temps. J'ai toujours des pannes à la maison! et
il répare TOUTES les pannes. Depuis cette expérience,
j'ai besoin de sexe et toutes les occasions sont bonnes
pour me faire baiser.
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