TITRE : Du bien au mal
Catégorie : Histoire Extra conjugale

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Je suis une femme de 4é ans, BCBG, issue d'un milieu bourgeois ou le sexe reste tabou. Grande, brune, plutôt bien faite, et je fréquente des gens avec mon mari d'un milieu huppé. Nous sommes marié depuis 17 ans, seul homme de ma vie. Mari avocat, respecté, mais qui veut tout gérer sans donner vraiment de piment à notre couple. Impulsif et parfois fougueux, mais jamais dans le lit...

Un soir, après une sortie dans un restaurant chic de la capitale, une dispute eclata entre nous concernant le peu de cas qu'il faisait de ma personne. Il me dit que si une chose me manquait, je pouvait la trouver dans la rue, comme une vulgaire putain. Il arreta la voiture et me fit descendre. Dans ma tenue, je lui dis ma peur mais il ouvrit la portière et me fit descendre. Je n'avais ni argent ni moyen de rentrer à la résidence...

Je me trouvais donc seule, en robe rouge fendue avec mes talons, mon sac à main et des sous vétements plutôt sexys. Je commencais à marcher avec la peur au ventre. Je tremblais de partout et je pleurais doucement. Mon mari était déja loin. Ordure.

En passant devant un batiment (foyer de travailleurs immigrés), un homme m'interpella pour me demander ce que je faisais sur ce trottoir. je n'osias pas lui répondre. Il me prit le bras en me disant que je serais violée dans les 5 mn dans ma tenue. Il me proposa de m'accompagner afin de me protéger. En le regardant, je vis un homme de type arabe, bel homme de 30 ans, fort et protecteur.

Il me fit des compliments et j'en fut ravie. Son contact me troublais. Il mit sa main sur mon épaule et je senti comme un fluide qui me fis frissonner.

Directement, il me dit "tu as envie de sexe mais tu ne le sais pas encore et tu vas devenir une bonne femelle pour moi". J'en restais bouche bée. Il me prit par la main pour m'entrainer vers ce foyer. Je me laissais faire de peur d'être violentée, et je traversais le foyer sous le regard de tous ces hommes au regard lubrique.

Il me fit entrer dans sa chambre, me regarda un moment, et je vis que la porte était ouverte, mais je n'osais toujours rien dire. La peur. L'excitation aussi.

Je reconnais que mon sexe était en feu. Il etait gonflé et humide. Il me demanda d'enlever ma robe, doucement, afin qu'il profite du spectacle, et que ses amis aussi. Je m'executais sans pudeur, dévoilant mon string rouge et mes bas noirs.

Tu es une belle pute bourgeoise et tu va recevoir de la queue comme jamais.De la bonne queue d'arabe, bien grosse.

Je devenais de plus en plus excitée et je me mis à genoux pour ouvrir son pantalon. Et la, je vis la plus grosse queue de ma vie. Longue, grosse, circonscise, un gland énorme. Ma main ne faisais pa sle tour de ce membre. Je le pris en bouche avec beaucoup de difficulté,mais je l'engloutie neanmoins. Je sucais un homme rencontrer dix minutes avant dans la rue, moi, la petite bourgeoise docile. Et je mouillais comme une salope qui trompais son mari pour la première fois. Quel plaisir. Je le sucais de plus en plus vite et il pris mes cheveux en criant des choses en arabe et je senti son jus qui coulais dans ma gorge. Je fus obliger de tout boire, tant il me tenais la tete. Son sperme était amer, il me brulait la gorge. il me relacha et rit en me voyant ainsi. Il ouvrit plus grand la porte et je vis une dizaine d'homme qui avaient assistée à toute la scene. J'etai mortifiée.

Maintenant, tu vas devoir leur donner aussi du plaisir. Tu vas tous les sucer, et ensuite, quand tu auraus tout avaler, tu vas leur demander de te baiser par tous les trous.

Alors, un par un, je du les prendre dans ma bouche, les faire jouir et avaler leur jus en les regardant. Je me demandais ce que faisiais mon connard de mari pendant que je sucais des queues grosses et gonflées, en me faisant fouiller la chatte à pleine main.

Mon premier amant, Mouloud, enleva mon string, me fit mettre à genous et commenca a frotter son sexe sur le mien. Sa queue énorme entra d'un coup et me coupa le souffle. Je continuais à sucer ses copâins pendant que je me faisait défoncer comme une chienne. Je jouissais sans douleur, avalait du sperme chaud, ma gorge était en feu, ma chatte aussi. Je sentais ses couilles sur mes fesses et j'hurlais mon plaisir. Je me fis aisni défoncer pendant 3 heures par tous ces hommes. Je refusais la sodomie car leurs queues étaient vraiment trop grosses.

Mouloud me dit gentiment pas de problème, mais la prochaine fois, nous te défoncerons le cul car tu es notre chienne. Ils me donnèrent de quoi payer le taxi pour rentrer chez moi.

J'étais encore sous le choc. Heureuse et rassasiée. Mais je me demandais si je n'avais pas fais la betise de ma vie... Mis si mon mari ne m'avais pas laissée comme une merde sur le trottoir, jamais rien ne serait arrivé.

En rentrant vers 5 heures du matin, mon mari attendait dans le salon, en peignoir. D'ou viens-tu?

Je me contentais de rentrer dans la salle de bain pour me doucher. Il me suivi et vit les traces de ma nuit. Calmement, je lui ai raconté ce que j'avais vécu.

Il m'écouta et il ouvrit son peignoir pour me montrerr l'effet de mon récit. Son sexe ridicule bandait et il me demanda d ele sucer aussi. Je lui ai demander de se branler et de gouter à son sperme pour voir si il aimait!!! Et sans attendre, c'est ce qu'il fit. Il prit son sperme dans sa main, et le mit dans sa bouche. Il fit une moue dégoutée. Je lui ai dit que j'avais sucer une bonne dizaine de queues et que j'avais tout avaler en les regardant dans les yeux. Mais moi, j'avais aimé.

Il voulu me faire l'amour, mais je refusais.

Le lendemain, un samedi, il voulu encore me prendre, mais je lui dis que j'avais rendez vous avec Mouloud, et que sa queue me manquait. Je voulais l'humilier. Je lui demandais de me conduire au foyer, et de m'attendre dans la voiture pendant que je me ferais défoncer comme une bonne putain. Il me demanda si il pouvait venir, très excité par la situation. Pas de problème, mais tu ne me touchera pas.

En rentrant dans le foyer, de nouveaux visages inconnus firent leur apparitions. Ils me connaissaient tous de par la nuit dont ils avaient entendu parlé.

Accompagnée de mon connard de mari, tout petit depuis cette nuit, je me rendais dans la chambre de Mouloud. Il ouvrit la porte nu, avec son sexe toujours aussi impressionnant. Il fut surpris devoir Jean Christian avec moi. C'est quoi ce mec? Mon connard. Et Mouloud eclata de rire. Il me demanda ce qui me ferais plaisir. Je lui dis que je voulai sme faire defoncer par trois en meme temps. Il appela en renfort deux collègues, dont je me souvenais de leurs dimensions...

Je me retrouvais vite nue, en talons aiguilles, cambrée pour les exciter encore plus. Je demandais à mon connard de regarder sans rien dire. Il s'assit dans un coin.

Je commencais donc par les sucer avec application, en les regardant et en regardant mon connard qui n'en croyait pas ses yeux. Je sentit la giclée de Mouloud dans ma gorge et je montrais à mon mari le sperme chaud dans ma bouche. J'avalais tout en le regardant. Je voyais son excitation. Je sucais de nouveau les autres hommes et je recu encore deux autres giclées. Mais au lieu d'avalaer, je me sui slevée et je vint vers mon mari pour l'embrasser. Il ne voulais pas. Alors Mouloud la obliger d'ouvrir sa bouche et fus obliger de boire le sperme de mes amants. Il n'a rien dit. Mais je sais qu'il a aimé cette humiliation. Il bandait.

Je me fis defoncer encore toute la nuit, ils me prirent à tout de role, et je leur demandais de me sodomiser pour la première fois. Ce fut tellement doux que j'en redemandais. J'ai jouis comme jamais. Je testai meme la double pénétration, pendant que je sucais Mouloud.

Mon connard regardait en se branlant.

Pour rire, je demandais à Mouloud si il s'était déjà fait sucer par un homme. Il me répondi que non, mais que si je voulais, mon connard pourrait le faire. Je trouvis l'idée excitante et je lui banco. Alors, il appela JC et lui demanda de venir. Mon mari se leva pour s'agenouiller devant les trois hommes. Il les suca à fond en me regardant, ce que je trouvais très excitant, et du avaler encore une fois tout le sperme de ces hommes. Je mouillais comme une folle, et je leur demandais de venir me baiser encore une fois. Ils étaient fatigués, alors, ce fut 9 autres hommes qui vinrent dans la chambres. Je me retrouvait défoncée à coté de mon mari qui sucais aussi à tour de queue.

Maintenant, nous revenons chaque week end dans ce foyer, et nous sommes devenus mon connard et moi leurs petites putes. Jean Christian se fait aussi défoncer le cul par ces queues énormes, et je crois qu'il aime sa nouvelle nature de pute. De mon coté, je suis enfin combl"e, même si je me demande si je ne devrais pas venir aussi avec une amie, coincée comme je l'étais...


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