Denise et moi travaillons dans la même société. Nous avons été collègues
pendant six ans mais nos chemins se sont séparés voici trois ans. Elle est
devenue responsable d'un service et moi d'un autre. Mais nous sommes restées
de très bonnes amies, très complices, ayant le même point de vue sur de
nombreux sujets. Il ne se passe pas un jour sans que nous nous voyions, soit
que nous descendions prendre un café ensemble, soit que déjeûnions ensemble
à la cafétaria de l'entreprise ou dehors.
Nous sommes en juin. Les beaux jours sont revenus. Les peaux
artificiellement bronzées en prévision des vacances remplacent
progressivement les teints pâlots de l'hiver et s'exhibent sans pudeur. Les
jupes sont devenues plus courtes, les seins pigeonnent dans des décolletés
plus ou moins audacieux.
Cela fait deux semaines que Denise et moi avons envie de nous adonner à
notre petit jeu de séduction/sensation.
Nous avons prévenu nos collègues que nous sortions déjeûner, qu'ensuite
nous ferions un peu de shopping et que nous ne rentrerions pas avant 15h30,
voire 16h00. Comme par hasard, ce jour-là, nous avons oublié nos gsm à la
maison, ou alors la batterie est plate. Bref, pas question qu'on nous
dérange.
Comme dans un rituel, nous nous sommes fixées rendez-vous dans les
toilettes, cette fois-çi à mon étage. Une fois réunies, sans même prendre la
peine de rentrer dans une cabine, nous avons retiré nos petites culottes que
nous avons rangés dans nos sacs. Denise en a profité pour passer une main
coquine sur ma vulve. J'ai répondu par une caresse sur ses seins car je sais
qu'elle ne porte presque jamais de soutien.
Nous avons pris ma voiture pour nous rendre au centre ville. Je suis déjà
toute excitée : j'adore sentir l'air frais sur ma chatte. Cela me fait
penser aux vacances ! Nous allons d'abord manger une petite salade, histoire
de ne pas tomber inanimée plus tard, mais aussi pour laisser la grande foule
retourner à ses occupations besogneueses.
Nous avons déambulé et repéré une terrasse au soleil et une table libre.
Un bel hidalgo est assis à la table d'en face. Sans perdre de temps, nous
avons sorti le grand jeu. Une petite promenade vers les toilettes pour
montrer nos jolies gambettes, nos fesses moulées qui laissent clairement
voir l'absence de sous-vêtement, un déhanchement à damner un saint. D'abord
Denise, puis moi.
Notre beau mâle ne nous a pas quitté du regard. Alors, comme pour mieux
profiter du soleil, nous nous plaçons côte à côte, jambes allongées et
cuisses innocemment écartées.
Quelques croisements de jambes plus tard, je suis toute mouillée ! Je ne
sais pas de quoi j'ai le plus envie : de me carresser ou de carresser la
chatte de Denise et de glisser mes doigts dans son adorable moiteur. Je sais
que Denise a les mêmes pensées que moi. Je me penche à son oreille pour lui
dire mes envies mais surtout pour le plaisir de m'entendre répondre qu'elle
aussi aimerait me doigter et qu'elle en mouille.
Notre « proie » va-t-elle trouver l'audace de nous aborder ? Ou bien
devrons-nous prendre l'initiative ? Encore quelques croisements de jambes
pour le rassurer sur nos intentions, il se décide à nous adresser la parole.
Sans cesser de se rincer l'oeil, il nous parle du plaisir d'un petit bain de
soleil sur l'heure de midi, histoire de faire allusion à notre bronzage et à
nos gambettes et cuisses nues.
Il nous demande si nous sommes pressées -ah ! ces hommes ! il faut tout
leur redire dix fois !- et il nous propose un verre, que nous acceptons
après avoir échangés un regard complice, histoire de bien lui faire
comprendre que nous resterons ensemble quoi qu'il arrive. Nous l'invitons à
nous rejoindre à notre table. J'adore suivre son regard qui ne peut
s'empêcher de descendre vers mon entre-jambe et celui de Denise. A ce stade,
il n'ignore plus rien de la forme de notre petite chatte, du fait que Denise
et moi sommes entièrement épilées, que je porte un petit piercing juste
au-dessus du clito, que Denise porte une chaîne autour de la taille dont les
deux extrêmité, l'une portant un petit pénis en or et l'autre une cerise,
descendent jusqu'à sa vulve. L'excitation est d'autant plus forte que je
sens ma chatte tellement humide que je suis sure que notre voyeur s'en rend
compte et qu'il peut même apercevoir des gouttes perler entre mes lèvres et
couler vers mes fesses.
Il est italien. Il s'appelle Elio et précise-t-il « celà signifie
Soleil ». Il travaille comme lobyeur auprès des Communautés européennes. Il
parle avec un accent chantant qui me rappelle des vacances en Toscane. Il a
un sourire charmeur.
Après ces banalités, je reprends l'initiative et sans détour lui propose
de passer un moment avec nous. Il accepte sans hésiter, ce qui nous confirme
qu'il a du tempérament et se sent capable de satisfaire deux tigresses !
Nous avions pensé l'emmener chez Denise comme d'habitude mais en quittant
le bureau, elle venait d'apprendre que son mari avait décidé de prendre
congé l'après-midi. Nous avons donc opté pour un hôtel de jour où nous
avions déjà eu l'occasion de nous y rendre en « galante » compagnie.
Une fois dans la chambre, pas question de redonner l'initiative à notre
homme. Nous lui demandons de se déshabiller. Pendant ce temps, Denise et moi
nous bécquottons, dans le cou, sur les oreilles, sur la naissance des seins,
avant d'échanger de longs baisers très gourmands, ma langue dans sa bouche.
Ma main descend sous sa jupe pour saisir ses fesses pendant qu'elle me
pelote les seins. Mais nous ne perdons pas notre homme du regard car c'est
dès le déshabillage qu'il va se révéler sensuel ou frustre. Pour nous, il
est important qu'il commence par retirer sa chemise, puis ses chaussures,
ses chaussettes et enfin, dand un seul mouvement, son pantalon et son slip.
Toute inversion est un signe de mauvais goût.
Tout en nous déshabillant et nous carressant, nous demandons à notre homme
de rester debout à un ou deux mètres de nous et ... de se masturber. Une
fois nues, je me glisse entre les jambes de Denise pour la butiner jusqu'à
l'orgasme. La façon qu'elle a de relever les jambes et de les tenir aisni
relevées et écartées au moyen de ses avant-bras, m'excite terriblement. Même
après qu'elle ait joui, je continue à têter sa perle imprégnée de sa
cyprine. Puis je me mets debout et elle sur le lit et elle me masturbe
jusuq'à ce que je jouisse.
Et notre excitation est augmentée à la vue de ce mâle, glissant tantôt une
main, tantôt deux, le long de sa tige décallotée. Il nous plaît bien : nous
aimons ses gestes lents et sensuels. Nous n'aurions pas aimé un branleur
agité.
Nous sommes très excitées. Les orgasmes se succèdent. Jusqu'à ce que nous
voyons notre homme perdre contrôle. Alors nous nous allongeons par terre, à
ses pieds. Nous lui demandons de se mettre à genou entre nos jambes et
d'éjaculer sur nos seins, nos ventres. Notre homme a de la réserve car j'ai
même le temps de me retourner et de recevoir deux ou trois giclées sur mes
fesses.
Denise a laissé sa main sur ma chatte et lorsque qu'elle reçoit les jets
chaux et crémeux sur sa peau, elle ne peut pas contenir un nouvel orgasme,
qu'elle accompagne pour mon plus grand plaisir en glissant plusieurs doigts
dans ma vulve.
Notre homme mérite une récompense et nous nous offrons à lui. Mais ce
n'est pas le cas à chaque fois. Car notre jeu de séduction comporte aussi
une sorte d'évaluation de notre partenaire. Quand celui-çi a été « mauvais »
c'est-à-dire s'il a manqué de bon gôut, s'il nous a importuné en voulant
nous sauter sans y être invité, s'il s'est branlé comme un agité, s'il est
trop poilu, s'il n'est pas décalotté, si sa queue ne nous plaît pas, si ...,
nous lui demandons s'il a passé un bon moment et le prions de nous laisser
seules. Au contraire, si l'étalon est à notre goût, nous lui proposons une
petite chevauchée à trois. Dont le parcours est fonction de la note
attribuée ! Une note moyenne et notre homme devra se contenter de nous
butiner à tour de rôle. Une note élevée, c'est le cas, cette fois-çi, et
nous lui cédons totalement le contrôle pour le reste de l'après-midi.
Ce mercredi, nous allons le marquer de quelques étoiles dans notre agenda
car nous avons passé un après-midi formidable. Nous avons essayé toutes les
combinaisons qu'autorise la présence de deux femmes bi et d'un homme bien
équipé et endurant. Nous avons enchaîné orgasme sur orgasme. Notre mâle
s'est vidé plusieurs fois mais avec quelques coups de langue, il retrouvait
très vite la raideur nécessaire.
Le plus dur fût, au moment de le quitter, de lui refuser le numéro de
téléphone de l'une ou de l'autre ! Aujourd'hui, Denise et moi le regrettons
parfois.
En fin d'après-midi -peut-être serait-il plus juste de dire en début de
soirée- , nous sommes rentrées au bureau, comme deux businesswomen BCBG. Bon
chic, belles garces ! Heureuses de notre ... shopping !
Marie-Jo
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