- Oh mon chéri, comme tu me caresses. Gratte bien à cet endroit. Mouille ton
doigt dans ma chatte, gémit Nadine.
- Mais maman, ça fait deux fois que je te doigte, ton clitoris est tout
rouge, répond Fabien.
- Tu sais que je me régale, t'arrêtes pas, fais-moi jouir.
Nadine, jolie blonde de quarante-deux ans, est allongée sur le lit,
entièrement nue, jambes écartées. Fabien, âgé de dix-huit ans, a un genou
sur le lit et un autre posé au sol. Ça fait une demi-heure qu'il caresse le
bouton de sa mère. Nadine glisse une jambe entre les cuisses de son fils.
Elle écarte le slip et lui sort les attributs.
- Quelle belle queue tu as, bien décalottée. Je vais te branler, tu verras
comme tu seras bien mon chéri.
Fabien fait un bond sur le canapé.
"C'est quoi ce rêve que j'ai fait, coucher avec ma mère".
Il va vite à la salle de bains se passer un coup d'eau fraîche sur le
visage.
"Où est maman ?", se demande-t-il.
- Maman, maman, où es-tu ? crie Fabien.
Pas de réponse. Il monte à l'étage. La porte de la chambre est entrouverte. Et là, il découvre une scène ahurissante. Sa mère est à genoux
sur le lit, appuyée sur les mains, et se fait prendre en levrette par son fils ainé, Yann, âgé de vingt-deux ans.
- Haa... Ha... saalaaud, dit-elle. Comme tu me niques. Tu n'as pas honte de faire ça à ta mère. Oui, vas-y mon chéri, fais-moi jouir.
- C'est pas bon ça, hein m'man ? Un bon coup de queue. Tu sens comme je te
baise, moi aussi je viens. Ouah, comme tu es bonne maman, ha...
Yann se retire et vient se placer devant sa mère.
- Ouvre la bouche, dit-il.
Yann tient sa queue en main et se branle au bord des lèvres de Nadine. Les
jets de sperme giclent au fond de sa gorge. Elle suce le gland, pendant
que Yann, par de lents va-et-vient, évacue les dernières gouttes. Nadine
s'écroule sur le lit, les yeux fixés au plafond.
Derrière la porte, Fabien a sorti son sexe et se fait une petite gâterie.
- Qu'est-ce-que tu as maman, tu n'as pas aimé aujourd'hui ?
-Oh si mon chéri, répond Nadine. Tu es un amant merveilleux. Mais il faut
arrêter cette relation, c'est pas bien. Rends-toi compte si ton père et
ta femme le savaient. Et ton frère, il pourrait me faire chanter.
- Je te comprend maman, répond Yann, c'est toi qui décide. Quant à ma
femme, je l'ai surprise au lit avec ma jeune voisine.
- Ah bon, s'étonne Nadine, Carla est lesbienne ?
- Ben oui, une fois par semaine elle se fait gouiner. Elle y est en ce
moment.
- Et tu ne dis rien ? demande Nadine.
- Elle est tellement heureuse. Je les ai vues une fois, en cachette. Si tu
savais comme la voisine est vicieuse. Comme elle la fait hurler de
plaisir.
- Arrête, dit Nadine, tu m'excites salaud.
- Tu n'aurais pas des pensées lesbiennes ? Vicieuse, va. Bon, je vais y aller.
- Tu m'embrasses pas ? demande-t-elle.
Il se tourne. Le baiser est torride.
La semaine suivante, Yann profite de l'absence de Carla pour rendre
visite à sa mère. Il arrive à la villa vers quinze heures. Il
rentre et monte directement à la chambre de sa mère. Là, devant la porte
entrouverte, Fabien. D'un doigt devant la bouche, il lui fait signe de
ne pas faire de bruit. Yann croit rêver. Nadine et Carla sont toutes nues,
allongées sur le lit. Nadine a glissé deux doigts dans la fente de Carla,
qui agite ses jambes et ondule des hanches.
- Tu es une petite pute toi, dit Nadine. Tu te régales. Allez, bouge ton
cul. Sens comme je te chatte. Tu es pleine de mouille. Tu vas tout te
salir, salope.
- Ah, que c'est bon de se faire doigter, belle-maman. Branlez mon petit
bouton aussi. S'il-vous-plaît, ma petite chatte va jouir. Ha...oui...
Yann prend son frère par l'épaule et l'entraîne vers l'escalier. Arrivés au salon, ils entendent Carla hurler de plaisir, vaincue par sa
belle-mère. Il se regardent et éclatent de rire.
Frankie
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