Au
Cambodge, j'ai connu une jeune religieuse qui semblait trouver
que la religion (religare = relier) ne reliait pas tant
que ça. Elle a donc accepté, après une cour assidue autant
que frénétique, de compatir à ma détresse sexuelle de blanc,
perdu dans les monts des Cardamomes.
Ce fut fait, me dit-elle, pour éviter que j'aille me réfugier
chez les femmes légères du village, qui auraient pu me voler,
me transmettre des maladies, profiter de moi....elle s'appliqua
beaucoup à pratiquer avec moi la charité chrétienne, venant
dans ma case chaque soir, enlevant sa petite bure bleue,
la posant sur une chaise, puis grimpant dans mon lit sous
la moustiquaire...quelle ardeur, quelle santé, malgré la
chaleur... en fait c'est cette chaleur qui rendait le sexe
possible, car exaltant la libido de toutes les femelles
du coin. Qui plus est, étant le seul blanc, il était bien
venu de faire attention avec les femmes autochtones dont
les maris auraient pu devenir méchants. Une religieuse par
contre, nul ne s'en préoccupait.
Elle avait autant de pudeur qu'une guenon en rut, se faisant
saillir de toutes les façons, pliant son corps souple comme
une liane, me frottant le ventre et le dos avec ses seins
copieux et généreux. Ses hanches étaient rondes, fermes
et assez larges mais sans excès. Elle était tournée comme
les femmes de ces bas reliefs de temples Kmer. De la poitrine,
de la hanche, du cul, de la bouche ronde goulue et vultueuse,
qui engouffrait mon gland comme un frigolo. Au début, eu
égard à mes origines aveyronnaises, qui inculquaient vis
à vis de la calotte un certain respect, je me sentais bizarre
au lit...tout de même, une "bonne" soeur, puis putain de
con, je suis comme les autres, je résiste à tout, sauf à
la tentation....et je te la prenais, par devant, par derrière,
dans le ventre, dans la bouche, dans le cul et petit à petit
elle devenait de plus en plus délurée et de plus en plus
salope.
Elle accepta, progressivement, les hauts talons et les minis
jupes, quand nous descendions à Phnom-Penh. Là bas, pas
de problème. Personne ne la connaissant elle se comportait
comme une hétaïre, draguant tous les mâles, blancs, qui
passaient par là, les faisant payer et me remettant le fric.
Bordel de Dieu, la belle vie. Et plus ça allait plus il
lui en fallait, de plus en plus gros, de plus en plus long,
de plus en plus salaud, pervers, lubriques. J'avais une
Messaline qui me pompait la santé, le sexe et en plus me
donnait du fric, car j'étais pour elle son Seigneur et Maître,
je la considérais comme une égale, ce qui là bas est rare
(le buffle est mieux traité), je ne la battais pas, je lui
expliquais la France, notre histoire, elle mangeait à sa
faim. Elle avait appris, progressivement, le français, qui
au Kampuchéa est relativement plus parlé qu'au Viêt-Nam.
Puis je fus muté....putain ce ne fut pas la joie. Je lui
donnais le relevé de banque, où j'avais placé le produit
de ses orgies sexuelles de la grande ville. Au départ, elle
ne comprenait pas que ce bout de papiers représente de l'argent.
Au Cambodge, le salaire moyen est de 2 dollars jours...et
une bonne, très bonne masseuse prend 5 dollars de l'heure...tu
mords le topo? Pourquoi veux-tu travailler, en usine, pour
deux dollars, quand ta petite chatte que tu vas faire bien
ronronner, t'en rapportera dans la journée une vingtaine.
Avant de partir elle me fit le grand jeu: « Ne pars pas!
Reste! Je ferais commerce mon cul pour toi! Moi beaucoup
sucer, toi beaucoup content! »
« Moi quitter kékouan, pour faire toi casser kidit, dans
cabane bambou pour pas nam sous! »
Et elle me reprit la queue, pour me vider les couilles,
comme une grande salope qu'elle était devenue. Une vraie
"française" qui faisait l'amour comme une pro, avec de grands
coups de rein, des soupirs de gorge, des cris de rut, des
mains qui te prenaient les hanches pour bien te tenir enfoncé
dans le ventre, des talons qui te tapaient sur les cuisses
pour te donner une cadence de plus en plus rapide, des yeux
révulsés, des tempes mouillées, le chignon défait....et
moi comme un con qui lui pilonnait la chatte, comme un malade,
comme si ma vie en dépendait, regardant ma bite entrer et
sortir de son ventre, luisante de cyprine, regardant ce
membre, qui paraissait encore plus gros qu'avant de lui
défoncer le berlingot, lui éclater la figue pour la faire
couiner de plaisir, aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHhsalope,
putain que c'est bon...tu en veux, hein? Tu en veux, tu
en veux, tu en veux de la bitasse de salaud? Y te tringle
bien ton blanc......heiiiiinn
nnnnn salope!
Tu sens cette grosse queue qui te rentre dedans, HHHHHHHHHHhhhhaaaaaaaaaaaaaa
putain que ça serre bien.
Ca va gicler, ça va gicler, ça giiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiicleeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuuu,
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhHHHHHHHHH!
Ce fut violent et intense, comme la mousson quand elle tombe.
La même inondation et le même bruit.
Rentré en France, je pris mes quartiers à Paris, en attendant
un poste dans le Sud, car la capitale, même en été, ne représentait
pas pour moi la panacée.
Rue de Varennes, il y avait un petit bar, bien tenu, avec
un patron sympa qui venait d'Auvergne. La jeune femme qui
lui assurait le service d'après midi, était une très jolie
rousse au teint laiteux, jeune, genre sympa mais réservée,
avec un tour de poitrine qui devait bien taper dans les
90 C et roulée canon, avec une sorte de rayonnement interne
qui illuminait ses beaux yeux verts Elle était assez grande,
par rapport à moi, qui ne mesure que 1.74 cm. J'aimais sa
démarche quand elle me portait mon café.sensuelle avec simplicité
; mutine sans excès, dès qu'elle vit que je ne devenais
pas lourd et graveleux, en lui plantant des plaisanteries
style « cadre dynamique » qui croient que « l'attaché case
» donne l'air romantique et intelligent. Peu à peu les rapports
furent plus cordiaux.d'où je venais. ?que faisais-je dans
la vie. ? pourquoi j'étais seul à Paris. ? pourquoi avais-je
ce détachement vis-à-vis de mon environnement. ? pourquoi
je ne la draguais pas, alors que tous les clients essayaient
?
Sur le dernier point, je lui répondis que j'étais conscient,
qu'un mec de 50 balais, même sportif, n'avait pas envie
de se ramasser un bide, en proposant la botte à un joli
bébé comme elle, qui ne devait pas manquer de noms dans
son carnet d'adresse.puis, lui dis-je, vous m'avez tout
l'air d'une fille sérieuse qui bosse pour gagner sa vie.
Elle me regarda d'un drôle d'air, mais se mit à me porter
mon café, chaque soir, en faisant, plus qu'à l'accoutumé,
saillir sa poitrine, ou bien en se penchant très bas pour
ramasser la monnaie.
Parfois, elle essuyait les verres en me regardant droit
dans les yeux et en insistant bien sur le geste de frotti
frotta du haut. Puis un soir, où le bar était vide, elle
fit tomber du café sur mon pantalon, ce que je crus fortuit.ouais,
mais la coquine avait bien préparé son affaire. Sous prétexte
de vite me nettoyer, elle me fit passer dans la pièce de
derrière et avant de me rejoindre ferma le bar en un clin
d'oeil.
La porte tirée elle me demanda de la laisser faire et passant
ses doigts entre deux boutons de ma braguette elle commença
à frotter avec un chiffon trempé dans l'eau. Ce geste amena
sa main au contact de mon sexe, qui n'avait pas besoin de
ça pour réagir, vu que depuis mon retour c'était le calme
plat, mis à part quelque « sègues » la nuit, quand mon braquemard
devenait trop gênant pour dormir.
Sentant la bête se réveiller, la coquine me regarda avec
ses grands yeux verts et me demanda d'une voix rauque ce
que j'avais.ah elle manquait pas d'air la rouquine.ce que
j'avais.
- la gaule. ma petite.la gaule. lui dis-je.
- Je vous fait donc de l'effet, croassa t'elle, toujours
en me regardant droit dans les yeux.
- Oh, putain oui, que vous me faites de l'effet, nom de
dieu.vous me foutez la trique à me frotter la bite contre
le dos de votre main.
- Et comme ça c'est mieux ?
Et prenant mon sexe dans sa main, elle le sortit par la
braguette et d'un seul coup, se mit à me le pomper goulûment.
RRRRRRRRrrhhhhhhhhhaaaaaaaoui, putain !!!!!!!!!!!!!!!!
La salope, comme elle me faisait ça. On aurait dit un derrick.
Avant, arrière, avant, arrière.et je te passe la langue
sur le frein, je te mordille la peau.et moi je te file des
coups de rein en avant, pour enfoncer ces gros pieux de
chair dans la gorge de cette belle enfant.
Sélène m'avait-elle dit qu'elle s'appelait. Un nom de lune
ça.
Tu vas voir, ta lune, comment je vais m'en occuper.belle
petite rousse, qui me suce comme une pute. Je vais d'abord
t'envoyer une giclée de sperme dans ta petite bouche rouge,
puis te remonter, pour te remettre à ma hauteur et m'occuper
de ta poitrine, dont les somptueux nibards m'ont fait me
pogner plus d'une fois.
Ah tu veux me nettoyer le pantalon ? Ah tu me frottes le
zob avec la paume de ta main ?
AAAAAHHHHHHHHaaaaaaaaaaaaaa oui, ta main sur ma queue, prends
la bien, touche la bien, ouiiiiiiiiiii salope, prends, prends
bien, vas-y, tire dessus, branle, ouais, ouais, ouais, vaaaaaaaaaas-y
encore plus fort, oh, oh, oh, putain que c'est bon. Tu m'excites
petite vicieuse, tu m'excites comme un salaud que je suis.
Bordel de bite, il faut que je te foute ma queue dans le
ventre. N'y tenant plus je la retournais contre une lourde
table en marbre et la ployant dessus me mis à remonter sa
jupe sur ses hanches.Le beau morceau que j'avais devant
les yeux.une croupe ronde, pleine, charnue, ferme, dans
laquelle mes doigts pouvaient crocher pour bien me tenir.
La ficelle du string séparait les deux globes en deux masses
harmonieuses. Putain la belle poule de luxe.et tout ça pour
moi.Je le crois pas. Je vais me réveiller avec la trique
et il va falloir que je me branle en pensant à elle. Puis,
sa main passant par derrière me prit le sexe pour le positionner
devant sa fente toute chaude et coulante.écartant l'élastique
je poussais doucement, tout doucement, regardant rentrer
mon noud qui s'enfonçait progressivement.lentement, tirant
sur la peau. Ses mains me tenaient maintenant par les couilles
et tiraient en avant pour que je rentre encore plus.mais
je me retenais, pour faire durer le plaisir de l'intromission.
La jolie Sélène commençait à s'énerver en râlant doucement,
puis d'un coup reculant brusquement elle s'empala sur moi
dans un grand soupir de plaisir. « Vas-y, vas-y, bourre,
bourre moi, viiiiiite, viiiiiiiiiiiiite, encore , plus foooooooooooooooooort
; oh ouiiii salaud que tu me fais du bien, salauuuuuuuuuuuuuuuuuud
, oh que tu eeeeeeeesssss salaud, tu me prends bien, encooooooooore,
vas-yyyyyyyyyyyy, oui vas-yyyyyyyyyyyyyyyyy, mais vas-y
fooooooooooort, encore plus fort, plus fort je te dis, pluuuuuuuuuus
fort ».
Putain, je me remuais comme un malade, rentrant et sortant
ma bite luisante de cette belle chatte en chaleur. Mes couilles
lui cognaient contre les cuisses en un bruit mat et rapides,
mes mains, cramponnées à ses fesses, devenaient blanches,
tant il me fallait forcer pour tenir cette cavale en rut
qui me secouait comme dans un rodéo.
La rage du cul me prenait maintenant à fond. Je bourrais,
pistonnais, fourrais cette belle rouquinette, à fond, de
plus en plus lubriquement et salacement. Je ne retenais
plus rien, ni mes coups de boutoir, ni les mots crus qui
me venaient aux lèvres.
Sélène couinait de bonheur, me traitant de salaud, de baiseur,
de dépravé qui profite de la faiblesse des jeunes femmes
solitaires.
Sortant, d'un coup, ma bite luisant de cyprine, je remontais
le long de la fente et, sans prévenir la belle de mon intention,
je lui plantais sans fioriture mon gland dans l'anus.
Oooouuuuuuuaaaaaaoouuuuuhhhhhhhhhhh, salaud, putain de salaud
que tu me fais mal, salaud, salaaaaaaaaaauuuuuuuuuuuuuud,
aaahhhh, non, ne bouge plus, ne bouge pluuuuuuuuuuuuus je
te dis, reste dedans, reste..là, ça va mieux...oooh, ooooh,
oooooooh que tu es salaud de m'enculer comme ça..prends
mes nichons dans tes mains, oui, oui, là. comme ça. Tords
les pointes, tu sens comme elles sont dures et grosses.C'est
toi qui me fais cet effet. J'avais envie de toi depuis longtemps.aaaaahhhhhhh,
oui, enfonces toi, douuuuuuuuuucement. Oui, j'avais envie
d'un mec, plus âgé que moi, qui me prenne comme une salope,
tout en sachant que je ne le suis pas vraiment, même siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
aaaaaaaaaahhhh oui bourre, même si j'aime la queueeueueueuuuuuueeeeeeeeee.
Je lui pognais les nibards avec volupté, pressant, triturant,
malaxant, tordant les pointes, les faisant rouler sous mes
doigts, tout en limant le cul de cette belle pouliche faite
pour la cavalcade.
Elle gémissait de plus en plus longuement, de plus en plus
fortement, tout en se secouant comme une folle sur mon manche
qui la pilonnait de plus belle. Putain que c'était bon,
cette belle fille, là, sous moi, pour moi, qui me faisait
limer un cul superbe, palucher des nibards de baiseuse,
qui me disait que je la faisais jouir, qui disait encore,
encore, qui me traitait de salaud..
Oui, je suis un salaud de queutard, qui aime crapuler une
belle rousse, pourvue de beaux nibards, qui ne fait pas
sa chochotte devant une grosse bite qui va la défoncer.
Et je limais toujours comme un piston. Mon membre entrait
et sortait avec une régularité de métronome de cette croupe
de rêve.
Mes mains étaient toujours cramponnées, alternativement
sur ses nibards de salope et sur ses hanches de femelle
en rut.
Putain, qui l'aurait cru, il y a quelques semaines que j'aurais
ce plaisir, moi, de me retrouver planté dans le ventre de
cette belle fille...AAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhHHHHHHHHHHH.
Je sentais que ça montait dans ma queue, elle le sentait
aussi et donnait des coups de reins, de plus en plus forts,
tout en gueulant qu'elle voulait que je la remplisse, que
je me vide complètement.
OOOOOOuuuuuuuaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiisssssssssalope, ça vient,
tu sens ma queue qui vibre ? Tu sens comment je rentre de
plus en plus profond dans ton joli cuuuuuuuuuuuuuuulllllllllll.......
aaahh, rrrrrrrrrraaaaahhhhhhhhhhhhhhhhAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH.
Ouais, ouais, ouais, ooooouuuuuaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Putain ça gicle, ça giiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiicle, je te
reeeeeempliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis le ventre de mes
semaines d'abstinence, ma belle salope. Tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir,
jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.
PPPPFFFFFFFFFFuuuuuuuuuuuuuuuuuuttttttttttttttttt, nom de
dieu. Tu me tues..vive la mort !
Allongée sur la table, la jolie Sélène continuait à bouger,
toute seule, sous moi qui la couvrait maintenant complètement,
soufflant comme un phoque, éperdu de reconnaissance après
ce fantastique coït qu'elle m'avait offert. Ne voulant pas
la jouer égoïste je me laissais aller à lui mordiller la
nuque tout en lui caressant à nouveau les seins, sentant
ma queue reprendre force et vigueur tant cette belle fille
me plaisait et me faisait de l'effet.
Je sortis doucement mon membre de ses reins, la retournait
pour la coucher sur le dos et le lui rentrait dans la chatte,
pour bien lui masser l'intérieur, tout en lui relevant les
cuisses, pour lui prendre la vulve à pleine main. jolie
vision que cette touffe flamboyante dans laquelle je voyais
disparaître ma queue, comme un tisonnier dans un feu. Les
yeux dans les yeux, rouges d'excitation nous nous regardions
mutuellement, pendant que le plaisir revenait au galop,
pour la faire partir dans un long hululement de chatte saillie
et repue, très repue.
J'avoue que je suis tombé amoureux de cette demoiselle de
Lune et que je n'ai pas redemandé à partir de Paris.
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